COLLECTION COCU. Deux heures à tuer (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Deux heures à tuer (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Deux heures à tuer (2/2)
Alors que Clément mon mari me laisse dans un bar pour se rendre à un rendez-vous pendant deux heures, un homme au regard bleu acier m’impressionne, j’accepte de le suivre dans sa chambre d’hôtel voisine où il me fait divinement l’amour.
De retour au café, j’arrive juste avant son retour la chatte à l’air, ma petite culotte étant restée dans la chambre de mon amant.

Depuis plusieurs années Clément a oublié de nous souhaiter la Saint Valentin, mais ce soir comme par hasard il semble y avoir pensé.

• Viens, ma mie, j’ai réservé une table dans un restaurant voisin, on m’a dit que c’était la meilleure table de cette ville.

Nous sortons le froid de février me rappelant que je suis nue sous ma robe du moins ma chatte étant privé de protection après le cocufiage de mon mari pratiqué pendant deux heures cette après-midi de 5 à 7 dans une chambre d’hôtel voisin.
C’est dans le restaurant dans cet hôtel qu’il me conduit.
Hôtel restaurant du Centre accolé à l’église m’ayant sauvé de mon adultère quand elle m’a rappelé à la raison, car il était 19 heures et qu’il était temps de revenir au café où Clément risquait de m’attendre.

Sur terre, j’atterris inexorablement quand alors que nous sommes installées à notre table, dans le dos de Clément.
Il ne peut pas le voir, quand il s’installe pour dîner, mais je ne vois que lui.
Le jeune couple d’amoureux du café entre à son tour, mais va se placer à une table éloignée de nous, le repas se déroule le plus divinement possible bien que le regard de mon amant me fasse carrément ruisseler moi qui suis encore rempli de son sperme.

• Madame, avez-vous une chambre de libre, nous souhaiterions, ma femme et moi, terminer notre Saint Valentin sans attendre notre retour chez nous.
• Cela peut se faire, quand je vois, Madame, je comprends que vous soyez impatient.

Heureusement, cette après-midi, quand nous sommes entrés avec yeux d’acier, ce n’était pas elle qui tenait la réception, mais panique tout de même, il va voir que je suis sans culotte.
Quand la patronne revient avec la clef de la chambre 9, aidant à ma déchéance, je dois trouver une explication à mon problème, je me rends compte que ma tromperie va m’oblige à mentir.

• Tu es partante, je te veux tout de suite, retrouvons l’élan de nos premières années après notre rencontre.

Il se lève, retire ma chaise et c’est ma main dans sa main qu’il me conduit vers ce maudit ascenseur que j’ai emprunté avec mon amant pour venir le tromper.
Devant nous le jeune couple attend l’ouverture des portes, monte, ce plaçant au fond.
Nous les suivons la place étant suffisante, la porte va se refermer quand une main l’empêche.

• Excusez, je vois qu’il y a encore une place.

C’est celui que je me serais bien passé d’avoir dans mon dos qui vient de monter, rapidement l’exiguïté de la cabine fait que je sens le sexe de celui que j’appelle toujours Christian venir s’appuyer sur mes fesses.
Il bande, si nous avions été tous les trois dans cette cabine les jeunes étant absents, j’aurais demandé à Clément d’emmener mon amant dans notre chambre pour finir en trio faisant la tranche de jambon dans le sandwich, il m’a bien dit son envie de me sodomiser avant que je le quitte.
C’est au moment où cette pensée traverse mon esprit, que je sens que l’on me place quelque chose dans la main.
Au toucher, je comprends, c’est ma petite culotte que mon amant a dû trouver après mon départ, la cabine s’arrête, les portes s’ouvrent, l’homme descend, je me retourne et le suis, mais au moment de sortir, je laisse tomber la petite culotte pour éviter les questions embarrassantes.

Le jeune homme, au moment où je tourne la tête, aperçoit la culotte se baisse prestement et la ramasse, une fraction de seconde, j’ai peur qu’il ne me rappelle, mais nous les laissons passer et je vois qu’il la met dans sa poche sans me regarder, sauver, il l’a ramassée sans voir que c’était moi qu’il l’avait volontairement fait tomber.
Chambre 8, j’étais tellement tendue cette après-midi où le numéro de chambre où je me suis fait baiser divinement m’a échappé.
Au moment où je passe derrière mon amant insidieusement pour lui faire voir que j’étais toujours réceptive à ce qu’il m’a fait vivre, je lui glisse ma main d’une fesse à l’autre sans que quiconque voie mon geste, surtout Clément.
Les jeunes ont continué leur chemin et sont dans la 10, à part mon amant qui va être seul, pour moi et la petite cela va être la fête du slip, bien que le mien soit dans la poche de son mec.
Nous entrons dans notre chambre identique à celle qui m’a permis de devenir une femme adultère.

• Clément, je vais prendre une douche.
• Viens là ma douce, j’ai envie de t’embrasser, j’ai pensé à ce moment tout au long de mon rendez-vous alors que les clients d’un certain âge n’en finissaient pas de me rajouter des choses à faire, mais je veux fêter dignement la signature de ce contrat qui va me rapporter presque la moitié du chiffre d’affaires pour équilibrer l’entreprise cette année.

Il me prend dans ses bras m’embrassant comme il y a bien longtemps qu’il avait oublié de le faire, il me pousse vers le lit où je tombe sur le dos les jambes touchant le sol, il relève ma jupe lui montrant mon manque de culotte.

• C’est nouveau, tu sors la chatte à l’air.
• Au moment de partir, j’ai été obligée d’aller aux toilettes en urgence, je l’ai légèrement mouillée, je l’ai enlevée et mise dans la corbeille à linge sans prendre le temps d’en mettre une autre, tu étais pressé.

Beau mensonge qui marche, car il penche sa tête et avant que je n’aie eu le temps de dire quoique ce soir, sa langue entre dans mon vagin ruisselant, il relève la tête.

• Tu devrais en mettre moins souvent, ta chatte est odorante et remplie de ta liqueur, depuis que je te connais, c’est la première fois que je trouve autant de cyprine à me mettre sous la langue.

Et dire qu’il y a des hommes qui deviennent homos pour avaler du sperme, Clément, récupère un maximum des jets que Christian y a mis, je dois bien lui donner ce nom puisqu’il m’appelait Anastasia, l’héroïne du roman dont le nombre de pages lues est resté identique, trop pris par sa verge dans cette chambre 8.
Pour faire un travail le plus propre possible, il va même en plus de mon clito qu’il lave avec beaucoup d’appétit, lécher l’intérieur de mes cuisses où tout au long de la soirée mon trop-plein de foutre a coulé.
Il finit son travail, monte à ma hauteur se plaçant sur mon torse avant de me mettre sa dague dans la bouche qu’il a sortie de son pantalon pendant qu’il léchait le sperme et ma cyprine.
Contrairement à mon amant, comme je l’ai dit, il est moins conséquent et je l’avale en gorge profonde.

• Suce ma belle, il y a longtemps que nous avions oublié nos jeux, je suis devenu le mari que je t’avais promis de ne jamais être, ce doit être notre difficulté à avoir un enfant qui en est la cause, je cogite depuis quelques jours et j’ai trouvé cette journée de la Saint Valentin pour me rappeler à ton bon, souvenir.
• Cre, creux.
• Pardon, ma chérie, je t’étouffe.

Je crache, car en me parlant, il m’étouffait sans s’en rendre compte.

• Prends-moi mon amour, je veux sentir ta semence en moi, je suis sûr que cette nuit sera bénéfique pour nous, je me sens très féconde aujourd’hui.

Il faut être femme pour dire cela, moi qui nous démenons pour donner un bébé à notre couple, j’ai baisé avec notre voisin de chambre une partie de l’après-midi me rendant compte que j’ai reçu son sperme sans aucune précaution tellement sa proposition de passer deux heures de pur bonheur m’avais emballé.
Nous nous replaçons sur le lit, mais je veux, moi aussi, participer à nos retrouvailles, je me mets en chien de fusil et je le fais pénétrer en moi, moi aussi je retrouve nos élans des premiers jours et quand nous jouissons simultanément, j’oublie que je l’ai trompé.
Nous sommes à deux doigts de nous endormir quand j’entends crier dans la chambre 10 chez les jeunes amoureux, j’ai le temps d’entendre parler de petite culotte et je comprends que la jeune femme a dû tomber sur mon bout de chiffon et qu’elle est en colère.
Je retrouve mon amour, quand les jeunes amoureux vont gâcher le leur pour une bêtise de ma part.
J’irais bien les voir, mais ce serait avouer ma tromperie à Clément alors que l’harmonie est revenue dans notre couple.
Au matin, nous nous réveillons, nous nous embrassons de façon fusionnelle.

• Tu m’as fait le cadeau de ton amour pour cette fête des amoureux, je vais te faire le cadeau que je t’ai toujours refusé, sodomise-moi.

Il me caresse pour me préparer, je me place en levrette pensant que la pénétration serait plus douce, mais quand il entre, j’ai mal un instant, jusqu’au moment où ses dernières gouttes de spermes tapent au fond de mon rectum, faisant de moi une femme comblée.
Vers 9 heures, il doit retourner sur l’un de ses chantiers et nous sortons de l’hôtel ensemble après avoir pris nos petits déjeuners dans le salon de l’hôtel.
Dans la salle sont présents, mon amant qui joue le jeu en restant correct envers moi et le jeune homme seul.
Dès que Clément a tourné le coin de la rue au lieu de récupérer ma propre voiture, l’ayant rejointe avec la mienne hier, je retourne au salon de l’hôtel où le jeune est seul les mains sous son menton semblant réfléchir.

• Jeune homme, les murs de cet hôtel sont comme des feuilles de cigarettes, j’ai entendu que vous vous disputiez pour une histoire de petite culotte.
• Oui, je l’ai ramassé derrière vous dans l’ascenseur et comme un con, je l’ai mis dans ma poche, j’ai voulu prendre mon mouchoir et elle est tombée sur le lit sous les yeux de Mandarine, je n’ai trouvé aucune explication et elle est partie, je l’ai perdu.
• Où est-elle actuellement ?
• À cette heure, elle doit être à son salon de coiffure deux rue plus loin, j’irai bien la voir, mais j’ai peur de me faire jeter, le temps aplanira peut-être ma connerie, car je l’aime.
• Conduis-moi à son salon, je vais arranger les choses.

Je rentre et je reconnais la jeune femme, elle accepte de m’écouter et me conduit dans un petit salon.
Je lui explique mon après-midi parlant de mon mari et de mon amant, c’est elle qui va chercher ma culotte dans son sac dans son vestiaire, avant de sortir rejoindre son copain dont j’ignorerais le nom comme celui de Christian n’étant pas Christian.
Je les vois s’étreindre, nul doute que la nuit de la Saint Valentin va être décalée de 24 heures pour nos tourtereaux.


Épilogue :

Quelques semaines plus tard je suis chez ma gynécologue avec Clément.

• Madame, vous êtes enceinte, votre aménorrhée, si je calcule bien, serait proche de la mi-février, feriez-vous partis de ces couples qui retrouvent de la vigueur le jour de la Saint Valentin et cela aurait-il permis que vous démariiez une grossesse tant voulue depuis que je vous connais.
Voyez l'échographie, monsieur pour une réussite, c’est une réussite, ce sont des jumeaux, vous avez fait coup double.

Huit mois plus tard je mets au monde deux enfants, des faux jumeaux un garçon et une fille, le garçon bizarrement à des yeux bleu acier et ma fille les yeux verts de Clément, il a choisi les prénoms, Valentin et Valentine et je garde au plus profond de moi la folle après-midi, suivi de la folle nuit que j’ai passée dans cet hôtel m’apportant les deux joyaux de ma vie.
Depuis cette aventure, j’ai pris l’habitude d’aller me faire coiffer auprès de Mandarine, elle est enceinte, mais d’un garçon et pour que ma vie retrouve sa normalité, ma petite culotte a repris sa place dans le tiroir de ma commode.

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