Luce, bourgeoise adultérine malgré elle (2)

- Par l'auteur HDS Reveevasion -
Auteur femme.
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Récit libertin : Luce, bourgeoise adultérine malgré elle (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Luce, bourgeoise adultérine malgré elle (2)
Retour en 1944

Résumé de l'épisode précédent
Luce Saint-Sauveur,devenue bourgeoise provinciale au prix d'un mariage aux conditions plus que suspectes, se voit entraînée dans une consultation gynécologique inédite qu'elle aborde avec terreur pour en sortir bouleversée par la résurgence d'un plaisir refoulé pendant une quinzaine d'années.

Le retour de chez le docteur de Joncour fut un véritable chemin de croix pour Luce. Tandis qu'elle arpentait le trottoir à petits pas saccadés de femme aux abois, les images de ce qu'elle venait de subir se bousculaient dans sa tête et s'entrechoquaient comme des boules de tombola, mais aucune ne sortait du globe grillagé pour apporter la moindre caution apaisante. Chaque moment de cette auscultation crépitait comme les éclairs de chaleur d'un soir d'été étouffant : le regard inquisiteur du docteur ; le déshabillage affiché sans le moindre voile ; la positon humiliante imposée par les arceaux ; la profanation irrévérencieuse de son vagin ; l'impossibilité de dompter les humeurs de femelle ; l'abandon à peine consenti ; le jaillissement d'un plaisir dégradant ; la détresse finale entre frustration et culpabilité après l'intrusion de l'épouse du médecin.
Elle ne pouvait pas décemment rentrer chez elle dans cet état, d'autant plus qu'elle devrait affronter le regard de son mari qu'elle devait reconduire à la gare. Un regard devenu, après dis-huit ans de mariage, au mieux indifférent et au pire dédaigneux mais toujours clairvoyant. Elle décida de s'arrêter pour reprendre ses esprits dans un salon de thé où elle n'entrait que rarement seule. En ouvrant la porte elle comprit son erreur car il était lundi et c'était le jour où les plus cancanières des commerçantes se retrouvaient pour échanger les ragots récoltés la semaine précédente dans leurs boutiques respectives.

- Bonjour madame la mairesse, il y a longtemps que l'on ne vous avait vue, c'est un honneur pour mon établissement, s'égosilla ironiquement de sa voix de crécelle la tenancière, accompagnée du hochement de tête collectif et approbateur de la demi-douzaine de pintades trop engraissées qui constituait sa clientèle du jour.
Luce qui avait horreur d'être appelée ainsi se contenta d'une moue méprisante et commanda un thé avant de se diriger vers les toilettes. Enfin à l'abri, elle se regarda avec épouvante dans le miroir. Sa mine était défaite, pâle comme jamais, ses traits tirés au point qu'il lui paraissait avoir pris 10 ans de plus. Elle fut saisie d'horreur lorsqu'il lui apparût qu'il lui manquait une boucle d'oreille. Elle chercha dans son sac à mains en pure perte et l'évidence s'imposa : elle s'était décrochée chez le docteur dans ce moment d'exaltation où elle avait abandonné toute lucidité. Elle entra alors dans le cabinet d'aisances et éprouva un certain soulagement de pouvoir s'asseoir car elle se sentait épuisée. La rémission fut très brève car elle réalisa qu'elle avait oublié sa petite culotte dans le cabinet du médecin. L'état de panique s'empara d'elle et l'immobilisa un long moment. Pendant qu'elle s'efforçait de chasser l'idée que toute la ville était au courant que madame de Saint-Sauveur était revenue de chez son docteur avec les fesses nues, elle prêta l'oreille un peu plus aux bruits alentours car, d'ici, elle entendait des bribes de la conversation des mégères dans le salon adjacent.
- Elle avait l'air bien pressée d'aller soulager son cul pincé la Saint-Sauveur ! lança avec sa gouaille légendaire la poissonnière.
- Surtout qu'avec la vie qu'il mène à Paris, c'est pas l'Henri qui doit le desserrer, son popotin ! s'esclaffa la charcutière, toujours au sommet en matière de vulgarité.
- Moi, je ne lui ai pas trouvé bonne mine, cette femme est malheureuse. J'aurais tendance à la plaindre, objecta la mercière.
- Tu ne va pas imiter la de Joncour qui n'arrête pas d'en faire une martyre tout en ne se privant pas de la critiquer ! s'insurgea la crémière, toujours aussi fouinarde.
- Oh la cocue ! Elle ferait mieux de surveiller son dévergondé de mari, ajouta, non sans succès, la quincaillère, farouche grenouille de bénitier.
- Eh oui ! deux femmes cocues ça se rapproche, ponctua la teinturière, qui ignorait qu'elle en faisait une solide troisième.
La haine de cette ville et de ses habitants qu'éprouvait Luce n'en fut que consolidée, car elle n'ignorait rien de l'agressivité et des ressentiments dont elle était la cible. Elle éprouva alors le besoin de leur imposer son dédain en revenant s'asseoir au salon cuirassée de sa dignité dédaigneuse. En s'essuyant l'entrecuisse, elle sentit sous le frêle papier palpiter ses chairs sous l'effet d'une mémoire revendicative des émotions troublantes ressurgies chez le docteur. Sa main osa s'attarder et elle en tira une béatitude consolatrice et réconfortante qui lui fit savourer le privilège de sa féminité triomphante pour l'imposer à ce quarteron de matrones aigries. Remaquillée et réajustée, son retour dans le salon les plongea dans une confusion silencieuse. Elle savoura cet instant victorieux jusqu'à ce que leur caquetage reprit après une pause consacrée à un engouffrement écoeurant de crèmes au beurre, pâtes à choux, fruits confits et autres douceurs compensatoires.
- Vous avez appris la nouvelle ? dit la poissonnière en se gargarisant de gloussements convulsifs telle une perruche orgueilleuse, le Pierre Desmond est sorti de prison.
- Eh bien ! répliqua la bigote, si tout le monde avait fait son travail pendant l'épuration on n'en serait pas à supporter de telles horreurs !
Luce marqua le coup. Son coeur se mit à battre si fort qu'elle en ignora les pérores qui alimentaient leur jacasserie d'un flot d'insanités populistes. Son regard se perdit loin, très loin en arrière sous la brume d'un voile nostalgique.

C'était à l'automne 1944. Elle avait reçu un mot par porteur : "Madame, pouvez-vous vous rendre au local de la police française et demander exclusivement Pierre Desmond. Il s'agit de la sécurité de votre père." Luce qui venait de perdre sa mère s'y précipita sans réfléchir. Après avoir attendu une heure interminable, elle fut dirigée vers un bureau dans les sous-sol de la police, un local assez sordide aux murs attaqués par le salpêtre, meublé de quelques armoires métalliques, d'une immense table rectangulaire et de quelques fauteuils avec enfin un canapé chesterfield à demi éventré. Elle y attendit encore un long moment, lorsque que la porte grinça et qu'elle se retrouva en face de Pierre Desmond. Ce dernier était le seul fils de leur voisin. Henri de Saint-Sauveur s'était associé avec le vieux père Desmond en partageant leurs immenses bois pour constituer le plus grand territoire de chasse de la région. Si Saint-Sauveur avait habilement sauvé les apparences en évitant d'afficher ses affinités avec les Pétainistes, le vieux Desmond était un cadre officiel de la milice. C'est ainsi que son fils, qui n'avait de métier que celui de séducteur des campagnes, obtint un poste subalterne à l'hôtel de police.
Luce n'avait jamais eu à se plaindre de cet homme trentenaire aux allures de gentleman farmer certes oisif mais très sympathique et bienveillant.
- Madame Saint-Sauveur, installez-vous sur ce qui ressemble encore à un fauteuil dit-il, avec un sourire inspirant la confiance. Je m'excuse pour le mobilier mais ici nous n'avons récupéré que ce que les "bonnes familles" ne voulaient pas.
Surprise pas le ton de ce préambule, Luce, voulant aborder immédiatement le sujet préoccupant, manifesta son incompréhension à propos du message reçu.
- Soyez rassurée madame, votre père ne risque rien.
- Mais alors pourquoi ce message ? Pourquoi suis-je ici ?
- Vous n'êtes dans ces locaux que parce que j'ai des informations de la plus haute importance à vous communiquer et que les circonstances m'empêchent de garder secrètes plus longtemps.
Luce affichait un visage marqué de stupéfaction et d'inquiétudes.

Desmond sortit d'un tiroir un dossier qu'il n'ouvrit pas de suite où elle put lire en gros caractères à l'envers : affaire Baumann. Puis, il lui expliqua les dessous de cette histoire concernant sa famille. Il lui rappela qu'en 1942, elle avait pu échapper à son destin probablement funeste de juive en épousant à la fois la religion catholique et Henri Saint-Sauveur. Ceci ne put être réalisé que grâce à la mansuétude d'Hubert Desmond, son propre père. Malheureusement, le cas de ses parents, devenu hélas celui du seul Isaac Baumann, non seulement n'était pas résolu mais était suspendu à l'existence d'une dénonciation qui, par un heureux hasard, était passée entre ses mains et qu'il avait pu soustraire avant qu'elle ne parvienne aux autorités implacables. Il sortit alors du dossier une lettre qu'il lui transmit en la regardant avec une expression de devoir accompli.
Luce saisit la feuille d'une main tremblante et la parcourut en devenant livide. Elle la jeta sur la table dans un geste de dégoût.
Pierre Desmond la relut devant elle :

Monsieur le chef de la milice,
C'est avec une profonde reconnaissance pour votre travail de reconquête de nos valeurs traditionnelles à laquelle je souhaite apporter ma contribution que je vous signale le cas préoccupant du riche juif, Isaac Baumann, orfèvre de son état et usurier impitoyable, qui poursuit en toute impunité son entreprise de lutte contre notre révolution nationale en finançant les actions terroristes.
Je ne doute pas des sanctions que vous utiliserez pour faire cesser les activités scélérates de cet homme et que vous ne manquerez pas de tirer de lui les informations nécessaires à la réussite de notre combat avec l'efficacité remarquable dont vos services font preuve.
Henri Saint-Sauveur, Maire.

Après lui avoir laissé le temps d'accuser le coup, il lui demanda :
- Madame reconnaissez-vous l'écriture et la signature de votre mari ?
- Le salaud, il m'avait assuré que tout était réglé pour mon père et qu'il n'avait plus rien à craindre. Et elle éclata en sanglots.
Pierre Desmond se leva, s'assit sur le bord de la table près d'elle et lui tendit un mouchoir. Elle n'interrompit ses larmes que pour crier :
- Et il a fait cela le lendemain de notre mariage ! Puis elle ajouta avec rancoeur : et vous, pourquoi ne m'avez vous rien dit à ce moment ?
- Je vois que vous devez apprendre encore certaines choses délicates, lui répondit patiemment Desmond.
Il lui expliqua que sa présence dans ces lieux n'étaient due qu'à la position de son père et qu'il n'avait accepté qu'après avoir reçu la bénédiction de ses amis partisans. Il était une taupe de la résistance qui avait permis de sauver bien des vies dont celle de son père Isaac. S'il n'avait attendu que ce moment, c'était uniquement pour que Luce, par une réaction légitime mais dangereuse et inopportune, ne mette pas en danger l'existence des hommes comme lui dont la survie dépendait de leur discrétion.
- Mais alors pourquoi le faites-vous maintenant ? Le problème est le même !
Il lui expliqua que le Reich reculait et qu'alliés et résistants étaient en train de gagner la guerre.
- Prenez ce dossier et dans quelques mois vous pourrez en faire ce que vous voudrez.
- Mais vous, Pierre, vous avez pris des risques énormes.
- Je compte sur mes amis pour lever le voile sur mes actions de résistance.
- Comment vous remercier d'avoir sauvé mon pauvre père et… aussi… de m'avoir épargnée pendant deux ans ? Et puis, et puis de m'avoir ouvert les yeux sur les saloperies commises par mon mari ?
Et elle se leva, les yeux plein de tristesse mais surtout de reconnaissance, toute tremblante d'émotion. Il posa ses fines mains de faux campagnard sur ses délicates épaules, tendrement mais fermement et, d'une voix rauque qui semblait venir du fond de sa gorge, il lui dit :
- Vous êtes la première personne à découvrir qui je suis vraiment, aidez-moi à survivre à la folie crétine des pseudos vainqueurs qui risque de m'emporter. En attendant…

Sa voix resta suspendue, leurs regards fusionnèrent, leurs corps se trouvèrent et ses mains quittèrent les épaules pour emprisonner son visage. Il posa sa bouche sur le front de Luce qui se lova contre son torse puissant. Il s'inclina vers elle en caressant ses joues de sa barbe courte. Luce découvrait la tendresse d'un homme, enfin… Elle leva son bel ovale de visage vers lui et se dressant sur la pointe des pieds posa ses lèvres sur sa bouche épaisse et gourmande. Le baiser fut interminable de douceur et de délicatesse. Il effleura mille fois le dessin de ses lèvres comme s'il voulait entretenir la braise éternelle d'un feu dont il craignait l'extinction par trop de précipitation. Ensorcelée par tant d'attention raffinée elle se détacha néanmoins de lui et recula pour s'offrir à son regard. Elle portait une robe longue marine à pois blanc qui flottait sur son corps mince de femme de vingt quatre ans, n'étant serrée qu'à la taille par une large ceinture en cuir blanc. Elle sourit quand il avança ses mains pour détacher cette dernière. Elle le laissa, avec un consentement jubilatoire, défaire les boutons de nacre de sa robe de coton. Son corps de jeune femme fragile apparut, illuminant de sa candeur le cadre miteux du lieu, paré de dessous en satin ivoire lorsqu'une caresse subtile sur ses épaules fit glisser la robe au sol. Il la souleva pour l'emporter sur le canapé qui prit des allures inespérées pour lui de couche nuptiale. A genoux devant le sofa boiteux, ses mains prirent le relais de sa bouche en jouant sur le satin de ses parures chics. Entre la soie de la peau et le velouté des derniers atours, dépourvus de toutes fortifications gainantes aussi bien défensives qu'offensives, ses doigts enflammèrent les sens de Luce. Les tétons volontaires osèrent afficher leur quête de plaisir, indécemment irrespectueux de proportions légitimement attendues ; friandises excessives posées effrontément sur des pommes laiteuses immatures. La culotte shortie, pimentée de bordure en dentelle, effaça sa propre sagesse troublante en obéissant à l'effeuillage insidieuse des mains de l'homme. Se moquant de toute pudeur inutile, Luce attendit que les caresses s'épuisent sur la fourrure intime du triangle magique et la douceur électrique de ses bas couleur tabac. Entre satin velouté, nylon crissant et duvet foisonnant, les sens de Pierre se perdirent en conjectures prometteuses, sans oser explorer ouvertement la grotte béante.
Elle savourait la dextérité relevée d'ingéniosité dont faisait preuve son premier galant. L'image rébarbative des assauts sans saveur d'Henri Saint-Sauveur lui paraissait risible maintenant. L'arc de son corps se tendit, ses cuisses s'ouvrirent, sa bouche muette l'appela, ses lèvres intimes émergèrent du buisson soyeux, le liquide insidieux osa sourdre de l'antre magique... Elle attendait l'estocade que lui promettaient les cliquetis du ceinturon qui tomba sur le plancher, suivi du glissement du pantalon qui glissa jusqu'aux guêtres. Puis tout se bouscula quand elle reçut le corps massif et brûlant sur elle. Elle grimaça quand la puissance du pénis de Pierre Desmond lui imposa une virilité inédite que ses chairs accueillirent pleinement. La bouche espérée la colla sur le canapé tandis qu'elle répondait avec ferveur à l'impertinence de sa langue et que le braquemart immobile imprimait ses proportions colossales à son vagin étonné. Longtemps ils restèrent soudés et fondus ensemble, sans éprouver le besoin de se mouvoir pour sublimer leur plaisir. Il sentit les cuisses se refermer sur ses reins le poussant à aller et venir dans le gouffre sirupeux. Les gémissements incontrôlés de la jeune femme scellèrent leur union et il la laboura profondément sans vergogne, ne s'arrêtant que lorsqu'il la sentait proche du paroxysme, pour mieux la pilonner encore et à nouveau et lui arracher des hurlements jusqu'à ce qu'il ne puisse faire autrement que de la remplir de son foutre généreux. Luce, entre pénétrations sans vergogne et accalmies prometteuses, explosa littéralement en recevant la semence de l'homme.

La tenancière du salon de thé interrompit le songe qui n'avait rien d'une chimère.
- Madame Saint-Sauveur, je vais fermer il faut vous préparer à partir.
Luce la regarda sans réagir et se leva comme un automate pour sortir éclaboussée de la survivance inarrachable de ces instants secrets.

Les avis des lecteurs

Didier créez une nouvelle boite mail car la votre n'est plus accessible

Histoire Erotique
Bon après-midi Rêve évasion : waouh, (je suis nul en onomatopée !) c'est tout ce que m'inspire ce récit qui

continue de me ravir par l'excellence de son écriture...

Merci, Rêve pour cette évasion que vous nous offrez sans barguigner !!!

Didier

Histoire Erotique
Quel plaisir ! Enfin le retour de Reveevasion pour ma part tant attendu pour un récit original d'une très grande qualité.

GALONA BIS

Histoire Erotique
Je viens de découvrir sur ce site vos deux derniers récits et de ce fait un(e) des meilleurs auteurs de ce site. Une grande qualité d'écriture et un style parfait mis au service de descriptions précises et de mots justes (con, bite, queue, foutre). Il faut bien appeler un chat une chatte, non ?
J'ai parcouru vos autres textes, certains m'ont propulsés 45 ans dans le passé et le plaisir de vous lire n'en fut que plus fort… et mes érections le furent également.
Au plaisir de vous lire encore et encore.

Histoire Erotique
Roman hisrorico-érotique, à moins que ce ne soit l’inverse. Très joliment écrit, je songe parfois à Desfoege. Bravo vraiment ! J’attends avec hâte la suite de ce beau tableau des sixties provinciales.

Un texte qui serait mauriacien s'il ne comportait des scènes que Mauriac n'aurait pu cautionner... hypocritement. Il fallait oser écrire une histoire dans le cadre de l'occupation. Une initiative ambitieuse parfaitement réussie.



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