Nouvelles habitudes...

- Par l'auteur HDS Plaisirdecouple3 -
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Récit libertin : Nouvelles habitudes... Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Nouvelles habitudes...
Nouvelles habitudes…
Après avoir livré ma femme à deux de ses amis, N. disparut physiquement quelques temps de notre vie car son travail l’emmena loin de notre région plusieurs mois. Autant dire que mon épouse était sérieusement en manque, confirmant qu’elle était bien accro à sa queue. Toutefois, il continuait bien sûr à correspondre avec elle, presque tous les jours, lui donnant des instructions vestimentaires, lui demandant de se masturber. Je devais filmer ces séances. Heureusement, j’avais le droit de la baiser de temps en temps. Mais surtout, l’ex-puceau, Jérôme, prit le relais. N. prévenait ma femme et moi, que tel jour, il passerait et la baiserait. N. lui donnait ses instructions et Jerôme devait confirmer que tout était bien comme il l’avait demandé. Mais ce dernier n’avait pas de moyen de locomotion, donc ses visites furent espacées. Cela ne l’empêcha pas de profiter du corps de mon épouse et de tous ses orifices. Contrairement à N., c’était surtout sa chatte qui l’intéressait, à lécher et à prendre. De plus, il était très respectueux de ma femme et de son plaisir, on pourrait même dire quelque peu amoureux. Il la baisait bien et elle jouissait régulièrement, même si ce n’était pas comparable à ce qu’elle connaissait avec N.. Il privilégiait le missionnaire car ainsi, il pouvait l’embrasser, il était plus dans la tendresse. Finalement, c’était plutôt agréable, elle aimait se donner à lui, j’en profitai aussi, ce fut une belle période, épanouissante. Le seul changement fut que N. exigea que je nettoie ma femme après que Jerôme l’ai remplie. La première fois, il m’avait prévenu, ma chérie et moi hésitâmes, elle avait gardé la semence de Jerôme, mais nous finîmes par le faire, je la léchais consciencieusement, photos à l’appui et je réussis même à la faire jouir. Par la suite, elle s’installait à califourchon sur mon visage et je la nettoyai pendant qu’elle me suçait, je dois avouer que j’y prenais du plaisir. Je dus plusieurs fois lui nettoyer aussi l’anus car Jérôme se devait de l’enculer de temps à autre. Il avait un frère et bien sûr, N. demanda à ma femme de se dévouer pour lui faire connaître les joies du sexe. Rendez-vous fut pris dans un hôtel bien connu sans réception, mais avec douche privée, coquetterie de ma chérie. Le frère était ravi car il avait vu une fois mon épouse et l’avait trouvé très « baisable » pour son âge. L’affaire fut rondement menée, le jeune frère s’avérant être un bon baiseur malgré son âge et ma chérie se fit régulièrement baiser par les deux pour son plus grand plaisir, elle eut droit ainsi à sa première double pénétration réelle, les autres fois ayant été faites avec l’aide d’un gode. Le plus jeune se découvrant une passion pour la sodomie, il s’accordait très bien avec son aîné. J’avoue que lorsque ma femme rentrait de ces rencontres, j’étais impatient de découvrir la semence que la fratrie avait laissée dans ses orifices et imaginer cette jeune queue enculer ma femme était pour moi très excitant ! Mais ces ébats étaient relativement espacés, au mieux deux fois par mois. Les vacances d’été marquèrent une pause puisque ma femme dut se contenter de moi et de ses jouets.
Mais la rentrée de septembre marqua un changement puisque l’étalon revint dans la région et s’empressa bien sûr de reprendre possession de ma chérie. Seulement, un autre fait important avait eu lieu, notre dernier ayant eu son bac, il avait quitté la maison et rentrait épisodiquement, donc nous étions le plus souvent seuls le week-end. Et donc, un vendredi soir, en rentrant du rugby, je découvris la voiture de N. garée dans notre allée de garage, je pensais qu’il avait suivi ma femme après la piscine pour venir manger, et peut-être baiser, mais en fait il venait s’installer pour le week-end ! Ils venaient à peine d’arriver, car comme il me l’expliqua, il avait demandé à ma femme de le sucer dans sa voiture afin de reprendre « les bonnes habitudes » ! Ils étaient ensuite passés prendre des pizzas et nous nous installâmes autour de la petite table pour manger. Evidemment, N. s’installa à côté de ma femme, posant sa main sur sa cuisse. Puis il lui demanda d’enlever sa culotte afin de nous offrir la vue sur sa chatte totalement épilée, nouvelle exigence du cocufieur. Il me demanda ce que j’en pensais, ça me faisait bizarre, mais bon, si elle était d’accord ! Il nous raconta ces mois d’exil et n’hésita pas à nous gratifier de ses exploits sexuels. Il avait en effet fréquenté des clubs échangistes et baisé quelques bourgeoises pour « s’entretenir ». Tout en précisant qu’aucune ne valait « sa » salope. Il précisa qu’il avait prévu pas mal de choses pour elle ! Puis il se pencha sur elle et l’embrassa tout en commençant à lui caresser le sexe. Il ne l’avait jamais baisé devant moi, je me demandai si ce jour n’était pas arrivé ! Mais soudain, il se leva et alla chercher un sac de voyage. Je pensais que c’était ses affaires, mais en fait lorsqu’il l’ouvrit, c’était plein de vêtements féminins.
- Tiens, je t’ai achetée quelques trucs, tu vas les essayer !
Il commença à les sortir, il avait fait chauffer la carte bleue ! Il y avait des robes, des dessous, des chaussures, des cuissardes, des bas et des collants de toutes sortes.
- Tu vas nous faire un essayage ?
- Tout de suite ?
- Ben oui, allez vite, ça fait plusieurs semaines que je t’imagine là dedans. La semaine prochaine, je t’emmène en soirée, tu vas y faire sensation !
- En soirée ?
- Ouais, chez des potes du côté de Nantes !
- Je ne peux pas, j’ai prévu des trucs et j’ai du boulot !
- De toute façon, tu n’as pas le choix, ils t’attendent, bon allez, essaie moi ça et ton cocu choisira pour samedi prochain.
Elle se leva en maugréant et prit le sac pour l’emmener dans notre chambre. Quelques instants plus tard, elle redescendit avec une première tenue, ouf ! Un appel au viol ! Une robe quasi transparente, des cuissardes, ma queue devint dure comme de l’acier, je savais que ma femme était sexy, mais à ce point ! Le reste était à l’avenant, à ne pas mettre pour aller faire les courses !
- Je ne pourrai jamais porter des trucs comme ça, j’ai l’air d’une pute !
- Non, d’une belle salope mature qui s’assume et qui va faire des ravages ! Elle est chouette ma surprise ? Et ce n’est pas fini !
Et il alla chercher son sac et en sortit deux paquets. Il donna le premier à ma femme. Elle ouvrit et ne compris pas de quoi il s’agissait. Pour ma part, j’avais vu de suite ! Un rosebud bleu. Elle regarda sans vraiment comprendre où cela pouvait se mettre.
- Ça te plait ? Tu ne sais pas ce que sait ? Et bien c’est pour marquer ma propriété en quelque sorte, regarde la forme et devine ?
- Heu, je crois comprendre, mais …
- Oui, dans ton adorable cul, il va encore être plus beau et comme ça tu seras bien ouverte pour moi, et pour les autres lol !
- Hors de question !
- Tu vas voir, tu vas t’y faire, allez viens que je te le mette, j’ai du gel.
Il se leva, enduit le bout à insérer, ma femme se pencha à contrecœur, grimaça lorsqu’il le mit, mais il était en place !
- Très chouette ! Ton cul est encore plus beau ! Et le mari, il en pense quoi ?
- J’aime bien !
- Tu vois ? Tout le monde aime ! Allez, l’autre paquet !
Ma femme ouvrit le second et trouva un œuf vibrant. Je savais ce que c’était, mais pas elle, donc N. lui expliqua :
- Voilà, tu l’insères dans ta chatte et moi j’ai une application, je le fais vibrer à distance, quand je veux, chouette ! Tu auras la surprise ! T’inquiètes pas, tu ne le mettras pas tous les jours, tu vas l’inaugurer ce soir, on va s’amuser avec ton cocu et tu le mettras la semaine prochaine pour la soirée. Par contre, le rosebud, c’est tous les jours, tu n’y penseras plus dans quelques jours.
Elle repartit se changer et passa une nuisette sexy, mit un kimono en soie par-dessus et redescendit. Elle s’installa sur le canapé et écarta les jambes afin que N. lui mette l’œuf. Immédiatement, il le mit sur vibreur, doucement, nous finissions de manger, mais je voyais que ma femme n’y était pas insensible. Il s’amusait à augmenter les vibrations et dès que ses yeux partaient dans le vague, il les diminuait. On s’installa pour regarder une série, bien sûr N. se mit aux côtés de ma femme afin de la tripoter à son aise. Il continuait avec son jouet, mais il le contrôlait encore mal et elle finit par jouir « par surprise ». Puis il sortit sa queue et posa la main de ma chérie dessus, elle entama immédiatement sa branlette et je vis enfin cette queue qui était si efficace dans ma femme. Elle grossissait à vue d’œil et elle était en effet plutôt impressionnante, belle longueur et très épaisse ! La main de mon épouse était petite sur cet engin. La série se terminant, N. se leva, la queue toujours à l’air et droite comme un « i ».
- Bon, on y va ma salope ? j’ai hâte de te baiser depuis tous ces mois ! Même si tu m’as sucé tout à l’heure, j’ai encore les couilles pleines !
Quant à moi, je posais une question simple :
- Heu, si je veux dormir, je vais où ?
- J’ai fait ton lit dans la chambre d’amis, c’est mieux non, même si on a un grand lit, à trois, ça va pas être terrible.
- Surtout que je vais la démonter ta salope lol !
- Bon, je crois que je n’ai pas le choix, ok, va pour la chambre d’amis.
Il faut savoir que nous avons une assez grande maison en deux parties en fait. J’ai construit un agrandissement qui a comme conséquence de créer deux espaces distincts, d’un côté les chambres des enfants et leurs sanitaires et de l’autre côté de la maison, deux très grandes chambres dont la nôtre avec sa salle de bain hammam et juste en face la fameuse chambre d’amis. La salle de bain sépare les deux chambres et il y a un vestibule commun dans lequel les portes sont face à face. Cela fait une aile pour les enfants et une aile pour les parents avec la cuisine et la salle à manger qui séparent les deux parties. Donc, j’aurai pu dormir dans une chambre des enfants, mais ma chérie avait pensé que je préfèrerais être à côté d’eux, à voir…
Je les suivis, il pelotait le cul de ma femme en montant et chacun entra dans sa chambre respective. Et là, il se retourna vers moi !
- On se fait un hammam ?
- Pourquoi pas oui, bonne idée, tu veux ma chérie ?
- Si vous voulez !
Donc on se retrouva tous à poils dans le hammam, il est prévu pour 4, on était juste. Lui bandait toujours, pour ma part, ce n’était pas très glorieux. Il était très à l’aise, ma femme un peu gênée quand même. Nous attendîmes quelques minutes avant de transpirer que la température monte, il lui avait remis la main sur sa queue.
- Tu suces ton mari un peu, regarde sa queue, elle pend !
Ma femme me prit dans sa bouche et ma queue durcit vite.
- T’as vu, elle est douée maintenant ! Et ce n’est pas fini, tiens je vais te montrer ! Approche toi et viens me sucer, voilà. Maintenant, je vais t’apprendre les gorges profondes.
J’avais déjà vu ma femme sucer d’autres mecs, peu, mais là j’étais impressionnée. On voyait ses joues déformées par sa bite. Il lui maintenait la tête et enfonçait sa queue de plus en plus loin.
- Oui, comme ça, encore, bientôt, tu iras jusqu’aux couilles !
Et il relâchait la tête. Elle suffoquait à moitié, mais dès qu’il approchait sa queue, elle l’engloutissait visiblement avec plaisir. Cet « exercice » dura de longues minutes puis il décida de changer de jeu.
- Retourne toi, ouais comme ça, et viens t’empaler sur ma queue que ton cocu voit comment ta chatte m’avale bien.
Et je vis sa queue peu à peu disparaître dans la chatte de mon épouse adorée. Lorsqu’elle fut assise jusqu’aux couilles, il lui demanda d’aller et venir sur sa queue, lui ne bougeait pas. Elle allait presque jusqu’au bout et redescendait ensuite. J’avais droit aux commentaires :
- Oui, encore, oh putain que ça fait du bien, des mois que j’attendais ça, qu’est-ce qu’elle est bonne ta chatte ! Les bourgeoises que j’ai baisées étaient salopes, mais leur chatte étaient bien moins agréables, la tienne est irremplaçable, ton mari a raison de te prêter, il faut qu’un maximum d’hommes puissent en profiter. Tiens, suce le le pauvre en même temps !
J’étais dans la seconde suivante dans la bouche de ma femme. Ma queue allait sans problème jusqu’au fond de sa gorge, étant bien plus courte.
- T’as jamais joui sur sa langue ?
- Non, elle n’a jamais voulu.
- Ben vas-y, profite, hein ma salope, sors ta langue, voilà.
Et excité par cette situation, je lâchai de copieux jets de sperme sur la langue et le visage de ma femme.
- Nettoie bien sa queue, imagine que c’est celle de Jerôme ! Tu l’aimes bien la queue de Jerôme il parait ?
- Oui, j’aime sa queue et celle de Julien (le frère).
- Et celle de ton mari ?
- Aussi
- En fait, tu aimes les queues !
- Oui, j’aime les queues
- Et il aura fallu plus de 20 ans pour t’en rendre compte, quel gâchis ! Pour fêter ça, je vais t’enculer, ton cocu va assister à sa première sodomie en direct ! tu lui enlèves le rosebud ?
- Ok, voilà
- Nickel, son cul est bien ouvert. Je vais bien lui mettre tu vas voir !
Et en effet, je le vis poser son gland trempé des fluides de son vagin sur son anus et s’enfoncer peu à peu. C’était assez fascinant de voir ce long pieux la pénétrer somme toute assez facilement. Il s’immobilisa lorsque ses couilles atteignirent les fesses de ma femme et il commença ses mouvements de va et vient. Je dois avouer que de le voir la baiser avec vigueur était un spectacle extrêmement excitant. Il avait une résistance peu commune ! Il sortait parfois totalement sa queue et je voyais son anus bien ouvert, puis il replongeait tout en commentant bien sûr les sensations qu’il éprouvait.
- Il est bon ce cul, j’adore, hummm ! Caresse-toi en même temps !
Je voyais peu à peu le regard de ma femme se troubler et là elle se mit à haleter et à gémir comme elle ne l’avait jamais fait avec moi. Elle se mit à jouir et eu plusieurs orgasmes d’affilé, je n’existais plus. Je compris alors ce qu’elle voulait me faire comprendre. Ce mec était un véritable étalon, il ne jouissait toujours pas. Sa queue luisait de plus en plus.
- T’as vu, elle mouille du cul !
Il se leva et mit ses jambes sur le côté afin de mieux la pénétrer, très impressionnant ! Puis il sortit sa queue et arrosa copieusement l’anus de mon épouse. Il s’amusa ensuite à entrer et sortir sa grosse queue toujours dure en faisant pénétrer sa semence.
- Ahh, c’est toujours aussi bon, t’as vraiment un cul d’enfer ma salope, ils t’ont bien assouplie les deux frangins, ça rentre tout seul ! Bon, on continue à côté ? Et le cocu, que fait-il ?
- Le cocu va essayer de se reposer.
- Ok, à demain.
Je partis dans ma chambre et fermai ma chambre. Mais en fait je n’arrivai pas vraiment à dormir. Je finis par ouvrir ma porte, ils baisaient toujours. Ce type était une vraie bête, il la baisa plus de deux heures et j’entendis ma chérie jouir de nombreuses fois, ils riaient aussi, très complices, là c’était presque plus dur que les orgasmes. Je me levai pour aller boire et je le croisai au retour. Sa grosse queue pendait au milieu de ses cuisses, mais surtout elle était couverte de leurs sécrétions.
- Y’a vraiment un truc avec ta femme, dès que ma queue la touche, ça fait des étincelles lol ! Pas trop jaloux ? Tu veux la baiser maintenant ?
- Si elle le veut bien, pourquoi pas !
- Ok !
Je retournai dans ma chambre et ma femme vint me retrouver. Je m’enfonçai en elle, c’était bon, mais c’était large !!! Nous fîmes l’amour avec tendresse, mais je la sentais toujours gênée de prendre autant de plaisir avec lui. Elle repartit finir la nuit avec lui. Le matin, lorsque je passai devant leur porte pour me préparer afin d’aller au rugby, ils baisaient déjà et j’entendis des mots comme « chérie » ou « ma puce » ou « salope adorée ». A partir de là, sauf lorsque les enfants rentraient, N. s’installa tous les week-ends à la maison, on baisait parfois à trois, mais c’était lui qui dormait avec elle et qui la baisait le plus. Jerôme et son frère passaient aussi et ils la baisaient tous les trois, mais les frères rentraient dans la nuit. Il est arrivé que Jerôme reste et dorme avec elle et N. Toutefois, ma femme était épanouie, très belle, donc j’en étais de plus en plus amoureux et elle devenait aussi la salope dont j’avais toujours rêvé, confusions des sentiments, l’âme humaine est complexe. Mais elle m’échappait de plus en plus en assumant son côté salope.

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