COLLECTION JEUNE – VIEUX. Location pour étudiant (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Location pour étudiant (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Location pour étudiant (1/2)
Trouver un logement pour plusieurs années, je l’espère, c’est ce que maman cherche pour moi, dès que je suis reçu à mon bac avec mention très bien.
Nous avons pu nous inscrire à la fac de Bordeaux alors que nous habitons un village près de Clermont Ferrant, ville que j’habite depuis ma naissance, mes parents sont d’origine modeste, ils font ce qu’ils peuvent pour me soutenir dans des études, de longue durée, de médecine que je souhaite attaquer.

« Cherche étudiant, chambre individuelle assez grande avec partie commune partagée avec la propriétaire, près de la fac. »
Suivie d’un numéro de téléphone, maman appelle, c’est elle qui se charge de me trouver un logement, la somme demandée par mois n’est pas inscrite, c’est souvent le cas les proprios s’adaptant à toutes les demandes.

• Pascal, j’ai trouvé, nous allons à Bordeaux samedi matin, tu auras une chambre chez une dame qui loue un espace personnel, avec les parties communes que vous vous partagerez.
La chambre est à deux pas de la fac, cette femme à exactement mon âge, nous sommes nées toutes les deux le même jour, le même mois de la même année.
C’est drôle, elle m’a demandé mon âge, elle trouvait ma voix douce et ne voulait pas croire que j’avais quarante-huit ans.

C’est ainsi que nous allons à Bordeaux, le samedi pour rencontrer madame Judith, femme élégante, malgré le poids des ans, moi qui aurai dix-huit ans pendant ces vacances, toute dame de plus de quarante ans est vieille pour moi.
Chambre assez claire dans ce vieil immeuble de Bordeaux, c’est vrai que je serais près de la fac, juste quelques stations de bus et la possibilité d’y aller à pied les jours de beaux temps.

Pour les vacances, je chausse mes grosses chaussures de marche, je pars faire la route des puys avec sac à dos et tente individuelle.
Cette grande marche a deux intérêts, faire le plein d’air pur et dépenser le moins d’argent possible, mes parents malgré la petite bourse que je vais avoir étant peu friqué.

C’est blindé d’air pur que mes parents me conduisent à Bordeaux pour que je m’installe.
Premiers cours, premiers bourrages de crâne.
Pour le partage des parties communes, la salle de bains, tout est planifié, la cuisine madame Judith mange à 12 heures, quand je suis là, mangeant au restaurant universitaire la plupart du temps, j’ai la liberté de manger à 11 heures ou à 13 heures.
J’ai une place pour ma nourriture dans le frigo, il y a un petit supermarché, mais dans un coin de ma chambre, maman a stocké des boîtes de conserve achetées l’année de mon bac.
Un seul endroit non planifié les toilettes, il est impossible de dire quand nous aurons à nous en servir.

Parlons de madame Judith, elle est grande, poitrine généreuse, blonde, mais les racines de ses cheveux me montrent que ce n’est pas naturel, il va sans dire que je ne le saurais jamais, je me vois mal la déshabiller pour avoir confirmation de ma supposition.

Les semaines, puis les mois passent, j’ai des partielles qui me montrent que mon travail paye, j’ai maman en vidéo sur mon ordinateur portable, elle passe son temps à m’encourager.
Je peaufine un devoir essentiel pour passer en deuxième année, le nombre de places étant limité, si je rate, c’est fini pour mon envie d’être médecin.

C’est à ce moment que l’on frappe à ma porte.

• Entrez !
• Je m’excuse de te déranger, mais tu me fais peur.

Madame Judith me tutoie depuis le début ou maman ma conduite, je la vouvoie, pourquoi a-t-elle peur.

• Je sais que tu dois travailler dur, mais au point de ne jamais t’aérer, ce n’est pas bon pour ton cerveau.
• Je n’ai pas le droit à l’erreur, il faut que je sois dans les premiers pour passer en deuxième année.
• J’ignore si tu l’as vu, je fais du jogging tous les matins vers 7 heures, je te propose de venir courir demain matin, cela ne nous prendra qu’une demi-heure cette première fois, quand tu auras pris tes marques, nous montrons à trois-quarts d’heure maxi.
• Je n’ai rien à me mettre pour ce sport, je suis meilleur en marche, j’ai des chaussures de montagne à la maison.
• Prenons quelques minutes, il y a un magasin de sport à quelques minutes. Viens, je t’offre une tenue, nous courrons ensemble les matins, tu verras dans quelques jours, tu ressentiras le bienfait de courir, tu pourras plus facilement te concentrer sur tes études.

Je l’écoute, nous revenons un peu plus tard, j’ai tout ce qu’il faut pour courir demain matin.

• Es-tu prêt, ta tenue est très seyante, la couleur jaune fluo sur ton pantalon et sur ton bandeau te protégeront des voitures et des vélos ?

Le lendemain, première course, je pense lui mettre une raclée, mais rapidement, je déchante, j’ai du mal à la suivre, pour son âge, elle est bien conservée, elle m’attend même sur la fin du parcours, mais j’ai bien aimé.

• Va te doucher, j’ai horreur de rester en sueur, mais tu dois partir à tes cours, tu es prioritaire.
• Merci, madame Judith, je vais me dépêcher, je dois vous dire que j’ai beaucoup aimé, un peu fatigué physiquement, mais c’est vrai que mon cerveau a envie de dévorer la leçon de bio de ce matin.

Nous courrons depuis presque deux mois, je suis à quelques heures de mes examens, je suis anxieux, la course m’aide à me décontracter, nous sommes montés à trois-quarts d’heure, je la suis sans aucun problème.
Je pourrais me la péter et la laisser sur place, mais j’ai compris que nous courrons en équipe et il n’est pas nécessaire de lui faire voir qu’elle vieillit.
Ce matin, je n’ai cour que cette après-midi, je vais pouvoir réviser, une leçon mal assimilée.

Nous sommes partis depuis presque trente minutes quand les premières gouttes d’un orage monté très rapidement se mettent à tomber, quelques gouttes au début et un déluge au bout de moins de cinq minutes.
Nous arrivons rincer chez nous, pardons chez Judith, au moment d’ouvrir la porte elle s’arrête.

• Pascal, fait comme moi, nous allons tremper la maison et je vais en avoir pour des heures à tout nettoyer, nous sommes des adultes et tu dois avoir déjà vu une femme nue, fait comme moi, enlève tes affaires sur le palier, nous sommes seules, le voisin est à l’hôpital.

Avant que j’aie le temps de comprendre ce qu’il arrive, elle fait sauter son débardeur, enlève son soutien-gorge avec son appareil de contrôle de ses performances comme j’en ai un moi aussi, avant d’ôter ses chaussures.

• Allez, dépêche, tu vas attraper la mort.

Je m’exécute, j’ai du mal à défaire mon pantalon de jogging très près du corps, montrant à madame Judith que la nature m’a bien pourvue, de son côté elle fait tomber le sien.
Il y a quelque temps, je pensais qu’il me serait impossible de voir la couleur réelle de ses cheveux, je n’avance pas, même si je la vois nue, sa chatte est glabre.
La porte ouverte, je ramasse mes vêtements voulant me diriger vers ma chambre.

• Taratata, Pascal, filons à la salle de bain, il fait encore un peu froid malgré cet orage, cela va te réchauffer, pas de discussion, regarde, tu dégoulines comme moi.

Je prends le chemin de la salle de bains, derrière Judith qui me montre un petit cul où je poserais bien une main, mais je suis puceau et surtout timide, j’ai tellement orienté ma vie sur mes études que j’en ai oublié les filles.

• Aller, on dirait un jeune puceau, monte dans la baignoire comme moi, je vais te faire couler de l’eau sur toi et sur moi.
• De l’eau, on en a déjà assez reçu.
• Oui, mais elle était froide, qu’est-ce que je vois là, tu bandes !

À voir cette femme nue, l’une de mes premières, du moins d’aussi près, moi le futur médecin qui risque d’en voir des milliers tout au long de ma carrière, mon corps réagi.

• Mais dit donc, la nature t’a gâté, laisse-moi faire.

Pour la première fois, une main de femme se pose sur ma verge et me masturbe.

• C’est bien, petit garçon, tu vas voir, ma main va te soulager, impossible pour un homme de rester dans cet état, quand je te disais qu’il te fallait prendre du bon temps.
• Merci madame Judith.

Elle éclate de rire.

• Madame Judith, alors que j’ai ta verge dans ma main, dit moi seulement Judith, je te le permets.
• Merci madame, pardon Judith.

C’est ma première expérience avec une femme, la main de Judith me soulage, elle me lave, mais elle aussi, mon sperme ayant giclé sur son ventre.
J’ai un peignoir, elle aussi, la seule chose qui a changé entre nous, c’est mon regard, je la vois comme une femme et non plus comme ma propriétaire.

• Viens dans la cuisine, je vais te préparer un déjeuner réparateur, après toutes ces émotions…

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