COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (11/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (11/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (11/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis contente, ma vengeance avance bien, Christian des États-Unis à respecter la part de son contrat que j’avais élaboré pour me venger de plusieurs trahisons survenues dans mon entourage avec en tête Boby mon supérieur hiérarchique qui a profité de sa position dominante.
Il a fait de moi, une femme calculatrice et dévergondé en m’offrant à trente mecs dans un ancien club échangiste que je viens de racheter à Serge l’élève curé que j’ai lui aussi détourné de sa vocation.
En lui offrant mon sexe, non seulement, j’y ai pris du plaisir, mais j’ai déclenché en lui l’envie irrésistible d’aller baiser au Cap-d’Agde.

De retour dans la société que je dirige depuis qu’il m’a porté à sa tête, après la nuit me servant d’alibi chez mon amant, je trouve nos bureaux remplis de flics avec pour les diriger, un commissaire de police.
Boby est dans mon bureau avec Louisa qui semble dépassée par les évènements, les bracelets qu’elle a aux mains, bien moins jolies que ceux que monsieur Gandin lui offrait doivent y être pour quelque chose.
Le commissaire me parle de l’argent qu’ils semblent chercher, quand Louisa fixe avec insistance vers le local où elle a fait installer une salle d’eau et surtout la cachette sous la cabine de douche.
Vu l’espace restreint, un seul agent cherche, pauvre con, baisse les yeux, oui il y a une ventilation, mais trop petite pour y cacher un tel paquet d’oseille, jusqu’au moment où la chance nous sourit, il tape avec la pointe de son pied sur la planche qui sonne creux.
En moins de cinq minutes, les deux mallettes sont apportées sur mon bureau.

• Elles sont bien légères, commissaire.
• Ouvrez-les !

Je sais ce qu’ils vont trouver, j’ai oublié de dire que j’ai laissé une petite note d’humour.

• Il y a un billet de 100 € dans chacune d’elles, avec un billet identique dans chaque tapée à la machine, certainement celle qui est là.

« Arsène Lupin, gentleman cambrioleur. »

• Qui m’a volé mon argent, c’est toi Louisa, tu m’as trahi, je croyais que je pouvais avoir confiance en toi depuis les années et les galères qui nous ont animés.
• Mais chéri, je t’aime depuis longtemps, pourquoi t’aurais-je trahi, ce doit être cette salope.
• Pourquoi l’on m’insulte, commissaire faite quelque chose ?
• Monsieur, emmené ces deux personnes au commissariat, rappelez leurs droits.

Finalement, je vois dans le journal que Boby a été expulsé vers les USA pour être jugé sur ses affaires, la justice américaine en a fait de même pour Louisa, mais notre pays refuse d’extrader, même à un pays ami ses ressortissants alors elle sera jugée en France.
Le commissaire et les juges ont émis un mandat d’arrêt pour Polo qui est venu dans la société de nuit juste après le départ de l’employé d’entretien, qui lui dépose que sa nuit a été calme.
De nombreuses personnes ont vu un homme portant de lourde valise traversé le Rhin à la nage, d’autres l’ont vu dans Genève, même la frontière espagnole a été l’un de ses points de passage en pleine montagne.

Monsieur Gandin a divorcé, c’est moi qui l’ai épousé, il avait un coffre dans la banque près de chez lui où les liasses de billets ont trouvé leurs places, sans qu’il le sache bien sûr.
C’est facile, j’habite à Paris avec Romain mon fils et sa gouvernante alors qu’Albert se repose au bord de la piscine où je le rejoins chaque fois que mes occupations me le permettent.

Il faut que je vous touche deux mots de la gouvernante de Romain qui se prénomme Aby, je l’ai engagé quand je l’ai récupéré ce qui a à peu près à la réouverture de mon club échangiste.
Après mon annonce, plusieurs personnes se sont présentées, parmi elle, cette grande Anglaise tous juste sortie de son couvent anglais, elle voulait travailler au rythme de Romain surtout pour son école et prendre des cours à d’autres pour devenir magistrate.
J’avais une exigence, nous allions vivre côte à côte, du moins, au début, je le croyais, alors je voulais sentir des atomes crochus entre nous.
Avec Aby, ce sont ses yeux qui m’ont fasciné, moitié biche, moitié crocodile d’un vert profond, devenant légèrement gris quand elle se met en colère.
J’ai rapidement compris qu’elle était plus femme qu’homme, sexuellement, bien sûr, un jour dans la cuisine, j’étais dénudé sortant de mon lit vers dix heures du matin quand elle est revenue de l’école.

• Joelle, cela me fait plaisir de vous voir, nous avons des horaires différents depuis que le club à réouvert.

À ce moment, elle passe derrière moi et me pose la main sur mon épaule, avant qu’elle ne l’enlève ma main la saisit, l’obligeant à s’arrêter.

J’ai levé la tête, c’était fait, mes yeux dans ses yeux, tel le prédateur qui fascine sa proie avant de la tuer, c’était fait, ma vie devait prendre un tournant supplémentaire, cette jeune Anglaise devait finir dans mon lit et m’apprendre les plaisirs lesbiens qu’une femme est capable d’apporter à une autre femme.
Dès la première fois, elle me fait découvrir une facette de ma sexualité que j’ignorais, elle déclenche en moi des effets tels quand me suçant le clito, elle m’a mis un doigt dans l’anus, vite rejoint par un deuxième.
A-t-elle touché des glandes avec ses doigts remontant en moi, ce qui est certain, c’est que j’ai inondé le lit de jets incontrôlés et incontrôlables, je lui en ai mis plein le visage et en même temps les draps.

Le club, je l’ai acheté à Serge définitivement, dès que j’ai été lavé de tous soupçons, mes dires s’étant avérés exacts, les feuilles blanches que j’avais signées portait une tout autre signature que la mienne.
La vie a tellement accéléré qu’il m’est difficile de la rapporter dans une suite logique.
La nuit, quand le club ouvre, je deviens la Dame en Rouge, j’ai plusieurs robes d’un grand couturier voisin du club, toutes identiques, au club, je m’occupe des relations publiques avec de riches clients et clientes qui viennent s’encanailler en se mélangeant les uns avec les autres.
Il m’arrive de me mélanger avec eux, à la fermeture ces matins-là, je rejoins Aby, mais nous sommes sages, si en me réveillant elle est rentrée, nous nous donnons du plaisir après avoir mis une alèse sous nos fesses.
Mes amants, je les rejoins les uns les autres au gré de mes possibilités, il y a les clients que j’accepte de suivre dans l’une des alcôves, mais c’est rare, je veux garder une distance avec eux, suis-je ou pas la Dame en Rouge pour une partie du Tout-Paris.
Pour les hommes que je vois régulièrement, je les prends par l’ordre ou je les ai connus au fil de ma vie.
À tout seigneur, tout honneur, Christian, nous avons fusionné les entreprises, c’est lui qui s’en occupe, me contentant d’encaisser les dividendes, du moins ceux de mon mari, mais dans l’ordre des choses, Albert, nous en reparlerons dans la chronologie.
Certains après-midis, je le rejoins dans notre bureau, il a remplacé le canapé pour un autre très confortable et j’aime qu’il me prenne en levrette, mais le plus souvent, c’est sous la douche que j’aime qu’il me baise, sous la douche le bac toujours haut ayant fait ma fortune.
J’ai appris qu’aux USA, il a une femme depuis la trahison de Geneviève avec mon ex, Lionel.
Vous me suivez, il est vrai que nos mœurs dissolues compliquent mon récit.
Christian est donc marié et Bridgette attend un enfant, il est prévu un voyage ensemble, là-bas, afin que je devienne la marraine de son fils.

Lionel, amant puis époux, file le parfait amour avec Geneviève à Nice où ils sont allés s’installer.
Quand il faut que Romain rejoigne son père, c’est Aby qui le conduit avec la voiture que je lui ai offerte, j’ai trop d’occupations.

Albert, j’en ai touché un mot, quand il a divorcé, nous avons passé un accord, en l’épousant, il me laissait toute liberté sexuelle, sauf quand je prends quelques jours de vacances avec Romain et Aby.
Je suis sexuellement avec lui, mais c’est reposant, car l’âge venant, il est plus proche des pratiques avec sa langue comme le fait ma petite-maîtresse que des pénétrations farouches et dévastatrices.
J’ai réussi qu’Aby nous rejoigne, le transformant en un mari candaulisme, car il n’est pas question qu’elle touche la queue d’un homme même le mien.

Il a dans ce club le bureau de l’ancienne direction où il s’occupe de l’informatique, de la musique le soir, avec paiement de la Sacem, ainsi que le site Internet relié au compte Facebook ou Twitter de nos clients qui ont bien voulu les données afin d’annoncer les soirées à thème que nous organisons.
Des hommes permanents, c’est le plus proche de ceux qui sont caressants comme peu l’être une femme depuis que je pratique les amours saphiques, quand nous nous isolons dans son appartement, nous baisons, mais je n’en sors jamais dévaster.
Le soir, il aide au bar, quand Judith, la jeune femme que nous avons embauchée doit s’absenter, il aime de temps en temps satisfaire des clientes qui aiment son joli petit cul.
Un dernier point sur lui, je l’ai vu suivre des hommes dans des alcôves, je ne suis pas voyeuse, mais je pense que dans sa vie antérieure, il a peut-être été à voile ou à vapeur et l’est resté, chacun a le droit de vivre sa vie, avant Boby, j’étais bien une jolie femme aimante et relativement fidèle.

Pour finir le tableau de ma nouvelle vie, avant de vous avouer ce que je vais faire ce soir, il y a deux hommes qui ne sont pas mes amants, même si l’un d’eux m’a sauté à la fin du gang bang.
Abdou, c’est le noir qui était dans nos locaux faisant le ménage, quand sa camionnette était passée devant moi, j’avais vu la raison sociale, Serge s'est chargé du contrat et au matin quand le club ferme, je l’ai rencontré,
J’ai personnellement passé un contrat avec lui, dans le local où il range son matériel, chaque semaine, je lui fais placer sept verres avec une bouteille de whisky, une et si j’apprends qu’il a touché à celle du bar, je mettrais son patron au courant et le ferais virer.
Le deuxième, c’est Polo, un matin avant l’ouverture de mon club, un homme est entré alors que je venais de recevoir du champagne et que je contrôlais ma commande.
C’était Polo qui me menaçait avec un couteau de commando qu’il avait fait avant d’être recruté par Boby pour ses basses œuvres.
J’ai réussi à le calmer et à le convaincre que je n’étais pour rien dans sa cavale et que j’étais prête à l’aider s’il souhaitait s’en sortir.
Christian m’a aidé, nouveau papier, il s’appelle Alain Durand, il a fait pousser sa barbe, je le loge avec Serge dans l’immeuble que j’ai acheté et qui me sert à recycler mon argent dans la pierre.
J’ai dix logements dans cet immeuble, sept que je loue et trois que j’offre à mes amis, afin qu’il y vive, il est le videur du club, j’ai même un jour vu le commissaire venir nous voir et passer sous son nez sans le reconnaître.
Je sais qu’il vit avec une cliente qui le rejoint chaque fois que son mari est absent, c’est son affaire pas la mienne.

Bien, c’est bien beau tout cela, il faut que je vous quitte, ce soir le club est fermé comme l’année passée, et les années suivantes, c’est la soirée de la Dame en Rouge.
Trente hommes clients du club avec l’accord de leur femme pour ceux qui sont mariés, vont venir avec leur carton d’invitation participé à mon gang bang comme celui que Boby m’a fait subir pour avoir mis une petite culotte.
Je sais qu’une nouvelle fois, je serais leur chienne, le seul avantage pour moi, c’est que lorsqu’ils auront fini de s’épancher, je rejoindrais mon logement sans aller dans la rue comme il y a deux ans.
J’ai en mémoire le rire des hommes dans cette voiture me klaxonnant quand je rentrais chez moi, mon visage et mes cheveux couverts de sperme.
Bref, la Dame en Rouge, a une vie trépidante.

On oublie toujours quelque chose quand on fait des énumérations.
Je souhaite donner une petite sœur à Romain qui me la réclame, Aby elle aussi souhaite s’occuper d’un bébé, depuis quelques jours, j’ai enlevé toute contraception, PMA, je m’en fiche.
Il se trouvera bien l’un de mes amants ou l’un des trente hommes de ce soir, voir Albert que je rejoins demain après-midi pour lettre en moi la petite graine nécessaire à ma fécondation, je suis en excellente période d’ovulation.

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