La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1130)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1130) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1130)
Une nouvelle lopette au Château – (suite de l'épisode précédent N°1129) –
- N’hésitez pas à m’appeler, je viendrais toujours le plus vite possible …
Paul s’en alla très emballé, sur cette phrase enjouée et pleine d’envies !... Pour chiennasse la journée n’était pas terminée, le Noble décida qu’il devait faire connaissance avec une de Ses soumises. Il était important que les chiennes et les chiens se reniflent de temps en temps.

- Walter, dit Monsieur le Marquis, amène Chiennasse au Chenil, on va voir comment il se comporte avec Erika.

Erika était une chienne soumise qui venait régulièrement faire des stages au Château. Dans la vie vanille, elle occupait un poste important dans l’Administration ou elle faisait régner un climat d’enfer causé par son tempérament à tout vouloir diriger, le Châtelain avait eu avec elle, maille à partir pour une histoire de cadastre sur une de Ses propriétés forestières bordant sur une commune limitrophe au village. N’arrivant pas à obtenir gain de cause, il décida d’employer les grands moyens en l’invitant au Château. Monsieur Le Marquis repensa alors à ce moment où il fit plier cette femme dirigiste. C’était il y a trois ans, le Noble devait justifier la propriété d’une parcelle forestière qui était dans sa famille depuis très longtemps, il ne comprenait pas le courrier qu’il avait reçu, l’intimant de répondre sous quinze jours, la missive était signée par une certaine Erika Charvet, chef de service. Le courrier lui réclamait un acte notarié de 1898 justifiant de son titre de propriété, alors qu’il avait toujours payé le foncier relatif à cette parcelle. Bien entendu, le Noble trouvait que l’on se moquait de lui car l’Administration refusait toute copie, elle voulait l’original. Les précieuses archives ne devant pas quitter le Château, il eut l’idée d’inviter cette Erika au Château pour lui montrer l’acte original en question. C’est ainsi qu’un beau matin, cette Erika débarqua, et c’est avec une certaine morve qu’elle entra dans l’ancestrale Demeure voulant montrer au Châtelain qui décidait. Le Châtelain remarqua le ton hautain et suffisant de sa visiteuse. Habillée d’un tailleur et coiffé d’un chignon, méprisable et dédaigneuse, elle respirait la femme voulant se donner de l’importance surtout devant les hommes. Mais ici, elle n’était pas dans son service administratif, elle était chez Monsieur le Marquis d’Evans connu par les initiés comme étant un Maître de réputation mondiale.

Le Châtelain se souvint qu’à l’époque, et une fois les présentations de politesse faites, qu’Il lui proposa d’aller dans Sa Grande Bibliothèque où le document lui avait été préparé. Erika marchait d’un pas assuré en claquant les talons, ce qui amusait Monsieur le Marquis car il savait qu’il lui faudrait moins d’une heure pour la trouver nue et prosternée à Ses pieds. En effet, il en avait acquis la certitude grâce à sa profonde connaissance sur la psychologie humaine. Oui, il avait décelé en un clin d’œil, chez cette femme hautaine, une certaine frustration envers sa sexualité logiquement bridée par une enfance certainement trop stricte et ceci lui empêchait de vivre ses fantasmes de soumission. Fantasmes, que le Noble était persuadé qu’elle devait avoir bien ancré en elle à son regard affecté quand elle l’avait tantôt salué pour le bonjour de politesse. En effet, derrière ses grands airs hautains, elle n’avait pas pu s’empêcher de baiser les yeux quelques secondes devant le regard Dominateur du Châtelain qui l’avait fixé droit dans les yeux et intensément sans cligner pendant la poignée de main. Elle n’avait pas pu tenir son regard très longtemps avant de se ressaisir par une phrase bateau pour se sortir de la situation, phrase du genre :
- Je vous prie, Monsieur, de me monter le document en question, on ne fait pas attendre l’Administration.

A l’évidence, ce détail prenait tout son sens pour le Noble et sa longue expérience suffirait à la faire plier, c’était une certitude, une évidence pour Lui… En entrant dans la Bibliothèque, Erika constata que le Noble avait beaucoup de goût, la décoration luxueuse était superbe, mais elle était pressée et voulait rentrer dans le vif du sujet.

- Monsieur… je vous … dit-elle. (Et elle ne put terminer sa phrase coupée sèchement par le Noble).
- Madame, vous êtes chez Moi et donc respectez les usages, veuillez m’appeler Monsieur le Marquis d’Evans.

Erika venait d’être rabrouée, c’était la première fois qu’elle subissait un affront aussi rapidement. Surprise et déstabilisée par le regard toujours aussi intense, perçant et dominateur mais aussi par le ton empli d’autorité, de charisme du Châtelain, elle se reprit presque maladroitement.

- Heu … Excusez-moi, Monsieur le Marquis d’Evans, auriez-vous en votre possession l’original de l’acte de propriété réclamé.

Le Noble sourit, mais d’un sourire sans concession démontrant toute sa hauteur et son sens de la domination de la situation, il venait de marquer un point.

- Oui, bien entendu, mais pourquoi avez-vous refusé une copie ?
- C’est ainsi, c’est moi qui décide quel type de document je dois avoir, pour effectuer mon travail - Fort bien mais ici c’est moi qui décide, dit le Noble (qui savait qu’elle n’irait pas bien loin dans la joute verbale). Je décide, par exemple, quel type d’attitude auquel je dois attendre de la part de mes visiteurs, et pour vous, je vais vous montrer ce que j’en attends.

Erika fut surprise par cette réponse, qu’insinuait Le Châtelain. Elle se haussa sur ses talons pour se donner de l’importance. Mais sans le montrer (enfin c’est ce qu’elle croyait) qu’elle était également troublée qu’on lui tienne tête…
- Madame, vous arrivez chez moi et vous pensez que vous saurez me commander, vous n’êtes pas dans votre Administration, ici, dit le Noble.
- Mais pas du tout, je ne fais que mon travail.
- Alors faites-le avec moins de dédain et plus de considération pour le contribuable que je suis, dit le Châtelain. Si je le voulais, je pourrai même vous faire muter dans votre travail… Je sais que vous êtes au Service administratif de la Direction Générale des Impôts de Villefranche-sur-Saône. J’aurai pu déjà intervenir mais j’ai préféré vous avoir en face Moi, en personne et, de plus est, chez Moi pour vous expliquer la situation.
- Comment ça, me faire muter dans mon travail ?, répliqua Erika qui commençait véritablement à pâlir, à se décomposer devant le ton sec du Noble- Vous connaissez, Monsieur Fontenet, je suppose ?
- Oui bien entendu, c’est mon directeur du Centre des Impôts de de Villefranche-sur-Saône, mais je ne vois pas …- Voyez-vous, c’est aussi un très proche ami à Moi, et pour vous, il serait préférable que je ne l’appelle pas. Alors arrêtez de faire du zèle avec Moi, avec l’honnête citoyen que je suis et qui a toujours réglé ses impôts en temps et en heure et qui n’a absolument rien à se reprocher. Alors acceptez une copie de l’acte de propriété, ce sera beaucoup plus favorable pour votre situation …
Erika était, cette fois-ci vraiment déstabilisée, décontenancée. Ses jambes en tremblaient, elle qui se croyait intouchable, elle comprit de suite à qui elle avait à faire. Elle se sentait d’un seul coup, toute petite, sensation qu’elle n’avait pas ressentie depuis son enfance. Même ses mots devenaient hésitants, et c’est en balbutiant qu’elle trouva la force de capituler :
- Heu … je … je comprends … Heu … une co …copie fera donc l’affaire … oui … oui, bien entendu … Mais n’appelez pas mon directeur, s’il vous plait, je … je ne veux pas d’ennuis et … je … vous présente mes excuses…- Ici c’est à genoux qu’on me présente des excuses, jamais debout. Alors à genoux j’ai dit, répliqua le Seigneur d’une voix ne permettant pas la contestation.

Erika troublée comme jamais, recula, avait-elle bien entendu ?

- Comment ? Je ne vous permets pas… Je …
Etant déstabilisée, troublée, en disant cela, elle avait baissé les yeux presque naturellement comme pour se protéger du regard insistant et dominant du Châtelain. Le Noble avait même remarqué l’imperceptible attitude de la femme qui consistait à ne pas montrer son envie d’obéir en faisant mine de se rebeller. Alors Monsieur Le Marquis reprit d’une voix toute aussi persuasive :
- J’ai dit à genoux, salope ! Tu crois que je ne t’ai pas jugé dès le départ ? Tu fais partie de ces gens très insuffisants que je reconnais de suite au premier clin d’œil… Je te donne une minute pour te mettre agenouillée à mes pieds et gouter à ma verge… Alors choisit, soit tu prends cette copie, de l’acte de propriété que je t’ai préparé et tu décampes et dans ce cas, compte sur ma discrétion, je resterai magnanime, je n’appellerai pas ton directeur car je hais le chantage donc tu peux partir sans crainte pour ta carrière professionnelle, soit tu t’agenouilles, t’excuses tout de suite et tu me suces ensuite, salope !

Erika était une célibataire endurcie, Le Châtelain avait vu juste en évoquant quelque chose qui devait lui manquer, en effet elle n’avait pas vu de sexe d’homme depuis très longtemps, tant elle était exigeante et imbue d’elle-même. Mais le Noble représentait le type d’homme qu’elle cherchait sans même le savoir, classe et autorité, elle ressentait, elle réalisait qu’elle en avait vraiment besoin de se faire dominer. Jusqu’à ce moment, elle en n’avait même jamais eu conscience mais la situation fut pour elle comme une révélation... Elle était vaincue … Et c’est ainsi qu’elle se mit à genoux devant le Seigneur des Lieux et s’excusa d’une voix douce tout en sentant son bas-ventre réagir mais aussi un bien-être intérieur qu’elle se découvrait, comme si elle était à sa place, ce qui était d’ailleurs le cas. A partir de cet instant, sa vie en avait été changée…
Maintenant et donc depuis trois ans, elle venait régulièrement au Château, regagner sa niche ou elle se sentait si bien au bon soin du Maître. Erika ne fut pas surprise de voir au pied du Seigneur un jeune chien encagé, Monsieur le Marquis savait qu’Erika était soumise mais qu’elle aimait se défouler sur des chiens mâles et à ces moments là aussi elle devenait très vicieuse.

- Erika, je veux que tu t’occupes de Chiennasse, je veux savoir s’il ferait un bon mâle pour couvrir de temps en temps Mes soumises. Je te donne tout pouvoir sur ce chien.

Erika se leva et remercia le Maître, et questionna :
- Même le fouet, Maître ? ?
- Oui, mais d’abord, j’exige qu’il te prenne.
- Oui Maître, mais pourrais-je ensuite m’occuper de lui avec un gode ceinture ? demanda Erika.
- Oui Ma chienne, mais d’abord qu’il vienne en toi, je veux voir s’il bande correctement avec une femelle et s’il est capable de faire une saillie. (Le Seigneur donna les consignes) - Tout d’abord, tu vas lui enlever sa cage de chasteté, puis tu te mettras en levrette et on va voir si son instinct de mâle prend le dessus, si tu trouves sa prestation insatisfaisante, je t’ordonne de le fouetter par la suite…
Erika obéit et Chiennasse fut libéré de sa cage qu’il portait depuis deux jours. Sa molle verge était toute rabougrie. Erika en se mettant en levrette attendait que Chiennasse se comporte en mâle mais le chien soumis était comme anesthésié, sa nouille restait tout flasque. Monsieur Le Marquis voyant la scène s’exclama :
- Allons Chiennasse, un peu d’entrain, regarde le beau cul que je t’offre, choisi le vagin ou l’anus, aller, montre nous ?

Chiennasse se caressa la verge pour la réveiller, mais le Châtelain reprit :
- Non Chiennasse, pas avec les mains, un bon chien soumis comme toi pour aller à la saillie monte sur la croupe offerte, aller montre-moi
Patrick comprit l’ordre et il s’avança tel un chien et monta sur la croupe de la soumise Erika, enveloppant le dos de la soumise par sa poitrine incurvée. Il donnait des coups de reins pour essayer d’introduire son sexe dans le vagin mais comme le chien n’arrivait pas à bander, ces tentatives d’intromission étaient vouées à l’échec. C’était cela que voulait vérifier Monsieur le Marquis, ce chien soumis était bon à être enculé, ce serait donc le rôle qu’il allait lui être assigné. Le Châtelain savait qu’il ne pourrait donc pas compter sur Chiennasse pour saillir Ses femelles. A peine encagé depuis 48 heures et il ne bandait déjà plus, mains peut-être qu’il fallait le stimuler autrement !

- Chiennasse au pied ! dit Monsieur le Marquis, regarde ta petite nouille, elle fait peine à voir, tu vas venir me lécher les pieds, je veux voir ta langue de chien sur mes chaussures.

Erika savait que Chiennasse naturellement allait prendre la position de la levrette, elle savait que le Maître allait aimer la scène puisque Il lui avait autorisé à enculer le soumis. Alors rapidement, elle prit le gode ceinture et prestement, il fut attaché autour de son bassin, la verge factice faisait bien 20 centimètres de longueur, c’était vraiment un gros morceau dressé. Une fois bien positionnée, elle vint viser avec le gland, bien imité, l’anus de Chiennasse et en deux poussées le trou anal s’ouvrit comme un fruit défendu. Chiennasse tout occupé à lécher les chaussures du Maître se trouvait aussi en position bien inconfortable. Erika pistonna alors le chien soumis et le spectacle qu’elle offrait au Maître des Lieux était pour le moins puissant. Patrick léchait avec application le cuir et en même temps gémissait comme une pute en chaleur. Sa bite mouillait mais il ne bandait toujours pas. Au bout de 15 minutes, Chiennasse sentit un filet de sperme couler de sa verge, le gode appuyait sur sa prostate et ce fut la première fois de sa vie que Chiennasse éjacula sans jouissance… Monsieur Le Marquis fit un geste de la main pour faire comprendre à Erika que le mâle soumis était prêt pour le fouet, il venait de jouir sans permission et il convenait de le corriger. Erika se saisit alors du fouet, attendant le signal du Maître qui s’adressait au soumis par ces mots :.

- Chiennasse, puisque maintenant tu jouis tout seul sans autorisation alors que je t’avais offert le cul d’Erika pour copuler… Tu crois que je vais te laisser faire ? Et bien non, c’est une correction au fouet que tu vas recevoir, il y aura 10 coups, c’est le premier niveau de correction pour toi que je t’applique. Tu vas te lever, mains écartées en appui sur le mur, croupe bien cambrée ave les jambes bien écartées.

Chiennasse s’exécuta sachant bien que cette position allait déclencher le premier coup de fouet. Un‘’Schlaaak’ fusa dans les airs pour retomber sur le corps du soumis, en effet le premier coup atteignit Chiennasse sur le bas du dos, la peau se marqua instantanément, une fine ligne de 25 centimètres là ou avait frappé le cuir. Il en fut ainsi jusqu’à la fin, Chiennasse avait le dos boursouflé mais il en survivrait. C’est quand le Noble lui dit qu’il pouvait chercher sa récompense que la douleur s’estompa. Monsieur le Marquis attendait la bite à l’air, bien dressée et Chiennasse allait pouvoir faire une bonne fellation au Châtelain. Patrick fit quelques mètres à quatre pattes une fois face au Noble, sa langue délicatement s’empara du gland violacé. Ce n’est qu’après avoir joué avec le gland et les testicules, que sa bouche s’empara de toute la hampe longue et épaisse. Chiennasse pompait bruyamment, et voulait recueillir en sa bouche la divine semence. Le Maître savait à quel moment propice il devait lâcher son sperme, et c’est quand le chien soumis ouvrit grand la bouche que le premier jet parti, Monsieur le Marquis juta par de longues saccades dans la bouche du soumis. Le Noble ordonna à tout avaler, ce que fit le soumis, très honoré de pouvoir avalé la noble semence…
- Ah ! Salope, tu aimes ça, hein ? dit le Noble - Oui Maître.

Monsieur le Marquis essuya son gland sur le visage du soumis. Une bonne recrue, pensa-t-il, vive les aléas de la mécanique ! …
(A suivre …)

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