COLLECTION TABOU. Les Mimosas (5/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION TABOU. Les Mimosas (5/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION TABOU. Les Mimosas (5/7)
Je viens d’échapper à ma bru qui voulait une nouvelle fois se faire baiser, il s’en est fallu de peu que mon fils Kevin, la surprenne à poils chez moi, je viens de rejoindre Blandine, ma rousse voisine au bord de sa piscine en franchissant la haie de cyprès par le trou derrière mon chalet.

Elle est là toujours plus belle dans sa nudité, après l’avoir embrassé, je plonge dans la piscine, elle vient de me donner le choix, repas de crudités ou bain.
Quitte à ne rien manger de consistants, je choisis le bain, lui lançant un défi.

• Gagné, je suis le premier.

C’était facile, je n’ai aucun mérite, j’ai juste enlevé mon maillot, elle arrive vers moi et s’accroche à mon cou.
Nos corps se collent et je sens que ma raideur revient, à ce rythme, je risque une autre raideur, mais définitive celle-là et dire que j’espérais avoir une retraite transquille.
Question retraite, côté travaille mes écrits ne sont pas trop fatigants, mais côté sexe, il n’en va pas de même, ma maîtresse folle du cul qui se faisait sauter par d’autres que moi s’étant fait choper par son mari, je pensais être tranquille.

Bien sûr, malgré mon âge, un petit coup de temps en temps n’aurait pas été pour me déplaire, mais bander du matin au soir, même pour des chattes différentes, la fatigue risque de me gagner.
À ce rythme, en attendant ma mort prochaine, grâce à l’eau qui m’aide à la soutenir, Blandine s’empale sur ma turgescence m’entourant ses bras autour du cou et ses jambes de ma taille.
Quelle belle mort, je vais avoir, on pourra lire sur mon épitaphe « ici gît, Chris le retraité mort en tirant un coup. »

J’échappe à cette mort pour ce coup-ci quand je l’entends râler son plaisir.
Ma situation est différente quand je perds pied et que nous nous trouvons entraîner vers le fond de la piscine, c'est par noyade, ce qui est moins glorieux qu’après avoir bu une grande gorgé d’eau, je suis à deux doigts de trépasser.

Retrouvant la terre ferme, du moins les transats, ce que je n’avais pas vu, c’est sur le côté de la desserte, la bouteille de rosée de Provence mise dans sa chaussette réfrigérante.
Ces divins, j’adore le rosé, comme j’aime me promener dans ces immenses champs de vignes, du moins du temps où je faisais de la voiture.

Je mange des pousses de bambou, du fenouil, des quartiers de tomate, des olives du pays, la fraîcheur commençant à tomber, ce qui est normal dans cette fin de printemps et la fin des mimosas, du moins les petites boules jaunes qui pullulent devant nos yeux, nous prenons un repos salvateur dans son lit.

• J’ignore ce que tu fais pendant tes journées, mais hier, dès que tu as été couché, tu as été aux abonnés absents, mais si tu veux dormir, j’aurais mauvaise grâce à te le reprocher, les dimanches, j’ouvre rarement les yeux avant midi.
Je pars travailler, j’ai un client à 10 heures, je t’ai mis le code du portillon sur la table de cuisine, bien que tu n’en aies pas besoin, grâce à ce trou dans notre haie.
• Bonne journée, à demain.
• Demain, tu vas déjà me tromper dès ce soir !
• Gros bêta, je mange chez ma fille à Toulon, son mari est dans la marine nationale, il est officier et il est en mer avec la Jeanne D’arc pour sa croisière annuelle.
Elle est seule avec ses petites jumelles, j’ai pris du rechange, je dors chez elle.

Je suis satisfait, une journée à n’avoir à affronter que ma belle-fille, pour cela, j’ai une idée, l’envie de finir mon livre est très forte comme chaque fois que je sais ce que je dois écrire, je me lève, je passe la haie sans bruit et j’entre dans le chalet.
Vite, je saisis mon portable et je retourne par où je suis venu, m’installant dans la salle avec une tasse de café boisson du matin pour moi.

« Alors que je viens de prendre les rênes de notre exploitation, père étant frappé de paralysie après avoir vu, mère et moi baiser avec Nat le noir qu’il avait malencontreusement acheté.
Il avait aussi acheté un couple de noir Adel qu’il a certainement baisé dès la première nuit et Thomas.
Je me réserve Adel, elle m'apprend les amours féminins pour mon plus grand plaisir.
Alors que j’ai jalousé mère, j’en fais ce que je veux maintenant qu’elle a refusé de gérer notre exploitation, comme je l’ai faite pour père qui est dans les mains de Mama la veuve de Tom qu’il a fouetté à mort, elle à Thomas à son service.

Nous avons été prévenus que la guerre de sécession venait de débuter, Richmond la capitale des forces rebelles étant éloignée, nous entendions des tirs d’armes à feu sans trop être concerné.

Nous croyons que nous étions épargnés, jusqu’à cette nuit ou ma vie va basculer, nous venions de rejoindre ma chambre, Adel et aussi Nat qui nous donnait du plaisir tour à tour.
Père était dans son fauteuil à bascule sur la terrasse avec Mama assise à ses pieds qui le faisaient basculer, mais par moments lui pinçait les cuisses, le ventre ou tout autre endroit.
Elle faisait cela sans un mot comme si elle voulait qu’il se souvienne que si elle était seule, c’était de sa faute.
J’avais vu mère entrer dans sa chambre avec Thomas, j’ignore si elle continue à se faire cravacher, mais il y a deux nuits, en faisant un tour pour voir si tout allait bien dans notre résidence, je l’ai entendu gueuler son plaisir.

J’avais la verge de Nat dans la bouche, Adel me broutant la chatte quand j’ai entendu des cris et des coups de fusil, rapidement Nat s’est levé, il allait vers la porte quand elle s’est ouverte et que des hommes sont entrés.
J’ai vu nettement la baïonnette au bout d’un fusil transpercer notre amant, pour se défendre, il a attrapé la lame avec ses mains, voulant faire sortir ce morceau de fer qui lui prenait la vie.
Un autre qui suivait l’a achevée en lui plantant une autre lame dans la poitrine, le sang giclait partout, avant de venir vers nous.

• Les gars, il y a deux salopes ici, nous allons nous amuser.

Pour s’amuser, ils se sont amusés, pendant tout le reste de la nuit, ils nous ont pris, Adel et moi, partout où ils pouvaient nous pénétrer, au début, je dois dire que la verge qui est venue me remplir a été à la limite de me faire jouir.
Combien étaient-ils, je ne saurais dire, ce que j’ai vu, c’est que ce groupe avait des hommes en tenues bleues, d’autres étaient habillés comme les gens de chez nous les sudistes, ils y avaient même deux noires, ce n’étaient pas les derniers à nous défoncer.
J’étais couverte de sperme, à un moment, j’ai vu Adel prise devant derrière par deux verges, j’ai subi le même sort par les deux noires un peu plus tard, je dois reconnaître que le traînement à ce moment m’a éclaté.
J’ignore si je suis tombée dans les pommes, ce qu’il y a de sûr, c’est quand je suis revenue à moi, nous étions seules et vivantes avec Adel.
J’ai sauté difficilement du lit pour aller voir notre amant qui gisait au pied du lit, ses doigts avaient été coupés par les lames qui l’avaient transpercé et qu’il avait essayé d’arracher.
J’ai entendu nos esclaves chanter leurs chants de mort à l’extérieur, j’ai mis mon peignoir blanc, je suis sorti et je me suis dirigé vers la chambre de mère, elle était dans son lit couché sur le dos.
Thomas qui devait la sauter était couché sur elle, un sabre d’officier les avait cloués dans cette situation ensemble, ils étaient morts.
Je suis descendu, père était toujours dans son fauteuil balancé par Mama qui n’avait pas bougé, père était mort sûrement de frayeur au faciès qu’il me présentait.
Mama chantait doucement des chants noirs, ces mêmes chants montaient des cases de nos esclaves, Mama devait mourir deux jours plus tard et ainsi rejoindre Tom dans leur paradis.

Nos esclaves avaient été épargnés, c’est à ce moment que j’ai entendu et vu arriver des hommes avec à leur tête un homme sur son cheval blanc. »

J’étais bien parti pour finir mon histoire quand j’entends la sonnerie de la porte automatique de la maison de Blandine.
J’avais vu que près de la porte de sa villa, il y a un écran qui me permet de voir que c’est Olga dans son petit short et avec un chemisier blanc noué sous ses seins qui a sonné.
Que vient-elle faire, elle a dû aller au chalet et ne me voyant pas, elle vient tenter sa chance ici ?
Heureusement que je lui ai caché le passage dans les cyprès, elle serait déjà là pour se faire remplir le vagin, je ne bouge pas et je la vois partir.
Comme la piscine est cachée de la route, je me baigne, je fais la sieste en me faisant bronzer.
Je veux manger, je ne trouve que des légumes, j’ai oublié de demander à Blandine si elle était végétarienne ce qui ne serait pas impossible vu la minceur qu’elle affiche à son âge.

J’entends Kevin revenir avec la voiture, je n’ai pas assez de temps pour reprendre mon écriture, il faut dire que pour passer le temps, j’ai fait des longueurs de piscine et je suis fatigué.
La nuit tombe vite à cette époque, alors je décide d’aller manger des choses plus consistantes chez moi.
J’écoute la radio et je vais me coucher.

On frappe à ma porte, je regarde l’heure minuit, qui peut venir à cette heure et surtout qui a pu savoir que j’habite dans le chalet ?

• Olga, que viens-tu faire à cette heure ?
• Où étais-tu passé, beau-papa, je t’ai cherché toute la journée !
• J’étais au village, je faisais un concours de belote, je suis revenu il y a une heure, la concentration pour aller en finale m’a épuisé et je dormais.
• Mais, Kevin ?
• Il dort, il a eu des insomnies quand nous avons perdu tout notre argent, il avait vu le médecin qui lui avait donné des gouttes pour dormir, il se peut qu’au repas de soir, quelques gouttes soient tombées dans son verre.
• Tu l’as drogué, tu ne manques pas d’air, et en nuisette, je vois que ce que tu viens chercher.
• Oui, je veux cet enfant dès ce mois-ci, quand il viendra au monde, ce sera un Verseau, c’est un très bon signe.

Une nouvelle fois, moi qui voulais rester tranquille pour refaire mes forces, je suis dans l’obligation de l’emmener dans mon lit…

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