D’aire en aire d’autoroute - histoire érotique

Après mon divorce j’ai vécu une période sexuelle très étrange. Je me laissais aller à toutes les perversions qui me passées par la tête. Aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes. C’est d’ailleurs à cette période que je découvert mon penchant pour l’uro et la soumission/domination.
J’y ai aussi découvert les aires d’autoroute. A la période de cette histoire je me sentais très chienne, j’étais prêt à offrir ma bouche, ma bite ou mon cul (et encore mieux si c’était les 3 en même temps) à n’importe qui…
Voici donc un épisode de cette période.

J’ai 32 ans, cela fait 2 ans que je suis célibataire. Même si je suis remis de ma séparation je ne cherche pas de relation sérieuse, j’ai juste envie de m’amuser et je peux même dire que je m’amuse très bien.
Je suis commerciale, alors mon boulot me fait souvent me déplacer ce qui me permet de découvrir plein de nouveaux endroits, plus ou moins insolites, et de faire plein de nouvelles rencontres.
Je ne travaille que sur la France et comme j’ai de la marchandise à présenter je me déplace uniquement avec ma camionnette. A force de sillonner les routes, j’ai souvent fait des stops en stations service ou aires de repos. Très rapidement je me suis mis à préférer les aires de repos parce que je me suis rendu compte que les chiottes ne servait pas qu’à pisser ou chier.
J’habite Toulouse, je devais partir pour une tournée de 10 jours dans le nord et j’avais pris comme point de départ de la tournée Dunkerque, 12 heures de routes! J’ai donc prévu 2 jours de voyages allers et 2 jours de retour. Je vais voyager plutôt de nuit c’est plus propices aux rencontres. En plus comme il fait déjà chaud ça ne pourra pas être désagréable. J’arriverai bien à faire quelques rencontres qui pimenteront mon voyage!


Je quitte donc la ville vers 16 heures pour éviter les bouchons. Je roule tranquillement sur l’autoroute et bien évidement je m’arrête dans une aire de repos avant d’atteindre Montauban.
Il y a que 2 voitures de garer et 1 camion. Même si, quand je conduis je bois beaucoup d’eau, je n’ai pas encore envie de pisser. Je me dirige quand même devant les toilettes, j’en fait vite le tour, personne.
Je rentre dans la première cabine, je laisse la porte grande ouverte. Je baisse entièrement mon pantalon et mon boxer, j’attrape mon sexe et comme je le pensais je n’arrive pas à pisser. Je commence à lire les mots sur le mur, toujours avec ma queue à la main. Ils sont tous autour du cul et avec de belles promesses. J’entends le bruit d’un moteur. Je continue à faire le tour de la cabine en lisant les mots, je sens quelqu’un passer devant la porte ouverte. Je me penche un peu pour lire les mots du bas et surtout exhiber mes fesses. J’ai l’impression que quelqu’un repasse mais à chaque fois que je tourne la tête il disparait. J’ouvre bien la porte et commence à me masturber le sexe à demi dur face à la porte. Il repasse et étonné de me voir ainsi s’immobilise devant la porte. Il porte la main à son entrejambe et commence à se caresser à travers le pantalon.
Tout en continuant à me caresser je me met à genoux et j’ouvre la bouche. Le mec s’avance, il ferme la porte a clé derrière lui et ouvre son pantalon qui se retrouve rapidement à terre suivi par le caleçon. Il a une très belle queue, bien longue (je pense comme la mienne 17cm), mais pas très large. Je commence par lui sucer le gland, sa bite réagit immédiatement et gonfle encore plus. Je veux la sentir gonfler en moi alors je la gobe et commence à le sucer frénétiquement, en fin de compte sa queue est plus grande que la mienne. Ma langue lui titille le frein alors que ma main lui caresse les couilles. Il attrape mes cheveux avec ses deux mains et enfonce sa queue au plus profond de ma gorge. Je sens son sexe se contracter et gonfler, 3 grosses giclées de sperme coulent directement dans ma trachée. Un peu déçu que ça se soit fini aussi vite, je continue à le sucer mais il se retire rapidement de ma bouche, se rhabille et sort de la cabine en laissant la porte ouverte alors que j’ai toujours son sperme en bouche et même un peu qui me coule sur le bord de la lèvre.
Je reste comme un con alors qu’arrive un homme d’une soixantaine d’année, je pense maximum 1m65 avec un bon ventre, une moustache et plein de poils qui lui sortent du t-shirt. Il me regarde avec un sourire et me dit:
« Apparement j’ai loupé le spectacle! c’est pas grave je pisse un coup et je m’occupe de toi »
Je me lève et je met une main devant moi pour lui faire signe d’attendre. Je me déshabille entièrement, j’accroche mes habits derrière la porte. Je me remet à genoux, j’ouvre la bouche et je tire ma langue qui est encore recouverte du sperme de mon inconnu d’avant. L’homme sort ça queue qui est assez courte mais très large et en posant son gland sur ma langue il dit:
« Ca c’est une bonne chienne! », il me tape sur la tête et lâche un petit filet d’urine que j’avale immédiatement. Sa pisse est tellement dilué que j’ai l’impression d’avaler du sperme très liquide. Il a l’habitude des plans plans uro parce qu’il contrôle très bien son jet. Il remplit ma bouche comme il le faut et arrête à temps pour me permettre de le sucer la bouche pleine avant d’avaler et recommencer. Je n’en perd pas une goutte. J’adore ça et lui aussi j’espère. Une fois sa vessie entièrement vidée je me mets à le sucer mais doucement, j’ai pas envie qu’il éjacule en 30 secondes comme l’autre. Une fois sa bite bien tendue, j’ai les lèvres qui tirent tellement qu’il est large, il se retire de ma bouche et me dit:
« C’est pas de ta bouche que j’ai envie » et il se baisse pour sortir un préservatif de son pantalon. Je me retourne, je prends appuies avec mes mains sur la lunette des toilettes, je me penche bien en avant et écarte les jambes. Mon moustachu du moment écarte mes globes fessiers au maximum, il me crache sur la rondelle et avec un doigt étale le crachat sur mon trou et à l’intérieur de mon trou. Je gémis douchent c’est un mélange de douleur et plaisir, il est trop sec dans ses mouvements. Tout en faisant des allers retours en moi avec son doigt il me crache sur le cul et introduit un second doigt. Il continue ainsi jusqu’a ce que son troisième doigt soit bien rentré. Je gémis plus fort mais maintenant ce n’est que du plaisir.
Puis je sens ses doigts sortir, j’entends du bruit il doit mettre la capote. Il dépose sont gland sur mon cul. Il me caresse le trou avec le bout de sa bite quelques fois, puis appuies avec son gland sur ma rondelle et la perfore. Il rentre facilement mais j’ai un peu mal. Je souffle et pousse ce qui transforme rapidement la douleur en plaisir. Maintenant il es entièrement en moi et mes chairs se sont habitués à sa largeur. Il me pillons comme un chienne. Ses mouvements montre qu’il ne pense qu’à son plaisir mais sa queue et ses fessées font le miens. Je sens des perles de sueur couler sur mon dos. Avec ma main je branle, mon sexe qui est tendu au maximum. Alors que mon moustachu m’éclate le cul comme ça depuis bien 10 minutes, ses mouvements et ses fessées deviennent plus violents. Il se met à me traiter de pute, de chienne, de salope et même de sac a foutre. Puis il m’insulte en espagnole. Je sens qu’il ne va pas tarder à jouir mais il se retire de mon cul, enlève sa capote. Je me retourne pour le sucer mais avec sa main il appuies sur mon dos et m’immobilise et en moins de 15 secondes je sens plusieurs grosses giclées de sperme cogner contre mon cul qui est vite trempé. Alors que ma main continue à s ‘exciter sur ma bite, une fois entièrement vider le moustachu me bouffe le cul recouvert de son sperme et retire ma main pour la remplacer par la sienne, mais me caresse doucement.
Une fois mon cul entièrement nettoyer il me fait assoir sur les chiottes et avale immédiatement ma bite. Sa bouche et humide et chaude. Il a toujours son sperme en bouche pendant qu’il me suce et me caresse les couilles. Je ne tarde pas lui remplir encore plus la bouche avec mon sperme et une fois que je suis vidé il se lève vers moi et me roule une pelle magistrale où nos langues et nos spermes se mélangent pendant que nous nous caressons.

Une fois nos esprits repris, nous nous rhabillons. Le moustachu s’appelle José, il est camionneur est voyage sur Paris, il me propose de faire de la route ensemble. Je le remercie et lui dit que j’ai ma camionnette mais j’ajoute que je vais bien mémoriser son camion et que si je le vois sur une aire je ne manquerait pas de lui dire bonjour. Je le remercie pour ce moment. Je me rince au lavabo et retourne vers ma voiture car d’autres aires d’autoroute m’attendent!