Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Stupeur (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Stupeur (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Le voilier. Stupeur (2/2)
J’ai épousé Gaspard jeune homme fils d’un industriel qui cherchait à travailler avec mon pays.
Il m’a fait rencontrer Véronique, belle fille aussi grande que le sont les tops modèles semblant s’intéresser à ma petite personne moi aussi très mignonne, jeune fille Sud-Coréenne aux yeux bridés comme il se doit.

Au moment de partir en mer sur leur voilier, Gaspard nous quitte, nous montrant qu’il a une phobie de la mer au point de dégueuler ses tripes aux simples mots de balade en mer.
Nous levons l’ancre, mais plus simplement nous larguons les amarres alors que sur le quai mon mari nous fait de petits mouvements de sa main, nous ne sommes pas sortis des passes qu’il fait demi-tour monte dans la voiture d’Adam pour retourner vers la villa de Pontaillac.

Le soleil de dix heures est chaud, mais supportable, étant descendu dans la cabine magnifique dans des bois rares, pendant qu’Adam manœuvre les voiles, tournant une manivelle là, courant à l’avant pour attacher un bout de corde ici, j’enlève mon haut pour apparaître dans mon maillot acheté avant notre départ de Paris.
Véronique m’a suivi et semble m’ignorer, elle se déshabille, elle aussi, mais à la différence, elle a oublié son maillot, elle se tourne pour poser sa montre et je vois qu’elle aussi est épilée.
Je n’ai pas vu sa fourche assez longtemps pour voir si elle va en institut ou si comme-moi c’est un laser qui lui a tout enlevé.
Le bateau se penche, il faut que je me plaque contre un placard pendant que Véronique chute sur une banquette.

• Les filles, vous pouvez monter, j’ai fini de border les voiles et nous nous dirigeons vers le large.

Mon amie reprend son équilibre, récupère deux serviettes de bain et me prend la main pour rejoindre le pont.
Adam est assis derrière la grande roue, la tournant dans un sens et dans l’autre ce qui fait que le voilier toutes voiles tendues avance droit, mais toujours penché dans le sens où les voiles sont gonflées par le vent.

• Viens à l’avant, nous allons faire les figures de proue comme sur les bateaux de pirates.
Enlève-moi ça, regarde comme il est agréable d’être nue.

Elle m’attrape le bas, puis le haut, les ficelles cèdent me montrant nue, elle prend mon ensemble, certes, de taille mini et le balance à la mer.
Merde 200 € de fichu, j’ai envie de crier un maillot à la mer, mais même Adam à l’autre bout du bateau, ne peux m’entendre.

• Adieu morceau de tissus inutile, profite du vent dans ta chatte, regarde, il est assez fort pour t’apporter du plaisir.

Disant cela alors que je me tiens fortement à la barre de métal devant moi et à une voile encore enroulée, je vois sous moi l’étrave du bateau fendre l’eau de plus en plus vite, elle s’agenouille derrière moi et m’attrape à la hauteur de mon vagin, prend ses doigts et me l’écarte présentant mon clitoris aux embruns et au vent qui viennent en moi me caresser.
C’est la première fois que des doigts de fille me touchent, je suis atteinte au plus profond de moi, d’autant plus que les doigts ne restent pas inactifs, quand je regarde vers mon intimité, trois doigts sont en moi faisant monter mon plaisir jusqu’à ce que je jouisse.
La décharge est trop forte, je lâche le bastingage tombant dans les bras de Véronique, nous roulons jusqu’à ce que nous nous stabilisions et qu’elle me fasse asseoir au-dessus de la cabine.
Le bois est déjà bien chaud mais pas suffisamment pour me brûler les fesses.
Je ne sais pas comment Adam fait, mais dans un grand bruit, la voile qui était enroulée se déplie devant nous et vient se tendre, elle est bleue, mais une fois gonflée, elle ne nous cache pas du soleil.

• Adam a envoyé le spinnaker, vois comme le voilier a accéléré.

C’est beau cette voile au-dessus de nous, mais finissant sa phrase, ses lèvres sur les miennes sont aussi exceptionnelles.
Je me retrouve allongée, les lèvres qui me faisaient grand bien glissent jusqu’à ma poitrine, elle joue avec mes seins, quand je les compare à ceux de celle qui rapidement va devenir ma maîtresse en m’initiant aux plaisirs féminins, mes œufs, pour elle, sont remplacés par des poires.
Ils sont bien plus gros que des poires, surtout la pointe avec ses courbes dénivelées.
J’aurais envie de les manger, j’adore les poires surtout si elles sont bien juteuses, mais la tête de Véronique m’en empêche, sa chatte est disponible quand j’étire ma main, c’est à mon tour alors que sa langue joue avec mon sein droit que j’arrive à m’agripper à sa fente.
C’est bien ce que j’avais entrevu, son mont de Vénus est entièrement épilé au laser, normal, nous sommes des femmes avec des moyens malgré le prix élevé.
Elle est trempée, mais si je me passais les doigts sur la mienne, je dois être dans le même état.
D’un coup, le soleil m’est caché, elle vient de changer de position, elle m’a carrément enjambé et sa fente vient pardessus de ma tête, elle est à la limite de s’asseoir sur ma figue, quelques gouttes de son liquide intimes me tombent sur la bouche.
J’ouvre mes lèvres afin d’en récupérer le maximum, ma langue m’aidant trouvant mêle son clitoris qui semble aimer se retrouver à la fête.
J’ai du mal à décrire les sensations qui m’assaillent, je suis loin d’être une ignorante et je sais que deux femmes peuvent ressentir plus de plaisir entre elle qu’avec la verge d’un homme.
Mais là sur le pont de ce voilier, quand Gaspard m’a abandonné, j’étais loin de penser que quelques minutes plus tard, je me retrouverais dans cette situation bien plaisante.
Le bateau file, mon plaisir le suit, nos langues sont actives sur nos petites excroissances, je reçois de plus en plus de liquide odorant dans ma bouche en même temps qu’elle gémit tout en me léchant.
Nous effectuons un beau 69 féminin, elle me fait chavirer autant de plaisir que physiquement quand je me retrouve au-dessus du couple que nous formons.

• Puis-je me joindre à vous mes belles ?

Qui conduit le bateau, je lève la tête et j’ai à quelques centimètres de mes yeux une magnifique verge qui, lorsque je remonte jusqu’à la figure de l’homme qui la possède, ressemble bien à celui qui devrait le barrer.

• Ne craint rien ma chérie, Adam a mis le pilote automatique, ce bateau a participé à des courses aux larges et a traversé l’Atlantique dans une course en solitaire, certes, il est loin d’avoir gagné, mais il l’a fait, n’est crainte, il se conduit tout seul.

La verge d’Adam est bien agréable dans ma bouche, je la lèche jusqu’à la limite de l’explosion.
Dans le même temps, Véronique a commencé à faire entrer sa langue au plus loin et à mon tour, je jouis muselé par la verge.
Je retrouve la possibilité de respirer quand elle me quitte, le soleil m’est à nouveau caché quelques secondes quand je sens qu’elle entre dans ma chatte.
Moi qui parlais de tromper mon mari, c’est fait et avec un couple qui plus est, sans oublier mon amant pendant mon voyage de noces.
Cette queue qui me laboure m’apporte d’un coup un magnifique orgasme avant de sortir et que je sente la bouche de sa femme la récupérer pour avaler son sperme.
Ma langue est retournée à son travail et ma copine, elle aussi à du plaisir au point que je la sens frisonner malgré les rayons du soleil.

• Cho, veux-tu piloter le voilier, je vais te faire voir comment ça fonctionne, fais attention de ne pas tomber à l’eau en retournant à l’arrière.

Nous sommes à peine arrivées dans le baquet où se trouve la roue de directions quand la radio crache.

« J’appelle le voilier ‘Soleil levant’, m’entendez-vous ? »

• Ici ‘Soleil levant’, j’écoute.

« Il faut que vous rappeliez votre père à Paris, c’est urgent »

• Bien, reçu, nous changeons de cap et faisons retour vers la côte, dite lui que dès que j’ai du réseau, je l’appelle.

C’est comme cela qu’Adam fait faire demi-tour à notre voilier, il est vingt-deux heures quand il passe à l’avant pour s’isoler son portable captant le réseau, Véronique tient la barre d’une main de maîtres et c’est elle qui fait passer les passes du port avant qu’Adam la rejoigne et l’aide pour accoster.
À quelques encablures de la côte, nous nous sommes remis en tenue convenable, un taxi est là qui attend pour nous conduire à la villa où je vais retrouver Gaspard, espérant qu’il ira mieux.

• Mes amis, pas un mot à mon mari sur le plaisir que nous nous sommes donné sur l’avant du voilier.
• Tu sais, nous sommes libertins, si nous en avons l’occasion, serais-tu contre une petite partouze à quatre, voire plus, nous avons des amis qui aiment nous rejoindre lorsque nous les invitons.
• Je veux éviter de mettre le feu dans mon couple, nous verrons bien.

Arrivé à la villa, une chose étonnante se produit, une voiture de sport est garée à côté de celle de Véronique et Adam, il a ouvert le portail avec le code d’accès, il est plus de vingt-trois heures, qui peut être avec mon mari.

« Ciel ma femme. »

J’aurais pu écrire ces mots, quand nous entrons par la porte fenêtre ouverte de la salle et que j’avance vers la chambre où nos amis nous ont installés.
Ciel mon mari a une bite dans la bouche, alors qu’une autre qui lui taraude le cul, il est en sandwich entre deux gars qui doivent être des jumeaux.
Le trio se sépare et les deux gars récupèrent leurs jeans, filant sans demander leur reste.

• Cho, je vais t’expliquer.

Véronique me tient dans ses bras et Adam raccompagne les deux phoques, pour leur ouvrir le portail.

• Cho, je t’ai épousée pour cacher à mes parents mon homosexualité, mon père veut que j’aie une descendance, quand je t’ai vu chez tes parents à l’ambassade, j’ai vu qu’avec ta petite poitrine, tu ressemblais à un jeune garçon.
J’ai eu raison, avec du mal, j’ai assez bandé pour te dépuceler, mais c’est plus fort que moi, il ne me sera pas possible de te refaire l’amour, je vais être obligé de le dire à mes parents qui vont me déshériter.
• Pourquoi leur dire Gaspard, j’ai une bien meilleure idée, serais-tu capable de te masturber dans un petit pot, tiens mieux, nous ferons venir un garçon qui t’aidera, ton sperme récolté, je confirais Cho à un ami médecin qui pratiquera une P.M.A., vous aurez un ou des enfants suivant votre bon vouloir.
Ce médecin est un ami qui a fait ses études avec moi, comprenez qu’il me doit bien de bons moments de plaisir et c’est son métier comme médecin d’aider les couples, je serais la marraine de ce petit.
• De mon côté que devrais-je faire.
• À part ton sperme, tu pourras vivre ta vie comme tu l’entends avec tes copains, mais tu assumeras l’avenir matériel de Cho et de ton fils sans te poser de questions sur ce qu’elle fera avec nous.
Connaissant le caractère bouillonnant de Cho, tu porteras des cornes que tu assumeras et nous nous occuperons de ses soirées, si tu veux te joindre à nous, nous connaissons deux ou trois de nos amis qui aimeront te satisfaire si ce sont les bites que tu aimes.

C’est comme ça que ma vie en France a pris une autre tournure, Adam a envoyé un fax à son père lui donnant le papier nécessaire à réaliser une affaire juteuse, le lendemain matin retour sur le voilier après avoir passé la nuit dans les bras de mon couple d’amis.

En ce moment, nous faisons relâche au large de l’île de Ré, nous passons le début de soirée dans une boîte où nous avons rencontré trois mecs en goguette, nous sommes sur une plage, Véronique se fait prendre en double pénétration avec deux des gars pendant qu’Adam et le troisième en font de même pour moi, j’étais vierge du cul, mais Adam a eu le plaisir de remédier à ce problème.
Quand je pense à Gaspard, lorsque je l’ai quitté ce matin, il était au téléphone avec ses deux copains essayant de les faire revenir, je l’ai embrassé lui disant en passant que je le préviendrais rapidement à Paris quand il devra remplir son flacon de sperme.
À moi la belle vie, surtout de luxure.

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