Titre de l'histoire érotique : Mon cocufiage

- Par l'auteur HDS Davidbefr -
Récit érotique écrit par Davidbefr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Mon cocufiage Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Mon cocufiage
J'ai 35 ans, je vis dans le sud et je vis depuis 10 ans avec une femme magnifique, une blonde bien pulpeuse et que beaucoup d'hommes imaginent et rêvent (1m71, un cul très rebondi et large et encore ferme - ma compagne à 37 ans - avec des seins 95C aux larges aréoles dont je raffole...) sans pouvoir l'approcher.
Cette situation m'agaçait et je rêvais qu'elle accepte de se donner, sous mes yeux ou non, à d'autres que moi. Ce fantasme m'excitait énormément, d'autant que dans notre histoire, elle était la partie dominante de notre couple. Ses refus étaient réguliers pourtant. Elle craignait que nos rapports ne changent de nature et je tentais de la rassurer en lui disant que c'était pour notre bien et que nos relations soient plus "pimentées". Il est vrai que sans se donner aux autres, elle m'avait dit un jour qu'elle aimait se sentir regardée et je prenais plaisir à la voir offerte aux regards des voyeurs de tous âges aux terrasses de café ou dans les bars, lors de quelques sorties nocturnes, vêtue d'habits très moulants et parfois assez clairement transparents. Je me disais que cela ne pouvait pas s'arrêter là et qu'un jour elle cèderait aux avances (nombreuses) d'hommes...
Mon rêve s'est enfin réalisé et je voulais le partager ici avec vous !
Depuis quelques temps (elle est secrétaire de direction dans une entreprise de taille moyenne) l'un de ses supérieurs, marié, lui faisait des avances assez précises et elle prenait un vif plaisir à me le raconter le soir, ce qui rendait nos ébats plus chauds chaque soir. Elle ne cédait pas vraiment mais elle admettait qu'il était beau et bien musclé (ce que pour ma part je ne pouvais prétendre être vraiment - je parle du muscle bien sûr !) et que pour la première fois, sans répondre favorablement, elle le laissait parler sans totalement le rembarrer. Elle lui avait parlé du fait qu'elle vivait avec quelqu'un qu'elle aimait...
Le soir, me racontant ce bref échange avec son chef, je posais ma main sur son sexe et sentis combien enfin son désir d'un autre homme la faisait mouiller sans qu'elle ose se lancer. J'enfonçais deux doigts lentement dans son sexe en la faisant gémir et lui susurrait d'y aller, que je pouvais être présent si elle le voulait, simple voyeur, et la laisser profiter de son plaisir. Elle me sourit et céda à mes "envies" de cocufiage. Elle me promit de le ramener à la maison un soir pour un apéro en prétextant mon absence où, si je devais ne pas être là, de tout me raconter...
Le lendemain, elle m'appela de son bureau, très excitée et pleine de remords : "Si tu me dis de ne pas le faire, je n'y vais pas, mais si tu le veux encore et si cela t'excite que ta petite femme joue à la pute, sache que j'ai très envie de cet homme et que ce sera sans retour arrière possible... Il est là ce matin et doit passer me voir pour un dossier entre midi et 13 et nous serons seuls... Tu ne seras pas là, mais tu peux encore tout arrêter !"
"Non ma belle, je te sens toute humide au bout du fil, fonce et raconte moi tout ce soir, profites-en, je bande déjà à l'idée de ton adultère..."

Le soir venu elle rentra un peu tard, je l'attendais et elle était radieuse et un peu pompette. Sa jupe froissée témoignait peut-être d'une après-midi... disons agréable. Mon sexe durcit au plaisir de la voir aussi épanouie et nous nous assîmes sur le canapé côte à côte. Sa main glissa autour de ma bite raide et je glissais la mienne dans son dos à la naissance de ses fesses...
Elle me raconta alors tout en me branlant délicatement.
"Il est venu vers 12h15, les bureaux étaient déserts et j'avais pris le temps de me préparer : jupe très serrée courte et un chemiser très échancré avec un soutif qui rehaussait ma poitrine dangereusement et laissait presque voir le haut de mes mamelons... Depuis ton appel, je ne me contrôlais presque plus. Il s'assit en face de moi en me complimentant sur ma tenue et la beauté de mon corps. Il me demanda tout de suite si cela était pour lui ? Je rougis et lui répondis que oui, que s'il voulait encore de moi, j'espérais pouvoir le satisfaire. "Mais jusqu'où es-tu prête à me satisfaire, j'ai peu de temps mais je peux revenir en fin de journée..."
"Nous avons une heure devant nous et je finis à 17h. Mon mari ne rentre pas avant tard ce soir..."
ll ne me laissa pas finir et me coupa. "Alors, en une heure je peux faire ta connaissance et savoir si tu es si bonne que ce que j'imagine puis revenir te prendre en fin de journée... Je crois que tu ne va pas regretter, jolie coquine..."
Il s'assit en face de moi et me demanda d'écarter mes jambes... Je me sentais extrêmement excitée à l'idée qu'un homme puisse voir mon sexe rasé de près et que cet homme ne soit pas toi, tu sais, alors j'ai tout de suite obéi en lui faisant un sourire des plus coquins pour qu'il comprenne que j'étais son jouet à partir de maintenant rien qu'à lui.
"Hum... tu te rase donc le sexe, petite coquine? Tu l'as fait pour moi ou pour ton homme ?"
"Je l'ai fait pour toi bien sûr" lui ai-je répondu tout de suite en écartant plsu encore mes cuisses. "Enlève ton chemiser et laisse te seins à l'air, salope, que je puisse te mater la poitrine enfin."
J'ai retiré fébrilement mon chemisier et mes seins sont "tombés" libres de mon soutif sous son regard plein de désir. Il ne disait plus rien ou presque mais j'ai vu la bosse de son pantalon qui ne pouvait pas tromper grossir rapidement devant moi. Il compris mon regard et se mit à descendre sa braguette et sortir de son caleçon un sexe très gros - bien plus long que le tien, me précisa t-elle avec envie - qui bandait déjà avec une veine apparente très gonflée. Il a pris son sexe dans la main, s'est approché de moi et l'a posé entre mes seins. "Fais-moi une branlette espagnole, sale garce, je veux jouir entre tes seins et dans ton cou".
Je mourrais d'envie de le sucer mais je me suis exécutée tout de suite. Il me tenait les épaules fermement et avançait et reculait entre mes deux gros seins, tu vois le tableau ? Je mouillais comme une folle et quand il arrivait en haut je le prenais en bouche rapidement pour me délecter de son gland bien large et pointu.
(En me racontant son histoire, ma femme tenait mon sexe dans sa main, me branlait fermement et avait commencé à se caresser la moule sur le canapé pendant que je lui caressais, moi, la raie du cul. Sa jupe était remontée jusqu'en haut, mais elle ne gémissait pas encore - pas comme moi qui étais aux anges de savoir que ma femme enfin se laissait aller à me tromper très officiellement et à s'en régaler. Nous étions très excités et elle reprit son récit...)
Nous avions peu de temps et il commençait à vraiment accélérer le rythme. J'étais frustrée de ne servir que de branleuse aux gros seins mais en même temps je voulais me donner à lui totalement et faire selon son désir. Et puis je pensais à toi et au plaisir que tu aurais de savoir que je faisais la pute... n'est-ce pas ? Le mec grognait rapidement et je sentis monter le lui la sève blanche qui se déversa en longues giclées sur mon menton, entre mes seins et sur mes épaules. Il se mit à me traiter de petite salope aux seins de pute qui se faisait mettre alors qu'elle était mariée tout en finissant de se branler avec vivacité. Il m'autorisa à le prendre en bouche à la fin et je lui ai nettoyé la bite des derniers restes de sperme.
Mais nous avions encore quelques minutes et sans attendre, il m'allongea sur le bureau, écarta mes jambes relevées totalement et se mit à me lécher le sexe en feu et sans hésiter ma rondelle serrée en crachant pour la lubrifier et en y enfonçant un puis deux doigts bien serrés. Je restais surprise mais je réalisais ton rêve d'être offerte à un presque inconnu et rapidement le plaisir est monté en moi. Il léchait divinement bien mon clitoris et ma mouille abondante lui prouvait que j'étais en manque et très excité.
Ses doigts allaient et venaient de plus en plus vite dans mon cul, j'adorais ce traitement un peu violent et soudain mais qui me montrait clairement que j'étais totalement soumise à lui. Tu vois le tableau, mon chéri ? Tu aimes et tu veux en savoir plus ?
(Ses mains expertes s'activaient dans sa cave et sur ma bite en feu qui en redemandait. Je restais silencieux mais lui soupirais que j'étais au comble du bonheur, très soumis à ses désirs et que je voulais encore en savoir plus...)
Sa langue seule m'a fait jouir comme rarement avant et ma position m'excitait au plus haut point. Il me faisait parfois lécher mes doigts et me traitait de pute et de salope souvent - ce que je pense être devenue au bureau depuis ce soir... tu vas voir...
(Voulez-vous la suite ? Dites-moi ce que vous en pensez...)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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