VOYAGE DE FIN D'ETUDES 2

- Par l'auteur HDS Poesexe -
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : VOYAGE DE FIN D'ETUDES 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2018 dans la catégorie Plus on est
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VOYAGE DE FIN D'ETUDES 2
Le lendemain,matin, j’émergeais peu avant dix heures. Je balayais la chambre du regard, et constatai que Karine avait déjà déserté la chambre, son lit soigneusement refait. Je me levai et m’octroyai un bon quart d’heure sous une douche bienfaisante.
Je sortais de la douche, en finissant de me sécher les cheveux, et me retrouvai face à Karine, habillée de pied en cap d’une courte jupe évasée, et d’une veste serrée à la taille, s’ouvrant sur un bustier rouge qui tranchait avec le gris souris de l’ensemble. Je remarquai les bas à coutures et les escarpins ouverts mais vernis.
« Beau spectacle » apprécia t’elle.
La serviette de bains quitta aussitôt ma tête pour venir masquer mon intimité, e tje ne trouvais pas grand chose à dire :
« je pensias, enfin, je croyais que, j’étais seul et.. »
« Pas de soucis, je viens juste récupérer deux ou trois affaires, un maillot de bain, une serviette… » Joignant le geste à la parole elle ouvrit les tiroirs de sa commode et entassa les affaires dans un sac de plage tressé. Puis, elle s’en fut en me jetant.
« Claque la porte en partant. »
Quelques minutes plus tard je rejoignis la salle du breakfast, et avisai Frédéric. Je m’installai près de lui.
« Nelly n’est pas là ? »
« Elle est remontée dans la chambre. » répondit il.
« A propos de chambre, je voulais savoir si elle allait rester dans la notre. »
« ah, oui, je vois, c’est génant,mais »
« Non, non, pas de problème pour moi, mon pote. Elle peut rester. »
« Oui, c’est sympa, mais , tu vois, elle est habituée, apparemment, mais moi, j’aime bien mon intimité, et dans des chambres à trois… »
« Ok, je vois, mais tu sais, ne t’en fais pas pour moi, je trouverais un endroit pour dormir. Vous écouter faire des galipettes toute la nuit, n’est pas à mon programme. «
« tu es sur que ça ne te gène pas. ? »
« pas du tout, mais demande donc à Liam, le voici qui arrive. Alors Liam, les petites anglaises ? »
Liam s’assit et me mit une bourrade dans les côtes.
« Don’t Bullshit me ! tu sais bien que Monica est en vacances avec ses parents. En plus elle est affublée d’un pseudo boy friend. Elle m’a déjà avoué qu’elle voudrait s’en débarrasser, mais il voyage avec eux. Sa chambre est communicante avec celle de son père, et le boy-friend . Autant dire qu’il ne faut pas espérer grand chose de ce côté là. »
« Mais alors, tu dors où ? » lui demandai-je
« Vu que la chambre est Squattée par Fred et sa copine, et que je ne voulais pas tenir la chandelle. Je suis allé demander à Desplats. En fait, il m’a dégoté une chambre avec un grand lit, depuis hier. «
« ça va arranger tes amours avec la perfide Albion. »
« Oui j’espère, en tout cas , aujourd’hui , le père emmène le boy-friend à la pêche au gros.
Monica a décliné l’invitation. On doit se retrouver pour aller à la plage. J’ai fait un peu de repérages. Il y a des criques sympas, un peu plus loin. » se réjouit il.
« En tout cas, Fred, voici ton soucis résolu. Tu vas même pouvoir rapprocher les lits , ce qui t fera un grand terrain de jeu. »
« Ouais, merci les copains, Nelly sera super contente quand je vais lui dire. En plus elle va pouvoir ramener ses affaires. «
« En tout cas, moi, je n’ai que des solutions temporaires, les gars. Mes affaires restent donc dans la chambre. » précisai-je
« Pas de soucis , tu as ta clé, de toute façon . Mais n’oublie pas de frapper avant d’entrer. « conclut Frédéric « bon, je vous laisse les gars, on se verra peut-être à la plage. » Il sortit, croisant Valérie et Babeth.
« J’adore ce gars là » me confia Liam « je suis content de la voir avec une nana. Je pense que ça lui manquait. »
« Je l’aime bien aussi. Evidemment tout le monde ne peut pas avoir ta carrure d’athlète, pour impressionner les gonzesses. »
« Oh, ça va, tu te débrouilles pas mal à ce que je sais » rigola t’il
« C’est vrai que ces temps-ci, ça semble rouler, sans que je sache trop pourquoi. En tout cas, je suis heureux pour Fred. Il mérite bien de passer quelques nuits peinard avec sa miss. « surtout qu’elle a l’air vaillante » railla t’il
« ou peut-être cherche t’elle chaussure à son pied ? une sorte de Cendrillon. »
« En tout cas, ça a l’air de pas mal s’emboiter » lança Liam hilare
« Ton humour, n’a vraiment rien d’Anglais Liam. Tu as malheureusement chopé le côté graveleux des français. » lui dis-je
« Salut les garçons, « lancèrent Valérie et babeth en s’installant à notre table.
« Salut les boudins ! » lança Liam, qui devant leur tête, précisa aussitôt qu’il plaisantait.
« Aujourd’hui, c’est journée farniente, ça vous dit de venir à la plage avec nous » demanda Valérie
Liam, déclina l’invitation , ayant d’autres projets, mais j’acceptais volontiers, et proposais aux filles de passer les chercher. Puis Liam et moi, partimes dans la chambre, où, heureusement il n’y avait personne pour l’instant. J’enfilais un bermuda, et un T-shirt Propre, et entassai dans un petit sac, mon appareil photo, un slip et un short de rechange. Puis j’enfilais des sabots. Liam avait aussi fait son barda pour la journée, et s’en alla rejoindre son anglaise qui devait frétiller d’impatience. Je descendis d’un étage et, dans le couloir, croisais Mr DESPLATS qui sortait d’une chambre.
« Mr Desplats ? »
« Ah, bonjour Steve, me dit il, visiblement géné »
« C’est l’étage des filles ici » lui precisai-je
Il me prit par le bras, et m’entraina dans la chambre tout proche, dont il referma la porte. C’était la même que la notre, sauf qu’elle était équipée d’un grand lit.
« J’ai prêté ma chambre à votre ami Liam. Du coup, il a fallu que je trouve une autre chambre » me confia t’il
« et ce ne serait pas la chambre de notre jeune tour-opérator ? « risquai-je
« euh, je sais que vous m’avez vu, hier sur la terrasse. Je vous ai vu aussi. Après tout nous sommes ici en vacances, et pour en profiter. Notez bien que je suis célibataire, mais je ne souhaite pas que cette histoire s’ébruite trop. »
A ce moment, notre guide sortit de la salle de bains, et à notre vue, plaqua sa serviette sur sa nudité.
« Ah, j’ignorais qu’il y avait du monde ». Elle devait avoir dans les vingt six ou vingt sept ans, avec des formes pleines, mais pas trop forte. Son visage lisse et ovale était encadré d’un casque de cheveux bruns coupés au carré, avec une frange sur le front. Sa peau mate faisait ressortir ses yeux Bleus clairs. Elle s’était figée, dos à la baie vitrée, a moitié éclairée par la lumière qui flitrait entre les rideaux fermés.
« On voit très bien votre reflet dans la vitre. » lui précisai-je
Elle se retourna alors, offrant à notre vue, une ravissante paire de fesse, confirmant ce que nous avions vu dans le reflet. Se rendant compte de sa bévue, elle fit de nouveau demi-tour, le rouge aux joues.
« Professeur, vous avez un goût très sur. » lançai-je en sortant « ne craigniez rien, e suis une tombe. »
Je me retrouvai, dans le couloir, sourire aux lèvres, car quoi de plus réjouissant que le spectacle d’un beau cul, et allai frapper à la porte de Valérie.
« Ah quand même, on a failli attendre, me lança Babeth. Clara est déjà partie. Qu’est-ce qui t’a pris tant de temps ? »
« Un soucis de fenêtre » répondis-je en souriant.

La plage était vaste, et déjà bien remplie, mais nous trouvâmes encore un espace, vers les rochers, avec un peu d’ombre pour épargner ma peau. Les serviettes furent vite étalées, et après un premier bain, tout le monde s’étendit pour profiter de ce beau soleil et récupérer de nuit épuisantes. Clara, qui nous avait rejoint déplora l’absence de Liam, et partit quelques temps plus tard avec Laurent qui était venu l’inviter car ils allaient, avec Lionel, faire un tour en bateau. Un loueur, proposait des pédalos, des jet-skis en des zodiacs à la location. Je passais alternativement de la crème solaire, sur les peaux de Valérie, déjà très brune, et de Babeth, dont l’épiderme dorait maintenant, et je profitais de leurs soupirs d’aise quand mes mains malaxaient le bas de leur dos, ou longeaient leurs poitrines. Un peu plus tard, alors que le soleil tapait vraiment dur, elles vinrent me rejoindre, à l’ombre d’un rocher, et nous improvisames un petit pique nique, avec les fruits apportés par babeth, et quelques viennoiseries chipées au buffet de l’hôtel. Puis elles reprirent place sur leurs serviettes . Je me baignais de nouveau, et je longeais la plage. Quand j’arrivais vers le loueur, Laurent accostait avec un Zodiac, duquel descendirent Clara, Sophie, et Léa.
Lionel arrivait, lui, avec un jet-ski, Jeane collée à son dos. Laurent , débarqua et tendit la main aux trois donzelles toutes vétues d’un simple slip de maillot, qui montèrent sur le ponton en riant.
« C’est super sympa, tu devrais essayer. Il y a des criques vachement belles tout autour. »
Lionel et Jeane débarquaient à leur tour et se debarrassèrent de leurs gilets de sauvetage, avant de courir s’allonger sur la plage. Les tarifs étaient abordables, et je décidai de proposer aux filles un tour en bateau. Si Valérie venait seule, je louerais un jet-ski, et si Babeth venait, je prendrais un Zodiac.
Quand j’arrivais près des filles, Frédéric et Nelly étaient là, et se joignirent à nous. Le zodiac était un peu plus cher, mais Frédéric partagea les frais avec moi, et nous embarquâmes tous les cinq. C’était un gonflable motorisé par un moteur hors bord de 50cv, largement suffisant pour nous emmener tous. Valérie , Babeth et Nelly, s’allongèrent sur le grand matelas qui occupait l’avant du bateau, tandis que Frédéric, restait avec moi, pour se familiariser avec la manœuvre. Je croisais à petite allure pour m’éloigner de la plage, mais, une fois à bonne distance, je décidais de pousser un peu le moteur. Le canot, léger, déjaugea instantanément, et prit de la vitesse, sur le petit clapot. Un large sillage d’écume nous suivait. Les filles, un peu secouées, s’étaient agenouillées cheveux au vent, face à l’avant, et cramponnées au filin qui longeait le boudin, saluaient de cris aigus les gerbes d’embruns qui venaient les asperger, de temps en temps.. Je longeai la côte pendant un moment et ralentis en atteignant un endroit plus découpé, de petites criques rocailleuses se succédant, avec parfois, une langue de sable blanc, au fond. Je dirigeais le canot vers l’une d’elle et y entrais au ralenti. Mes passagers s’émerveillaient de voir les fonds rocheux alterner avec le sable clair, au travers de l’eau émeraude. A la demande générale, je me dirigeais vers une petite plage déserte qui finissait la crique, et, après avoir relevé le moteur, laissai le zodiac courir sur son erre, jusqu’à s’échouer sur le sable. Les filles sautèrent sur la plage, et coururent explorer les environs, pendant que Frédéric m’aidait à tirer le zodiac au sec, par mesure de sécurité.
Les filles revinrtent rapidement vers nous.
« Incroyable, on est vraiment seuls. Il n’y a même pas un sentier d’accès » commenta Valérie. « Bien sur en escaladant la falaise, c’est possible de descendre, amis pas facile. »
« On peut rester un peu ? » demanda Nelly
« On a un peu de temps « leur confirmai-je. « mais si vous voulez vous baigner dans une crique aussi paradisiaque, c’est nus comme au premier jour qu’il faudra le faire !. » et joignant le geste à la parole, je me débarrassais prestement de mon bermuda et partis en courant dans l’eau claire. Je remontais à peine de mon plongeon quand j’entendis, autour de moi que d’autres m’avaient suivi, et s’ébattaient avec bruit. Me retournant, je vis que seule Babeth était encore sur le sable, hésitant encore, mais nos appels répétés eurent raison de sa pudeur, et elle détacha d’abord son soutif, quelle déposa sur le bateau, puis sa culotte, et s’avança doucement dans l’eau. C’était la première fois que je la voyais nue. Elle était de taille moyenne, n’avait pas de gros seins, et était plutôt filliforme, mais c’était une fausse maigre, qui avait quand même des hanches, et un ventre plat, presque imberbe de vraie blonde. Valérie me pinça soudain.
« Qu’est ce que tu regardes ?, me lança t’elle »
je me retournais vers elle, et l’attirant près de moi, lui rétorquai
« pas d’exclusivité, c’est toi qui l’a dit. »
Nous jouames un long moment dans l’eau , et Valérie suggéra que nous fassions un peu d’exploration sous marine. Nous avions assez de Masques et de tubas, mais Frédéric et Nelly préférèrent rester sur la plage, arguant que Nelly, ne nageait pas très bien.
Sur qu’ils allaient s’adonner à d’autres jeux. Babeth, Valérie, et moi nous équipâmes de masques et palmes, fournies avec le bateau et en nageant, observâmes les fonds marins. Alors que le sable blanc était parsemé de bancs d’oursins, les rochers, étaient l’abri de tout un tas de petits poissons argentés, de formes diverses, cherchant sans doute leur nourriture . Régulièrement Valérie, en tête, plongeait vers le fond, suivie de Babeth, et c’était un régal pour moi, de les suivre, profitant à chaque immersion de leurs culs ruisselants d’eau qui émergeaient un instant avant de s’engloutir, les suivant avec délectation, espionnant aussi bien les poissons que leurs entre-jambes qui s’ouvraient, à chaque brasse, dévoilant leur corolle, avant que les puissants muscles fessiers, ne referme le compas de leurs cuisses, cachant à ma vue ces trésors. Après une longue baignade sous marine, nous rejoignîmes la plage, et vinrent goûter un repos mérité étendus sur nos serviettes. Frédéric et Nelly, toujours nus, étaient endormis l’un contre l’autre.. Je proposais aux filles de leur passer un peu de crème solaire, et commençais par Babeth, qui avait déjà renoué les ficelles de son bas de maillot. Après avoir fait son dos, je lui demandais de se tourner, ce qu’elle fit. Je ne pouvais voir ses yeux derrière ses verres solaires, mais quand je passais sur ses seins, je sentis leurs pointes s’ériger sous mes doigts ? Après avoir enduis ses jambes, je remontais vers ses cuisses qui restèrent soudées. Je me tournais alors vers Valérie et entrepris de lui enduire la peau. Elle aussi avait ses lunettes de soleil, mais je commençais à la connaître et je massais longuement ses seins, pinçant légèrement les pointes en passant, puis je descendis sur son ventre, et ses jambes pour aller jusqu’à ses pieds, que je caressais longuement, passant mes doigts entre ses orteils. Je remontais en malaxant les mollets, caressait le pli du genou et glissais ensuite sur ses cuisses qui s’écartèrent pour laisser passer mes doigts. Je finis par encadrer ses grandes lèvres de deux doigts, et les écartais, découvrant l’accès de sa chatte d’un rose éclatant. Pis je lui dis de se tourner, et entrepris de la masser, des épaules jusqu’au pieds..Mes mains longeaient se côtes et descendaient sur ses fesses, plongeant ensuite sur ses cuisses, et remontant pour revenir malaxer les muscles fessiers, avant de repartir sur le dos, cherchant ses vertêbres sous la peu. Peu a peu mon massage se concentra sur le haut de ses cuisses qu’elle écarta , me livrant l’accès a son intimité. Je glissais mes doigts dans le sillon, remontant jusqu’à son petit trou, écartant les fesses. Je sentis qu’elle glissait quelque chose sous son ventre et son cul se souleva, dévoilant son abricot, épilé, comme un fruit défendu prêt à être cueilli. Je m’assurai d’un coup d’œil que les deux amoureux dormaient. Babeth , à plat ventre la tête dans les bras, s’était endormie aussi. Je caressai l’entrée de sa chatte qui s’ouvrit rapidement, et j’enfonçai deux doigts dans sa cavité toute humide de désir que je commençai à masturber. Les soupirs de Valérie m’encouragèrent , après l’avoir dument lubrifié à se cyprine, à insérer un doigt dans son trou du cul, qui se tendit vers ma main réclamant une caresse, plus appuyée. Les jambes maintenant largement écartées, son bassin roulait sous ma main inquisitrice, et ses mouvements étaient ponctués de légers gémissements. Elle souleva d’un spasme son cul embroché, et retomba dans un soupir. Je dégageais mes doigts que j’essuyais à la serviette, et surpris un mouvement sur ma droite. Toujours allongée à plat ventre, Babeth avait maintenant sa main entre ses jambes, et d’ou j’était, je voyais ses doigts s’agiter sous le tissu de maillot. Je décidai de l’ignorer et allai me rafraichir à la mer. Une heure plus tard, nous étions de retour à la plage, soigneusement et pudiquement sanglés dans nos maillots. Nous avions dépassé l’heure mais le loueur ne nous en tint pas rigueur. Nos ombres s’étiraient sur la plage, qui s’était bien vidée, mais nous restâmes encore un long moment, accoudés sur nos serviettes, face à la mer, regardant le soleil décliner sur l’horizon. Je fis quelques clichés de ce crépuscule paradisiaque, puis nous primes le chemin de l’hôtel. Nous avions, le soir même un diner, dans un restaurant typique pas très loin. En chemin nous décidâmes de diner à la même table, le premier sur place réservant la place pour les autres, et je leur demandai de penser à une place pour Liam, qui serait là.

Le restaurant était à quelques centaines de mêtres de notre hôtel. Nous avions repris des tenues civilisées. Jean blanc et chemise de soie noire pour moi. Pantalon gris perle, chemise bleu pâle et veste écrue sur des mocassins gris pour Liam. Frédéric avait revétu une chemise à motifs mexicains, Bleue et blanche et un ensemble pantalon noir et spencer qui seyaient parfaitement à sa silhouette longiligne. Les filles, qui nous avaient devancés, nous accueillirent avec des bravos et des sifflets. Nous fîmes part de notre admiration devant leurs tenues, à la fois habillées et suggstives. Nelly, vétue d’une courte robe bleu marine serrée à la taille par une large ceinture, était aussi grande que Frédéric, juchée sur des nus-pieds blancs à talons. Clara, qui s’était jointe à notre tablée, avait adopté un style grunge, avec un jean savamment déchiré , et un haut à motifs bleutés transparent, recouvert d’un ensemble de longs colliers, qui, quand ils bougeaient, laissaient entrevoir ses seins nus sous sa blouse. Valérie avait ressorti ce long fourreau moulant, qui la couvrait juqu’aux chevilles avec une parfaite indécence. Des plateforme shoes l’avaient dotée de 15 cm en plus, accentuant son élégance sculpturale. Quand à Babeth, elle s’était laissé tenter par un ensemble en lin, pantalon, et battle dress, largement échancrée sur une gorge libre de tout soutien. Nelly s’accrocha au bras de Fred et ils allèrent s’installer à la table, la plus au fond du restaurant, que les filles avaient réservéef. Nous les suivimes en traversant la salle, saluant au passage des compagnons de promo que nous n’avions pas encore croisés, aujourd’hui. Liam s’installa en bout de table, contre la vitre , et Clara vint se poster à sa droite. Valérie s’assit en face de Liam, et moi en face de Clara.. Babeth s’installa à ma gauche, en face de Fred, qui se retrouva entre Nelly et Clara. La table fut complétée par Jeane, puis par Mr DESPLATS, et Notre guide qui se prénommait Jackie. Desplats lui fit les présentations ; et quand il arriva à moi, elle ne put s’empêcher de laisser filer :
« Ah oui, nous nous sommes vus… »
« Au bar , l’autre soir, la coupai-je » en voyant les yeux de Desplats s’arrondir. « mais j’étais déguisé en femme. »
« Oui, dir elle se rendant compte de sa bévue. Et moi en Homme » compléta t’elle
« ce qui vous allait très bien, ajoutai-je, mais toutes les tenues doivent vous aller à ravir » conclu-je, ne résistant pas à la torturer gentiment.
« C’est gentil, merci, » dit elle avec un sourire, alors que Desplats me fusillait des yeux.
La sangria arriva et les toast fusèrent, les uns après les autres.Je ne sais si c’est la sangria, bien fraiche, ou trop de soleil, ou le vin rosé, peut-être, mais je suis incapable de dire ce que nous avons mangé. Quand je refis surface, la salle de restaurant était quasiment vide, et nos cavalières désespérées contemplaient Liam endormi, la tête dans son vomi ; je n’étais pas au mieux moi-même, mais j’entendis, au travers d’un brouillard, des voix féminines, discuter pour arriver à dire qu’elles ne pouvaient pas nous laisser là. Je sentis qu’on m’aidait à me lever, et soutenu de chaque côté, je fus trainé à l’extérieur, ou l’air de la nuit, me réveilla un peu. Soutenu et dirigé, j’entamais alors la plus longue marche de ma vie, et sombrais à nouveau dans l’ascenseur.
Je me réveillais sous la pluie, avant de réaliser que ce n’était que la douche tiède qui coulait sur mon corps nu, tassé au fond de la baignoire. Diable, quel mal de tête ! et qui m’avait fait ce sale tour ?Je n’eux pas longtemps à attendre. La porte s’ouvrit et Valérie entra. Elle ota sa superbe robe et apparut nue.
« Oh Valérie, ricanai-je bêtement en tendant les bras vers elle. Elle se pencha et prit le pommeau de la douche.
« Désolée, mais j’ai besoin de ça » dit elle, et après s’être aspergée elle se savonna et se rinça sous mes yeux et quitta la salle de bains s’être séchée. Quelques minutes plus tard, le même scénario se produisit avec Babeth, qui me laissa au fond de la baignoire. Quand Clara entra à son tour, je criai « STOP ! » et m’extirpais de la baignoire. Je m’enroulais vaguement dans une serviette et entrais dans la chambre. Le premier lit était vide, et je m’y effondrais. Avant de m’endormir, j’entendis une voix :
« et voilà, je vais dormir où, maintenant ? » Je sombrais dans un coma tout noir.

Je naviguais dans des limbes obscures, une sorte de brouillard d’ou surgissaient des ombres fantomatiques, évocations de mes camarades qui disparaissaient aussi vite absorbées par un nouveau brouillard. Le rideau de brume se déchira et je fis surface, dans une chambre qui visiblement n’était pas la mienne. Des formes imprécises occupaient les lits autour de moi. La pièce était dans la pénombre. J’entendais des murmures, et une perceuse lancinante essayait de disloquer mon crâne. J’essayais malgré tout de me concentrer, et me tournait vers le lit sur ma droite, où, dans la semi obscurité, je reconnus deux visages tournés vers moi. Liam et Clara, me regardaient fixement. Leurs lèvres bougeaient, mais je n’entendais pas leurs mots. Quelqu’un me toucha, et je me retournai pour voir Valérie nue debout, à côté de mon lit, qui me souriait. Et puis la pièce se mit à tourner, et le trou noir m’absorba de nouveau.

Quand je revins sur terre, la pièce était encore dans la pénombre, mais l’obscurité était moins dense, ou plutôt, la lumière filtrant entre les rideaux était plus forte. La migraine était toujours là, mais mes idées étaient un peu plus claires. J’étais sur le lit du milieu. Le lit de Valérie. Je me tournais et la vit. Allongée sur le lit de gauche, elle était avec Babeth. Toutes deux, nues, allongée tête bêche, se caressaient, et se donnaient du plaisir, chacune la tête entre les cuisses de l’autre, langues et mains fouillant et cajolant les chairs intimes. Ce jeu d’un érotisme intense leur arrachait des soupirs et des murmures de satisfaction.
Sur le lit de droite, Clara, à quatre pattes, subissait les assauts de Liam,avec des cris de bonheur. Je reposai ma tête sur l’oreiller et refermai les yeux.

Un peu plus tard, je me réveillai, encore vaseux, mais mieux, tout de même. Je m’assis sur le lit, et Valérie, toujours nue, vint s’asseoir sur le bord du lit.
« J’ai dormi longtemps ? »
« pas mal, il est 10h »
Je jetais un coup d’œil au lit où Babeth, nue dormait, à plat ventre.
« Tu n’as pas dormi avec moi ? »
Elle sourit de ma question.
« Dormir, mais on t’a veillé avec ton pote, parce que vous aviez l’air au plus mal. Vous n’avez pas cessé de nous peloter, et de fourrer vos mains partout. »
« On a fait quoi ? »
« pas grand chose de cohérent. Vous n’étiez pas en état de fonctionnement si tu vois ce que je veux dire. Quand vous avez fini de vomir, vous vous êtes endormis. Je t’ai donc laissé mon lit, pour aller dormir avec Babeth. »
« Dormir ? »
« Oui, je suis bi, et nous avons passé deux ans à l’internat avec Babeth et Clara. Suffisamment pour nous découvrir. »
« Donc elles sont bi, toutes les deux » demandai-je
« Non, Clara est exclusivement hétéro, et Babeth est presque exclusivement lesbienne. »
« presque ? »
« Oui ça lui arrive de temps en temps de se laisser aller dans certaines circonstances. »
« Et Fred, et Nelly ? »
« Ah, ces deux là, ils sont hétéros. »
« Oui, ça je m’en doutes, mais ils sont où ? »
« Ils étaient moins émméchés que vous, et ils ont rejoint la chambre de Fred. Heureusement, d’ailleurs, parce qu’ici, c’etait un peu complet. »
« On a pas ? » demandai-je , sentant un début d’érection se développer
« Non, rien du tout »me confirma t’elle « mais, il serait peut-être temps de s’y mettre « dit elle en se serrant contre moi.
Je me laissais tomber sur le dos et elle vint m’enjamber, saisissant mon mat, au passage, pour mieux s’embrocher dessus ;
« Ah, quand même ! Je n’ai pas gaché ma soirée pour rien » dit elle en montant et descendant le long de ma verge qui , je le sentais, grossissait en elle..
J’empoignais ses seins, et entrepris de les agacer, jusqu’à ce que ses tétons ne soient que deux excroissances de chair, dures comme la pierre, et continuais ainsi, sans les lâcher, alors qu’elle coulissait de plus en plus vite sur ma queue . Repliant ses jambes, elle s’installa à croupetons et lança un mouvement d’ascenseur sur ma queue, sortant et rentrant à chaque passage, avant de revenir s’empaler, son sexe venant taper, à la rencontre du mien, dans un mouvement puissant et régulier, qui nous amena tous deux à un orgasme brûlant.
Toujours emboités, nous basculâmes sur le côté, en nous embrassant, et elle attrappa le drap pour nous recouvrir chastement. Nous étions dans nos caresses, post coitales, quand la porte de la salle de bains s’ouvrit, et Liam en sorti, vétu d’un caleçon, le cheveu humide. Il ramassa un paquet de cigarettes et un briquet sur une table, et se faufilant entre les rideaux, sortit sur la terrasse.
« Il a l’air sacrément costaud » me dit Valérie tout bas. « Quand on vous a ramené ici, il était dans un état, encore pire que toi. C’est pour ça qu’on vous a gardé. On avait peur qu’il nous fasse un coma éthylique. On l’a deshabillé et on l’a mis sous la douche, pus on l’a sorti avant de t’y coller. Il a vomi plusieurs fois, mais ne reprenait pas conscience. TOI, tu es sorti tout seul de la douche et tu t’es vautré sur mon lit. Alors on s’est relayées pour rester contre vous, et sentir si vous respiriez bien. Tu t’es contenté de dormir. «
« pas vomi ? »
« Non tu as été plutôt propre » dit elle avec un peu d’ironie dans la voix « évidemment, tu t’accrochais à tout ce que tu pouvais palper quand nous étions près de toi, et tu disais des mots incompréhensibles, mais dans l’ensemble, nous avons pu te gérer. »
« Et Liam non ? »
« tu plaisantes, après avoir vomi dans tous les seaux que nous avons trouvé, il a eu un sommeil agité. Il a essayé de baiser Babeth, puis moi, et finalement c’est Clara qui a réussi à le calmer. Mais alors quelle santé. Je n’ai pas compté, mais je peux te dire qu’elle doit avoir le cul en feu. »
« Et toi, tu l’as comment ? » demandai-je en me sentant reprendre un peu de vigueur.
Elle accompagna mon mouvement en passant sa jambe par dessus la mienne, reprenant une oscillation qui nous entrainait déjà vers un autre round
« Encore un peu froid, mais tu peux peut-être quelque chose pour moi. »
Elle s’étendit, sur le côté, son buste perpendiculairement au mien, et je m’appuyai su mon genou pour projeter mon bassin , faisant danser nos corps langoureusement, mes mains caressant son ventre, cherchant son clito, pour le titiller, tous en sentant sous mes doigts, ma colonne de chair la remplir toujours plus. Nous eûmes un long orgasme partagé, et nous désunimes pour mieux continuer à nous caresser sous les draps. Sur son lit, toujours allongée sur le ventre, Babeth la tête maintenant tournée vers nous nous observait , en souriant.
Je me levai bientôt pour aller me doucher, et empruntais une brosse à dents, pour chasser mon haleine de lendemain de beuverie, qui devait être fétide. Je retrouvais mon slip, mais il avait été lavé et pendait sur un cintre, avec d’autres affaires, chemises, entre autres, que nous avions dû bien tacher, la veille. Je trouvais un serviette de bain que j’enroulais autour de ma taille, et repassais dans la chambre. J’aurais bien fumé une cigarette et me dirigeai vers la terrasse. En écartant le rideau, je tombais sur un spectacle que je n’attendais pas. Clara, à genoux, faisait une pipe magistrale à Liam, qui effectivement, semblait avoir bien récupéré. Elle le pompa quelques instants, mais il la fit relever, et l’accouda à la balustrade, et vint la prendre en levrette. Alors qu’il lui imprimait un tempo bien sauvage, elle se cramponnait au rebord, un pied sur la table basse, bien écartelée. Il la besognait si fortement que ses seins lourds ballotaient à l’extérieur de la façade, et elle se mit rapidement à crier son bonheur.
Emoustillé par ce spectacle, je fis demi tour, pour tomber sur un autre. Valérie, allongée sur le dos, le bus relevé contre la tête de lit, avait entre ses jambes, Babeth, qui, à quatre pattes, lui butinait les seins. Elle descendit ensuite entre les jambes écartées, pour venir lui brouter le minou. Attiré par son cul, relevé, je m’approchai et posai mes mains sur ses hanches. Elle eut un mouvement de recul, et souleva la tête, la tournant vers moi, puis reprit sa tache, écartant un peu ses cuisses en signe d’assentiment. Je commençai par caresser sa chatte que je trouvais humide, et après quelques caresses, me dégageai de la serviette pour venir pointer mon sexe à l’entrée de son abricot. L’intromission se fit en douceur. Je me sentais serré dans cette matrice souple et brulante. Me positionnant au plus près de son cul, je la pistonnais longuement, pendant que de sa langue elle faisait jouir Valérie. Celle-ci, son plaisir pris jugea opportun de me prévenir.
« Babeth n’a pas de protection, ne jouis pas en elle. »
Tenant compte de son avertissement, je me dégageai bien avant d’être au bord de l’explosion et continuai à la caresser de mes mains. A ce moment, sa main saisit mon pénis et l’amena devant son petit trou. Devant cette invitation, je commencer à appuyer mon gland sur l’orifice. Le passage était étroit, et je dus la lubrifier plusieurs fois , usant de mon doigt pour assouplir sa rondelle. Mon gland progressa difficilement, mais cette résistance me donna une rigidité de fer, et , la barrière franchie, mon sexe coulissa facilement dans son cul. Je me mis à la limer, de plus en plus fort, la cramponnant aux hanches, sentant la chair de ses cuisses frémir à chaque contact. J’avais l’impression d’avoir entre les jambes, un bout de bois qui pouvait rester raide mais ne donnerait aucune sève. J’accélérais la cavalcade, secouant cette monture sans ménagement. Elle se mit à crier, d’abord doucement, puis de plus en plus fort, et je sentis la lave monter en moi, de très loin. Je sentais une coulée de feu qui se frayait un chemin en moi. Les mains de Valérie, qui avait changé de position, englobèrent mes couilles, les soulevant en les caressant, et je sentis son doigt venir forcer mon anus. Les chevaux se libérèrent enfin et mon volcan laissa jaillir sa lave, longuement, mon pelvis collé au cul de Babeth.
Elle se dégagea, d’un coup et partit vers la salle de bains. Elle se retourna vers nous, et dit :
« C’est cadeau pour Valérie. » avant de s’enfermer.
Valérie m’accueillit sous les draps et nous nous blottîmes l’un contre l’autre.
Liam, entra dans la chambre, et lança :
« j’ai entendu des cris. J’ai manqué quelque chose ? »
Clara le suivait, toujours nue. Elle se jeta sur son lit et s’enroula dans le drap.
« ça va Clara ? » demanda Valérie.
« ça va, mais ce gars là » dit elle en désignant Liam « Il est pas possible. Je crois que j’ai pris en une nuit, pour dix ans de baise. J’ai mal partout ! »
« ah ! je sais il a bandé comme un âne toute la nuit, et on a eu toutes les peines à lui échapper » rigola Valérie
« Vous aviez une bête de sexe dans votre classe, et vous l’ignoriez. Mais la bête s’est réveillée, et vos minous sont en danger » clama l’intéressé en se frappant la poitrine.
« Eh superman, n’en fais pas trop quand même, » lança Valérie « tu étais moins fier hier, quand on a dû te porter jusqu’ici ! »
« peuh, juste un incident de parcours »lâcha Liam, en revêtant son pantalon. « bon où est ma chemise ? »
« dans la salle de bains, elle sèche. Clara l’a lavée parce que tu avais vomi dessus. »
« Dame Clara, vous êtes décidément parfaite en tous points » s’inclina t’il en se tournant vers elle. « Bon, je suppose que pour aller jusqu’à ma chambre, le pantalon suffira.
Quelques instants plus tard, je quittais aussi la chambre, les filles ayant visiblement du sommeil à rattraper, et me dirigeais vers la mienne. Je frappais à la porte et enendis un
« entrez ». La pièce avait changé d’aspect, Frédéric avait rapproché les trois lits simples, ce qui dégageait totalement l’espace autour, la faisant paraître plus grande. Les tourtereaux étaient allongés côte à côte, sagement recouverts d’un drap et d’un couvre lit.
« Je ne fais que passer, mais j’ai besoin d’affaires. »
« entre, tu es chez toi » me dit Nelly « Je voulais te remercier, justement pour la chambre. »
« oui, n’en parlons plus. Ça a été vous, hier soir ? » m’enquis-je
« nous oui, » repondit Fred, mais Liam et toi, vous n’aviez pas l’air bien. Ça va lui ? »
« Oui, il a récupéré mieux que moi, en fait. Mais qu’est ce qu’ils ont mis dans leur sangria ? »
« Elle tapait pas mal. Je m’en suis méfié et me suis contenté du vin » précisa Frédéric
« et moi, je bois très peu, ajouta Nelly, et malgré ça j’étais un peu pompette. »
Après avoir enfilé des vêtements propres, je les abandonnais et allais frapper à la 428.
La porte s’entrouvrit sur Karine, qui me voyant, fronça les sourcils.
« ça veut dire que tu vas squatter en permanence ? » me jeta t’elle
« Je n’ai pas d’autre chambre, donc, j’en ai bien peur. »
« tu as bien dû en trouver une pour passer la nuit dernière. »
« enfin, la nuit dernière c’était un peu particulier… »
« oui, je l’ai entendu dire. Problèmes d’alcool ? »
« je ne me suis pas assez méfié des boissons locales. »
Elle me laissa entrer, et j’allais me préparer pour aller à la plage, où je pourrais dormir sous la caresse du soleil.
Karine, maquillée comme une reine de Sabah, s’en fut après m’avoir donné un double de clef. Finalement, je ne devais pas la déranger tant que çà.

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