J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -19-

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -19- Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -19-
Fannie doit partir en formation dès le lundi, 3 jours sur un centre de formation proche de Lyon, je décide donc le week-end précédent de profiter d’elle le plus possible. Ce ne fut pas très compliqué.
Dès le samedi, je me fais inviter chez elle, oui encore chez elle me direz-vous. Le samedi soir j’arrive donc à son appartement. Elle a passé la grande partie de sa journée avec Maëlle et Mélanie, ses meilleures amies. Je sonne, Fannie m'ouvre avec un grand sourire, petit échange et nous devons y aller. Petit restaurant agréable, Ma soumise est habillée d’un haut moulant beige, dessinant ses seins libre en-dessous, d’une jupe droite noire pas trop courte. Au restaurant, certaines personnes remarquent que Fannie est nue sous son haut, ce qui met un peu de piment dans la soirée. Le diner terminé, direction le sexe shop situé à deux pas du restaurant. Cette boutique est une des rares à avoir une salle de projection d’environ une vingtaine de place, ça remplace les cinémas porno, aujourd’hui disparus. Comme je le pressentais, dans la salle il y a au moins une dizaine de personnes.
-qu’est-ce que nous venons faire ici ?
-voir un film x bien-sûr. Vu les spectateurs nous ne devrions pas nous ennuyer.
Je prends Fannie par la main et je choisis nos places. Sans attendre, je relève son haut et commence à malaxer ses seins, les regards se tourne vers nous. Je remonte sa jupe, retire son haut, libérant ses seins à qui voudra toucher. L’effet ne se fait pas attendre, deux hommes sont déjà là, à toucher les seins. Ma chienne a compris son rôle pour ce soir et se laisse malaxer ces deux mamelles. Une main vient se poser sur son sexe et caresser son entrejambe.
- qu’elles sont les limites monsieur ?
-Ah ! bonne question. Capote obligatoire, après si tous ces messieurs veulent passer sur ma chienne soumise, ce sera avec plaisir et se fera un honneur de vous servir.
Sans perdre un instant, Fannie à la bouche kidnappée par une queue, puis une deuxième se présente. Elle bascule de l’une à l’autre, offrant son sexe à une autre bite, qui protégé la pénètre.
-elle est déjà trempée…cette salopeCes mots dits suffisamment fort attirent les hommes restés assis. Ils sont tous autour d’elle. Fannie se retrouve complètement nue, elle suce différente queue les unes après les autres. Durant ce temps les queues se succède dans son sexe. Un des hommes se libère dans la capote, un autre prend la place.
-messieurs, vous pouvez vider vos petits sacs à foutre sur les seins, voir même sur sa jolie frimousse, regarder comme lui.
Un des hommes s’étant libéré de sa jouissance vide son jus sur les cheveux de Fannie, la semence coule délicatement sur ces cheveux courts, sur sa nuque, sur son front. Ma chienne ne dit mot et continue à sucer, lécher, se faisant labourer par un autre homme. Certains sont endurant et font monter le plaisir de Fannie, d’autres se vident en deux temps trois mouvements et viennent vider leur sac à jus sur les seins. Fannie a interdiction de dire mot, elle doit juste contenter ces messieurs, ce qu’elle réalise avec brio. L’assemblée est satisfaite et rassasiée. Ma soumise quant à elle s’essuie le visage maculé des coulures du sperme. Nous rentrons rapidement chez elle et lui ordonne de passer à la douche, elle pue le jus d’homme.
-tu sais Fred, j’ai adorééééé, tu m’as fait devenir une grosse salope et maintenant je sens bon….
-et ta rondelle, elle sent bon ?
-ouiiiiiiii, juste pour toiJe la prends par le bras, l’allonge sur le lit, ouvre son peignoir, lève ces jambes et viens lui manger la rondelle qui s’ouvre quasi-immédiatement.
-je vois que tu attends cela-j’ai envie de jouir, alors prend moi, baise moiMa queue se présente à l’entrée de cette rondelle bien mouillée et je la pénètre progressivement.
-ooohhhh !je vais pas tenir longtemps Fred, j’ai trop….aaaahhhh oui vas-yJe besogne le cul de ma chienne soumise, de cette bourgeoise qui est devenue une sacré salope, une jouisseuse. Elle en redemande encore et encore, elle veut aboutir au plaisir rapidement.
-je jouiiiiiisss aaaahhhhhhFannie libère son plaisir, je continu à limer quelques minutes cette rondelle et je lui remplis le cul de mon jus. Fannie se retourne et vient poser ses lèvres sur ma bouche et la pénètre de sa langue. Après un échange assez long, elle se retire.
-je t’adore, je ne veux pas te perdre, je veux être à toi-je sais pas, je crois que j’ai fait une connerie là, je suis pas sûr que nous puissions Fannie, il faut peut-être prendre un peu de temps-si tu veux, mais je veux que tu continus avec moi, même dans tous ce que tu me fais faire, je ne veux pas arrêter, au contraire, je le fais parce je t’aime et que j’aime ce que tu me fais faireLa situation se complique !
Le lundi matin Fannie part pour ces trois jours de formation, un peu de temps avant de devoir répondre à cette bourgeoise soumise Elle m’aime, mais moi ou en suis-je par rapport à elle ? Ai-je des sentiments pour elle ? Nos nuits passées dans le même lit ….
Le lundi midi je reçois un texto « salut Fred, je sais que Fannie est absente, j’aimerais te voir, à tes conditions, je suis libre ce soir et demain, Fannie est ok, bise ».
« slt, ok alors, à poil sous manteau, je passe te prendre à l’angle du boulanger à 20h00 ».
« ok ».
Je passe prendre Maêle comme convenu. Elle veut vivre de l’adrénaline, pas de soucis, je décide de l’amener dans notre lieu de rencontre exhibe, elle ne va pas être déçu.
Je la prends au passage et 20 minutes plus tard nous voici arrivée.
-on fait quoi ici ?
-sors et viens avec moiNous nous dirigeons vers une voiture qui stationne. En s’approchant, nous distinguons une femme et un homme qui copule dans la voiture. Nous approchons.
-mais c’est quoi ça ?
-chut ! t’inquiètes pas et observe un peu.
Je me place derrière elle et mes mains commencent à s’insérer sous son manteau.
-arrête !
Une de mes mains vient se plaquer sur sa touffe de poils et un doigt commence à titiller son bouton. Elle regarde le couple qui fornique et qui ont depuis notre présence ouvert la fenêtre de la voiture pour mieux voir et entendre. Elle essaie de se débattre, mais en insistant un peu, Maëlle se laisse faire. Je décide d’ouvrir son manteau afin de faire découvrir son corps. Elle essaie encore de se soustraire, mais en vain, mon doigt qui branle ce bouton et alterne avec l’entrée dans le sexe limite sa résistance.
-regarde ma chérie cette touffe, elle est nature, c’est pas comme toiLa femme dans la voiture regarde le sexe de Maëlle.
-oh mon dieu c’est horrible, approche un peuJe pousse Maëlle vers la voiture, la femme sort sa main et caresse ce sexe poilu insistant dans le sillon de son entrejambe. Maëlle tente de se retirer sans conviction.
-finalement c’est agréable une touffe mon chérie, hum !!
-nous en voulez pas, mais nous allons partir, c’est une première fois pour madame.
-oh que non, profitez bien de votre nuit.
Nous partons et nous allons chez moi. Durant le trajet pas un mot.
-Maëlle je te dépose chez toi ?
-non pourquoi ?
-ok, alors chez moi.
A notre arrivée, je demande à Maële de retirer son manteau. Une fois nue, je l’allonge sur la table de la salle à manger, les pieds posés sur la table, cuisses écartées, ouvrant son sexe velu. Je vais chercher un peu de matériel.
- tu te laisses faire, je vais te faire découvrir un autre plaisir. Vu que tu as déjà eu un enfant ça va être facile.
-mais tu vas me faire quoi ?
-tu te tais, à ta place je ferais profil bas, tu es marié et tu es là, alors silence et je fais ce que je veux.
Je pénètre l’intimité de Maële de deux doigts direct, mouillé comme elle l’est depuis sa séance d’exhibition, la pénétration est facilitée. Mes doigts entrent et sortent, formant de petits cercles, puis de plus grands. Un troisième doigt entre, le sexe se dilate un peu plus. Je lubrifie abondamment ma main et tente une pénétration progressive de la main entière. Maële se rétracte ce qui ne facilite pas la pénétration.
-relaxe Maële, ne te rétracte pas, fais comme si tu allais pondre. Aller détend toi.
-mais tu vas me faire mal…Je force l’entrée du sexe de Maële et progressivement ma main est happée par cette salope. Je stoppe tous mouvements, permettant un relâchement du vagin. Je commence de lent aller-retour dans cette intimité. Mes pénétrations sont de plus en plus profondes. Maële commence à respirer, exprimant la monté d’un plaisir.
-c’est bon Fred,c’est étrange, ah oui…-je savais que tu allais aimer, tu vas voir ça va être particulier.
J’accélère mes mouvements dans le sexe de Maële qui s’ouvre de plus en plus aidé par le lubrifiant et la mouille qui se mélangent. Maële exprime clairement son plaisir qui ne devrait pas tarder à arriver. Je modifie mon mouvement au sein de cette intimité.
-tu fais quoi, arrête je commence à avoir envie de faire pipiJe ne m’arrête pas, bien au contraire, j’accentue cette pression donnée par ma main.
-arrête, arrête, je vais pas pouvoir me retenir-ne te retient pas salope, lâche toi, tu es venue pour ça , alors libère Quelques secondes plus tard, Maële se libère.
-ouiii, ouiiii…Maële jouis, elle libère un plaisir qu’elle ne connaissait pas. Dans son plaisir, elle urine en même temps. Sa jouissance à peine retombé, ma queue pénètre son sexe pour s’enduire de sa mouille, du lubrifiant et de son urine.
-tu es trop large, pas la peine d’insister dans ce trou, essayons l’autre.
Je présente ma queue sur sa rondelle qui s’ouvre facilement sous ma pression. Je me mets à la besogner sur toute la longueur de ma queue. Je la prends profondément, venant claquer ses fesses.
-c’est nettement mieux dans ce trou, au moins je sens ce que je fais.
-vas-y encore-t’es une grosse salope, c’est avec ton mec que tu devrais baiser, c’est lui qui devrais t’enculerMaële ne répond rien et se laisse sodomiser. Je la prends de plus en plus vite pour prendre mon plaisir. Sa rondelle est tellement dilatée que je peux entrer et sortir sans douleur pour elle, la pilonnant toujours plus profondément finissant par me libérer dans son fondement.
-ooohh ! ouiii je jouis, encore FredMaële reprend lentement ses esprits. Nos prenons un peu de temps pour discuter.
-écoute Maële, c’est la dernière fois que tu viens pour te faire sauter. Tu as un mari, à toi de relancer son envi pour toi. Ne compte plus sur moi.
-mais pourquoi ?
-tu n’es pas le style de femme que je recherche. Fannie est le style de femme, elle est soumise, se donne quand je le veux, elle fait ce que je veux d’elle. Toi ce ne sera pas possible. Je t’ai fait découvrir certaines choses, maintenant tu peux le faire avec ton mec. Tu es l’amie de Fannie, nous nous reverrons, mais uniquement dans cet esprit.
-tu me laisse tomber, alors ? mais je comprends-c’est mieux ainsi pour toi et ton couple, ta famille.
Maële décide de partir comprenant ma démarche. Au retour de Fannie, je lui explique ce qui s’est passé avec son amie. Je profite de ce moment pour lui apporter une réponse à sa demande du week-end précédent.
-bon je vais apporter ma réponse Fannie. Je suis d’accord pour continuer avec toi, mais seulement si tu es prête à encore progresser dans la découverte de la soumission.
-bien sûr, je te l’ai dit-oui, mais je vais demander plus et encore plus.
-explique-moi.
-il faudra à un moment que tu te fasses tatoué, je veux également que tu prennes un peu de forme, tu es trop filiforme, je veux que tu acceptes d’être encore plus ouverte, que tu acceptes d’être une salope bourgeoise, une bouffeuse de queue, une vidangeuse de jus, je veux, je veux-depuis le temps que tu me domines comme ça, je crois que j’ai prouvé que j’étais ouverte à tout Fred. Je n’ai jamais vraiment dit non, même mes cheveux tu les as eues. Alors oui à tout.
Nous décidons de continuer dans notre histoire dominant-dominé.

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