Voyage protocolaire.

- Par l'auteur HDS Sexgéraldine -
Auteur femme.
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Récit libertin : Voyage protocolaire. Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2007 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Voyage protocolaire.
La cérémonie du couronnement était derrière tous le monde et maintenant il fallait penser à construire l’avenir. L’Europe était en réelle en survie depuis la sortie de la guerre. Et malgré son père et son grand père il restait beaucoup de travail à faire.

Anne-Sophie était dans son bureau quand on lui annonça :
« _Majesté. Monsieur votre père demande à vous parler… »

La jeune impératrice accepta évidement.
« _Père…
_Allons ! Relève toi. C’est toi maintenant l’impératrice. Plus moi. »

Le père d’Anne-Sophie avait abdiqué en faveur de sa fille. Il était maintenant un vieil homme malade et diminué.

« _Père comment vous sentez vous ?
_Je vieillis de jour en jour. Ca en dit long sur mon état. Mais parlons plutôt de toi ma fille. J’aimerai savoir ce que tu vas faire maintenant ?
_Maintenant ? Mais il reste tout à faire ! Le travail que vous avez accompli avec grand père est déjà énorme mais il faut apprendre à vivre dans ce nouveau monde.
_Il faut surtout que tu apprennes à défendre ce nouveau monde. Que sais tu de la pression extérieur ?
_Les Etats d’Amérique sont trop loin et bien trop englués dans leur division et leur diversité pour se permettre le luxe de regarder à l’extérieur. La Chine et l’Asie ne se reconstruiront pas d’aussitôt. L’Afrique est encore trop dépeuplée depuis la guerre. Il ne reste que la Russie qui à déjà beaucoup a faire avec ses voisins dans le besoin. Depuis la sortie de la guerre elle nous laisse tranquille je ne vois pas pourquoi elle ne continuerait pas.
_C’est vraiment comme ça que tu vois les choses ? Alors regarde cela un peu… »

L’Empereur père sortit un dossier de dessous son bras.

« _C’est un dossier des services secret. Il m’a été remis hier.
_Je vois… Mes propres agences ne m’obéissent pas encore. Qu’est que ça veut dire…
_Ce rapport stipule des déplacements des troupes Russes dans la région frontalière d’Europe l’Est.
_Et alors ? Cette région est un no man's land que nous n’avons pas les moyen de surveiller. Cela doit leur causer des désavantages qu’ils doivent régler. Je n’y vois pas de problème.
_C’est de la provocation. Sache que durant mon règne j’ai du lutter ferme pour que la Russie laisse l’Europe indépendante ! Ta mère en est même morte de fatigue ! Alors tu vas me faire le plaisir de te lever de cette chaise et d’aller rendre une visite de courtoisie au puissant Tzar Salantas avant qu’il n’envahisse l’Europe ! »

Anne-Sophie ne su quoi dire. Son père avait raison. Elle devait bien cela à sa défunte mère. Une semaine plus tard le voyage était organisé, et les autorités Russes acceptées la rencontre. Cela allait se produire dans le Palais de L’viv où les Tzar avaient eu la clémence d’installer un lieu de rencontre pour offrir moins de voyage aux empereurs Européens.

Anne-Sophie y était déjà allée dans sa toute jeunesse accompagnant ses parents. La jeune impératrice regardait les décors défiler depuis les hublots de son avion. Elle était dans un appartement privé de l’avion avec une demoiselle de compagnie.

« _D’après le commandant de bord nous en avons pour cinq heures de vol. Majesté.
_Je sais et pourquoi pas me dire que ça va durer une éternité ? Eléonore.
_Parce que je vous trouve bien pensive.
_La dernière fois que j’ai fait ce voyage j’étais gamine je riais tous le temps, le monde me paressait bien jolie… Aujourd’hui il est noir et agressif. Même le Pape le l’a fait ressentir. »

Eléonore était une jeune fille de 18 ans blonde aux yeux bleus elle était demoiselle de compagnie au près d’Anne-Sophie depuis toute petite. Alors qu’Anne-sophie n’était alors que Princesse impériale. Anne-sophie était habillait d’un voile transparent et Eléonore d’un simple paréo. Toutes étaient nues en dessus. Alors que l’Impératrice était debout devant un hublot, Eléonore était allongée délicieusement sur un sofa de la cabine privée. La fente de son paréo s’ouvrait gentiment pour laisser entre apercevoir les lèvres rasées de son petit sexe à peine majeur.

« _Qu’est ce que je vais bien pouvoir lui dire au Tzar moi ?
_Que vous êtes très heureuse de le rencontrer. Vous ne le connaissez pas ?
_Non, je sais qu’il a été impliqué dans la politique bien avant son règne et bien avant moi. Je ne vais pas faire le poids… Pourquoi Père voulait-il que je lui rende visite ?
_Pour faire de vous une véritable Impératrice en pleine possession de ses moyens. La conscience des réalités est une vertu politique. »

Anne-Sophie s’était assise sur le Sofa collé à Eléonore. Cette dernière glissa ses mains sous le tulle de l’Impératrice pour lui faire un message du dos.

« _Hum… Ca fait du bien… Je me sens tellement stressée.
_Détendez vous et tout ira bien.
_Tu vois, quant on regarde ça comme ça. C’est comme s’il se cachait quelque chose derrière tous ça qu’on ne me l’avait pas dit… Portant c’est moi maintenant l’Impératrice. Même les services secrets ne me sont pas encore acquis. Ils passent par mon père avant de m’informer… Hum, c’est bon. »

Eléonore avait enlevé l’habit de sa maîtresse et avait adjoint ses lèvres à ses mains. Anne-Sophie recevait le câlin avec tendresse. Elle aimait bien jouer avec sa demoiselle cela lui accordait beaucoup de bonheur. Elle se retourna alors et embrassa Eléonore. Les mains d’Anne-Sophie restaient pendantes mais celles d’Eléonore attrapaient les seins de sa maîtresse pour les faire frissonner. Elle connaissait bien Anne-Sophie et savait exactement ce qu’il fallait faire pour la divertir.
D’abord la mettre Anne-Sophie en confiance. Eléonore continua le baisé jusqu’à sentir le corps de l’Impératrice se ramollir. Ensuite elle allongea la jeune fille et s’allongea de tout son long pour créer un contact charnel entre leur deux corps. Puis il fallait créait chez Anne-Sophie une demande. Eléonore faisait ses mains coquines est promeneuses. Aux mains se joignaient les jambes et les pieds d’Eléonore dont les douceurs recouvraient de frissons la peau de l’Impératrice. Cette dernière les yeux fermé se laissait porter par les caresses de sa demoiselle adorable. Très vite l’intimité d’Anne-Sophie se retrouvait moite et demandeuse. C’est à ce moment là qu’Eléonore transformât ses mains coquines en exploratrices obscènes outrepassant tous les interdits et le domaine privé.
Les sourcils froncés par le changement d’attitude, Anne-Sophie n’intervient pas et se laisse entraîner dans la pente endiablée de son corps de jeune fille.
Les seins d’Anne-Sophie pointent quand son torse se cambre sous les assaut de la main trifouilleuse d’Eléonore. Elle agite le petit bout de chair. Pour cela elle enfonce bien sa main pour écarter les jambes et les chairs d’Anne-Sophie. La jeune Impératrice halète, éprise par le plaisir d’être excitée par cette main outrageuse. En parallèle de tout cela Eléonore couvrait de baisers sa maîtresse qui voyait sa volonté brisée par tant de tendresse. Mais bientôt elle devrait s’en séparer car Eléonore allait consacrer sa bouche au sexe de sa maîtresse pour passer à la vitesse supérieur.
Quant Eléonore se leva pour changer de position Anne-sophie écarta instinctivement les jambes. Les deux orifices étaient alors offerts aux facéties de la blonde servante. Tout l’entre jambe de l’Impératrice dégoulinait des visqueuses sécrétions, le Vagin béant attira comme un aiment la langue d’Eléonore. Cette dernière connaissait sa maîtresse et étant elle-même femme elle savait qu’elle n’aimait pas qu’on lui introduise les doigts. Cependant le touché rectal était fortement recommandé. Une première main taquine le clitoris, la langue masse l’intérieur de la paroi vaginale et la seconde main titille l’anus de l’impératrice. Les sensations des ces trois zones se combinèrent alors en un puissant plaisir qui remontait jusqu’à la tête faisant un rage au niveau de ses seins en feu et l’étourdissant. La jeune Impératrice se mordait la lèvre inférieure pour résister un tant soit peu au délire qui la prenait.
Dans l’insistance du doigt d’Eléonore l’anus d’Anne-Sophie s’ouvrait volontairement pour offrir une entrée dont la demoiselle ne privait jamais. Un doigt entier s’enfoncait dans l’arrière train impérial provoquant ainsi de nouvelles sensations. Eléonore faisait maintenant des coups de langue sur toute la vulve pour déclencher des minis orgasmes alternant entre prise en bouche et caresse de la langue. Sous l’impulsion des insistances de sa servante, Anne-Sophie essayait d’occuper ses mains, elles passaient de caresses dans le dos d’Eléonore à un pincement sauvage de ses propre tétons pour attraper afin ses cheveux. Anne-Sophie sentait tout son corp excité, offert et manipulé. Elle en voulait encore plus Eléonore la pénétrait partout les moyens. Elle avait augmenté le nombre de doigts en elle. Anne-Sophie de ne savait pas combien mais tous ce qui lui importait s’était de sentir ses fesses bien écartées et son espace complètement occupé. La langue d’Eléonore bousculait maintenant frénétiquement le clitoris d’Anne-Sophie chaque mouvement provoquait un déferlement de bien dans le ventre de l’Impératrice. Rien au monde ne pouvait être meilleur à cette heure s’y. Anne-Sophie fut obligée de libérer ses cris sous la pression des sensations qui la dominaient. Ses orteils étaient tout recroquevillés sur eux-mêmes. La langue d’Eléonore avait repris son travail de fond alors d’une des mains impériales pris en charge le clitoris. Des filés gluants reliaient le vagin d’Anne-Sophie à la boucle d’Eléonore. Dans la vitesse de touché que l’Impératrice s’imposait à elle-même. Des bruits de liquide gluant se faisait de entendre de plus en plus fort ! Les cris d’Anne-Sophie s’amplifiaient, bientôt tout le corps impérial fut pris de soubresauts alors qu’il se crispait tout entier sous l’effet d’un orgasme libérateur venu du plus profond de son être. L’étreinte finie, Eléonore et Anne-Sophie avaient du mal à se séparer. La servante faisait jouer ses doigts dans les replis de la vulve mouillée de sa maîtresse. Les deux se regardaient dans les yeux. Elles avaient une réelle relation amicale qu’elles aimaient concrétiser par ces jeux sexuels. Elles s’embrassèrent avant de se lever. Sur le sofa il ne restait qu’une flaque visqueuse étalée.

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