Terma 25 – Ma femme et le jeune libraire

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 25 – Ma femme et le jeune libraire Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 25 – Ma femme et le jeune libraire
Terma 25 – Ma femme et le jeune libraire:
Pour satisfaire les énormes besoins sexuels de ma femme, et suite à sa rupture avec son ancien amant, il me fallait, en urgence, lui trouver un autre homme à la hauteur. Par expérience, je savais que mes capacités sexuelles étaient loin de la satisfaire. J’avais pensé à réutiliser la drague du bus du souk, mais c’était trop aléatoire et dangereux, car on pouvait aussi tomber sur un policier en civil et ce serait alors le scandale. Par chance, c’est ma femme qui allait m’aider à trouver une autre solution.
En effet, un jour, revenant du marché, le visage rouge d’excitation, elle m’a raconté ce qui venait de lui arriver, ce matin. Comme elle cherchait un livre de recettes de cuisine marocaine, elle est entrée dans une grande et vaste librairie où il y avait une foule de clients et plusieurs vendeurs. Au niveau du rayon d’ouvrages étrangers, elle a vite trouvé ce qu’elle cherchait mais aussi d’autres livres qui ont attiré son attention.
Elle a pris un roman, au hasard et lisait, au verso, le CV de l’auteur lorsque l’un des vendeurs, un beau jeune homme d’une trentaine d’années, s’est approché d’elle pour la conseiller. Gentiment mais fermement, il lui prit le livre des mains et le remet sur l’étagère en lui disant qu’il n’était pas son genre. Ma femme, choquée par ce geste du jeune vendeur qui continuait à sourire et à hocher de la tête d’un air bizarre, a exigé des explications.
Le jeune homme, certainement guidé par la tenue traditionnelle de ma femme (hijab et voile), hésita un peu mais a du lui expliquer que c’était un roman un peu spécial, avec des parties un peu osées, de la littérature érotique étrangère. Ma femme, après réflexions et ayant bien saisi le contenu spécial de l’ouvrage, lui a répondu qu’elle avait le droit de lire ce qu’elle veut et qu’elle allait peut être, acheter ce livre.
Le jeune, choqué un instant, a mieux observé ma femme. Elle a remarqué que ses yeux allaient de son visage voilé à sa grosse poitrine bombée, puis vers son postérieur au large contour, et son attitude changea. Il accentua son sourire, et, se rapprochant d’elle, il lui a murmuré que, si elle le voulait, il lui procurerait, d’autres livres, discrètement, et certains même avec des images érotiques ainsi que des revues pleines de textes et de photos osées.
Sachant que c’est elle qui a provoqué le jeune, elle ne s’est pas fâchée mais a répondu que ce sera pour une autre fois. Elle m’a avoué, en rougissant et baissant la voix, comme si elle parlait à elle même, que les propositions de l’homme l’avaient excitée. J’ai sauté sur l’occasion et je lui ai signalé, d’un air innocent, que les livres érotiques, parait-il, aident beaucoup les couples dans leurs relations sexuelles et qu’elle aurait du accepter. Elle m’a jeté un coup d’œil brillant et j’ai compris qu’elle a saisi le message.
En effet, dès le lendemain, prétextant des emplettes, elle est sortie. Et aussitôt, je l’ai suivi discrètement. Dix minutes après, elle est entrée dans la librairie. Elle a accroché Immédiatement le jeune vendeur et ils ont discuté un moment, puis elle est ressortie sans achats. Le soir même, elle m’a annoncé qu’elle a été invitée pour le vendredi matin, avec d’autres copines chez une amie qui va marier sa fille.
J’ai deviné que le jeune vendeur lui a donné rendez vous le vendredi matin pour lui montrer ses livres. Et si elle ou ils devaient prendre un taxi, je ne pourrais pas les suivre. Alors, dès le jeudi après midi, j’ai emprunté, à un ami, sa voiture pour soi disant, amener vendredi, ma famille à un mariage et il m’a remis les clés.
Le vendredi matin, et afin de ne pas les froisser et salir, ma femme a mis ses beaux habits des fêtes dans son gros sac, m’expliquant qu’elle ne les mettra que chez son amie comme le font les invitées. Et pendant qu’elle s’habillait dans notre chambre à coucher, je l’ai espionnée par le trou de la serrure et j’ai remarqué que, sous son hijab, elle ne mettait rien , elle était totalement nue, à part son slip.
Ainsi, elle était excitante et provocante. J’étais convaincu que cette sobre tenue, qui, par derrière, mettait en valeur, directement, le profil de sa grosse terma et le sillon de ses fesses, et par devant, ses gros seins bien visibles et dont les boutons pointaient nettement le hijab. était destinée à aguicher et affoler le jeune homme.
Mais, prudente, elle a mis un large châle sur ses épaules, par-dessus sa tenue. Ainsi, il couvrait très bien le profil de sa poitrine et tombait par derrière, si bas, qu’il cachait presque toute sa croupe. Son corps, bien couvert, était ainsi, assez discret à première vue, sauf que, si elle osait ôter son châle, ce sera de la vraie provocation sexuelle. Ainsi armée, elle est partie vers le jeune homme.
Aussitôt habillé en vitesse, j’ai couru prendre la voiture pour la suivre de loin. Elle a prit un taxi que j’ai suivi discrètement, et à l’endroit arrangé entre eux, ma femme a rencontré le jeune homme qui l’attendait avec quelques livres sous le bras.
C’était une ruelle, déserte et discrète, en retrait de l’avenue. J’ai garé la voiture en sens inverse et dans leur champ visuel, mais assez loin pour ne pas les inquiéter. Et, couché assez bas sur la banquette, j’ai tourné le rétroviseur pour pouvoir les observer de loin.
Elle lui a tendu la main qu’il a serrée en la retenant un moment pendant qu’ils discutaient. Puis il lui a tendu un livre sur lequel elle s’est penchée. Immédiatement, elle a eu une sorte de recul, de surprise mais elle a reprit sa position en observant encore mieux le contenu du document.
Très intéressée, elle tournait fébrilement les pages et le jeune homme a aussitôt entouré de son bras libre, la taille de ma femme qui n’a pas protestée. Il a même descendu sa main et caressé la croupe de la femme tout en se penchant, comme elle, sur le livre. Il me semblait qu’il commentait le contenu des pages tout en continuant à peloter le cul de ma femme.
Soudain, elle projeta fébrilement sa main libre vers le creux de son bas ventre et commença à se frotter avec énergie son sexe à travers le vêtement. Certainement, elle a du voir quelques images tellement osées que sa chatte a du réagir brutalement. Elle devait couler de désir et exigeait de ma femme une action sexuelle urgente. Le jeune homme, lui aussi excité, a descendu sa main libre vers son bas ventre et se frottait aussi son zob à travers la braguette. Il devait bander à fond.
Suite à cette forte excitation commune de leurs sexes, j’ai eu l’impression que leurs corps se sont serrés encore plus l’un contre l’autre. J’imagine ce qu’ils doivent ressentir et le désir du contact sexuel doit être urgent. Alors ma femme s’est tournée vers le jeune homme pour lui parler et il a acquiescé de la tête.
Refermant le livre, ils sont parti vers le boulevard où ils ont aussitôt pris un taxi que j’ai suivi avec discrétion et de loin pendant une demi heure jusqu’à une cité. Garé plus loin, j’ai vu qu’ils ont pénétré dans un des multiples bâtiments où, hélas je ne pouvais plus les suivre.
Alors, j’ai décidé d’aller, effectivement, chez mes parents et je leur ai expliqué que ma femme est allée à un mariage. Vers midi, je suis retourné à la maison, mais ma femme était toujours absente. C’est seulement vers 17h qu’elle est rentrée, et comme j’étais au salon, elle est allée directement dans notre chambre pour se changer.
Curieux et excité, je l’ai, discrètement, espionnée, encore une fois, par le trou de la serrure. Elle avait déjà enlevé son châle et son foulard et j’ai remarqué ses cheveux assez ébouriffés alors que ce matin elle les avait arrangés avec soin. C’était un premier signe des résultats de ses ébats sexuels. Ensuite elle a ôté son hijab, et, sincèrement, j’ai admiré son corps entièrement nu et que je connaissais pourtant à fond.
Sa large terma, ses gros seins et même sa chatte soigneusement rasée et gonflée, car elle n’avait plus de slip, m’ont tout de suite excité et ma bite commençait à se réveiller. Sachant que son corps sentait encore le sperme et l’odeur du jeune homme, mon excitation s’est amplifiée. Surtout lorsqu‘elle s’est baissée pour contrôler le contenu de son sac. Son cul tendu offrait à mes sens affolés, le sillon de ses fesses et son anus qui étaient aussi lisses que sa chatte.
Elle a retiré du sac sa tenue des fêtes pour la ranger dans l’armoire, puis elle a sorti un document. J’ai deviné que c’était l’un des livres osés que le jeune homme lui a offert comme souvenir de leur contact et de leurs ébats. Mais je ne voyais pas le slip, donc j’étais certain qu’elle a du l’offrir à son amant, comme gage, et peut-être, pour y sentir l’odeur de sa chatte et de sa terma pleinement rassasiées, jusqu’à leur prochaine rencontre..
Comme ma femme bougeait, j’ai regagné ma place au salon. Aussitôt ma femme est sortie de la chambre, en peignoir, et avec le document à la main et s’est assise à coté de moi. Elle me souriait bizarrement et ses yeux brillaient d’un éclat inhabituel. Elle a ouvert le livre, qui était en réalité une revue, et m’a invité à y jeter un coup d’œil. Pas possible, ma femme veut m’exciter pour baiser comme elle le faisait quant elle revenait directement de chez son premier amant. C’était inutile car ma bite était déjà bandée depuis un moment, mais j’étais avide de voir son contenu.
Ensuite, ce que j’ai vu dans la revue m’a bouleversé et son action sur mon zob a été telle que j’ai failli éjaculer dans mon pyjama. On y voyait en grosses photos très nettes et suggestives, des hommes nus qui exhibaient leurs grosses et longues bites bien gonflées. Une photo montrait même une énorme bite en pleine éjaculation fournie. Des baises et des sodomies suggestives, c’etait de la provocation crue.
J’ai compris maintenant ce qui avait fait sursauter ma femme et exciter sa chatte immédiatement lorsqu’elle avait vu ces photos. Et le jeune homme, qui avait aussi remarqué l’intérêt de sa proie, lui avait entouré la taille de son bras et peloter ses fesses sans qu’elle ne proteste. Puis elle avait accepté d’aller chez lui pour éteindre l’incendie de sa chatte enflammée et de sa terma affamée.
Maintenant, la tension de ma bite est montée d’un cran et j’avoue que même ma terma m’a chatouillée à la vue de ces grosses queues gonflées à bloc ou enfoncées dans des culs féminins et masculins. Ma femme, en revoyant ces photos, a commencé à souffler fort et à un moment elle a même poussé un rire hystérique, et m’a touché le zob à travers le pyjama. D’un commun accord, on s’est redressés en rejetant nos vêtements par terre et on a couru tous nus vers la chambre à coucher.
Etendue sur le lit, jambes et cuisses largement ouvertes, ma femme continuait à regarder les photos de la revue. Je me suis penché sur sa chatte et, j’ai constaté avec mon doigt, quelques traces du sperme de son amant, de même, un peu sur ses cuisses. D’ailleurs, la peau de ma femme sentait encore l’odeur mâle de l’amant Tout cela a fait exploser mes fantasmes érotiques. Mais je voulais voir encore plus.
Alors, j’ai retournée ma femme sur le ventre pour voir les traces sur sa belle terma. La aussi, l’amant a semé sa semence et son odeur. Sur les fesses et leur sillon de son cul, l’odeur de son amant et les restes de son sperme étaient encore plus fortes. Comme ma femme, couchée sur le ventre et le cul en l’air, continuait à scruter les photos osées et que je voyais moi aussi par-dessus son épaule, j’ai plongé.
Mon zob gonflé à me faire mal, s’est fiché automatiquement dans le sillon de ses fesses et d’un coup vengeur je me suis enfoncé dans le cul de ma femme. J’ai ressenti cette sodomie comme l’une des meilleures de nos relations, et lorsque j’ai éjaculé, mon impression était d’avoir expulsé non seulement tout le sperme de mes couilles mais aussi toute ma cervelle dans les entrailles de ma femme. Ensuite, je suis resté, un bon moment étourdi, sur le dos et le cul de ma femme.
Mais, impatiente, ma femme s’est secouée, et d’une poussée, elle m’a balancée sur le coté, et s’est relevée pour s’assoir sur mes cuisses, pour pomper, sucer et branler ma bite avec frénésie. J’en ai profité pour regarder encore les photos suggestives de la revue, ce qui a fait redémarrer mon excitation et aider ma femme pour durcir ma bite en quelques minutes. Alors, elle s’est accroupie sur mon zob pour l’enfoncer avec avidité dans sa chatte. Je restais sans bouger mais à m’exciter sur les photos.
Ma femme, d’autorité, a pris possession de ma bite gonflée et voulait baiser à sa convenance et à sa manière en donnant le maximum de plaisir et de jouissances à sa chatte. Elle accentuait ses vas et viens, se dandinait et roulait du derrière, me griffant la poitrine et criant son plaisir. Elle a eu un grand orgasme qui l’a fait hurler.
Puis, encore avide, elle a continué, longuement et tellement avec endurance et expérience qu’elle a réussi à me faire éjaculer une seconde fois, ce qui est assez rare pour moi. Et juste après, elle a eu son second orgasme bruyant. Puis, elle s’est écroulée sur ma poitrine complètement inconsciente. Cette position m’a tellement enthousiasmé que je n’ai pas bougé, et épuisé moi aussi, je me suis endormi.
En effet, ce soir la, épuisés et satisfaits de nos jouissances sexuelles, nous nous sommes endormis, l’un sur l’autre, nus et directement sans passer par la salle de bain. Et, ce n’est qu’au milieu de la nuit, réveillés par le froid, que nous avons constaté les dégâts sur les draps du lit. Aussitôt, nous les avons remplacés après notre passage dans la salle de bain.
Cet incident m’a rappelé un aveu de ma femme, il y a quelques jours. Elle m’avait dit qu’elle aimerait dormir avec un plein de sperme de son mari dans sa chatte, mais elle n’avait jamais tenu parole. Son vœux a été accompli ce soir, endormie avec l’odeur et le sperme de son mari et de son amant, mélangés dans sa chatte et sa terma.
Ensuite, et deux fois par semaine, on a continué à faire l’amour ainsi, au rythme de ses rendez vous avec le jeune homme, et cela pendant trois mois. Et puis, je ne sais pas pourquoi, les deux amants ont rompu. Et, après quelques jours de calme, nos relations sexuelles se sont encore dégradées, comme prévu. Il fallait donc que je trouve à cette forcenée du sexe, un autre amant à la hauteur. A bientôt.

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