COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (10/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (10/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(10.0 / 10)

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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (10/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis coincé, je venais récupérer l’argent des mallettes planqué par Louisa, Boby, même Polo qui semble être l’homme à tout faire de mon amant qui vient de me faire mettre à la tête de l’entreprise afin de piquer tous son argent et entraîner une banqueroute frauduleuse qui m’incomberait.

J’ai débloqué une fenêtre pour contourner le système d’alarme afin d’éviter que si Boby s’aperçoit que son argent a disparu avant que Christian n’ait agi, il consulte l’ordinateur qui gère les entrées et les sorties et que mon numéro de badge apparaisse.
J’avance avec prudence, incroyable, c’est un homme en combinaison de travail qui est dans mon bureau, grâce à la glace qui est sur la porte de la cabine de douche où Louisa devait s’admirer avant de partir, je vois un black assis dans le fauteuil devant le bureau.
Il fume, il boit le whisky qu’Albert m’a offert la dernière fois où nous avons baisé et en plus, il a sorti sa verge et se masturbe, à ses côtés un charriot, c’est le technicien de surface black comme Boby qui doit nettoyer les bureaux de nuit qui semble prendre du bon temps.
Je suis attendu par Serge et après 10 minutes, le temps me semble interminable, deux solutions s’ouvrent à moi, la première, entrer dans le bureau, le sucer et lui demandé de me laisser aller dans mes lavabos.
Je rigole, depuis que j’ai accepté de tromper Lionel pour garder mon emploi, je ne pense qu’au sexe, je suis un sexe sur patte se déplaçant au gré de mes besoins afin d’accumuler les amants, trente-deux, trente-trois, trente-quatre peut-être, si je compte Serge.
Serge, élève curé, que j’ai dépucelé et qui m’attend avant d’aller retrouver le Cap d'Agde dans la voiture de son père, quelle salope je fais, détourner un homme d’Église de sa vocation.
Une fraction de seconde, je pense que j’ai réalisé en femme ce que tout grand séducteur semble vouloir réaliser, sauter une bonne sœur avec sa cornette, il me faut agir.
La deuxième idée, c’est celle que je mets en pratique, je vais vers l’ascenseur, j’appuie sur le bouton et je vais me cacher dans le bureau le plus proche, celui de Geneviève, juste en face.
J’entends un bruit comme si quelqu’un paniquait, je vois le black, deux fois moins grand que Boby venir voir l’ascenseur, qui arrive au moment où il se pointe, les portes s’ouvrent, bien sûr il n’y a personne.
Je le vois se gratter la tête.

• Putain d’ascenseur, voilà qu’il se met en route tout seul, il devient fou, l’autre fois, les portes ont refusé de s’ouvrir et je suis resté bloqué 6 heures avant que la secrétaire n’arrive, il va me faire mourir d’une crise cardiaque ce con.

À cinq mètres de lui, je manque d’éclater de rire, est-ce le fait de travailler seul, le fait parler seul, il retourne dans mon bureau, j’entends un bruit de verre, il doit ranger la bouteille et je le vois sortir avec son chariot sifflant de nouveau.
Pendant que je suis dans le bureau de Geneviève, je remets ma lampe frontale, j’ouvre le tiroir et je prends la dizaine de cartes qui sont toujours là, bingo. « Paul Adam », la photo correspond à l’homme qui m’a reçu devant le club que je suis sur le point d’acheter, je repose les autres et je pars prestement dans mon bureau.
Je récupère les mallettes, je les ouvre, des billets de 500 €, ils ont blanchi les dollars certainement grâce à un réseau mafieux, je compte 50 000 € que je vais remettre à Serge en même temps que je signerais le compromis de vente et qu’il me remettra les clefs de l’ensemble club et logement.
Le sac de sport est plein quand je place la dernière liasse avant de le fermer, il me reste un travail à faire, remettre en place les mallettes avec une petite surprise si les amants diaboliques les ouvrent en premier.
Ce travail fait avec plaisir, il me reste à refermer la trappe qui les obstrue.
Je quitte mon bureau, je reprends l’escalier portant le sac, j’ouvre la porte, pas de lumière, pas de sifflement, je rejoins le local et je laisse tomber le sac avant de sortir moi-même.
Je n’ai pas oublié de récupérer le morceau de carton que j’avais placé pour coincer le vasistas et je me dépêche de retourner à ma voiture.
Il me reste une chose à faire qui une nouvelle fois va me prendre un peu de temps, je referme mon coffre sans bruit et je retourne à l’entreprise en courant longeant les murs.
Quand j’arrive à la porte du parking, elle s’ouvre, une camionnette en sort, heureusement, j’ai pu me mettre derrière un poteau, le black qui faisait le ménage en buvant mon whisky conduit, je le vois tourner le coin de rue.
J’attends encore quelques minutes et je passe le badge au nom de Polo Adam, j’entre dans le parking, j’ignore où Polo est, il se peut qu’il soit avec Boby, et mon subterfuge tombera à l’eau.
Trente minutes et je ressors refermant le parking avec la carte, j’ai pu faire cette opération pour brouiller les pistes, si la carte n’avait pas été dans le bureau de Geneviève, ça passait tout de même, mais avec un coupable de moins.

Voiture, changement de tenue, et sac à main avec les 50 000 €, je rejoins le club et Serge qui m’attend, mince, il est presque minuit.

• J’avais peur, que ta venue d’hier soit un canular, bien que je fusse certain que j’avais perdu mon pucelage.
• J’ai crevé, je commençais à démonter quand un homme s’est arrêté pour m’aider, je peux me laver les mains, elles sont bien noires.

Quand je vous dis qu’une femme a toujours un tour dans son sac.

• Voilà l’argent, je vais te demander un service, si un jour quelqu’un t’interroge et te demande à quelle heure, je suis arrivée, dit que j’étais là à 10 h 30.
• Du matin.
• 22 h 30 si tu préfères, je sais, tu veux être prêtre, même si je te fais douter, depuis que je t’ai dépucelé, pense qu’il y a une autre vie que cette vie de prière, mais tu vas pouvoir choisir la voie que tu souhaites et mentir n’est certainement pas dans tes principes.
J’ai un problème à mon travail avec mon supérieur hiérarchique, il me harcèle, mais ce sera bientôt terminé, ma vie peut dépendre de ton témoignage, car il essaye de m’entraîner dans une histoire louche, je ne peux pas t’en dire plus.
• Je n’aime pas mentir, c’est normal, si je peux t’aider à te sortir des pattes d’un tel salopard, je dépasserais, mes croyances, tu peux compter sur moi.

Je viens me lover dans ses bras, nos bouches se trouvent et je me retrouve rapidement sur son lit, sa langue sur ma chatte puis sa verge à l’intérieur, il décharge.
Je suis tellement crevée que je voudrais dormir, mais je tiens au témoignage de mon amant alors, je me laisse prendre une seconde fois en levrette avant de tomber dans les bras de Morphée et quelques secondes, je dors.
Quand je me réveille, Serge dort encore, c’est nu que je descends dans le club, car je dois aller vite et là où était la bouteille de whisky, j’y cache mon sac, qui viendra chercher le paquet d’euros dans cet endroit ?

Je vais directement à mon travail, je suis arrêtée par des voitures de police qui semble entourer notre entreprise, un gardien de la paix, me demande d’aller me garer et de rejoindre le commissaire qui dirige l’opération.
Un autre policier m’accompagne quand je prends l’ascenseur.

• Pouvez-vous me dire pourquoi tout ce déploiement de forces ?
• Je ne peux rien vous dire, vous verrez.

Je me dirige vers mon bureau suivi par mon ange gardien, la porte de la salle de bains est ouverte, d’où je suis-je vois que la protection de la cache est toujours en place.
Boby et Louisa sont là, menottes aux mains, ils doivent craindre la carrure de Boby, ils sont entourés de quatre policiers.

• Madame, vous vous appelez bien Joelle, la nouvelle patronne de cette boîte.
• Oui, Monsieur, monsieur Boby m’a nommé à ce poste quand il a racheté la société à monsieur Gandin.
• Connaissiez-vous monsieur Boby Smith alias John Édouard lorsqu’il était aux USA ?
• Non, je l’ai connu quand monsieur Gandin l’a mise à la place de mon ancien supérieur qui a pris sa retraite.
• Lui en avez-vous voulu ?
• À qui, à monsieur Boby ou à monsieur Gandin !

J’insiste sur les messieurs, je ne vaux pas faire voir que je suis devenue la maîtresse de l’homme qui grâce à Christian se retrouve menotté avec sa complice.

• Non et j’ai bien fait, je dirige tous maintenant.
• Deux dernières questions, Madame.
• Si je peux vous répondre !
• Avez-vous signé des feuilles blanches à monsieur Boby pour une demande de prêt ?

Heureusement que je connais les dossiers américains, j’aurais pu me faire piéger, le commissaire montre qu'il le connaît.

• Nullement, je connais la loi, c’est strictement interdit, Dieu seul sait ce que l’on peut faire de votre signature, si vous en signez.
• Salope, tu es une salope, tu te fais baiser par mon mari et maintenant tu refuses de reconnaitre les cinq feuilles que tu as signées et que John m’a montrées.
• Comment savez-vous qu’il y en a cinq, madame Gandin, je ne l’ai pas mentionné, c’est bizarre et pourquoi John ?

Louisa voyant qu’elle avait fait des bourdes se tait, le commissaire ne m’interroge pas sur l’insinuation que je suis la maîtresse de son mari.
Boby la regarde avec de la haine dans les yeux, comment a-t-elle su que j’étais la maîtresse d’Albert ?
C’est à ce moment que le portable du commissaire sonne, il va dans le couloir et revient.

• Salope, tu es une salope, tu te fais baiser par mon mari et maintenant tu refuses de reconnaître les cinq feuilles que tu as signées et que John m’a montrée.
• Des inspecteurs ont fouillé votre domicile boulevard Saint-Germain, et à part 500 000 € en liquide, ils n’ont pas trouvé l’argent que vous avez dérobé à Dallas et à Denver.

Boby à un sourire ironique, mince, il y avait autant d’argent caché boulevard Saint-Germain, mais le pactole qui est caché dans le frigo du club échangiste est bien suffisant pour vivre une vie tranquille.

• Madame, vous semblez bien anxieuse, pourquoi regardez-vous avec insistance vers cette porte, inspecteur, regarder ce qu’il y a derrière ?
• Nous avons vérifié avant que vous arriviez, Monsieur, un simple cabinet de toilette.
• L’avez-vous fouillé ?
• Non, Monsieur.

C’est à ce moment que le maillon faible du plan de Boby se met à fondre en larmes.

• Pauvre conne !...

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