Découverte gênante + Discrétion
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 179 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Découverte gênante + Discrétion
"Dialogues Interdits" : une série de mini-nouvelles sans narration, uniquement faite de dialogues. Confessions crues, drôles et surprenantes entre amis...
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### Découverte gênante ###
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— Dis maman, si c’est vraiment comme ça qu’on fait des enfants, et si c’est vraiment pour ça qu’on le fait, pourquoi est-ce que les capotes existent ? Et pourquoi j’en ai trouvées plein dans ton tiroir ?
— Ma chérie, tu apprends vite. Je t’ai à peine expliqué ce que voulait dire faire l’amour que tu es déjà au courant de la contraception.
— C’est les copines, à l’école… Bon, tu réponds à ma question ?
— Imagine que tu dois courir un marathon. Est-ce que tu te lancerais du jour au lendemain ?
— Heu, ben non, je serais essoufflée au bout de cinq minutes.
— Donc tu t’entraînerais. La capote, c’est pareil. C’est pour s’entraîner à faire des enfants.
— Mais puisque papa est parti… Est-ce que tu m’as trouvé un nouveau papa ?
— Pas encore. Ça viendra, et justement je dois garder la forme pour le jour où je le trouverai. Que je puisse être séduisante, performante, et pas une vieille maman toute décrépie.
— Faire l’amour aide à rester jeune alors.
— Oui. Et à être bien dans sa peau.
— Donc dans la vie, on n’a pas un enfant dès qu’on fait l’amour.
— Heureusement : chaque femme en aurait des milliers, certaines des dizaines de milliers.
— Combien tu en aurais, toi ?
— Je n’en sais rien. Tu poses trop de questions.
— Et le truc long et dur que j’ai trouvé sous ton lit, c’est pour t’entraîner à t’entraîner ?
— Oooooh c’est pas vrai, arrête de venir fouiller dans ma chambre enfin !
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### Discrétion ###
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— Alors, où en est ta nouvelle vie dans cet appartement ?
— Mes voisins me regardent d’un air moins froid. La vieille voisine du dessus m’a même félicitée.
— Qu’est-ce que tu leur as fait ?
— Je ne leur fais plus rien, justement. J’avais tendance à faire trop de bruit.
— La nuit ?
— Le jour ou la nuit. Trop de bruit quand je baisais avec Gaëtan, quoi.
— Ils ont fait trop de pression ?
— Mmm… à vrai dire, j’ai aucun mérite.
— Pourquoi ?
— Ma voisine m’a dit que j’avais enfin tenu compte des remarques. Que maintenant elle dormait mieux, et que les enfants de l’immeuble ont arrêté de poser des questions.
— Tu parles : ils se régalaient, non ?
— Je pense. Pas seulement eux, plusieurs hommes aussi. Qui eux du coup me regardent moins bien.
— Tu les vois se caresser en t’entendant crier, imaginant te fourrer au même rythme que Gaëtan ?
— Pourquoi pas… L’image est pas dégueu !
— On dirait que tu fais la gueule… alors que tu viens de m’apprendre une bonne nouvelle.
— Une bonne nouvelle, ça dépend pour qui. Car ce n’est pas que j’ai écouté les remarques, c’est surtout qu’il y a de l’eau dans le gaz entre mon copain et moi : il ne me fait plus jamais jouir. Je t’ai bien dit que je n’avais aucun mérite !
— Tu devrais trouver des prétendants dans ton immeuble…
— Ah non. Jamais d’amant dans le même immeuble, c’est la règle. En plus, ils sont tous pères de famille.
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### Découverte gênante ###
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— Dis maman, si c’est vraiment comme ça qu’on fait des enfants, et si c’est vraiment pour ça qu’on le fait, pourquoi est-ce que les capotes existent ? Et pourquoi j’en ai trouvées plein dans ton tiroir ?
— Ma chérie, tu apprends vite. Je t’ai à peine expliqué ce que voulait dire faire l’amour que tu es déjà au courant de la contraception.
— C’est les copines, à l’école… Bon, tu réponds à ma question ?
— Imagine que tu dois courir un marathon. Est-ce que tu te lancerais du jour au lendemain ?
— Heu, ben non, je serais essoufflée au bout de cinq minutes.
— Donc tu t’entraînerais. La capote, c’est pareil. C’est pour s’entraîner à faire des enfants.
— Mais puisque papa est parti… Est-ce que tu m’as trouvé un nouveau papa ?
— Pas encore. Ça viendra, et justement je dois garder la forme pour le jour où je le trouverai. Que je puisse être séduisante, performante, et pas une vieille maman toute décrépie.
— Faire l’amour aide à rester jeune alors.
— Oui. Et à être bien dans sa peau.
— Donc dans la vie, on n’a pas un enfant dès qu’on fait l’amour.
— Heureusement : chaque femme en aurait des milliers, certaines des dizaines de milliers.
— Combien tu en aurais, toi ?
— Je n’en sais rien. Tu poses trop de questions.
— Et le truc long et dur que j’ai trouvé sous ton lit, c’est pour t’entraîner à t’entraîner ?
— Oooooh c’est pas vrai, arrête de venir fouiller dans ma chambre enfin !
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### Discrétion ###
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— Alors, où en est ta nouvelle vie dans cet appartement ?
— Mes voisins me regardent d’un air moins froid. La vieille voisine du dessus m’a même félicitée.
— Qu’est-ce que tu leur as fait ?
— Je ne leur fais plus rien, justement. J’avais tendance à faire trop de bruit.
— La nuit ?
— Le jour ou la nuit. Trop de bruit quand je baisais avec Gaëtan, quoi.
— Ils ont fait trop de pression ?
— Mmm… à vrai dire, j’ai aucun mérite.
— Pourquoi ?
— Ma voisine m’a dit que j’avais enfin tenu compte des remarques. Que maintenant elle dormait mieux, et que les enfants de l’immeuble ont arrêté de poser des questions.
— Tu parles : ils se régalaient, non ?
— Je pense. Pas seulement eux, plusieurs hommes aussi. Qui eux du coup me regardent moins bien.
— Tu les vois se caresser en t’entendant crier, imaginant te fourrer au même rythme que Gaëtan ?
— Pourquoi pas… L’image est pas dégueu !
— On dirait que tu fais la gueule… alors que tu viens de m’apprendre une bonne nouvelle.
— Une bonne nouvelle, ça dépend pour qui. Car ce n’est pas que j’ai écouté les remarques, c’est surtout qu’il y a de l’eau dans le gaz entre mon copain et moi : il ne me fait plus jamais jouir. Je t’ai bien dit que je n’avais aucun mérite !
— Tu devrais trouver des prétendants dans ton immeuble…
— Ah non. Jamais d’amant dans le même immeuble, c’est la règle. En plus, ils sont tous pères de famille.
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