Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. À travers le miroir (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. À travers le miroir (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. À travers le miroir (1/1)
Je m’appelle Lola, j’ai 28 ans, je suis maman d’un petit Mathéo que j’ai mise au monde, il y a six mois, il est comme Antoine aussi beau et si gentil, d'autant plus que depuis 15 jours, il fait ses nuits.

Il y a deux ans que j’ai réalisé mon rêve, acheté le manoir de ma jeunesse où j’allais jouer avec mes copains et copines dans le parc.
Nous avions interdiction d’y aller, mais comme tous jeunes qui ce respect, plus, on nous fait des interdits, plus nous transgressons.
J’adorais jouer à cache-cache, mais mes copains se taillaient par la brèche dans le mur qui nous permettait d’entrer, dès que l’un de nous se mettait à crier.
Plusieurs fois, j’ai essayé d’ouvrir la porte de cette grande batiste sans succès.

Le temps a passé et j’ai rencontré Antoine, il est architecte et dès que je lui ai parlé de la maison de mes rêves, il n’a eu de cesse que d’économiser pour pouvoir l’acquérir.
Cela a pris du temps, je passais souvent devant pour voir si le panneau à vendre était toujours en place, jusqu’au jour où je l’ai enlevé moi-même, après que la responsable de l’agence eut tourné la clef que les anciens propriétaires lui avaient confiée. L’intérieur était composé au rez-de-chaussée d’une grande salle, d’une cuisine et d’un escalier en bois, véritable œuvre d’art en chêne massif et en parfait état, menant à l’étage.
Derrière lui, une porte avec un autre escalier menant à une cave couvrant toute la maison, l’escalier pour l’étage était en chêne massif et en parfait état.
Il y avait plusieurs chambres que nous avons visitées, l’une d’elles donnait sur le parc et avait un petit cabinet de toilette.
Aucun meuble, mais c’est ce que je voulais, j’adore courir les antiquaires et les brocantes, je vais pouvoir m’en donner à cœur joie.

Une, dix, cent, mille sacs de mon aspirateur à vider dans de nombreuses poubelles après qu’Antoine eut fait poser l’électricité, nous aimons bricoler, mais il nous fallait un certificat pour les assurances et il était préférable de laisser faire des professionnels.
Tous ces sacs vidés, des dizaines de machines à laver pour les torchons, des litres de cire, la poussière accumulée au fil des années avaient disparu.
Pour le reste, même la plomberie pour raccorder le manoir au réseau d’eau potable et d’assainissement, nous l’avons fait nous-mêmes.
Le cabinet a été transformé en salle de bains avec baignoire centrale, les chambres se sont meublées, peu chère, car je sais souder et l’atelier que nous nous sommes installé, nous est bien utile.

Nous avons pu emménager et Matéo est né, se retrouvant dans la chambre mitoyenne de la nôtre, nous avons prévu l’avenir, nous avons réimplanté les chambres afin que chacune d’elles ait sa pièce d’eau à la place de chaque cabinet de toilette.
En plus de notre chambre et de celle de mon fils, nous avons quatre autres chambres, nous pourrons recevoir nos amis.
Dans le parc qu’ils nous restent à nettoyer, il y a une dépendance où nous avons fait l’atelier et qui va permettre à Antoine de travailler à domicile dans quelques mois, sans qu’il soit obligé de dormir dans son agence à 50 kilomètres de là avant de revenir pour les week-ends et gagner le loyer, nous permettant de finir mes idées d’aménagement.
J’attends avec impatience son retour ce vendredi soir, je sais qu’il va me faire l’amour surtout que lundi quand il est parti, j’avais mes règles et 15 jours sans sexe, j’ai du mal à le supporter.
Depuis que j’ai accouché, mes seins se sont développés et surtout, ils sont beaucoup plus sensibles depuis que mon fils tètent.

Comme prévu, dès son retour après avoir couché Matéo, je le rejoins sur ses genoux dans la salle à manger, la cuisine est grande, mais nous avons décidé de vivre comme des châtelains, il serait mal venu que nous vivions comme de simples manants.
Sa main passe rapidement sous ma jupe et vient caresser mon intimité à travers ma petite culotte, pendant que je l’embrasse à pleine bouche.
Je la quitte à regret, mais c’est pour me relever et la faire glisser vers mes pieds, avant de me rasseoir et que ses doigts entrent en moi.
Dès que trois de ses doigts me pénètrent et que son pouce se pose sur mon clito, sa bouche reçoit le début de jouissance qui monte vers ma propre bouche, je le veux en moi, depuis que j’attends.
Je me relève, il ouvre sa braguette sortant sa verge qui m’empale avec délice, enfin, il est en moi, c’est moi qui fais tout en montant et en descendant le long de sa colonne, il est bien monté, du moins de ce que j’en sais, il est le seul qui m’a fait l’amour.
J’ai le plaisir de recevoir sa semence, mais sans anxiété, car j’ai repris ma contraception.
Après avoir pris un bain ensemble, je passe ma nuisette, je mets mes mules et nous allons nous coucher.

Combien de temps, quand j’entends un bruit qui me réveille, cela semble venir de la chambre de bébé, je secoue Antoine qui râle, se retourne et se remet à ronfler.
Je me lève en maugréant, Matéo dort, mais bizarrement sur le mur derrière son lit une sorte de porte semble ouverte, c’est moi qui ai remis ce mur en état et cette porte n’existait pas.
Un peu peureuse, je m’avance, un escalier avec à son sommet un palier d’où provient une grande lumière, je monte sur le palier, une porte sous laquelle passe cette lumière, je la pousse, je dois être dans un grenier couvrant la surface totale des chambres, comme à l’inverse la cave couvre tout le sous-sol.

Sur l’un des murs, une armoire et à côté un grand miroir, c’est tout, j’avance et j’ouvre l’armoire ancienne.
À l’intérieur, un cintre sur lequel est placée une guêpière, sur la planche du bas, une paire de bottines rouge à talons.
Je suis étonnée, j’enlève ma nuisette pour essayer la guêpière qui semble très ancienne, je mets les bottines, on dirait que tout a été créé à mes mesures.
La dernière agrafe en place, je m’admire dans le miroir, ma poitrine est mise en valeur étant énormément comprimé, mais c’est ma chatte que je vois à la base du vêtement qui me donne une allure de fille de joie.
Je n’oserai jamais me présenter devant Antoine comme cela, c’est à ce moment que le miroir a eu comme une sorte de vibration, cela ressemblait à ce que j’avais entendu de notre chambre, mais assourdi par la distance.
La peur et les bottines me font perdre l’équilibre, je veux me retenir au miroir, j’avance ma main, surprise, elle n’est nullement arrêtée, mieux, je la vois disparaître comme absorbée, j’avance et je passe de l’autre côté.
Je me retrouve sur le palier en haut de l’escalier, dans notre salle à manger, une fête semble battre son plein, je descends, hommes et femmes sont déguisés, les hommes sont en costume du même style que ceux que j’ai vus sur des gravures de l’époque de grands auteurs comme Lamartine.
Une femme d’un âge respectable se tient derrière un pupitre au bas de l’escalier, c’est la seule habillée, toutes les autres filles sont comme moi en jupon les seins à l’air ou en guêpières.

• Te voilà Lola, comment va Mathéo, ce doit être un beau bébé depuis les 6 mois que tu nous as quitté pour le mettre au monde.
Rejoins vite, ta chambre, le Comte est là qui t’attend, il espérait que tu reprendrais du service ce soir, il semble en pincer pour toi.

« Monte dans ta chambre, » cette phrase m’interpelle, que m’arrive-t-il, toutes ses filles qui se frottent à tous ces hommes semblent des putes, dans une vie antérieure, une de mes ancêtres aurait-elle été une courtisane dans le manoir que nous avons acheté avec mon mari ?
Je monte, dans la pièce placée à l’endroit où Mathéo dort, il y a un lit à baldaquin, un homme portant moustache et barbiche en caleçon long à sa bite en main.

• Quelle chance Lola, tu as repris du service, vient me sucer, tu es celle qui pompe le mieux dans ce bordel.

Je devrais franchir le miroir pour retrouver ma famille, mais je m’agenouille devant cet homme et j’absorbe son sexe, je lui caresse les couilles, tous ces gestes me viennent naturellement moi qui n'ai jamais fait de fellation au moindre homme de toute ma vie.

• Arrête, je vais décharger, mets-toi à quatre pattes sur le tapis, tu sais que c’est la manière de te prendre que je préfère, je vais plus profondément en toi.

Là encore, je devrais fuir, mais je suis chaude de partout et une fois en position, j’accepte avec délice la verge de ce client, prenant conscience que la belle Lola est la reine des putes de ce bordel.
Le comte ayant vidé ses couilles en moi, c’est naturellement que je passe dans le petit cabinet que je connais bien, puisque je l’ai supprimé pour y mettre notre salle de bains afin de me laver consciencieusement avant de redescendre à la fin de ma première passe.

• Lola, tu n’as rien perdu de tes capacités depuis ta grossesse, rejoint le Comte, il offre le champagne.
• Lola, tu es libre.
• Après avoir bu cette coupe oui !

Je me vois boire du champagne, moi qui ai horreur de l’alcool, l’homme qui vient de me demander si je suis libre, va voir, madame et lui donne de gros billets pour me posséder.
Je remonte l’escalier jusqu’à onze fois, ma chatte me brûle, ma bouche a mal d’avoir sucé des verges de toutes grosseurs.

• Les filles, prenez exemple sur Lola, c’est elle qui a gagné le plus ce soir comme à son habitude, allez-vous coucher, demain je sens que la journée sera rude pour vos petits culs.

Quand madame nous rend notre liberté, je remonte jusqu’au palier, là encore, une porte est ouverte, une lumière m’attirant, je suis à côté du miroir, il se met à vibrer, j’avance la main et je le traverse me retrouvant dans ce qui doit être notre grenier.
J’enlève ma guêpière et mes bottines, je remets ma nuisette et mes mules, je passe dans la chambre de Mathéo qui dort comme un ange, Antoine aussi dort, je vais dans notre salle de bains où je me fais couler un bain.
Je viens à peine d’entrer dans l’eau.

• Lola, pourquoi prends-tu un bain à cinq heures du matin ?
• Je me suis réveillée et j’avais chaud.

Il enlève son pyjama et entre dans la baignoire, la vue de mes seins sortant de la mousse le fait bander, tout ce qui est sûr, c’est qu’il me fait l’amour dans l’eau, quand il me pénètre, la douleur que je ressens me prouve que toutes ces bites sont venues en moi.
J’aurais pu croire avoir rêvé, mais je ressens les mêmes douleurs que lors de ma dernière passe, jusqu’à ce que le sperme entre en moi.

Au matin, Mathéo me rappelle à l’ordre, il a faim alors que je suis exténuée, je vais voir le mur où la porte devrait se trouver, il n’y a rien, le mur est lisse, aucun escalier, aucun moyen de rejoindre le grenier, l’armoire, la guêpière et le miroir.
Toute la journée profitant du dimanche, je récupère jouant avec Mathéo regardant Antoine préparer son futur cabinet.
La nuit suivante, j’ai du mal à m’endormir, j’attends le moment si je vais entendre le miroir m’appeler.
À quel moment l’a-t-il fait ?

• Lola, dépêche-toi, tu as déjà deux clients qui t’ont demandé !

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