COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2018 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (2/2)
Ce dimanche matin, moi qui aime faire la grâce mâtinée, je suis obligé de me lever pour aller à mon travail faire une réception.

Sur le parking du supermarché que je dirige encore quelques jours, je remplace celui qui aurait dû faire le travail, étant parti voir OM – PSG au stade vélodrome de Marseille bien sûr.

Les deux garçons Ludo beau brun aux cheveux tombant sur ses épaules et Hugo blond comme les blés sont comme moi sous cette chaleur et j’accepte qu’ils viennent chez moi se doucher.
Ils pourront se reposer à l’ombre au lieu de rester dans la fournaise de leur camion ne pouvant repartir vers l’usine qui fabrique les Caddys, tous ceux de notre société étant changée, avant minuit.

Quand j’arrive chez moi, je les dirige vers la salle de bains, le temps d’aller déposer les pizzas et d’aller dans ma chambre prendre les serviettes, quand j’entre, ils sont devant la baignoire entièrement nus.

• Entre Véronique, tu ne vas pas rester le chemisier trempé, on a déjà vu des nanas à poils.

Avant que j’aie le temps de réagir, quatre mains me dénudent sans que j’aie la moindre envie de me rebeller.
Parti à trois avec Sissy et Frédéric, j’ai beaucoup aimé, partie à trois avec deux beaux mâles qui dès ce soir auront quitté mon univers, je veux bien essayer.

Ils m’aident à monter dans la baignoire, on pourrait croire comme ils l’ont dit, que seule la douche les intéresse, mais quand je vois leurs verges commençant à se redresser, je sais que c’est autrement que dans les minutes suivantes ma vie va s’orienter.

Je n’ai rien à faire, ils me lavent, leurs mains râpeuses par les travaux manuels, agressent mes seins et aussi ma chatte, je commence à bien aimer, je retrouve cette sensation que j’avais avec mon couple d’amants, à un détail près.
Les mains viriles de Frédéric sont là, mais multiplié par deux alors qu’avec le couple, celle de Sissy savait caresser mes seins tendrement.

Caressé, je perds le contrôle, nos bouches, tour à tour, se rejoignent jusqu’à ce que Ludo me fasse plonger sur sa verge que je prends dans ma bouche, dans le même temps, malgré l’espace restreint, je sens la verge d’Hugo chercher son chemin.
Je lui facilite la vie en écartant mes jambes, sa verge entre en moi.
Le traitement que j’impose à la verge de Ludo est sur le point de porter ses fruits, j’aime modérément le sperme que j’ai toujours pour autant avalé avec mes différents amants contrairement à Sissy qui en raffolait.
À ce qu’elle m’a dit, lors de confidences sur l’oreiller alors qu’elle m’avait titillé le clito pendant près d’une heure et que j’en faisais de même avec le sien, qu’elle avait rencontré Frédéric lors d’une partouze.
Elle le suçait, ils se sont regardés, elle à ses pieds, lui la dominant et au moment où il avait lâché son sperme, ils savaient ce que coup de foudre voulait dire.

Pour ma part, je me redresse me libérant de l’emprise des deux garçons.

• Tout doux les gars, on a le temps jusqu’à minuit, avant que je vous reconduise à votre camion, vous savez, je suis une gourmande.
• Tu sembles aimer le sexe, tu aurais pu te sauver quand tu nous as vus entièrement nus, au contraire, tu es venue entre nous, chercher ta ration.
• Bien vu, allons profiter des pizzas encore chaudes, après l’effort que l’on a fait sur le parking le réconfort autour de la table, je boirais bien une petite mousse.

Une bière, un quart des trois pizzas, j’ai bien bu, j’ai bien mangé, j’ai la peau du ventre bien tendu, merci petit jésus comme dit la chanson.
Le repas fini, les garçons continus à siroter leur bière, j’ai fait la fanfaronne moi qui ne bois jamais d’alcool, Je me lève, je sens que je suis en manque d’affection, j’ai le vin amoureux, même si c’est de la bière que j’ai bue.
À cause de la chaleur, Ludo et Hugo sont tors nus, je passe derrière Ludo et lui passe mes mains sur ses pectoraux, des mecs que j’ai approchés, c’est celui qui a la plus belle et la plus ferme des musculatures.
Il m’attrape, me fait pivoter, je me retrouve assise sur sa verge qui a recommencé à se tendre, nos bouches se trouvent, sa main s’insinue dans ma fourche cherchant l’entrée de mon sexe, je sens que je coule d’envie, j’ai rarement, voire jamais mouillée autant.

Il me prend dans ses bras, je les miennes autour de son cou, c’est dans ma chambre qu’il m’emporte sans aucune résistance de ma part.
Il me pose sur mon lit et s’allonge.

• Viens sur moi !

Il ne faut pas me le dire deux fois, je l’enjambe le prend en main, une nouvelle fois, il bande sans mon aide et je le fais entrer doucement en moi.
Je sens le lit bougé, je tourne la tête, Hugo est là, du moins, la bite d’Hugo est là, il me la présente et n’ayant aucun mouvement de recul, ce serait un comble après avoir sucé Ludo dans la salle de bain, ma bouche est heureuse de le recevoir.
Nous le faisions souvent avec Sissy, elle me broutait alors que j’étais assise sur sa figure pendant que Frédéric me la mettait dans la bouche, quelquefois, nous nous sucions respectivement le clitoris pendant que Frédéric venait alternativement dans nos chattes et dans la bouche disponible.

• Hugo, je sens qu’elle est prête cette salope, fais-lui notre spéciale.

Ai-je temps de me poser des questions, Hugo quitte ma cavité pour venir derrière moi, depuis quelques minutes Ludo me pénètre l’anus avec deux doigts ?
Frédéric m’enculait fréquemment comme il le faisait avec Sissy, mais là !

Là, il se présente à la place des doigts qui me quittent pour entrer directement dans mon anus, son pote m’a si bien préparé que j’accepte sans aucun souci cette double pénétration, chose que je n’avais jamais faite.

Les voisins pourraient m’entendre, coup de chance, la mémé du dessus est sourde et l’appartement du dessous avec les deux monstres que je ne regretterais pas quand je partirais, sont avec leur mamy en province.
Alors je hurle mon plaisir au moment où les deux verges déchargent leur sperme en moi, nous nous écroulons sur mon lit pour récupérer.

• As-tu aimé ?
• Plus que cela, j’ai adoré, vous êtes des amants extraordinaires.
• Dommage que ce soir, nous soyons obligés de retourner à Toulouse, ou se trouve l’usine qui nous fait travailler.
• J’avais vu que votre camion était immatriculé dans le 31 dans la Haute-Garonne, mais dites-moi, êtes-vous attachés à ce boulot !
• Pas plus qu’à un autre, la seule chose que l’on veut avec Hugo, c’est de travailler ensemble, nous sommes nés le même jour, dans la même ville, Chalon-sur-Saône.
• Mieux même, nous avons été dépucelés le même jour dans le même village un jour où nous faisions du stop de Beaune à Chalon, c’est avec elle, à sa demande que nous l’avons baisé en double comme toi.
• Je ne vous ai pas encore tous dit, je déménage dans la région de Bordeaux dans quinze jours pour être directrice adjointe d’un hypermarché de la même enseigne que vous avez livrée.
• C’est drôle, le chef avant que nous partions pour Paris, m’a dit qu’une livraison de Caddys devait avoir lieu à Floirac, est-ce là que tu vas ?
• Exact, j’y serais, ce ne sera certainement pas moi qui serais au déchargement, téléphoné moi, je vais vous donner mon numéro de portable.
• Oui, mais il y a presque le double de Caddys à décharger et nous n’aurons pas fini de bonne heure comme aujourd’hui.
• Peu importe, l’heure.
• C’est sur Ludo, on trouvera bien cinq minutes pour venir honorer Véronique.
• Vous avez tous faux les garçons, j’ai vécu en trio avec Sisssy et son mari Frédéric, ils sont partis aux États-Unis.
Je vous propose de venir visiter mon appartement, vous verrez, j’y suis allée avant d’accepter le poste, j’ai à ma disposition un logement où nous pourrons plus facilement batifoler dans la grande baignoire d’angle.
Si cela vous convient, vous démissionnez et je vous embauche dans l’hypermarché à des postes que nous définirons ensemble.
• Extraordinaire ma biche, je suis partant.
• Non, pour moi, Véronique est ma biche aussi, mais je suis bien sûr d’accord.

Nous éclatons de rire, l’atmosphère est joyeuse, nous sentons que nous sommes en osmose.

• Moi aussi, j’ai une demande à faire, tout semble rouler, mais j’ai la trentaine et j’aimerais avoir des enfants.
• Ça pourrait s’arranger, je peux t’en faire un • Tout brun.
• Plutôt une petite fille blonde, comme son père.

J’adore la réaction des garçons, surtout quand je regarde sur ma table de nuit, ma plaquette de pilules contraceptives est posée dessus, s’ils regardaient, celle du dimanche est restée en place, je suis parti si vite hier que j’ai oublié de la prendre.
Qui sait, les petites graines sont peut-être déjà en moi, des graines qui peuvent féconder deux de mes ovules et nous donner des faux jumeaux, un garçon brun ou blond et une petite fille cheveux opposés.

• Venez là, j’ai tellement aimé d’être prise entre vous que j’aimerais que nous recommencions, Hugo dessous, Ludovic là où j’aime.

Je suis une jeune femme pudique, j’ai du mal à lui demander qu’il vienne dans mon anus, il n’empêche qu’avant que la nuit ne tombe, l’immeuble recommence à entendre mes cris de jouissances.

À l'heure dite, nous sommes au camion, je n’espère pas les avoir trop épuisés, j’entends Ludo démarrer le moteur pour qu’il chauffe, je sens déjà la rupture avant que nous nous retrouvions de manière définitive.
Je sais que je vais passer pour une salope auprès de certaines femmes frustrées, mais pour une chaude du cul auprès de femmes aussi salope que moi à s’afficher ouvertement aux bras de si jolis garçons.

Demain, je retrouve les garçons, une dernière chose, à la veille de quitter Ozoir-la-Ferrière, le directeur fait un pot pour mon départ, pour ma part, j’ai un cadeau pour Fabien malgré que le lundi quand je l’ai retrouvé à son poste, il était déçu par son match.

Zéro à zéro, il semblerait que les deux équipes aient oublié de marquer des buts, tout ça pour ça, disait-il, s’il savait ce que son remplacement m’avait apporté…Pour le remercier, j’ai commandé un maillot de l’OM et un du PSG sur Internet, un amour à trois doublés de deux enfants aussi brun et blond que leurs papas, cela vaut bien cette petite dépense.

Quand, je démarre ma voiture pour partir à Bordeaux, j’espère que nous sommes trois à faire le voyage.

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