HEURE SUP...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : HEURE SUP... Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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HEURE SUP...
Les premiers kilomètres s’écoulaient dans le silence. Je regardais la route devant moi. Les mains crispées sur le volant. Parfois je jetais de rapides coups d’œil sur ma passagère, qui imperturbable les pans de son manteau écartés, se contentait de chantonner. La cinquantaine, bien conservée, la poitrine prometteuse, que je voyais bouger librement sous son chandail de couleur rouge vif. Toute rondelette, garnie d’appas développé, une bouche ronde, éclairé par deux grand yeux bleus, pétillant de malice, aux cheveux blond-cendré coupé au carré.
Qu’un mot me vint alors à l‘esprit, sublime. Oui ! Cette femme était sublime. Cela faisait une heure que je l’avais comme passagère. J’étais passé la prendre chez elle dans la région Parisienne. Le paysage de banlieue défilait, morne, et la pluie qui commençait à tomber s’ajoutait à la grisaille ambiante d‘un mois de novembre.
L’après midi, après le déjeuner, je l’avais prise dans le hall de son l’hôtel. Où elle m’attendait, un cartable à la main. Je la déposais dans la première école inscrit sur la longue liste, qui devrait occuper son temps pour la semaine. Pendant les deux, trois heures où elle exposait la vertu de bien dormir, moi je l’attendais à bord de la voiture. Occupant cette pause comme je le pouvais. Cela aller de la lecture à l‘écriture.
Le deuxième jour, elle avait engagé la conversation. Nous avions parlé de banalité. Le troisième jour, j’avais décidé de l’invité à déjeuner avec moi. Comme pour attiédir un peu plus notre relation. Elle avait tout de suite accepté. Après sa conférence, nous nous étions retrouvés autour d’une pizza. Le café avalait, nous reprîmes le chemin d’une énième école.
Cette dernière s’était éternisée. Au trois heures habituelles, s’était ajoutée une bonne demi-heure. Je ne vous cache pas ce que fut mon plaisir de la voir sortir du préau. Sourire aux lèvres, tenant en main son éternel cartable. Elle s’autorisa même un clin d’œil à mon égard quand elle arriva à hauteur du pare-brise. Elle ouvrait la portière s’ouvrit et elle se laissa tomber sur le siège passager.
- Je suis congelé, s’exclama-t-elle en cliquant sa ceinture de sécurité.
- Il n’y avait pas de chauffage ?
- Oui, mais le préau est un nid à courant d’air. Un vrai frigo.
- Je vous ramène à votre hôtel ? Fis-je en embrayant, quittant le lieu à vitesse modérer.
- Dîtes-moi, nous sommes loin de… ? Fit-elle en me donnant Le nom d’un village distant d’une soixantaine de kilomètre.
- Si loin que ça ?
- Ce n’est tout de même pas le bout du monde. Répliquais-je.
- J’ai une copine de fac qui vit là-haut.
- Et vous voulez lui rendre une petite visite.
- Oui… mais soixante kilomètres ?
- Vous désirez que je vous y conduise oui ou non ?
- Cela ne vous dérange pas.
- Je suis à votre service pour la semaine.
- Il ne faut pas que cela vous dérange….
- J’ai juste une petite question à vous posez avant de prendre la route.
- Oui, je vous écoute ?
- Vous êtes sûr qu’elle sera là.
- A cent pour cent. Après un accident de moto elle a perdu la motricité de ses jambes.
Plus rien ne pouvait nous empêcher de prendre la route. Après seulement quelques kilomètres, elle se plaignait d’avoir froid aux pieds.
- De vrai glaçon, se confessa-t-elle. Celui vous ennui que je me déchausse.
- Faîte-donc… - Merci, fit-elle, en s’ôtant avec son pied opposé ses escarpins. À travers le nylon couleur pêche, par transparence je distinguais ses ongles délicatement vernis en rouge. Je décelais de ma hauteur, une petite callosité sur le talon du pied gauche.
Avec la souplesse d‘une gymnaste, elle posa ses pieds en appuis sur le tableau de bord. Se penchant ensuite vers eux, elle les prit un dans chaque mains. Mon regard se portait tantôt sur la route, tantôt sur ses mains. Très vite je fus obsédé par une envie irrésistible de caresser ses pieds. Et je ne tardais pas à proposé à ma passagère mon aide.
- Je vois que ce n’est pas très confortable.
- Je ne vous le fais pas dire… J’en ai le souffle coupée à me casser comme cela, en deux… - Vous désirez que je vous les masse ? Lui proposais-je.
- Cela ne vous ennuie pas ?
- Si je vous le propose c’est que je serai ravi de vous prendre ce service.
- Comment fait-en ?
En quelques mots je lui indiquais comment je voyais la chose. Elle s’exécuta, pivotant sur son siège. M’offrant une vue plongeante sur son entrecuisse, avant d’apposer ses pieds sur mes cuisses. Je ressentais comme une terrible décharge électrique dans tout le corps, lorsque le bout de mes doigts fébriles entrait en contact avec la peau nylonnée. Je me mis à frictionner ses petons en faisant tout pour cacher mon trouble. La réaction de la femme était tout à fait normale.
- C’est très agréable, fit-elle. Vous avez tes doigts de fée… Commençant à prendre goût petit à petit à ce que j‘exerçais sur ses pieds. Je lui fis remarquer qu’ils étaient juste magnifiques. Pas un seul pli, pas un orteil plus déformé que l'autre, pas de surcharge avec le verni à ongles rouges. Bref, ses pieds étaient célestes.
Mon désir était tellement vigoureux que je ne pu combattre à l'envie de porter son pied à la hauteur de mon nez. Laquelle avait eu un léger frémissement du buste, mais ne se déroba pas à ma manœuvre. Se contentant seulement de refermer sa jupe, inquiète sans doute de m’exhiber ce qui ce trouver en-dessous.
Le collant sentait fort. Comme s’il avait été porté plusieurs jours. Ma pulsion sexuelle atteignait à cet instant son summum. Seul le bruit du moteur coupait le silence. Je sentais mon cœur battre la chamade, et la sueur ruisseler dans mon dos. Collant mon tee-shirt à mes omoplates. Sans aucune gêne je me mis à pourlécher le pied à travers le nylon qui le rendait rugueux. La tête en appui contre le montant, elle avait les yeux clos. Savourant l’instant. Je me sentais saisi par une frénésie comme j’en avais rarement éprouvé ces derniers temps. Je ne me raisonnais plus. Il fallait que je donne libre cours à mes pulsions. J’avais envie de ce pied qui aurait répugné d’autre bouche. Ça ne faisait que rendre mon attirance plus trouble, donc plus excitante.
Je décelais sortir de sa bouche quelques gémissement étouffés. La coquine avait maintenant les yeux ouverts, et fixait la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon en tergal. Elle me proposa même : - Il serait plus raisonnable de s’arrêter, vous ne croyez pas ?
- Je pense que vous avez raison… Pour ma future manœuvre, je posais son pied sur mes cuisses et chercher un coin où nous pourrions nous poser en toute quiétude. Sitôt stationner elle exigea de ma part de lui exhiber ma verge. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
En quelques gestes bien précis, je mis à l’air ma verge bandée. Je la vis pâlir de convoitise en la fixant. Elle s’en était saisit du bout de ses pieds et me masturba. Tantôt avec les deux pieds, tantôt entre les orteils de chaque pied. Je faillis pousser un cri de bonheur, lorsque le nylon effleura le gland. Secouant tout mon corps d’ondes délicieuses, de plus en plus puissantes.
Enfin, parce qu’elle n’en pouvait plus de désir, elle décida de passer à la vitesse supérieure. Pour ce faire, elle me délaissa quelques instants. Le temps de se remettre en position assise sur son siège.
Ses doigts m’appelaient. Je me déplaçai pour lui mettre ma queue dans la main. Qu’elle serra, tâta, palpa avec une fébrilité avide. L’idée qu’elle me branlait me gorgeait de délices. À en claquer des dents. J’écartais les cuisses pour qu’elle puisse aussi toucher mes couilles. Le message était bien passé, puisqu’elle m’agrippait tout le paquet. Le serrant très fort, à me faire mal. Mais c’était si délicieux qu’elle me fasse mal.
Quand je sentis que le plaisir arrivait, je lui griffai le poignet. Ma verge était devenue énorme. Gonflée de plaisir. Et bien sûr ce qui devait arrivée, arriva. En gros jets.
Le don terminé, avec sa jupe plissée roulée sur le haut de ses cuisses. La nuque renversée sur l’appui-tête, elle donnait l’impression de somnoler alors qu‘elle se gavait du sperme avait souillé sa main.
Je détachais la ceinture de sécurité, puis je plongeais carrément la tête entre les cuisses de la femme, entrainant sa jupe vers le haut. De sa fourche, un parfum capiteux s’en exhalait. Achevant de me tournebouler les sens. De mettre à bas mes dernières résistances. Mon ultime pudeur. La femme, elle restait immobile comme une statue. Attendant la suite du programme, parce qu’elle savait qu’il n’allait pas s’arrêter en sin bon chemin. Je fis connaissance avec sa culotte très pudique, blanc, bordé d’une fine dentelle, couvert par le collant. D’où se dessiner un mont de Vénus bombé. Instinctivement, elle cambra les reins et son ventre. J‘entrepris de lui soutirer le collant, puis de sa petite culotte. Je tremblais d’excitation et d’impatience.
Dessous se tenait une petite bande de poils châtain. Le reste de son sexe était consciencieusement épilé. Un dôme bombé d’où saillaient les lèvres intimes. Son pubis sentait bon la sueur, et la crevette. Ivre de désir, je plaquais ma bouche aux grandes lèvres et suçais la mouille qui en dégoulinait. Elle avait un goût salé et acide d’urine qui affolait mes sens. Je la pourléchais méthodiquement. Et au bout de quelque caresse elle déchargea dans ma bouche une abondante mouille grasse.
Il était pour moi à cet instant de signer mon œuvre. Pour cela je passais de son côté. Positionnant son siège en couchette. Qui grinça sous mon assaut. Elle s’abandonnait à moi. Les bras croisés autour de l’appui-tête, elle ne put réprimer des gémissements qui lui donnaient la chair de poule. Pour mieux s’ouvrir, elle souleva une jambe pour la passer autour de ma taille, me tendant sa chatte.
Ainsi elle me forçait à m’enfoncer plus profond dans son sexe. De la mouille plein le menton, j’allais et venais en elle, de plus en plus vite, de plus en plus fort. À mesure que j’accélérai mes coups de reins, mon cœur se mettait à battre plus vite, plus fort aussi.
Je sentais de légères vagues de mon propre plaisir naître au plus bas de mes reins pour en faire un tsunami. Je me déversais à grands jets bouillonnant et spasmodiques, au fond de son ventre.
Je me redressais, refermant mon pantalon. J’embrayais et roulais tout en jetant des coups d’œil du côté de ma passagère, remettant de l’ordre dans sa tenue.
Après être sorti de chez sa copine, je l’avais ramené à l’hôtel. Elle m’avait invité à monter avec elle dans la chambre, où nous avions eut un autre rapport. Puis le lendemain chez elle à Paris…

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