AU DELA DU CERCLE POLAIRE

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : AU DELA DU CERCLE POLAIRE Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AU DELA DU CERCLE POLAIRE
Cette histoire m’est arrivée, il y a quelques années. J’avais été invité par un de mes fournisseurs , avec quelques autres de leurs clients, à un voyage en Laponie.
Je passerais rapidement sur la première partie de ce voyage, qui était , en fait, la partie promotion avec visite d’usines, et réunions promotionnelles pour vanter leurs produits. Nous étions trois invités, et deux accompagnateurs (ces voyages se font toujours en petit comité), tous des hommes. Après la dernière réunion, nous avons tous embarqué dans un mini-bus, direction nord. Après quelques heures de route, nous nous arrêtons à Rovaniémi, ville connue pour être celle du père Noel, mais surtout, qui est sur la limite du cercle polaire. Un de nos hôtes, nous précise alors. « Ce qui se passe au delà du cercle polaire, reste dans le cercle polaire. »
Encore quelques heures de route, et nous arrivons dans une petite ville Laponne, ou nous attend notre hôtel. En recevant nos clés de chambre, nous remarquons que l’établissement est doté d’une immense piscine à vagues, avec nage à contre courant. L’organisateur nous précise qu’il y a aussi un Sauna, solarium et Jacuzzi.
Nous sommes en mai, et déjà, la nuit boréale est terminée, la neige commence à fondre, et les journées sont interminables. Un peu déphasés par le voyage, et l’amplitude solaire inhabituelle, nous trainons longuement au bar, après le diner, les tournées de bière finlandaise se succédant les une aux autres. Finalement, vaincus par la fatigue et l’alcool, nous regagnons très tard nos chambres, ou personnellement, je m’endors d’un sommeil sans rêve.
Le lendemain matin, c’est à dire quelques heures plus tard, nous partons dès potron-minet, pour une excursion en moto-neige. Le froid est vif en ces premières heures, et les combinaisons sont plus qu’utiles. Une fois équipés et familiarisés avec nos montures, nous partons, pour une journée de randonnée en ski-doo, dans les forêts environnantes. Cette promenande,après un début tranquille, s’intensifie, dans l’après-midi avec des vitesses plus élevées, sur des chemins étroits entre les sapins. Nous devons également faire attention aux rennes, nombreux dans cette région, et pas farouches, ce qui les rend potentiellement dangereux, alors que d’autres gibiers, plus imposants sont toujours invisibles le jour.
Nous rentrons en fin d’après-midi, fourbus. Un peu de réconfort dans la piscine à vague, et nous voilà parti pour un diner, bien arrosé dans un établissement, qui fait restaurant, dancing, casino, salle de jeux, fréquenté par toute la ville, en l’absence d’autres sources de loisirs.
La soirée est joyeuse, et nous apprenons , de visu que les femmes laponnes sont de solides matrones à la carrure de bucherons, et non des tops modèles scandinaves, comme nous les imaginions. Le lendemain, nous partons, plus tôt encore, pour aller plus dans les steppes, et sur les lacs. Nous pensions faire de la vitesse mais, nous devons aussi alterner avec des passages plus techniques, sur la glace qui fond, et s’effondre au passage de nos engins. Nous nous arrêtons pour regarder de plus près des maisons de glace. Constructions éphémères, qui ne servent que pendant l’hiver, et disparaissent naturellement à la belle saison.
Après un déjeuner dans une hutte typique Laponne d’hiver, composé de saumon fumé au bois d’érable, nous repartons pour une dernière ligne droite, sur des terrains plus dégagés où nous pouvons exploiter toute la puissance de nos machines, qui atteignent jusqu’à 180km/h.
De retour, à notre hôtel, nous décidons de ne pas repartir sans faire un sauna, et nous donnons rendez-vous, d’ici quelques minutes. Malheureusement (ou heureusement) après m’être deshabillé, je m’allonge quelques instants pour récupérer, et m’endors. Je m’éveille en sursaut une heure plus tard. J’enfile un maillot de bain un peignoir, et , les pantoufles de l’hôtel aux pieds, me mets à la recherche du Sauna. Il faut bien dire que les indications, en finnois ne m’aident pas. Après avoir erré, de longues minutes dans des couloirs, je trouve, à proximité de la piscine, le sauna. J’ouvre la porte de bois et entre. Dans l’espace surchauffé, assez grand malgré tout, les bancs de bois sont occupés par des femmes. Je cherche des yeux mes collègues, sans les apercevoir. Plusieurs femmes, se sont levées et me parlent avec véhémence. Alors que je commence à enlever mon peignoir, je sens qu’elles me repoussent vers la porte, avec l’intention manifeste de me chasser. L’une d’entre elles, qui a visiblement compris que je ne captais pas ce qui m’était dit essaie en anglais.
« This place is for women only. You understand ? »
Ah, je comprends mieux pourquoi je n’y vois pas d’hommes ! Dommage quand même, car certaines de ces dames étaient tout à fait consommables. Je m’excuse pour ma méprise et me retrouve dehors. Maintenant, l’idée de me retrouver dans un sauna, empli d’hommes nus, me tente beaucoup moins, forcément.
Je me rabats sur la piscine à vagues, et vais m’exercer un peu à la nage à contre courant. Je me lasse assez vite de ces attractions, et pars explorer l’espace aquatique de l’hôtel. Au détour d’un couloir, je tombe sur ce qui doit être le solarium. En fait un espace, clos en demi-cercle avec une plage , en carreaux au sol, et des lampes à bronzer, installées régulièrement au plafond, avec des minuteurs , au mur, pour les faire fonctionner. Il n’y a qu’une personne, et quelle personne. Allongée complètement nue sous les spots brûlants, une bombe comme j’en ai rarement vu. Elle est étendue sur le dos, les yeux clos. Un visage un peu asiate, aux pommettes hautes, assez mat, mais pas brun, et des lèvres roses, pulpeuses qui semblent faire la moue sous un charmant petit nez. Sous l’ovale de ce visage, un cou gracile amène mon regard sur des épaules pas trop larges, et des bras longs et fins. Les seins sont implantés hauts, et malgré la position, ne semblent pas souffrir de la pesanteur. Au dessous, un ventre plat, et des abdominaux bien dessinés mais sans excès, encardent un petit nombril, jusqu’à la fourche de ses jambes, elles aussi longues et fines,qui s’étendent vers des pieds menus aux ongles aussi bien manucurés que ceux de ses mains. Le bronzage est uniforme et intégral, et la pilosité absente. La fente de sa chatte est exposée au soleil artificiel. Assurément elle m’a entendu arriver, car elle ne dort pas. Elle bouge de temps en temps, les orteils ou les mains. Le seul accessoire est un petit oreiller en mousse qui soutien sa tête. J’en prends un sur une étagère où ils sont rangés et m’approche de la beauté.
Je ne suis pas un apollon, j’en suis conscient, et mes chances avec ce type de nanas sont assez proche du zéro. Je fais 1,75m, un visage régulier, mais assez quelconque à mon goût, malgré des yeux verts clairs, et une musculature qui fut un temps assez présente, mais la bonne chère, et une vie sédentaire m’ont doté d’un embonpoint qui, j’en ai déjà fait l’expérience, est assez rédhibitoire auprès de la gent féminine. Je devrais me contenter de l’observer, puis passer mon chemin, mais comme je suis seul, et pas à mon premier rateau, je fais le contraire. Je prends un coussin, et l’approchant de la belle lui demande si je peux m’installer à côté d’elle sans la déranger. En français d’abord, je n’obtiens aucune réaction. J’essaie en anglais, mais la dame reste de marbre. N’ayant pas d’autres langues à ma disposition, je m’installe à ses côtés après avoir lancé les lampes bronzantes.
Comme la seule occupante présente est nue, je me défais de mon maillot de bain, avant de m’étendre sur le dos. Au moins , de ce côté là je ne suis pas défavorisé. Le sol est un peu dur pour mon dos, mais je me laisse aller à la douce chaleur des lampes bronzantes. De temps en temps j’ouvre un œil et surveille ma voisine, qui semble pétrifiée dans sa position, et n’a même pas ouvert les yeux. Je me dis que l’endroit n’est pas clos et que plus j’attends, plus je m’expose à l’arrivée inopportune d’autres personnes, voire d’un mari ou petit ami. Prenant mon courage à deux mains, j’étends mes bras de part et d’autes de mon corps, et viens, par inadvertance toucher sa hanche. Je la sens frémir imperceptiblement, mais elle n’a pas bronché. Je garde ma main contre sa hanche sans qu’elle esquisse le moindre geste. Par un peu subtile reptation, je me rapproche de ma jolie voisine. Je peux alors faire glisser ma main sur sa hanche, jusqu’à ce qu’elle se retrouve à plat sur son aine. Comme elle ne réagit toujours pas, ma main se déplace sur son ventre plat, effleurant la région entre le nombril et le pubis. Elle ne bouge toujours pas, mais ses narines se dilatent, et j’entends sa respiration. Je descends vers sa fourche, et mes doigts atteignent le haut de sa fente. Elle replie, un peu, une de ses jambes avec un soupir. Aidés par le mouvement, mes doigts, viennent explorer ses lèvres intimes, et je sens se développer son bouton que je titille un instant. Je commence à descendre plus bas mais elle attrape mon poignet et l’immobilise.
Toujours sans ouvrir les yeux, elle appuie sur ma main. Comprenant ce qu’elle veut, je caresse l’appendice qui s’érige sous mes doigts et sort entre ses lèvres. Plus bas, c’est mouillé et la cyprine s’écoule de sa fente entrouverte sur des chairs bien roses. La pression sur ma main s’accentue, et , tout à coup, la belle se cambre , les dos en arc de cercle, laissant mes doigts la pénétrer, avant de retomber dans un soupir, et de repousser ma main. C’est fini. Elle a repris sa posture et tend ses bras au dessus de sa tête, faisant saillir ses seins durs aux mamelons qui dardent vers les soleils artificiels.
Quelques instants plus tard, je sens du mouvement. J’ouvre les yeux, et croise son regard. Deux yeux d’un bleu sombre m’observent et me détaillent comme un maquignon le ferait d’un bestiau. D’où je suis, mon regard est intercepté par sa chatte lisse, et pudiquement close, puis par les protubérances de ses seins, avant d’arriver à son visage. Difficile d’y déceler quoi que ce soit. Peut-être une amorce de sourire, mais c’est sans doute une illusion. Elle fait demi-tour et s’éloigne vers la sortie, ce qui me fait l’occasion d’admirer son cul ferme aux fesses hautes, sous un dos étroit qui s’évase vers le haut. La taille est fine et marquée et sa démarche souple, fait chalouper devant moi son popotin doré.
Je me lève, ramasse ma serviette et mon maillot, et je me dirige vers l’issue qu’elle a empruntée à l’opposée de celle par laquelle je suis entré.
Le solarium débouche sur un espace occupé principalement par un grand jacuzzi ovale, qui surplombre les bassins de la piscine. Là dans l’eau qui bouillonne, la tête de mon inconnue émerge. Les yeux clos, semblant profiter des bienfaits des eaux qui masquent son corps parfait.
Je pose mes affaires et descends dans le bassin, assez large pour faire quelques brasses. Je vais m’installer sur la banquette, pas très loin de la belle, à un endroit d’où je peux voir les piscines au dessous. Eux ne peuvent apercevoir que ma tête.. Bien installé, la tête en appui sur un coussin de cuir blanc, je me laisse aller et fermes les yeux. Je suis sur le point de m’endormir quand je perçois un mouvement. J’ouvre les yeux pour voir ma belle inconnue, en train de nager vers moi. Elle vient s’agenouiller face à moi. Je sens ses seins contre mes genoux. Elle me dévisage de ses yeux outremer quand je sens une main s’emparer de ma verge. Elle l’enveloppe doucement et coulisses de haut en bas. La caresse de sa main, la tiédeur de l’eau et ce regard impassible, m’excitent au plus haut point. Elle s’avance vers moi, m’obligeant à écarter les genoux, puis, sans me lacher des yeux, se laisse couler devant moi. Presque aussitôt, un fourreau brûlant vient remplacer ses mains, et pomper ma queue, tandis qu’une langue curieuse s’enroule autour de mon gland. Les mains ne restent pas inactives, et palpent mes couilles, se glissent dans mon sillon et viennent titiller mon anus.
Elle refait surface pour respirer, son chignon dégoulinant d’eau, et replonge bientôt por reprendre cette merveilleuse fellation, à peine interrompue. La tiédeur de l’eau et surtout ces lèvres serrées autour de ma hampe, qui agacent mes terminaisons nerveuses, me mènent rapidement au bord de l’explosion. J’essaie de la faire sortir, mais elle continue de plus en plus vite jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. Elle continue ses va-et-vient jusqu’à ce qu’elle ait extirpé la dernière goutte de plaisir. Elle remonte enfin et vient se coller à moi . Ses lèvres se plantent sur les miennes pour un baiser, salé.
Est ce le contact de cette naiade, l’imprévu de la situation, ou ses seins magnifiques dont je mordille les tétons ? Toujours est il que je reprends rapidement de la vigueur. La belle l’a senti et vient s’asseoir sur moi. Elle faufile sa main entre ses jambes pour saisir ma queue qu’elle glisse dans sa chatte . C’est chaud et si bien lubrifié que je m’y enfonce sans difficulté. Dos à moi, elle commence un mouvement d’ascenseur, sur ma queue bien tendue, tantôt roulant des hanches et du cul, tantôt s’agitant comme un derrick fou. Elle gémit continuellement. J’ai passé mes bras sous les siens, et je capture ses seins dans mes mains. Je les malaxe, les triture, les tripote, les pince, ou les serre. Tout a l’air de lui faire de l’effet.
Elle se raidit soudain et lâche un soupir en s’enfonçant une dernière fois sur ma queue.
Comme souvent, après avoir joui une première fois, la seconde demande un peu plus de temps, et mon sexe est encore bien raide quand elle l’extrait. Elle le garde en main et, sans changer de position, vient le pointer vers son petit trou. Je sens mon gland qui écarte les sphincters, alors qu’elle s’empale progressivement, la bouche ouverte, sans autre plainte qu’un léger rictus qui ne parvient pas à l’enlaidir. Petit à petit, son anus avale ma queue, et je m’enfonce jusqu’à ce que ses fesses en béton viennent cogner sur mes couilles. Elle recommence alors à remuer, et à coulisser sur mon membre, allant presque jusqu’à sortir complètement, avant de me réintroduire dans son étroit conduit. La sensation est intense , nous nous ébattons parmi les bulles du jacuzzi, dans le floc-floc produit par nos mouvements, dans le bassin, son fessier musclé venant taper sur les bourses à chaque aller.
Je la cramponne par les hanches, pour augmenter l’ampleur et la force de notre coit,. Je sens le feu monter dans ma bite, mes couilles prètes à lacher leur semence, et j’accélère encore le mouvement, sentant à ses halètements que la libération est proche. Alors qu’elle feule sous mes coups de boutoir, je sens de longues salves brûlantes secouer mon vit. Elle s’écroule en arrière sur moi, et je la serre contre moi, mes mains enveloppant ses seins. Après plusieurs secondes, elle s’extrait et s’assied à mes côtés les bulles du jacuzzi bouillonnant autour de nous. Elle repose sa tête sur les coussins, et ferme les yeux, de nouveau impassible. Seule sa main, invisible sous l’eau, qui tient mon sexe, me confirme que je n’ai pas rêvé.
C’est à ce moment là que mes collègues me rejoignent, et entrent à grand bruit dans le jacuzzi.
« Alors, on t’a attendu au sauna ! tu faisais quoi ? »
« Je me suis endormi, et ensuite je n’ai pas trouvé le sauna des hommes. Je me suis baigné, et je suis venu me détendre ici. »
« Eh, en tout cas, tu es assez tranquille ici » me fait remarque l’un d’eux « Et la dame à côté de toi, elle parle français ? »
« Je ne crois pas. Anglais non plus d’ailleurs. »
« Dommage que nos hôtes ne soient pas là pour traduire, parce que nous, en finnois… »
Le charme est définitivement rompu. Quelques minute plus tard mon inconnue, se rapproche des marches et sort du jacuzzi, laissant mes collègues, la bouche béante, en découvrant sa plastique irréprochable. Elle attrape une serviette, et s’essuie avant de se tourner face à moi, pour enfiler un peignoir et masquer sa parfaite nudité sans me laâcher des yeux. Elle se détourne enfin pour repartir vers le solarium et la sortie.
« Waouhhh ! quelle gonzesse ! » commente un des collègues
« Tu n’as pas tenté de l’approcher ? » demande un autre
« Avec la barrière de la langue, ce n’est pas si évident. » réponds-je
« Enfin, c’est couillon qu’elle se soit barrée, on aurait pu en profiter. » dit le troisième
« Oui, c’est bète » dis-je. Je suis sur que mon inconnue préfère que je me comporte en gentleman.

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