COLLECTION TABOU. Les Mimosas (1/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION TABOU. Les Mimosas (1/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION TABOU. Les Mimosas (1/7)
• Mais, comment en êtes-vous arrivez là, vous avez bien fait de venir me voir, Olga, je sais que tu avais l’habitude d’être dispendieuse, mais de là à vous retrouver à la rue, il y a un monde.
• Beau-papa, vous êtes injuste, il est vrai qu’ils nous ont saisi les 150 paires de chaussures que je possédais, mais la voiture de sport que Kevin votre fils avait acheté à largement contribuer à ce qui nous arrive.
• Père, vous m’avez toujours dit que l’argent était fait pour tourner, ce n’est pas ma faute si j’avais acheté une grosse somme en Bitcoins, cette monnaie virtuelle qui vient de s’écrouler.
• Oui, mais beau-papa t’a toujours dit qu’il fallait diversifier tes placements, ce que tu n’as pas fait mon pauvre ami.

Je me présente, beau-papa pour Olga ma belle-fille, Chris pour les intimes, retraité depuis quelques mois et occasionnellement rentier.
Je dois ma fortune aux premières actions que m’a léguée mon père, mort il y a bientôt trente ans et à mon portefeuille construit dans la banque où je travaillais jusqu’à ma retraite.

• Pour vous aider, Kevin, vous allez vivre dans cette maison où nous sommes et qui devait vous revenir à ma mort, puisque tu es mon seul héritier.
Pour ma part, je vais me retirer dans le chalet que je viens de faire rénover en haut de ce terrain, nous y avons vécu avec Agathe ta mère, avant qu’elle nous quitte à ta naissance.
Je serais très bien avec la vue que j’aurais de la plaine au bas de Bormes-les-Mimosas.
Je viens d’appeler Albert, mon ancien patron et ami, Kevin, il cherchait un caissier, il accepte de t’embaucher.
• Merci beau-papa, Kevin va tout faire pour être à la hauteur, je vais veiller à ce qu’il soit à l’heure tous les jours, quant à moi, je vais entretenir les maisons et votre linge, vous n’aurez cas me le déposer chaque semaine, je le laverais et le repasserais.
• C’est très bien, en plus tu pourras prendre ma voiture dont je ne me sers plus pour aller faire les courses les lundis et jeudis, tu rempliras mon frigo, j’ai horreur de faire ce genre de course, je trouve que c’est du temps perdu.
Je vais pouvoir me concentrer sur ma nouvelle passion, l’écriture, je pourrais continuer à écrire et publier mes livres avec mon éditeur.
• J’ai lu vos deux premiers livres beau-papa, j’en ai rougi, pourtant Kevin pourrait vous dire que je suis loin d’être prude, mais votre héroïne Blanche, n’a de blancheur que son nom, c’est une véritable gourgandine qui adore le sexe plus que moi.
• Olga, mes personnages sont des personnages de composition, même si certaines intrigues découlent de choses m’étant arrivé.
• Kevin, tu commences lundi matin, en attendant, vous allez m’aider à emmener mon linge au chalet.
• Merci père, je vous te serais toujours redevable.
• Beau-papa, je vais vous avouer quelque chose, avant que les huissiers débarquent avec leurs déménageurs, j’avais arrêté ma contraception pour qu’avec votre fils nous vous donnions un petit-fils.
Je voulais recommencer à me protéger, maintenant que notre situation s’éclaircisse nous allons pouvoir vous faire ce plaisir.
• Il est temps d’y penser, Kevin, tu as bientôt trente ans, cela te mettra du plomb dans la tête.
• Merci père, je vais tout faire pour vous satisfaire, je vais faire très attention dans mon nouveau travail.

C’est ainsi que je retrouve la maison de mes années de bonheur avec Agathe avant qu’elle nous quitte à la naissance de notre fils, elle servait principalement de réserve et d’entrepôt aux files de nos avoirs, nous y mettions de vieux meubles qui seront assez bons pour moi.
Depuis que les enfants sont là, tout roule, Olga m’apporte mon linge et ma nourriture, je suis souvent sur ma terrasse devant mon ordinateur comme aujourd’hui, j’écris souvent nu, même quand elle vient et ne semble pas s’en offusquer.
Il est vrai que derrière mon bureau que je sors sur ma terrasse, avec ma chaise sur roulettes, elle ne voit pas grand-chose, mais je crois les avoir assez aidé pour qu’elle supporte mon corps toujours bronzé et svelte ayant toujours fait attention à ma nourriture.

« Blanche voyait arriver devant elle, le nouvel esclave que son père venait d’acquérir, à la vue de ses muscles et de la bosse à son pantalon elle en bavait d’envie.
Elle savait qu’immanquablement dans le dos de ses parents, la salope qu’elle était tâterait les couilles encore cachées, ne va-t-elle pas régulière dans les cases de ces beaux étalons quand ils sont couchés se faire défoncer par les verges noires dont elle est tombée amoureuse.
Dans ce coin de Virginie, berceau de l’esclavage, Blanche est née en 1842, elle a 19 ans quand elle franchit le pas et que le vieux Tom la dépucelle, elle n’est pas la seule à s’être fait déflorer par ces hommes frustes, sa mère n’a-t-elle pas demandé d’acheter Nat au marché après l’arrivée de la goélette pour en tâter aussi.
Combien de fois l’a telle surprise à se glisser à la nuit dans cet endroit ou son père les parque dans des cases, la levrette, c’est sa position favorite alors que Blanche préfère s’asseoir sur leurs verges les dominants et les sentant plus profondément en elle. »
Il est neuf heures ce matin quand une chose m’intrigue, quand nous avons construit notre maison en contrebas, j’avais fait de bonnes affaires et surtout vendu 2 000 m² de mes 10 000 m² de terrain à un couple, une haie de cyprès a été plantée entre ma propriété et celle de Louise et Alban qui cherchaient du terrain.
Le couple a vendu, avant de remonter dans le nord vers leur fille qui se retrouvait seule avec trois enfants, son mari l’aillant quitter, je sais que c’est une femme d’une cinquantaine d’années, notaire, qui a racheté.
C’est au café où je me rends après avoir écrit deux fois par semaine que j’ai appris qu’elle a une grosse étude à Hyères distant de 25 kilomètres d’ici.

Il y a une fenêtre dans le chalet qui donnait sur le terrain vendu, comme nous étions sur la mitoyenneté, j’avais collé des feuilles opaques sur les carreaux, un coin de l’une d’elles est décollé et le soleil du matin tapant de ce côté fait passer une raie de lumière.
Instinctivement, je l’appuie, mais la colle est morte, je tire dessus et c’est là que je la vois, elle est au bord de la piscine qu’Alban avait fait construire et qui faisait sa fierté.
Ma nouvelle voisine, pensant que personne ne peut la voir est nue sur un transat, elle semble avoir pris son café au soleil la tasse sur la table à son côté me le prouvant.
Elle est rousse, de la chatte aux cheveux, sa toison entière est impeccablement entretenue du moins pour ce que je peux en voir, car elle a un gode dans sa fente qui semble lui donner bien du plaisir.
Sans le vouloir, je bande.

• Et bien beau-papa, c’est comme cela que l’on reçoit sa belle-fille, je vous ramène votre linge lavé et repassé.

Je suis surpris dans la position ou je suis, surtout qu’elle approche de moi, je mets mes mains devant moi.

• Laissez beau-papa, j’en ai vu d’autres, mais vous ne pouvez pas rester dans cet état.

Avant que j’aie le temps de réagir étant dans cette situation nouvelle pour moi, elle s’agenouille, m’écarte les mains pour poser les siennes avant de commencer à me sucer le bout du gland.
Elle sent ma réticence, me sort de sa bouche.

• Beau-papa, arrêtez de vous crisper, laissez-vous aller, je vous dois bien ça, de plus je suis accro au sperme, comme Kevin depuis que nous essayons d’avoir un enfant me remplit le vagin, je suis sevrée de mon plaisir buccal.

Que répondre à cela, surtout que repartant à ce qu’elle a commencé de faire, sa bouche me prodigue une fellation comme aucune des femmes que j’ai connu ne m’en a faite.
Je ne suis pas de bois, je finis par décharger de longues giclées n’ayant pas eu de relation féminine depuis que ma maîtresse, c’est fait choper par son mari, je me croyais seul à profiter de ses charges, mais il semblerait qu’elle a le feu au cul.
Ma belle-fille me pompe tant qu’elle peut avant de m’essuyer la verge avec sa langue.
Je l’aide à se relever.

• Merci beau-papa, vous venez d’évier à Kevin d’être cocu, je suis accro au sperme, depuis notre mariage, nous baisons comme un couple normal jusqu’à ma jouissance et la sienne, chaque fois, il finissait dans ma bouche pour satisfaire mon besoin.
Vous comprenez pourquoi nous n’avons pas d’enfant, il arrivait à satisfaire mon vice, mais en ce moment, j’étais de plus en plus en manque, grâce à vous, je vais rester sage, j’étais sur le point de chercher des hommes à sucer.

Complètement insouciante, elle quitte le chalet en chantant.
Il me vient à l’esprit que si j’ai craqué, c’est à cause de ma voisine, la belle rouquine, le transat est vide, le café rangé ainsi que le godemichet, je vois sa voiture partir.
Il semble qu’elle ait des soucis avec son portail, car elle est obligée de descendre de sa voiture pour la pousser avec sa main, mais je la vois tourner en direction de Hyères, la porte automatique se refermant.

Je me prépare un café, vais me doucher et retourne à mon travail.

« Blanche cette nuit a décidé que c’était le jour ou Nat le nouvel esclave de la famille allait lui, apporté ce qu’elle cherche depuis qu’un jour elle s’est donné à Tom, sa mère venant de se faire sauter, était retourner vers son père.
Le bambou que tendait le noir un peu vieillissant suffisait pour qu’elle s’empale sur les sécrétions que sa génitrice avait laissées, elle a eu un peu mal, mais depuis qu’elle observait ce qu’une queue pouvait apporter à une femme, elle était satisfaite d’entrer dans ce monde. »
Je continue mon écriture jusqu’à presque midi, une idée me vient, le jardinier qui vient entretenir ma propriété m’a fait voir que derrière le chalet, il y a certainement un passage d’animaux qui ont abîmés la basse de deux Cyprès laissant un passage, je me glisse et sans me poser de question, je plonge dans la piscine de ma voisine.
Du temps de Louise et Alban, il m’est arrivé de venir me baigner avec eux, mais toujours en tenue de bain, je trouve agréable de me baigner la bite à l’air.

J’ai une idée que je vais de ce pas mettre en pratique en descendant à Bormes, mon terrain comme je l’ai dit fait 10 000 m2, ma propriété en couvre presque 3 000 et j’en ai déjà vendu 2 000, il en reste 5 000 constructible.
Depuis que je suis sollicité par les agences immobilières, je n’ai aucun mal à en trouver une à qui je donne l’exclusivité moyennant le bornage à leurs frais des deux parcelles que je souhaite vendre, chacune ayant la même vue que moi dans mon chalet.
Satisfait de mon travail, je vais sur Internet chercher quelle piscine, je vais pouvoir construire à égale distance du chalet et de la maison des enfants pour qu’après sa naissance, mon petit-fils puisse se baigner.

Le vendredi, je suis derrière mon bureau sur ma terrasse comme chaque matin, Olga arrive avec les courses, j’avais vu ma voiture arriver.
À quelques dizaines de mètres de moi, elle passe sa langue sur ses lèvres, pour les mouiller, me regardant avec un air sans équivoque…

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