COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’héritage (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’héritage (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’héritage (1/1)
60 ans quand mon mari Léon me quitte de façon fulgurante quand son cœur a lâché.
Quarante ans de mariage à le servir, à être aux petits soins pour lui alors que nous étions dans la routine des couples, certes, il me faisait encore l’amour une fois par mois et aidée grâce à notre toubib avec des petites pilules qu’il prenait les matins ou il avait décidé de me sauter.
Je dis bien sauter, car seul son plaisir comptait, il débarquait dans la chambre la queue tendue, retirait la couverture et le drap me faisant frissonner, hélas pas de plaisir.
Je savais que je devais écarter mes cuisses, il me pénétrait me faisant souvent mal, car à aucun moment, il ne me stimulait pour que ma chatte mouille.

Le produit pour bander a fait son effet ce matin-là, il venait de me pénétrer quand j’ai senti une masse inerte sur moi, il venait de me quitter, j’essayais de me libérer, mais il était trop lourd pour une femme frêle comme je le suis.
Ce qui a été incroyable, c’est que le sang dans sa verge était toujours là, j’ai voulu me dégager, j’ai joué du cul et d’un coup, la jouissance est montée en moi, la jouissance.
Je dois dire l’orgasme, car je hurlais autant de peur d’avoir mon mari masse inerte sur moi et cette verge qui était dans mon vagin dans un temps que je ne saurais dire, ce qui est sur bien plus longtemps que les dernières fois que nous avions baisées.

J’ignore comment, j’ai réussi à me libérer, mais je l’ai fait, j’ai attendu plus de dix minutes que mon cœur se stabilise tellement mon orgasme m’avait dévasté malgré la peur que j’avais eue.

Quelques jours plus tard, le constat de notre médecin ayant conclu à une mort naturelle dans son sommeil, il me signait le permis d’inhumer et Léon rejoignait le carré de sa famille dans le cimetière de Neuilly.

J’héritais de tous ses biens étant sa seule famille, sa lignée s’arrêtait, car nous n’avions pas eu d’enfant, il avait toutes les tares, il avait un taux de spermatozoïde trop bas pour pouvoir me faire un enfant.
Sa succession le tarabustait, il m’avait parlé adoption, mais à part les enfants asiatiques qui étaient possibles d’adopter, sur la France, cela devenait impossible.
De mon côté, élever un enfant n’étant pas sorti de mon ventre était une mission impossible, alors les années ont passé, j’ai eu ma ménopause, nous nous sommes faits une raison.
C’est à son enterrement que Georges, son copain de toujours est venu me présenter ses condoléances, mais surtout me convoquer pour l’ouverture du testament, ils étaient amis et son notaire depuis qu’il avait ouvert un cabinet à deux pas de chez nous.

Maison à Neuilly, actions et autres bien dont une maison à Bormes-les-mimosas où nous passions nos vacances et où nous devions nous retirer quand il aurait pris sa retraite de la Banque de France où il avait de hautes responsabilités.
Mais, la plus grosse somme d’argent était due à sa prime d’assurance-vie que nous avions souscrite quand il avait trente ans et qui après que j’ai payé les droits de succession m’apportait de quoi vivre sans me soucier du lendemain.

• Chantal, tu vas penser que c’est mal venu, mais je voudrais t’inviter au restaurant ce soir, la mort de mon ami dans ces circonstances tragiques, malgré que mourir dans son sommeil soit une belle mort, je voudrais que tu continues à vivre.
• Tu as raison Georges, il faut vivre, à quelle heure passes-tu me prendre.

Pour me prendre, il m’a pris, après ce repas dans un grand restaurant près de l’Opéra, il m’a raccompagné, il a souhaité prendre un dernier verre, j’aurais dû lui refuser, mais dans ma tête avoir un amant, moi qui m’étais refusé à cocufier Léon tout au long de mon mariage, était une étape obligatoire.

• Tu as aimé, je ne t’ai pas entendu jouir.
• C’était intérieur, tu es un bon amant, mais nous allons en rester là, je n’aurais pas dû tromper la mémoire de Léon, même avec son meilleur ami, redevenons de simples camarades.
• J’ai compris, j’ai été nul, mais tu sais, c’était l’excitation que tu m’appartiennes, je bandais pour toi, du temps de Léon, mais je savais que tu ne l’aurais pas trompé.
• C’est un peu cela, j’ai eu l’impression de baiser avec lui, mais ne t’en fais pas toi ou un autre, c’est du pareil au même, adieu.

Je l’ai vu partir la queue basse, j’ai eu l’impression qu’il avait pris dix ans, la seule chose qu’il avait réussi à déclencher en moi, c’est l’envie de sexe, comme certains disent, la vie commence à 60 ans.
Reste à trouver l’oiseau rare, mieux les oiseaux rares, car au fond de moi, ayant eu une seule bite toute mon existence, je souhaitais finir ma vie avec énormément de souvenir à emmener de l’autre côté du miroir.

Dans nos biens, j’ai omis la galerie, elle aussi près de l’opéra, que j’ai hérité de mon père qui comme Léon m’a quitté, je me suis aperçu que depuis que je l’ai reprise, j’ai toujours privilégié les peintres déjà connus, mais souvent âgés.

• Édouard, j’ai pris une décision, plus de peintres âgés, cherche-moi des jeunes peintres en devenir, je veux donner une chance à des jeunes, chacun d’eux aura un mois pour faire ses preuves.
• Un mois après tu les vireras.
• Un mois d’exposition gratuite avec le risque de ne rien vendre pendant ce mois, c’est déjà un joli cadeau.
• Je me mets en chasse, j’ai déjà un ou deux artistes qui sont prêts pour leur première expo, car si j’ai bien compris, il faut qu’il sorte de nulle part.

Quinze jours plus tard, nous décrochions les tableaux d’un vieux beau qui venaient de temps en temps et sachant que j’étais veuve ont essayé de me sauter.

• Bonjour, Édouard m'a dit que tu avais beaucoup de talent, quel âge as-tu ?
• 22 ans madame.
• Laisse tomber madame, appel moi Lise, autre chose, après trois jours d’expo, tu viendras à cette adresse et nous ferons le point sur les ventes.
Cela ne te dérange pas de passer chez moi !
• Non mada, Lise, je viendrais à 18 heures, cela vous ira.
• Parfait a dans trois jours.

Trois jours plus tard, il arrive, je suis dans le déshabillé suggestif que je suis allée m’acheter à l’autre bout de Paris, pour éviter de rencontrer des connaissances.
Là où je sais que je deviens une salope, c’est qu’il est tellement transparent, que l’on voit ma chatte brune au travers.
Quand nous avons fait le point, une touche non concrétisée, mais j’ai bon espoir, je viens m’asseoir sur ses genoux, il a compris, il m’embrasse et j’ai enfin ce que je cherchais, une queue bien virile qui me défonce la chatte.
Il me traite comme je le mérite, toujours des innovations chaque fois qu’il vient, au terme du mois, comme peintre, je devrais lui faire une prolongation d’expo, mais comme amant, j’en ai fait le tour.

Dans les mois suivants, j’ai deux échecs, autant pour ma galerie que pour la baise, deux lapins, à peine introduit, aussi vite, leur sperme m’arrosait, avec eux, j’ai trouvé la parade, les fellations, je les prenais en bouche et il me remplissait, j’avalais et ils partaient.
Le quatrième mois, j’arrive à la galerie, Édouard doit me présenter le jeune peintre suivant, il est déjà là, grand, même baraqué, quand il se retourne et qu’il me regarde, j’ai vaguement l’impression de l’avoir déjà vu.

• Ne vous en faite pas, ces tableaux vont être décrochés et seront remplacés avant midi, je suis sûr que vous aurez beaucoup de succès pendant tout ce moi.
• Tiens, Lise, tu es déjà là, c’est rare, d’habitude, tu es toujours en retard, je te présente Éric, le jeune peintre de ce mois-ci, je crois que je t’ai trouvé le nouveau Picasso.
• C’est trop d’honneur monsieur !

Je regarde le beau gosse que j’avais pris pour le peintre du mois, un regard vers le dénommé Éric, impossible que je l’emmène me baiser, quel âge peut-il avoir, pas loin de trente ans, il est déjà bedonnant.
Il est vrai que lorsque j’ai demandé à Édouard de me trouver de jeunes peintres, j’ai oublié de lui dire que j’espérais qu’ils soient reconnaissances de l’aide que je leur apporte en venant s’occuper de mes intimités.
Mais de là à baiser avec celui-là il y a un monde,

• Jeune homme, restez, je voudrais vous parler, vous pouvez m’attendre, nous irons boire un café.
• Je suis de repos aujourd’hui, j’ai bien vu que vous vous étiez trompée, je vais faire le tour de votre galerie en vous attendant.

Je fais le strict nécessaire avec le peintre, inutile qu’il vienne chez moi le soir, Internet va nous permettre de communiquer, l'avenir mis en place, sans avoir à subir la vue de ce garçon, je rejoins ma gravure de mode.

Au café, je suis subjugué, Clément a les muscles, mais aussi la tête, il est au pompier de Paris à la caserne Champerret, d’où sa musculature, j’apprends que tous les jours, ils débutent leur journée en montant à la planche, exercice que bon nombre de garçons sont incapables de faire.
Il est en repos et il venait d’aller se renseigner à l’Opéra pour avoir des places, afin de voir un spectacle, il est fan d’opéra.
En sortant, il a vu ma galerie et est entré, car l’art l’intéresse, à midi, je lui offre le restaurant et l’après-midi, nous prenons un taxi pour aller chez moi prendre une dernière coupe de champagne à 16 heures.

Dès que nous sommes dans la salle, il sait que j’ai envie de lui, la manière dont j’ai fini par lui tenir la main par-dessus la table, en disait long sur ma chatte dégoulinante.
Il aurait pu me prendre sur place, contrairement aux fois où Léon me baisait, mon vagin est largement humidifié.
Il le fait sur mon canapé en cuir au risque de le tacher, mais je n’en ai cure, malgré notre différence d’âge, il est un amant divin, dommage qu’un jour prochain, il en ait mare de sa vieille et qu’un pompier féminin emportera son cœur dans les brasiers qu’il doit éteindre.
C’est comme cela que je m’endors, pleine de son sperme qu’il éjacule après m’avoir prise dans diverses positions pendant un temps infini.

• Lise, je peux te poser une question.
• Bien sûr, si je peux te répondre.

Il s’est levé alors que je suis allongée sur le canapé dans une pose indigne d’une femme de 60 ans, ma chatte est exposée, mais comme c’est mon amant qui me voit, je n’en ai rien à faire.
Il est près du meuble de la salle à manger et a pris dans ses mains une photo de Léon et moi.

• Qui est sur cette photo avec toi ?
• Léon mon mari, il est mort, il y a peu.
• Maman m’a fait voir une photo de lui quand il était plus jeune, c’était son amant, il n’a jamais voulu quitter sa femme et est parti sans que l’on sache où il habitait, c’est mon père.
• Et ta maman ?
• Elle m’a quitté, cancer du sein.

Comme l’on dit, le ciel me tombe sur la tête, mon mari avait une maîtresse et ne semble pas avoir su qu’il avait un fils, je comprends que lorsque je l’ai vu à la galerie, j’avais une impression de déjà vu, il ressemble à Léon.
J’étais et je suis resté la maîtresse du fils de mon mari qui est mort sans savoir qu’il avait réussi à se reproduire.

J’ai trouvé la solution en parfait accord avec lui, pour le rétablir dans ses droits, nous nous sommes mariés discrètement à Bormes-les-mimosas, seul le maire et nos deux témoins, Édouard et son meilleur copain était présent.

J’ai trouvé l’homme pour ma fin de vie, il me porte en ce moment vers mon lit de jeunes mariées, il me fait passer notre porte et vient me mettre sur notre lit.
Je sais qu’une nouvelle fois, lorsqu’il m’aura fait un magnifique cunnilingus, il me prendra comme il le voudra, j’ai même goutté à la sodomie, situation étrange, mais aucunement dénuée d’intérêt quand c’est votre amant qui la pratique.
Heureuse, je suis heureuse, j’ignore le temps que cela va durer, mais je me fiche de tous.

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