COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (12/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (12/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (12/16)
Fuir vers la Vendée, retrouver la Duc mon amant qui m’a dépucelé, tel est mon but, mais avant rejoindre la ville pour aller à l’adresse ou habite la sœur jumelle de la mère supérieure du couvent où j’ai rencontré sœur Agnès qui m’a fait connaître les plaisirs féminins.
Que de découverte en peu de temps, par ces temps troublés, moi qui ai été élevé par mère dans un château, quitté précipitamment pour fuir le sombre destin vers lequel mes parents ont été emmenés quand je les ai vus monter dans une charrette.

Nous dormions dans une cabane de pécheur située au bord d’une rivière que nous allons devoir traverser pour continuer à aller en direction du soleil couchant.
Hier au soir après avoir mangé la miche de pain volée dans une ferme non loin d’ici, nous avons fait passer le pain en buvant une bouteille prise par Agnès en même temps que la miche.
Je croyais qu’elle contenait de l’eau, mais il s’avère que c’est du vin blanc.

Hier au soir après avoir mangé la miche de pain volée dans une ferme non loin d’ici, nous avons fait passer le pain en buvant une bouteille prise par Agnès en même temps que la miche.
Comment ai-je fait pour me noyer, je l’ignore, mais ce dont, je me souviens, c’est que je me suis retrouvée allongée sur l’herbe avant que ma copine me fasse jouir et m’emmène me coucher sur un tas de filets de pêche dans la cabane.

• Pitié, on vous fera ce que vous voudrez, nous sommes des sœurs qui nous rendons dans le village voisin pour administrer les derniers sacrements à une vieille femme, nous sommes envoyés par votre curé qui est dans l’impossibilité d’aller lui administrer.
• Elle me prend pour une conne celle là, il a été pendu par les pieds il y a trois jours, mais vous êtes à poil et bien foutu avec ça.

Agnès est réveillée et est tremblante dans mes bras.

• Regarde, elle est belle ma copine, si tu veux, je lui donne l’ordre qu’elle se laisse baiser.

Elle me parle très bas.

• Tu es folle Blanche avec ce porc.
• C’est notre survie.
• Que dites-vous, parlé plus fort ?
• Elle me dit qu’elle est d’accord, enlève ton pantalon, Agnès met toi à quatre pattes.
Alors tu vois, elle est à toi, enlève ton pantalon, tu la baiseras mieux.

Le gros garçon est indécis, mais finit par enlever son pantalon et avance.

• C’est avec çà, que tu veux nous baiser, tu es tout mou.
Suce, elle va grossir.

Il m’est difficile d’imposer à Agnès cette épreuve, alors je me mets à genoux et j’essaye de prendre sa bite dans ma main, j’y arrive avec deux doigts.

• Oui, suce la pute, des bonnes sœurs, quand je dirais ça à mes enfants quand j’en aurais, ils me croiront pas, à qui se fier.

Depuis que j’ai de fréquents contacts avec les insurgés, je vois le mal profond dont souffrent ces gens frustes, de l’éducation, du savoir, « ils me croiront pas », mon précepteur m’a appris que ne et pas, devait être associé, mais l’urgence du moment pour notre survie me fait fermer ma bouche.
Surtout que ma bouche a mieux à faire, mes doigts et ma langue titillant le bout de sa verge l’aide à grossir plus qu’à grandir, mais je considère qu’il doit pouvoir entrer dans la grotte d’Agnès.

• Regard bel étalon ma copine tortille du cul, elle a envie de toi, je vais t’avouer une chose, elle est vierge, tu vas être le premier, profite en bien, mais je t’en supplie, prends ton temps et fait la jouir depuis deux jours elles me parlent de son pucelage qu’elle espère perdre.
• Oui, vient me baiser, j’ai hâte.
• Oui et après, je vais vous emmener au village, j’ai deux copains qui refuseront de me croire, ils vous baiseront et je deviendrais leur chef de vous avoir déniché, on vous gardera quelques jours avant de vous laisser repartir sauf si vous êtes des putains d’aristos.

Court toujours mon coco, aristo, je le suis, la seule chose que je veux, c’est qu’il s’occupe d’Agnès pendant que j’agis.

• Alors salope, tu l’aimes, elle te fait du bien, Polo te baise comme une reine.

Polo, est-ce l’un des garçons qui baisait Isabelle derrière la porte du clocher, quand ils sont repartis par le chemin, j’ai bien vu l’un des deux hommes un peu gros, mais c’est avec l’autre qu’Isabelle semblait avoir craqué, le hasard aurait-il bien fait les choses.
Je me garde bien de lui dire et quand il prend ses flans pour lui donner de grands coups de reins malgré sa petite taille, elle se met à l’apostrophe.

• Çà y est, il est en moi Blanche, oui plante là moi profond, je suis toute mouillée, si j’avais su, j’aurais fait cela plus tôt, mais je préfère me retrouver avec toi, promets-moi que tu me garderas pour toi, mieux je veux t’épouser.
• Tiens, c’est une idée, Émile dit toujours qu’aucune femme acceptera de m’épouser, oui, je leur donnerais ta copine et il fera comme avec la bonne sœur.

Je suis déjà en train de faire ce que j’avais envisagé, mais j’écoute ce que le gros dit étant de plus en plus certaine d’être en présence d’un des trois salopards qui ont baisé Isabelle au couvent.
Par chance, Agnès pendant que j’étais bourré a fait son travail de bonne ménagère comme au couvent et nos affaires sont placées sur mes deux chaises qu’elle a mises le long du mur hors de portée des yeux de Polo lorsqu’il est entré, surtout que les cornettes sont posées dessus montrant au garçon que nous sommes des bonnes sœurs arrivantes du même couvent.
Je récupère la première tenue avec les chaussures qu’elle a posées au sol, elle les a pliés devant chaque chaise, je les porte dans la barque, au passage, je récupère le sac avec bougies, huiles soi-disant saintes et eau, elle est aussi soi-disant bénite et je le dépose avec le reste.
Le Duc m’a appris comment traiter ces porcs en égorgeant ceux qui voulaient nous attaquer dans la grange, je récupère le couteau planté dans la table, et je m’approche du couple, je vois qu’Agnès se force, mais semble faire croire au dénommé Polo que c’est une bête de sexe.

• Quand tu auras pris ton pied, tu m’en laisseras un peu, j’aimerais qu’il me baise aussi.
• Pas question Émile s’occupera de toi, il s’est faire avec vous, moi, je garde celle-là pour moi tout seul et elle sera la femme de ma vie.
Ils l’ont dit ceux qui nous font faire la révolution, nous serons plus libres qu’avant, bien que je sois relativement libre avec ma barque et mes filets, mais je pense que nous serons plus libres encore.
• Polo regarde-moi.

Il tourne la tête et je lui plante le couteau dans le dos.

• Ah !
• Viens Agnès lève-toi, on va prendre la barque, j’ai tout préparé.

Elle se lève Polo essayant d’arracher le couteau dans son dos, nous sortons et nous sautons nues dans la barque.

• Défait la corde, j’ai enlevé les tours pour partir plus vite.

Je prends la perche et je pousse, sur la berge la barque décolle quand je vois Polo sortir de la cabane le couteau à la main, je pousse plus fort, comme pour la cloche la peur décuplant mes forces. Je pousse encore et encore, je vois l’homme grimaçant sauter dans l’eau, essayant de saisir la barque, s’affaissant sur ses genoux avant de basculer en avant et tombant la face dans l’eau.

• Tu l’as tuée Blanche, tu te rends compte, il voulait que je sois sa femme.
• Tu tortillais du cul ma salope, tu avais l’air d’aimer sa queue.
• Tu rigoles, je la sentais à peine, que voulais-tu que je fasse avec un engin pareil.

C’est à ce moment que je vois sur l’arrière de la cabane un fil sur lequel sont étendus nos petites culottes et nos bas de coton.

• Agnès, pendant que je dessaoulais, tu as lavé nos petites affaires.
• Oui.
• Mince mes Louis d’or, ils étaient dans mes bas.
• Avec un papier que j’ai mis dans notre sac.

Rassurée, je pousse une dernière fois, plaçant la barque hors de porter commençant à descendre au fil de l’eau.
Je m’assieds près d’Agnès sans faire attention à la courbe que fait la barque se rapprochant de la berge côté cabane.

• Je vais vous avoir espèce de salope, on va vous massacrer, vous avez essayé de me tuer, même toi que je voulais épouser.

Je me lève prestement reprenant la perche, je replace la barque dans le bon sens, la guidant dans le virage qui suit, nous éloignant du garçon, malgré le peu de courant, avec son poids, je vois qu’il est vite essoufflé.
Après quelque temps à pousser, en guidant, étant rassurée, je retourne dans les bras d’Agnès, nous nous embrassons en nous caressant doucement.
Hors de question de nous faire jouir, nous avons conscience qu’il faut que nous restions lucides pour analyser rapidement la situation en cas de problème.
Le soleil sur nos peaux nues, nous réchauffe un long moment.

• Tu crois qu’on a une chance d’en attraper aujourd’hui, ces nobles font de plus en plus attention, ils se cachent, ils ont raison, il semble à ce que j’ai appris par la malle-poste qui a repris ses rotations qu’à Paris, ils les raccourcissent à tour de bras.
• Je sais, on a reçu ordre de les diriger vers Paris, lorsque ont les chopes pour que notre tribunal révolutionnaire les juges et un grand nombre soient raccourcis en présence du peuple qui raffole de ce spectacle.
Nous sommes revenues au temps du jeu du cirque comme dans l’Antiquité.

L’homme qui s’exprime au-dessus de nous, semble avoir de l’instruction et être là pour diriger le secteur, certainement un instituteur ou un fils d’instituteur.
Dans un premier temps à ces dires, ma pensée va vers père et mère, ont-ils fait partie d’une charrette vers le néant, mais qui sont ces hommes qui parlent, leur voix venant de dessus ce qui doit être un pont en bois.
Nous avons dû nous endormir, la barque ayant dérivé jusqu’ici, j’ignore pourquoi ils ne nous ont pas vus passer, mais la chance semble être avec nous.
Je mets ma main sur la bouche d’Agnès qui semble comme je viens de le faire se réveiller.
Je lui fais voir avec mon autre main où nous sommes et comme je sens la barque pivoter risquant de repartir au fil de l’eau nous découvrant au regard de ceux qui veulent notre peau, je récupère la corde, en essayant de la passer autour de l’une piles en bois du pont, je fais un léger bruit.

• As-tu entendu ce bruit en dessous ?
• Ouais, c’est une carpe qui joue dans la vase pour chercher des larves de moustiques, elle est énorme, dommage avec tout ce bordel, il m’est impossible de venir l’attraper.
J’espère le faire bien vite, tu sais, je crois à demi-mot que nous serons plus libres après, même si nous en raccourcissons quelques-uns, il y aura toujours un plus malin que les autres qui nous feront continuer à sueur pour leur profit.
• Moi, je voudrais devenir auto-entrepreneur dans la plomberie, l’eau courante dans les maisons, c’est l’avenir et je vais faire fortune.

(Excusez, je me trompe de révolution)

Ils continus à refaire le monde l’un des deux plus érudits parle même de l’Amérique où il pense émigrer pour lui aussi faire fortune en vendant son charbon.

• Bon, assez de révolution pour aujourd'hui, je retourne baiser la Jeannine au moins çà, c’est du concret, avec elle, j’en ai plein les mains.
• Sur, tu as de la chance, elle a de beaux nichons, la mienne malgré nos quatre gosses est plate comme une brème, à demain à 14 heures.

(dans l’autre révolution, on parlera de limande, tout évolue) …

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (12/16)
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