Quand une femme est mariée il y a des avantages, la suite

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand une femme est mariée il y a des avantages, la suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.7 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Quand une femme est mariée il y a des avantages, la suite
Alors que Monique est toujours dans la salle de bain, j’ai enfilé un boxer et un t-shirt (je n’avais pas prévu de pantalon de rechange), et je me suis installé dans un immense canapé en cuir, face à une cheminée allumée, au milieu d’une vaste pièce. J’ai laissé la porte entre ouverte pour indiqué à Monique où je suis mais maintenir au maximum la chaleur dans la pièce. Leur maison est immense et je n’ai pas tout visité. Je ne sais même pas dans quelle chambre poser mon sac. Je suis tranquillement allongé à profiter de la chaleur du feu, je suis bercé par la pluie qui continue de tomber et le crépitement du feu, je suis sur le point de m’endormir quand j’entends la porte grincer et la voix de Monique me demander: « Tu es là? ». Je soulève la tête et lui sourit, elle a remis son peignoir de soie et à les cheveux secs, elle vient vers moi, je me soulève pour m’assoir mais elle me dit de rester comme ça et elle vient s’allonger devant moi pour se love dans mes bras. Nous restons un long moment l’un contre l’autre, hypnotiser par le feu.
Elle casse le silence en me disant « Tu n’as pas froid sans pantalon? », ça doit bien faire 15 minutes que l’on est l’un contre l’autre et maintenant elle me sort ça! Les femmes! Alors je lui réponds « Si tu es contre moi ça va! », elle se tourne vers moi mais glisse au sol, elle se lève met les mains sur sa taille et avec un regard d’une maman pas contente elle me dit: « On ne va pas passer le week end à se grimper dessus! ». Elle me fixe alors je lui réponds: « D’abord ce n’est pas le week end mais moins de 24 heures », je glisse ma main droite entre les pans de son peignoir à mi cuisse et je la pose sur la droite, en remontant lentement vers son entre jambe je rajoute « Et pourquoi pas! ». Ma main atteint sa chatte et ses poils pubiens, mon index caresse ses lèvres et mon pouce son clito. Elle gémit et me dit « Tu as raison, pourquoi pas! », elle lâche enfin mon regard pour lancer sa tête en arrière et profiter du plaisir que lui procure mes doigts, elle écarte même un peu plus les jambes. Je m’assoies pour encore mieux m’occuper d’elle, ses lèvres commencent à perler alors je rentre deux doigts dans sa fente et mon pouce malaxe son petit bouton. Elle gémit de plaisir, je sens sa cyprine couler le long de mes doigts du coup je rentre un troisième doigt en elle, le tout coulisse sans problème et sa mouille atteint mon avant bras. Elle fléchit les genoux pour s’ouvrir encore plus du coup mon auriculaire vient rejoindre les 3 autres doigts, elle mouille tellement que son jus commence à couler du bout de mon coude au sol. J’aimerai essayer de glisser mon pouce et y rentrer ma main mais j’ai peur qu’elle se crispe et que ça tourne mal alors je fais seulement rentrer et sortir mes 4 doigts de sa chatte inondée. Ses gémissements deviennent des cris de plaisirs, son vagin se contracte autour de mes doigts, je préfère sortir le dernier venu pour la ramoner comme il le faut pendant son orgasme et je me penche pour lui pincer le clito du boulot des lèvres, son sexe se contracte encore une fois. Elle pose ses mains sur mes cheveux et les serrent, ma langue titille sont petit bout de chair gonflé, ses mains se crispent sur ma tête et elle hurle son bonheur.
Sans sortir mes doigts de son sexe, je la fais se mettre à 4 pattes sur le canapé (c’était un peu acrobatique mais on a réussi), elle prend appuie sur l’accoudoir. Je place ma tête entre ses cuisses et je retourne m’occuper de son clito qui est toujours gonflé accompagné de vas et vients très lent et toujours à 3 doigts. Le plaisir remonte en elle, je m’applique à la sucer, lécher, aspirer et mordiller comme elle aime tout en la doigtant. Sa chatte recommence à couler et ma queue bandée est depuis trop longtemps enfermé dans mon boxer alors je retire mes doigts un à un, je sors de sous elle et j’en profite pour enlever mon t-shirt qui est un peu mouillé de son jus et mon boxer tacheté de mon jus, ma bite s’éjecte comme un ressort. J’enduis ma queue de nos liquides intimes et j’enfonce d’une traite mon pieu entre ses cuisses, je m’immobilise au fond avant de commencer à faire de tous petits allers retours mais ils sont suffisamment agréable pour Monique car bien qu’elle vient d’avoir un orgasme elle gémit déjà. On pourrait croire que nos sexes sont vraiment fait l’un pour l’autre parce que je la remplis entièrement et elle me compresse juste comme j’aime. Mes mouvements sont de plus en plus amples et sec et ses petits cris se sont transformer en de clair « Oh oui! » ou des « Encore! ».
Avec mes doigts encore gluants, je caresse sa rondelle et j’y rentre sans aucune difficulté un premier doigts puis un deuxième, je lui masse les entrailles au même rythme que mes coups de rein dans sa moule et j’arrive enfin à y rentrer un troisième doigt. Je lui fais une bonne double pénétration avec nos sexes l’un dans l’autre et mes doigts dans son cul, je sens que son corps commence à frissonner et comme j’ai envie de l’enculer je retire ma bite dégoulinante avant qu’encore une fois elle jouisse. Je retire mes doigts un à un et je maintiens son petit trou grand ouvert en écartant ses fesses. Je pose mon gland sur son trou béant et le rentre lentement mais sans aucune résistance. Une fois que le chapeau est entièrement passé, je relâche ses fesses et je rentre centimètre après centimètre dans son cul jusqu’à ce que mes couilles soient contre elle. Je m’immobilise un moment et je ressors entièrement et d’un coup sec, j’empoigne ma bite que j’enfonce à nouveau très lentement dans ses entrailles, jusqu’au fond. Je ne bouche plus et je ressors tout aussi sèchement. Cette fois je ne la prends pas mais je viens me placer sur le côté de son visage et pendant que je lui donne ma queue à lécher je réinvesti directement son cul avec 3 doigts. Après avoir entièrement nettoyer, avec sa langue, tout mon sexe qui était recouvert de nos sécrétions elle m’avale jusqu’à faire des gorges profondes se qui enduit mon sexe d’une salive épaisse et très blanche. Je retourne derrière elle, je retire délicatement mes doigts un à un et j’écarte avec mes deux mains ses fesses pour encore plus ouvrir son trou. En bougeant mes jambes je pose mon gland à l’entrée et je m’enfonce d’un coup au fond de son cul, ce qui lui arrache un cri. Je lui laisse un moment pour se réhabituer à moi et je la ramone assez vigoureusement, ensuite je ralentis la cadence, je quitte des yeux son cul que je suis en train d’envahir et je la regarde prendre son pied. Je regarde aussi un peu la pièce, c’est une grande bibliothèque, à part le canapé sur lequel je sodomise Monique il y a deux fauteuils club. Je réalise que son mari doit régulièrement sur un de ces fauteuils juste à côté de nous s’il était là il verrait nettement ma queue entrer et sortir du cul de sa femme. Ca m’excite encore plus d’imaginer la scène, ma queue gonfle encore dans ses entrailles. Elle a du le sentir puisque en réponse elle contracte ses sphincters, ce qui me fait frissonner de plaisir, j’accélère ma cadence et lui donne une bonne fessée avant de reposer mes yeux sur son magnifique postérieur. Je vois sur ma bite une sorte de mousse, ça ne peut pas être sa salive de tout à l’heure qui fait ça! Je lui donne une bonne petite série de fessées puis je l’attrape par les hanches pour encore mieux lui défoncer le cul. Il y a de plus en plus de mousse sur mon sexe et autour de son oeillet! La salope, elle mouille aussi du cul! Je la regarde pour essayer de voir sa tête et je comprends pourquoi je ne l’entends pas gémir, elle est en train de mordre un coussin. Je lui donne une grosse fessée et je lui dit: « Pourquoi tu te retiens? », je lui donne une nouvelle fessée « Cris ton plaisir, laisses toi aller, prends ton pied! ». Elle lâche le coussin et ne crie pas son plaisir mais le hurle, elle prend encore plus appuies sur l’accoudoir et avec son autre main elle se branle la chatte. C’est tellement beau et bon que je sens l’orgasme monter, mais je dois me retenir pour qu’elle jouisse aussi. Je ralentis un peu le rythme de mes rentrées et sorties dans son cul mais mes coups de rein sont plus violent.
Quand ses doigts quittent son clito c’est pour titiller ma queue depuis son vagin qui doit bien dégouliner et à certains moments je les sens même écraser mes couilles. Quand elle me les compresse, c’est qu’elle va jouir alors je lui donne une nouvelle fessée et j’accélère mes allers retours mais en les faisant toujours aussi violents. J’ai de plus en plus de mal à me retenir mais je sens ses sphincters se contracter autour de ma queue alors je m’enfonce au plus profond d’elle et je lâche tout mon jus dans ses entrailles, Monique cri sa jouissance pendant que je la remplis et que sa rosette continue de serrer ma bite. Quand je commence à dégonfler je reprends mes vas et vients dans son cul mais elle me demande de sortir, je m’exécute et comme je trouve que mon sexe ne dégouline pas assez de foutre et de mouille je plante deux doigts dans son trou encore ouvert et je récolte nos jus que je lui donne à lécher avant qu’elle nettoie ma queue.

Nous nous sommes écroulés dans le canapé et nous nous sommes endormis. Vers 21h30, elle me réveille. Nous sommes allé manger et nous sommes allé nous coucher dans une chambre d’amis. Une fois au lit et toujours entièrement nu, j’ai commencé à l’embrasser et lui caresser le corps mais elle m’a repoussé, m’a mis sur le dos et m’a dit en grimpant sur moi:
« Je suis désolée mon lapin mais j’ai les trous en choux fleurs, je préfère les laisser se reposer pour être en forme demain », elle commence à descendre vers mon sexe et rajoute « mais ne t’inquiète pas je vais bien m’occuper de toi ». Effectivement elle m’a divinement sucer et cajoler pour que je me vide dans sa bouche; évidement elle a avalé mon jus jusqu’à la dernière.

Pour la première fois nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre pour toute la nuit. Le lendemain je me réveille vers 9h00, elle dort encore et je me rappelle qu’elle voulait être en forme pour ce matin alors je descends vers le centre de son corps et ….

Les avis des lecteurs

Je pars lire la troisième partie



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