Titre de l'histoire érotique : Chapitre 3 : Retournée comme une crêpe (suite de Déjeuner en paix)

- Par l'auteur HDS Un ptit coup dbite -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Chapitre 3 : Retournée comme une crêpe (suite de Déjeuner en paix) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : Chapitre 3 : Retournée comme une crêpe (suite de Déjeuner en paix)
Chapitre 3 : Retournée comme une crêpe (suite de Déjeuner en paix)

Pour connaître l’état d’excitation dans lequel je me trouvais au moment d’aller dans cette crêperie avec ma cousine et nos parents, vous pouvez déjà lire l’épisode précédent. Sinon, laissez moi encore une fois vous parler de Jennifer, ma cousine coquine qui m’a chauffé au plus haut point durant la journée (et toutes les vacances…).

J’avais été timoré et quelque part dominé depuis le début de ces vacances, mais cela allait changer. Je le sentais, j’allais embrasser ces lèvres pulpeuses, puis ces seins magnifiques et rentrer dans ce minou luisant de mouille. Apres mure réflexion, je pense que Jen’ avais prévu de me baiser dès le départ, mais qu’en petite fille dévergondée qu’elle est, elle a joué à m’exciter pour que l’instant n’en soit que plus torride. Ce qu’elle fit avec perversité et fausse innocence mêlées, comme tous les jours.

Ca a vraiment commencé à l’apéro, au mobile home, ou nous trinquions aux vacances avec les parents avant d’aller manger. Le canapé a vite été saturé, et j’en profitais pour peloter le cul de Jen’ assise presque sur moi. C’était assez timide au début, quelques furtifs passages de ma main au bas du dos, puis après quelques verres, ça devint de plus en plus insistant. Elle me fusillait du regard des qu’elle pouvait mais elle était dans l’incapacité de se dégager sans éventer cette situation scabreuse. J’ai commencé par faire semblant de me rehausser sur ma position pour caresser ces courbes sensationnelles a travers le tissu de la jupette noire très vaporeuse qu’elle portait ce soir, et qu’elle avait agrémentée d’un débardeur à bretelles blanc sous lequel on devinait directement le contour des seins trahis par des tétons biens fermes. Je l’aurais enfilée la, devant tout le monde tellement je bandais.

Puis de caresses suggestives en petits yeux coquins, on arrive au resto, et on s’installe sur une table en longueur, ce qui fait que je me retrouve contre le mur, face à Jennifer et son décolleté vertigineux, qui semble absorbée par une vengeance quelconque. La soirée se passe bien, on commande encore à boire (heureusement que le camping est pas loin), et on nous apporte les crêpes salées alors que tout le monde est bien chaud. En mangeant, je mate les seins de Jen’ comme un cochon, ce qui n’est pas pour calmer l’incendie dans mon caleçon. D’ailleurs, mon mandrin est dur comme de la pierre, chaud, et quelques gouttes de pré sperme viennent humidifier le tissu.

Soudain, je sens un pied qui me caresse le sexe à travers l’étoffe du pantalon, et je vois ma cousine faire comme si ne rien n’était, discutant avec ses parents. Puis elle me décoche un clin d’œil discret, mais bien assez provocateur et coquin pour embraser mes sens (si besoin était…). Mmmhh c’est bon, je sens sa plante de pied frotter mon sexe, il se contracte, se gorge de sang et se dilate...oh putain, j’ai chaud ! Je deviens de plus en plus rouge, je transpire. Elle profite alors d’une discussion parentale agitée pour me passer discrètement un mouchoir en tissu blanc. Je le prends (cette fois c’est moi qui la fusille du regard) et constate qu’il est humide. Je le déplie alors, et la, stupeur ! Jen’ m’avait donné son string en plein milieu du repas ! Je le replie vite en boule et le porte a mon nez en faisant semblant de me moucher. Quelle odeur fabuleuse ! Sa mouille avait une senteur de grenadine, comme un bonbon acidulé, ca sentait la chatte bien fraîche de jeunette, et ça m’a fait a peu près le même effet que sniffer un chiffon imbibé d’éther. J’étais complètement défoncé ! Je fais semblant de faire tomber des choses sous la table pour mater vicieusement le con que Jen’ m’exhibais tendancieusement en écartant les cuisses à chaque fois.

Ni une ni deux, j’enlève une chaussure et la chaussette qui correspond sous la table, puis commence à grimper le long de cuisses longues et galbées, pour arriver dans une zone beaucoup plus chaude et humide. Ca y est, je masse son minou à l’aide de mon gros orteil. Elle est surprise, essaye de serrer les cuisses mais il est déjà trop tard. Je fouille, me fais plus précis, puis titille son petit bourgeon. Elle est a présent écarlate, elle a du mal à se concentrer sur une discussion, et réprime quelques bruits de jouissance en avalant des bouchées de sa crêpe sucrée. Elle donne l’impression que l’explosion est imminente, je sens son sexe dégouliner de mouille, elle transpire, devient de plus en plus chienne.

Les questions finissent par fuser sur sa santé, et elle quitte la table prétextant une petite fièvre. Mauvaise joueuse, pensais-je quand tout à coup, elle se retourne et me demande de la ramener au mobile home. Je me levais donc et vis que la chaise où elle était assise semblait joliment trempée, et j’espérais que personne ne le remarque. Ouf on sort à l’air frais, elle continue de simuler un malaise, je la prends par la taille. En fait c’est elle qui me dirige. On arrive sur la plage, déserte, calme. Le silence est brisé à intervalles réguliers par le remous des vagues. Elle se retourne, braque ses yeux sur les miens. La petite fille en apparence sage de la crêperie a complètement disparu, ses yeux brillent à présent de lubricité.

J’en suis profondément troublé, nos respirations s’accélèrent brutalement quand elle se colle a moi, frottant son bas ventre au mien. Pendant tout ce temps, elle continue à me défier du regard. N’en pouvant plus, je lui attrape la nuque des deux mains et l’embrasse goulûment. Nos salives se mêlent, coulent sur nos mentons. Au bout de plusieurs apnées intenses, une main se libère et vient peloter les seins superbes de cette coquine, qui commence à plus trop savoir ce qui lui arrive. Elle gémit de manière saccadée, signe que son rythme cardiaque s’affole. Très autoritaire, je lui enlève le débardeur, et c’est ainsi que la belle se malaxait la poitrine en jupette, le cul à l’air sur la plage avec les reflets de la lune. C’était presque irréel.

Excité comme un taureau par cette sirène s’offrant a moi, je me déshabille aussitôt, présentant un sexe dressé à ma cousine haletante. Ses yeux sont littéralement hypnotisés par ce braquemart tendu, même si ce n’est pas un gros engin. Jen’, qui en connaissait un rayon m’a ensuite confié que la taille de la queue (dans une fourchette raisonnable) n’a pas une grosse influence si le propriétaire sait s’en servir. Pour l’heure j’avais envie de la défoncer sur place, au milieu d’une plage déserte offerte aux embruns.

Je l’embrasse a nouveau en lui pinçant les tétons, et je constate qu’ils sont tout durs et dressés. Je m’amuse alors à les toucher puis les pincer pour au final les sucer avec délectation, en les mordant par moments. Littéralement déchaîné par un orgasme mammaire, Jen’ hurle et me saute dessus, enserrant ma taille de ses jambes. Elle se déhanche en frottant mon dard contre sa chatte.

N’en pouvant plus, j’attrape ses fesses, les écarte, et d’un coup de reins puissant pénètre dans le minou si convoité de ma salope de cousine. Elle pousse un hurlement sauvage en rejetant sa tête en arrière. Sa respiration est complètement désordonnée, elle transpire beaucoup pendant que je la tringle comme un porc, face a l’océan. Mon braquemart, raide comme jamais, coulisse à merveille dans cette petite chatte inondée qui m’aspire complètement. Je suis au septième ciel, déconnecte des réalités, ma cousine seule m’importe et je redouble de violence dans mon déhanchement. Elle non plus ne se maîtrise plus des tout, alternants cris rauques et gémissements de plaisir, les seins palpitant du fait d’une respiration anarchique, en bougeant ses hanches de manière a encore mieux s’empaler sur ma queue en ébullition. Nos bas ventres se cognent avec violence, déclenchant à chaque fois des hurlements de jouissance à s’en fendre les tympans, quand soudain, je sens que je vais jouir.

Mon sexe est plus dur que jamais, frissonne de la base au gland, je vais tout lâcher. Jen’ est dans un état second, au bord de l’évanouissement, sa tête rebondit sur mon épaule en couinant de plaisir. Je l’attrape et lui roule une pelle bien baveuse tout en la pilonnant violemment. D’un coup, je hurle mon bonheur au vent tandis qu’une quantité astronomique de sperme se répand dans sa chatte en longues et puissantes giclées qui provoquent un ultime orgasme chez ma belle cousine. Je suis animé de soubresauts, ma vue se brouille durant ce moment d’extase partagé, et quand nous revenons peu a peu a nous, on s’aperçoit qu’on est toujours enlacés, mon sexe dans le sien, têtes contre épaules, a reprendre notre souffle. De longues mèches de cheveux sont restées collées sur son visage a cause de la sueur, elle a les pommettes rouges, elle est encore plus belle qu’avant. On se regarde alors d’un œil nouveau, combinaison de complicité et de promesses de lendemains érotiques torrides.

Elle défait ensuite la ceinture qu’elle avait formé autour de ma taille avec ses jambes, m’embrasse la bouche, puis le cou, arrive sur mes tétons qu’elle mordille, lèche mon ventre tout couvert de sperme, mouille et sueur mêlés, puis suce tendrement mon sexe a moitié bandé couvert lui aussi des mêmes épices que mon bas ventre. On se rhabille à la lueur de la lune sans briser ce silence paisible et beau. Nous rentrons au camping enlacé en se jetant de temps à autre des sourires calmes et détendus.

Cette soirée fut formidable, j’étais comblé... comment aurais-je pu savoir que ce n’était que le début de nos pérégrinations érotiques ?
Bisous coquins et à la prochaine.

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