Le baiser de Tarentule 12H15

- Par l'auteur HDS Luc helce -
Récit érotique écrit par Luc helce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le baiser de Tarentule 12H15 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le baiser de Tarentule 12H15
Quinze minutes plus tard, je sonnais à sa porte. Elle m'attendait, comme d'habitude, elle avait pris soin de se préparer avant mon arrivée. Si il y a bien un truc que j'appréciai chez elle, c'est le soin qu'elle prend a toujours être sexy. Elle portait sa petite robe rouge,ultra-courte et moulante. Qu'est-ce qu'elle était bien gaulée encore pour son age ! Ses seins fermes et lourds, ses fesses dessinant ce bel ovale, ses jambes longues et musclées, son ventre plat. Sa robe épousait ses formes généreuses, les mettant en valeur comme autant de promesses de plaisirs à venir. Comme ça allait me changer les idées ! Bien sûr, à presque quarante ans, son visage avait perdu l'éclat de la jeunesse et parfois son air lubrique quand elle s'excitait pouvait vraiment passer pour une grimace, avec son maquillage provoquant et sa bouche trop grande. Mais bon sang, ce qu'elle suçait bien !

En attendant j'avais quand même du mal à me mettre en mode séduction. J'avais surtout envie de trouver un endroit qui me permettrait de mettre mes soucis entre parenthèse. Gaëlle compris que quelque chose ne tournait pas rond.
_ Ou-là ! Toi t'as pas passé une une bonne matinée !
_ C'est le moins qu'on puisse dire.
_ Tu veux qu'on en parle.
_ Pas vraiment. En fait là, j'ai un creux. T'avais pas dit que t'avais un truc a grignoter ?
_ Si, si, je t'ai attendu pour manger. Mais je te préviens j'ai la chatte qui me démange.
_ T'auras qu'as me sucer pendant le café ça suffira bien pour aujourd'hui.

Gaëlle prit son petit air pincé mais j'en avais rien a foutre. Je lui filerais un coup de bite une autre fois. Aujourd'hui, j'avais juste envie de lui éjaculer sur la face. Je me suis installé pendant qu'elle allait chercher le repas. Je m'affalait sur la chaise, attendant qu'elle revienne me servir en m'étirant. Putain, j'avais envie de pisser ! Il fallait que j'essaye de la convaincre de se laisser pisser dessus. Il fallait bien qu'elle paye pour les autres cette vieille garce. Mon sexe se tendit de désir alors qu'elle revenait avec les assiettes. Je me souviens qu'elle m'avait préparé des légumes avec une sauce. Elle s'était préparée une assiette d'asperges. On a bu un peu de vin. C'était bon. Je mangeais de bon appétit. Je lui ai demandé pourquoi elle avait fait deux plats différents. Elle m'a répondu avec un petit sourire vicieux : _ J'ai une grosse envie d'asperge. J'adore ça. Regarde !

Elle s'amusait à les sucer, les lécher tout en me regardant droit dans les yeux. Quelle garce ! Je bandait de plus belle. Je ricanai intérieurement. J'allais lui en donner moi de l'asperge ! Elle ne savait pas ce qui l'attendait cette idiote. Il me tardait de voir sa gueule quand j'allais me soulager sur sa face. J'allais le lui effacer de la figure son petit air provocateur. Mon sexe se durci encore et je me laissais aller à sourire. Je commençais à me sentir vraiment bien. J'éprouvais un espèce de soulagement très agréable. Finalement tout allait bien finir. Pour commencer j'allais assouvir mon nouveau fantasme sur cette idiote puis je m'occuperait de Sylvie, et enfin de Patricia. Elles allaient voir ces salopes qui c'était le patron. J’eus envie de rire. Le sourire de Gaëlle s'élargit encore. N'y tenant plus j'éclatai de rire. Elle m'accompagna dans mon fou rire tout en disant : _ Ça va mieux on dirait.
_ Ouais. Carrément !
_ Tu bandes ?
_ Ouais, je crois bien ! M'exclamais-je en riant.

La vache ! Qu'est-ce que je me sentais bien ! Gaëlle me dit : _ Tu veux une bonne pipe ?
_ Ouais...
_ Au fait tant que j'y pense. Il faudrait que tu me signe un papier avant.
_ C'est quoi ? Dis-je d'un air distrait _ Mon nouveau bail. Le dernier à expiré.
_ Ah... bon... C'est pour ça que t'est aussi gentille aujourd'hui.
_ On peut rien te cacher.

Je me sentais tellement bien ! Le vin m'avait plongé dans une douce torpeur. J'en avais rien à foutre de son papier. Je fermais les yeux et me laissait aller en arrière. Lorsque je les rouvris, les assiettes étaient poussées et la table encombrée de papiers. Gaëlle disait : _...paperasse... administration... juste a signer... rien d'important... après je te sucerais comme jamais.
Ces dernières paroles m'ont tiré de ma torpeur. J'avais un stylo dans la main et je ne savais pas comme il avait atterri là. Gaëlle guidait ma main vers les endroits où je devais signer. Je l'entendait vaguement parler de doubles exemplaires, d'avenants. J'ai signé tout ce qu'elle m'a présenté. En temps normal, j'aurais dû tout lire ou confier ça à mon avocate mais j'étais tellement bien ! Je me sentais si confiant, si calme, si détaché de ces petits papiers insignifiant. La situation m'amusait sans que je ne puisse me l'expliquer. Au bout d'un moment Gaëlle a tout rassemblé et est allée ranger les papiers. Elle est revenue s'asseoir en face de moi avec son petit air de connasse-salope. Elle avait l'air de se prendre pour la reine du monde. Si sûre d'elle, alors que ce n'étais qu'une pauvre garce idiote. Elle me fixait avec cet air... J'ai fini par éclater de rire. Je ne pouvait pas m'empêcher de me foutre de sa gueule. Non mais pour qui elle se prenait cette conne ? Sans prévenir elle m'a lancé : _ Alors, il paraît que tu te tape ta secrétaire ?

J'ai ri de plus belle. C'était donc ça ! Elle faisait une crise de jalousie. Elle a enchaînée : _ Elle est jolie au moins ?
_ Si tu savais ! C'est une vrai salope celle-là ! Ais-je répondu en ricanant.
_ Elle te fais quoi ? Vous baisez ou bien elle te suce juste.
_ Elle me pisse dessus ! Me suis-je entendu dire toujours en riant.

Ça me faisait rire ! Je la trouvait tellement conne ! Avec sa petite jalousie à deux balles. De simplement lui dire la vérité et de voir sa tête. Elle était transfigurée, son visage exprimait la surprise la plus totale. Son énorme bouche grande ouverte dans un sourire stupide. Puis elle à éclaté de rire. J'ai ri de bon cœur avec elle. Je trouvait la situation désopilante. Sans prévenir,elle m'a envoyé une gifle et ma tête à valsé sur le coté. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai pratiquement rien ressentit, comme si ma tête était protégée par une épaisse couche de coton. J'appréciai beaucoup ça, qu'elle ne puisse pas m'atteindre. Je m'exclamai, amusé : _ Ho, ho ! On dirait qu'elle est pas contente !

Mais elle souriait comme une démente.
_ Putain elle te l'a fait. ! J'aurais bien aimé voir ça. Je trouve ça vraiment excitant ! Ça m'amuse beaucoup de t'imaginer servir de cabinet. T'as envie que je te le fasse moi aussi ?
_ Toi ! Me suis-je exclamé avant d'éclater de rire.

Elle c'est enfoncée dans le fauteuil en sirotant son verre de vin. Elle a semblé se détendre et à poursuivi ses questions : _ Dis-moi la vérité maintenant. Est-ce que tu compte quitter ta femme pour moi ?
_ Ma femme.... Tu sais qu'elle me pisse dessus elle aussi! J'ai dit en riant de plus belle.
_ Elle aussi ! M'a-t-elle dit en manquant de s’étouffer de rire.
_ Oui ! Me suis-je exclamé sans pouvoir contrôler mon rire.

Gaëlle avait vraiment l'air de s'amuser maintenant. La situation était complètement surréaliste. Elle a enchaînée l'air de rien.
_ T'as jamais réellement envisager de quitter ta femme pour moi ?
_ Toi, t'est la plus bonne ! Je te jure ! C'est avec toi que je préfère baiser. T'est mon meilleur coup mais tu ressemble vraiment trop à une pute. Tu me voit avec une fille comme toi ?

Elle m'a retourné une seconde gifle.
_ Et si je te pissais dessus moi aussi ?
_ Toi ! Non....
_ Si si ! J'en ai très envie tu sais. Je crois que c'est le truc qui me donnerais le plus de plaisir au monde.
_ Non pas toi salope ! Toi tu fait tout ce que je te dis. Les autres elle m'ont eu par surprise mais toi ! Non! C'est moi qui vais te pisser à la gueule ! Je suis venu exprès tu sais. Je suis sûr que tu va adorer. Et puis t'est trop amoureuse.
_ Amoureuse ! Non, je crois pas non ! Besoin de toi, oui, sûrement mais la dépendance affective ça se soigne ! J'ai trouvé de l'aide et maintenant j'ai ouvert les yeux sur ce que tu est réellement. Un petit salop avec beaucoup d'argent. Un petit monsieur qui se prend pour un grand séducteur. Mais franchement, regarde toi dans une glace. Sans ton pognon t'as rien d'attrayant. Depuis le début de notre relation, je me sers de toi. Quand j'ai su que t'avais des apparts et que t'étais pleins aux as, j'ai décidé de te séduire pour profiter de toi. Tu te prend pour qui ? Pauvre idiot. Tu crois venir chez moi dans MA maison et me pisser dessus ? Mais c'est toi qui va te faire pisser dessus parce que c'est tout ce que tu mérite. C'est tout ce que j'ai envie de te faire aujourd'hui. Comme elles ont dû prendre leur pied ta femme et l'autre ! C'est à mon tour maintenant.

J'aurais dû m'énerver, mais je continuais à prendre les choses avec calme et amusement. Je n'arrivait pas a croire une seule seconde qu'elle arriverait à ses fins. Hors de question de subir ça à nouveau. Je répondit d'une voix pâteuse.
_ J'en ai rien a foutre de toi. T'en veux plus de mon fric ? Je te fous dehors.
_ Ah ouais ? Avec les papiers que tu viens de signer ? Pour ton information, imbécile,tu viens de me faire une promesse de don pour l'appart, de signer une demande de divorce, une reconnaissance de dette et en prime je t'ai fait signer un contrat d'esclavage. Alors si il y en a un qui peux foutre l'autre dehors c'est bien moi. Allez casse-toi ! Dit-elle en me désignant la porte, comme pour me mettre au défit.
_ T'est sûre ? Parce qu'après faudra pas venir me courir après.
_ Dégage !

Je tentai de me lever mais je fus pris de vertiges. Je me rassis lourdement sur le fauteuil. Bizarrement, ça aussi ça m'amusait. Je me disait qu'elle ne pouvait pas me jeter dehors. Je me détendit dans le fauteuil, lui faisant, fasse en disant : _ J'ai pas envie.
_ T'as pas envie ou t'y arrive pas ?
_ J'y arrive pas.
_ C'est bien ! Encore une question : Ça te plaît de te faire pisser dessus.
_ Non ! Heu... un peu en fait.

Son sourire s'élargit de plus belle.
_ Un peu hein ? Tu va voir avec moi ça va être encore mieux. Tu va y prendre goût. Et tu croyais me le faire ?
_ Oui. Je suis venu exprès pour ça. Tu vois... Pour te faire ce qu'elles m'ont fait les autres.
_ Oh oui ! Une sale petite vengeance mesquine ! Oh Victor ! Comme tu est laid ! Comment tu a mérité de te faire pisser à la gueule ! Je suis sûre que je vais prendre un pied terrible à me soulager sur ta gueule. Aussi sûre que tu aurais adorer me le faire hein ?
_ Putain mais qu'est-ce que vous avez toutes ?
_ Il faut croire que tu est fait pour ça !

Je ne trouvait rien a répondre. Peut-être qu'il y avait du vrai dans ses paroles. elle me regardait en souriant, vidant son verre de vin et se remplissant un verre d'eau. Moi j'étais de moins en moins euphorique. Par contre je me sentais toujours très calme, très zen. J'ai dit : _ Mais qu'est-ce que j'ai ? Pourquoi je suis tout mou ?
_ Soumission chimique. On m'a donné la recette d'un petit cocktail de médicaments : perte de la volonté, euphorie, sensation de bien être, excitation sexuelle, forte diminution du tonus musculaire, accessoirement ça fait aussi sérum de vérité. L’excitation et l'euphorie vont commencer à diminuer, par contre t'en a encore pour une paire d'heure avant de pouvoir te lever.
_ Tu m'a drogué. Dis-je d'une voix très calme.
_ Oui pauvre idiot. Je t'ai tendu un piège et tu est tombé dedans. Je t'ai dépouillé et maintenant je vais aussi te pisser à la gueule. Pourquoi tu crois que j'ai mangé toutes ces asperges ?
_ Ben... Pour faire ta salope... Pour m'exciter.
_ Quel con ! L'asperge est un puissant diurétique.
_ Quoi ?
_ Ça nettoie les reins, abruti. Ça fait pisser ! T'as jamais senti l'odeur de la pisse quand on mange des asperges ?
_ Ah oui...
_ Et oui gros con ! Ça pu ! C'est une infection ! Et moi je vais t'en foutre plein la gueule !

Je sentait que je m'éloignais, que mon esprit répondait de moins en moins bien. Mes yeux commençaient à se fermer tout seuls. Gaëlle claqua des doigts devant mon visage.
_ T'endors pas ! Lève toi allez !

Elle me passa le bras sous l'épaule et m'aida à me lever. Je titubais mais je continuai à me sentir bien, complètement détaché. J'ai dit : _ On fait quoi ?
_ Je vais t'installer dans la baignoire.
_ Ah oui! Tu va me pisser dessus, c'est ça ?
_ Oui c'est ça abruti.
_ Mais moi alors je pourrais te faire pipi dessus alors ?
_ Oui, bien sûr.
_ Super... Tu sais je suis venu exprès.
_ Oui, je sais, je sais...

Je me laissait guider dans la salle de bain. Puis Gaëlle m’aidât à me déshabiller. Elle me fit rentrer puis m'allonger dans la baignoire. Je me sentais de plus en plus faible. J'ai dit d'une voix geignarde : _ J'ai envie de faire pipi.
_ Vas-y ! Te gêne pas !
_ Je peux le faire sur toi ?
_ Oui bien sûr ! Attend, je vais t'aider.

Elle a saisi mon sexe qui était devenu tout mou et ridiculement petit. Elle était penchée au dessus. Elle s'est mise à le secouer : _ Alors qu'est-ce que tu attend ?

Au bout de quelques secondes, ma vessie a finie par se relâcher. Le jet a fusé à quelques centimètres de hauteur avant de me retomber sur le torse. Gaëlle ordonna : _ Plus fort !

Son visage était tout proche de mon sexe. J'aurais voulu qu'elle se penche davantage pour pouvoir la souiller. Je forçait mon jet pour tenter de la toucher mais, elle évitait soigneusement de se retrouver sur la trajectoire de mon urine. Au contraire, tenant mon sexe, elle dirigeait le jet vers ma figure. Je voyait bien ce qu'elle me faisait faire mais j'étais incapable de lui désobéir. Elle m'encourageait : _ Allez ! Allez ! Plus fort ! Montre moi comment tu pisse loin.
Je forçait le plus possible et, je me retrouvait le visage souillé par ma « propre » urine. Elle éclata de rire. Moi, je continuait à subir les événements avec beaucoup de détachement, comme si ça n'avait aucune importance. J'avais l'impression d'être comme un bébé, sans force, incapable de la moindre volonté. La pisse ruisselait sur mon visage. Puis au fur et à mesure que la pression diminuait dans ma vessie, je me pissais sur le ventre. Je savais que cette situation aurais du me faire horreur mais je continuait à me sentir bien même si ça me piquait les yeux et que l'odeur me faisait penser à de la pisse de chien. Le jet a fini par se tarir. Gaëlle m'a lancé, moqueuse : _ Alors ça va mieux ?
_ Oui.
_ T'avais une grosse envie on dirait ?
_ Oui mais... je voulais te pisser dessus.
_ Ah oui ? C'est vraiment trop bête ! Ricana-t-elle. Pauvre chou. Il fallait mieux viser. Allez ! A mon tour maintenant. Tu te souviens ?
_ De quoi ?
_ Je vais te pisser à la gueule.
_ Ah oui... Pourquoi ?
_ Parce que c'est ça que tu mérite. Parce que c'est ça que tu aimes et parce que c'est ce qui va me donner du plaisir. Tu veux me faire plaisir !
_ Oui Gaëlle.
_ Allez ouvre la bouche !

Je sentis ma bouche s'ouvrir d'elle même alors que Gaëlle grimpait sur la baignoire pour venir s'accroupir au dessus de mon visage. Elle avait relevé sa robe et ne portait pas de culotte. J'observai son sexe entièrement épilé. J'étais fasciné par cette grande vulve, par ses doigts agiles qui venaient écarter ses lèvres, offrant à ma vue cet orifice béant. De son majeur, elle caressa quelques instants son clitoris en ronronnant de plaisir quand soudain, un puissant jet d'urine jaillit de son sexe et m'éclaboussa le visage. Gaëlle cria : _ Ah oui ! Putain !

La giclée que j'avais reçu m'avait légèrement sorti de ma torpeur. J'ai dit : _ Je veux pas.
_ Ah ouais ?

Elle m'envoya une nouvelle giclée en ordonnant : _ Ouvre la bouche connard !

J'ouvrais la bouche, incapable de résister à sa volonté, me disant simplement que c'était bizarre de sentir mon corps qui obéissait à quelqu'un d'autre. Gaëlle s'amusait à m'envoyer de longues giclées de pisse, visant ma bouche. Entre deux elle se branlait frénétiquement en poussant des petits cris où se mêlaient plaisir et cruauté. Comme prévu, l'odeur et le goût étaient abjects. De plus, je manquait de m'étouffer et me mis a tousser en détournant mon visage pour le plus grand plaisir de Gaëlle qui riait de plus belle. Elle ordonna : _ Regarde moi !

Je tournai mon regard vers elle. Je sentais la pisse qui refroidissait rapidement sur mon visage et dans mon cou mais je continuais à me sentir bien, comme dans un cocon. J'avais envie de fermer les yeux et de me laisser glisser dans le sommeil. Elle ricanait en m'observant et continuait de se caresser. Elle me fit : _ Nettoie moi la chatte !

Je levait la main vers son entrejambe mais elle m'interrompit : _ Avec la langue abruti !

Je soulevait ma tête avec difficulté, elle était tellement lourde ! Gaëlle s'accroupit davantage et je sentis sa grande main me saisir l'arrière du crâne pour venir écraser mon visage entre ses jambes. Sa vulve était trempée. Elle ordonna à nouveau : _ Allez lèche connard !

Ma langue fit son office. Elle me guidait, sa main enserrant ma tête, frottant ma figure contre sa chatte. Son bassin ondulait en cadence. Elle recommença a pousser des petits cris de plaisirs en se foutant de ma gueule : _ C'est une vrai salope ça ! C'est qu'elle fait ça bien ! Vas-y suce ! Allez applique toi sinon je te pisse encore à la gueule ! Putain comment c'est bon de te traiter comme ça ! C'est meilleur que tout ce que j'ai pu faire de toute ma vie. Maintenant ça sera comme ça à chaque fois. Vas-y suce moi le clito. Bonne chienne ! Allez lèche... Mieux que ça.... hummm ! Putain comment j'ai pu me passer de ça toutes ces années ! Ah c'est trop bon putain ! Allez suce ! Fais moi jouir salope !

Ma langue allait et venait contre sa chatte et de temps en temps, j'aspirais son clitoris entre mes lèvres. Je senti sa prise se raffermir et son bassin se plaquer contre ma bouche et soudain alors qu'elle poussait un grand cri de plaisir, ma bouche se retrouva remplie de pisse. Elle criait : _ Avale ! Avale tout ! Allez !

Malgré moi, je m'exécutait. Je sentais ce liquide chaud, au goût très prononcé me descendre dans la gorge. Je n'éprouvait ni honte, ni dégoût. Je m'étonnais juste de la facilité avec laquelle je faisait un truc aussi répugnant. Sa vessie se vidait et mon estomac se remplissait. Nous restâmes ainsi de longues secondes, jusqu'à ce qu'elle expulse la dernière giclée d'urine dans ma bouche. Alors elle relâcha son étreinte et ma tête partit en arrière. Je me cognait au fond de la baignoire alors que Gaëlle se redressait de toute sa hauteur. Elle s'écria : _ Ah la vache ! Ça fait du bien ! Ça va toi ?
_ Je sais pas trop.
_ T'est encore dans le gaz ! D'après ce qu'on m'a dit t'en a encore pour deux heures. T'as qu'a rester là. Je viendrais te réveiller tout à l'heure.
_ D'accord.

Gaëlle descendit de la baignoire et se pencha au dessus de moi : _ Dors bien cabinet ! Fait de beaux rêves...

Et, sur un éclat de rire elle quitta la pièce me laissant seul dans le noir. Moi, j'étais habité par un profond sentiment de paix. J'avais du mal a fixer mes idées. Je me laissait porter dans ma torpeur. Je savais que j'étais sous l'emprise de la drogue mais qu'est-ce que j'étais bien ! Je me foutait de ce qu'elle m'avait fait. Qu'est-ce que c'était au fond ? Un petit fantasme pervers. J'étais tellement loin que ça ne pouvait pas m'atteindre, d'ailleurs rien ne pouvait m'atteindre. Avant de sombrer dans de douces ténèbres, je remerciait Gaëlle de m'avoir permis de me sentir aussi bien.

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Texte coquin : Le baiser de Tarentule 12H15
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