COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (3/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (3/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (3/16)
Je viens de comprendre que mère trompait père avec le Duc Albert de Bellegarde notre voisin qui n’est autre que le père de Justin qui m’est promis comme époux.
Le Duc est bel homme et je dois constater que j’ai plus d’intérêt pour lui que pour son fils un peu chétif et très timide à mon goût.
Grâce à eux, je comprends que les sexes masculins et féminins servent à autre chose qu’à faire pipi.

J’ai bien eu quelques descriptions d’école par mon précepteur, mais loin de ce que je suis en train de découvrir, surtout quand la verge du Duc se place comme il le faut et donne du plaisir à mère.
Ils se rajustent et se mettant à discuter, le Duc souhaite venir la nuit au château et c’est là que j’apprends un fait nouveau, j’en découvre trop d’un coup, j’ai mal à la tête comme lorsque j’ai mes saignements.
Mère ce gouine avec Adèle ma servante.

- Gouine : femme ayant des relations sexuelles avec une autre femme, c’est noté.

C’est à ce moment que Tyran a la mauvaise idée de hennir, certainement sa satisfaction d’avoir bien nettoyé son carré d’herbe.

• Ma douce, laisse loi entrer ma queue, un cavalier approche, peut-être ta fille de retour de sa promenade avec son cheval, soyons naturels.

- Queue : queue de cheval – queue du chat et sexe des hommes, c’est noté.

Je le vois rentrer cette queue qui me fait envie, malgré que je sache que nous n’aurons jamais de tel moment ensemble, car il est le père de mon fiancé et l’amant de ma mère, je fais l'amère découverte de la frustration d’un grand fantasme jamais réalisable.
Quand ils sont de nouveau présentables, lui part vers son château, mère vers le sien retrouver sa vie de femme modèle auprès de père cocu heureux.
Le duc passe à deux mètres de moi et par chance tourne dans un chemin l’éloignant de Tyran.
Je l’entends marmonner.

« Putain de cheval, j’aurais bien voulu l’enculer, je le ferais dans sa chambre. »

Enculer, j’ai fait du latin et du grec avec mon précepteur, mais mes connaissances des racines de ce mot « enculer » sont aussi impénétrables que certaines voix venues d’en haut.

- Enculer : sodomite, Sodome et Gomorrhe, monsieur le curé y a fait allusion lors d’une leçon de catéchisme, mince mère va être transformé en statue.

Quand tout est calme, je remonte sur Tyran et je pars dans une galopade frénétique afin d’essayer de calmer la démangeaison de mon entrejambe, ça l’aggravant au contraire, car dès que je suis rentrée, je me déshabille et je me caresse refusant dans un premier temps à voir le mal ce que je pourrais dire à notre confesseur la prochaine fois que je me confesserais.

J’irai bien demander à mère que j’ai vue se retirer dans ses appartements pour savoir comment elle fait pour soulager sa conscience après avoir sucé et s’être faite baiser par la verge du Duc et les légumes d’Adèle, mais pour cela, il faudrait que je lui avoue avoir regardé faire avec son amant à la lisière de notre forêt.
À cette évocation, je comprends que je commets plusieurs des péchés capitaux que notre curé m’a enseignés quand il venait en plus de confesses m’apprendre l’histoire du très haut et de son fils venu sur terre pour nous sauver.

« L’orgueil » non, je suis loin d’être orgueilleuse. »

« L’avarice » non, j’ai le cœur sur la main, c’est pour cela que les grondements contre les couronner me passent au-dessus de moi.

« La colère » un peu, mais contre moi, car je suis toute colère de refuser l’évidence, c’est par le Duc que j’aimerais devenir femme puisque la nature mon faîte ainsi, alors que j’aime être plus souvent habillé en tenue de cavalière, je devrais plutôt dire cavalier, j’aurais dû naître avec une bite.

« La paresse » non, j’aime me prélasser et mon éducation est orientée vers cette façon de vivre pour nous les élites de notre peuple, mais quand il faut bouger, je suis la première à foncer, il suffit de demander à Tyran.

« La gourmandise » au oui, mais est-ce un péché ?
Oui, certainement, quand je reprends du gâteau en cachette me faisant servir dans ma chambre et certainement comme mère quand elle avale le sperme de son amant avec délectation comme cette après-midi.
J’oublie volontairement notre curé, il est gonflé de gourmandise.

« L’envie » là, il a beaucoup à dire, car j’envie ce que mère ose faire avec le Duc, moi qui serais partante pour faire la même chose avec lui plus qu’avec son fils qui dans ma pensée est cocu comme père avant notre mariage.

« La luxure » que veut dire ce mot alors si je fais ou que je pratique la luxure, c’est à mon corps défendant, je crois que la vie va se charger de me faire comprendre ce péché dit capital. »

Donc, après analyse, je pense que mère doit avoir de l’amnésie devant le curé et comme elle m’a mise au monde, même si je suis aux antipodes de ses idées, je reste sagement à me caresser, ayant un bon alibi.
Je ressens un peu de plaisir et au repas du soir, je suis conforté par la manière dont elle se comporte fièrement « droite dans ses souliers » alors je resterais « droite dans mes bottes » et je garderais mes envies et fantasmes pour moi.

Dans les jours suivants, j’observe mère pour voir si elle a envie de retrouver son amant, le temps est contre eux, car il pleut, au repas ou les mots sont rares entre nous, elle émet le plaisir du soleil revenu pour proposer à père une promenade dans notre parc.

Je découvre ainsi, l'âme noire d’une femme qui prêche cette promenade sachant qu’il va la refuser, car il a un gros rhume et va aller se recoucher dès qu’il aura mangé, il lui donne sa bénédiction et propose que je l’accompagne.
Je refuse voyant le visage de mère s’illuminer, prétextant qu’il faut que je monte Tyran qui piaffe dans l’écurie étant enfermé depuis le début de cette pluie.

C’est ce que je fais et après un grand galop vers les chemins de la forêt, je l’attache à un buisson dans un pré d’herbe verdoyante plus loin de l’endroit où les amants vont se retrouver espérant comprendre ce que « enculer » veut dire.

Je suis aux aguets bien caché quand de grands cris me parviennent venant de chez nous, je prends le risque de sortir de mon bosquet pour avancer jusqu’à la lisière et quand je vois ce qui se passe sur la terrasse mon premier réflexe est de bondir pour aider père et mère.

Ils sont entourés de plusieurs hommes ou femmes hurlant sans que je puisse comprendre ce qu’il est dit, mère est tirée par un bras le buste à l’air sa robe arrachée, père lui aussi est tenu par deux hommes les pieds traînant au sol, chargé comme un sac à patates.
Mère et père doivent rejoindre d’autres personnes dont des amis de mes parents propriétaires comme nous, au bas des marches vers une charrette.
Tous ont des fourches et des fléaux voire des serpes et des serpettes avec des bonnets sur la tête.
Sortant du château un homme tout vêtu de cuir, tenant une hache à double tranchant en main qu’il porte comme si c’était un vulgaire brin de paille, il est gigantesque et avec sa cagoule sur sa figure, il a dû paniquer père et mère quand il est entré.
Je vais pour m’élancer quand je me sens plaquer au sol.

• Arrête Blanche, c’est inutile, c’est trop tard.

Je comprends que c’est le Duc, venant à son rendez-vous qui m’a vu et qui vient de me plaquer au sol, en tombant son bras entoure ma poitrine, malgré la situation de mes parents mes pointes se durcissent.

• Laissez-moi aller aider mes parents.
• Et avec ta tenue de cavalier, tu seras pris par ce boucher que tu vois devant toi.
• Mais, c’est Justin ton fils qui a sa tête au bout de ce pic.
• Oui, j’ai vu cet homme lui trancher avec cette hache sans aucun problème vu sa force, je venais d’aller dans ma cabane de chasse dans la forêt déposer des affaires, car je me préparais à partir avec mon fils, les bruits d’un soulèvement dans notre secteur étant venus jusqu’à mes oreilles.
J’arrivais à la lisière quand j’ai entendu crier, il venait de sortir mon fils sur le devant de la maison et avant que je réagisse, ce soudard a fait tournoyer sa hache et la tête de mon fils est tombée.
J’ai très vite réfléchi, j’étais désarmé et j’ai pensé à vous alors je suis passé par la forêt pour venir en passant par ici et c’est là que je t’ai vu prêt à faire une bêtise, je te promets que je châtierais cet homme dès que je le pourrais.
Viens, il faut fuir, tu es de la même carrure et j’ai ce qu’il nous faut dans ma cabane de chasse.

Il me relève me prend par la main et nous courrons presser de nous éloigner, dans la cabane, il m’oblige à me mettre nue et me donne des effets comme ceux de nos paysans avec une blouse ayant une corde comme ceinture, des pantalons des guêtres et grosses chaussures de cuir le tout avec un bonnet et une cocarde aux trois couleurs signent des insurgés.

• Met cette serpe à ton côté, j’ai mis du sang de brebis donnant l’impression que tu as coupé une tête si l’on croise d’autres groupes de révolutionnaires.
Je vais vers la Vendée chez un cousin, je t’emmène.

Il prend une faux et nous nous éloignons rapidement de nos châteaux, c’est la première fois que je quitte l’endroit où je suis née.
Le soleil commence à tomber, nous voyons un orage commencé à monter et nous rattraper.

• Blanche regarde la grange sur les hauteurs de ce champ, courons-nous abriter !

Le Duc est plus rapide que moi et je pense qu’avec sa faux, il a eu la pétoche de voir la foudre s’abattre.

• Montons par cette échelle il y a du foin sec.

La pluie à l’extérieur déferle de plus belle, alors je monte le Duc sur mes talons.

• Enlevons nos vêtements, donne-les, je vais les poser sur ces bottes, ils seront secs demain pour notre départ.
Pas de fausses pudeurs, ma mie, nous sommes deux soldats et il faut savoir faire à la guerre comme à la guerre, à poil jeune fille.

J’éclate de rire et je me mets entièrement nue en même temps que oui.

• Viens là que je te bouchonne.
• Vous me prenez pour mon cheval.
• Exécution.

Je m’approche à porter de la poignée de foin qu’il a prise en main, de manière très virile, il me frotte de ma poitrine à mes doigts de pied après m’avoir allongé sur la litière qu’il nous a préparée.
Quand il a fini s’étant attardé sur la fourche de mon corps, qu’il considère qu’il m’a assez enlevé de peau, il me jette de nombreuses brassées de foin qui finissent par me recouvrir.
Comment arrive-t-il à me rejoindre et comment nos bouches se retrouvent soudées, je l’ignore, mais ce que je sais, c’est que si mère était ici sa dague entrant en moi pour un doux plaisir faisant de moi une femme, comme elle lui a promis, elle devrait lui couper les couilles.
En attendant et pour le temps qu’une première jouissance m’atteigne, je le sers dans mes bras pour éviter qu’il m’échappe…

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (3/16)
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