COLLECTION BLACK. La queue noire. (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. La queue noire. (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. La queue noire. (2/3)
• Fait bon voyage Robert, téléphone dès que tu arrives, tu sais que j’ai peur avec ces attentats.

C’est par ces mots que j’ai quitté mon médecin de mari parti pour Marseille à un congrès démontrant que rhume ne veut pas dire antibiotiques.
Ne trouvant pas de taxi, je prends le métro comme je le faisais dans ma jeunesse avant de devenir une bourgeoise, moi la fille d’un mécanicien de Gentilly.
Dans le métro, je sens, une verge semblant assez imposante dans mon dos, regardant dans la glace de la porte, je vois un grand noir qui me quitte me laissant circonspecte.
Arrivée Place Pigalle, je vais prendre un rafraîchissement dans un bar, c’est la journée des noirs, il y en a un qui m’interpelle, j’ai des ennuis de santé, j’ai des moments où ma langue va plus vite que ma pensée, je lui demande s’il est vrai que les noirs ont un grand et gros sexe.

C’est incroyable, lui ayant donné trop de renseignements, il vient me retrouver à l’hôpital et me propose de me raccompagner vers Pigalle, quartier où mon mari a son cabinet.
Je remonte Paris sur sa Vespa vers mon domicile où mon mari est absent encore pour deux jours, mes bras autour de sa taille, mes mains sentant bien qu’à ma question, sur la longueur de sexe noir, il faut répondre « oui. »

• Où t’arrêtes-tu, j’ignore même ton nom alors que tu connais le mien !
• Nous sommes au bas de mon immeuble, pour monter au troisième, il suffit de passer la porte à droite de ce café, il est vrai que je suis impoli, mon père me mettrait une torgnole s’il savait que je t’ai emmené sur mon engin sans te dire mon nom, Amadou.
• Amadou quoi !
• Amadou c’est mon nom comme toi, c’est Odile, excuse, il faut le retenir, je n’ai pas de gourmette en or comme toi, pour me le rappeler en cas d’amnésie.
• Tu te moques, pourquoi m’as-tu arrêté au bas de chez toi, tu espères que je vais monter boire un dernier verre après que j’ai senti la grosseur de ta verge !
• Encore perdue fifille, toujours l’esprit mal placé, si je t’avais demandé où tu habites, tu m’aurais éconduit, pourtant on a relativement le même âge.

Il me donne ma date de naissance.

• Es-tu devin ?
• Encore piégé, esprit d’observation, as-tu sur toi ta date de naissance.
• Sur ma gourmette.
• Quand tu t’accrochais à mon sexe, elle était retournée et j’ai vu que tu étais du 12 février, moi du 13, jour de chance dans mon pays.
• D’où es-tu ?
• Sénégal, je suis venu en France à l’âge de trois ans, justement un 13, mais juin.
Alors, tu montes boire ce dernier verre ou tasse de café.
• Tu sais être persuasif.

Trois étages par un petit escalier, il ouvre sa porte, il est galant, il est passé devant moi, évitant ainsi de me mater les fesses.
Robert, quand nous montons dans notre logement au-dessus de son cabinet un peu plus haut vers la place, vient toujours derrières moi, mais c’est pour me mettre la main sous la jupe et me caresser la chatte.
Il nous est arrivé plusieurs fois qu’il me baise dans le vestibule dès la porte franchie, il me plaque contre le mur, et me pénètre en se glissant dans mon vagin passant par-derrière.
Pas d’ambiguïté, par-derrière dans la position et non dans mon derrière, la sodomie très peu pour moi, Robert a essayé une fois dans notre lit, quand j’étais en levrette, la gueule que je lui ai fait pendant huit jours, l’a dissuadé de recommencer.

Quand il me fait entrer dans un vestibule à peu près identique au nôtre, je suis sûr qu’il serait capable avec ses bras de costaux de me soulever comme une plume et me faire retomber sur sa verge pour que je m’empale.
Je fantasme, je lui ai promis fidélité, mais quand je suis assise sur son canapé dans sa salle à manger, mon regard à bonne hauteur cherche à voir si la bosse que j’ai touchée en venant jusqu’ici est toujours là.
Il tourne autour de moi me préparant un café, voit-il mon regard chaque fois que mes yeux peuvent accrocher sa braguette, je le pense quand il me dit.

• Elle semble t’obnubiler, veux-tu la voir.
• Je savais que j’avais affaire à un pervers, tu fais monter les femmes chez toi pour mieux les appâter avec un café.
• Préfères-tu un thé ?
• Pourquoi !
• Tu n’auras peut-être pas l’impression que je veux t’appâter en te faisant du thé, tu te souviens hier au café, je t’ai demandé si tu avais du feu.
• Pour le thé, c’est non, je préfère le café.
• Cela tombe bien, je n’ai pas de thé à te proposer.

Je comprends, il aime faire de l’humour, j’espère que cet aparté m’évitera de répondre à sa question.

• Réponds, tu veux la voir, arrête d’hésiter, tu en meurs d’envie.

Joignant le geste à la parole, les autres fois, ce sont ses grosses lèvres que j’avais près de moi, maintenant c’est une chose incroyable 35 à 40 centimètres et en tour de taille, sa circonférence est difficile à estimer, 8 à 10 de diamètre, je sais qu’il y a une histoire de Pi 314116 ou 3,14116, doit-on prendre le diamètre ou le rayon.
Bref, elle est impressionnante.

• Prends-la en main, elle ne va pas te mordre, elle va simplement se tendre et tu la verras dans toute sa splendeur, tu auras définitivement la réponse.

C’est avec ma main et avec ma bouche où elle n’arrive pas à entrer, que je le masturbe dans un état second.
Contrairement à mon dépucelage, mon premier pas faisant de moi une femme adultérine, je suis dans un simple brouillard, mais mes neurones sont bien en place et je ne risque pas la gueule de bois.
Je le lèche, je donne de petits coups de succion à la pointe de son gland avant qu’il me redresse, me tenant dans ses bras comme je le pensais dans le vestibule, mais au lieu de me faire tomber sur ce cierge que je voudrais déjà en moi, il me conduit vers le lieu de ma déboche, son lit.

Enfin, ses grosses lèvres sont sur mes petites lèvres, vous avez l’esprit mal placé, les petites lèvres de ma bouche, pas de ma chatte.
Il me pose délicatement sur le lit et me soulevant la jupe, ses lèvres quittent ma bouche pour venir se poser sur ma petite culotte, je voudrais réagir, mais je suis dans l’impossibilité de raisonner.
Entre parenthèses pendant que j’ai encore un peu de lucidité, commencer à baiser avec cet homme noir, est-ce bien raisonnable, alors que Robert rentre demain, mais ce que je subis est si bon, cela, vos biens un petit coup de canif dans notre contrat de mariage.
Robert, qui me dit que, lorsqu’il quitte ses parents retournant à Sanary-sur-mer après avoir passé la soirée ensemble, ne rejoint-il pas une belle blonde pour la baiser comme je sens que je vais l’être par la verge d’Amadou.

Avec ses dents, il m’arrache mon string, en cela son raisonnement était juste, j’aurais bien mis des sous-vêtements plus discrets, mais je n’en ai pas, n’ai-je pas appris le luxe dans ma boutique des Champs où ces belles dames m'ont appris à les envier.
Robert gagne très bien notre vie et j’aime les strings, la ficelle entre mes fesses me fait mouiller et les dents de mon amant sont assez fortes pour me l’arracher.
Une fraction de seconde au moment où elle lâche, je me vois tout à l’heure remontant la rue, ma chatte à l’air sous ma jupe et si j’y prenais goût.
À l’air, elle l’est, mon string ultime rempart me protégeant du dernier moment où je vais basculer dans un monde qu’avec la meilleure volonté du monde, je ne l’aurais jamais envisagé en conduisant Robert hier à la gare de Lyon.
À l’air pas pour longtemps, car ses grosses lèvres viennent la recouvrir avec en prime sa langue sur mon clitoris toujours si sensible.
Robert, le presque cocu qui me dit toujours que je suis clitoridienne, j’ignore si cela est vrai, je le crois, c’est lui qui a fait des études, c’est lui qui est médecin alors que je ne suis qu’une petite vendeuse de parfums, fusse sur les Champs-Élysées.

La vitesse, à laquelle il réagit m’envoyant des décharges partout dans le corps, doit lui donner raison, mais quand il juge que je suis cuite à point, il se relève apporte sa dague à cet endroit et chose extraordinaire, il entre en moi s’encastrant impeccablement.
Juste une petite douleur très fugace avant que je ressente le grand frisson, la petite mort, la jouissance extrême, les cris de bêtes que doivent pousser toutes les femelles satisfaites comme je le suis par leur mâle.
Leur mâle, je sens intérieurement que sous la poussée de ce sexe disproportionné une fracture se fait en moi, si je le peux, il y aura les moments avec mon mari certainement le soir après la fermeture de son cabinet et les moments où mon amant pourra se libérer pour recommencer, à me baiser.
Je sens que je vais m’installer dans l’adultère.
D’un côté, les sentiments et les petits coups gentils m’apportant du plaisir, de l’autre la baise animale, lui Tarzan moi Jane.
Je sais que je vais devoir prendre des risques, mais nous n’avons rien sans rien dans la vie.
Je suis ravagé par le plaisir jusqu’au moment où il me remplit le vagin dans un flot de sperme qui me comble définitivement.
Il me prend dans ses bras, je pourrais me voir filmée par une caméra ou dans une glace, je dois être une petite plume au sein de ses bras et de son grand corps athlétique.
Ce qu’il y a de bien, c’est qu’avec lui, à peine terminé qu’au simple frottement de sa verge sur mon cul, il rebande, me met en levrette, me repénètre avec la même jouissance, me labourant à me faire hurler de plaisir et me remplit de son sperme de nouveau.
Quand je le suçais et que je le caressais, j’avais bien remarqué la grosseur de ses boules, mais il est incroyable qu’elles soient remplies d’autant de spermatozoïde bien caché au sein du sperme qui me remplit une deuxième fois.

Sachant que ma moitié n’est pas chez nous, je le quitte, lui laissant comme une prise de guerre mon string, je me suis essuyée, mais au fure et à mesure que j’avance, je sens le liquide visqueux couler de ma chatte vers mes jambes, j’évite de me retourner de peur que l’on puisse me suivre à la trace.
Étant seule pour une ultime soirée, je prends ma douche, me lavant de ce que j’ai fait deux heures avant de retourner à la gare de Lyon.
Ne prenant aucun risque, je prends un taxi.

Est-ce volontaire ou voulant simplement ne pas voir la réalité en face, en fin de matinée, j’ai pris mon portable faisant le 06 donné par mon amant pour savoir si je pouvais venir, avant le retour de Robert.
J’avais calculé que j’aurais, le temps de franchir la petite porte près du café, gravi les étages en courant m’en faire mettre un petit coup et prendre le chemin pour retrouver mon mari.
Hélas, il était sur un chantier à Barbès, les pieds dans du ciment, pardon ses bottes dans du ciment sur une terrasse dans l’impossibilité de me rejoindre.

C’est sans appel, j’ai définitivement franchi le pas, Robert va devenir un cocu heureux ignorant qu’il a une femme pratiquant l'adultère, j’ai rendez-vous dans deux jours à 14 heures avec Amadou, le cabinet fermant vers 20 heures, je pourrais une nouvelle fois constater que les noirs en ont des grandes et grosses pendant six heures…

Les avis des lecteurs

Merci ce soir 20 heures

Histoire Erotique
Vivement le 3° volet !



Texte coquin : COLLECTION BLACK. La queue noire. (2/3)
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