Comment je suis devenue sa chose

- Par l'auteur HDS Cathy -
Récit érotique écrit par Cathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Comment je suis devenue sa chose Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment je suis devenue sa chose
Je m'appelle Cathy, je suis une femme au début de sa cinquantaine. Je suis étonnée de vous écrire, vous m'auriez dit que je le ferai il y a plus d'un an je vous aurais ri au nez. Femme de caractère, j'ai élevé mes enfants et entretenu ma maison seule. Mon mari et moi avions une vie sexuelle des plus banales. Je ne refusais jamais un rapport à mon mari, je peux dire que j'étais même demandeuse. Mon mari était sans imagination, je ne demandais rien d'extraordinaire ou d'irréalisable, l'amour dans la nature, en voiture par exemple, lui me refusait ce plaisir. Tout cela pour vous dire que je n'avais pas de désirs très particuliers. Un jour mon mari m'a quitté, seule j'ai mis de côté ma féminité. Je ne supportais plus mon corps. Au départ de mes enfants, je me suis retrouvée seule, Internet est arrivé dans ma vie, j'ai découvert les dialogues, j'ai repris goût à la vie, découvrant que je pouvais encore plaire. Je me suis occupée de moi, je me suis mise au régime, je me suis acheté de la lingerie. Bref je redevenais femme. Quelques rencontres, beaucoup de déceptions la vie en quelque sorte, comment pouvais je espérer rencontrer le prince charmant sur le net. Et toujours ce corps que je ne supportais pas. Brune de 1.65 m pour 75 kg, yeux marron, une poitrine 95 D, des hanches arrondies. J'avais une image négative de moi et, je manquais de confiance en moi. Je parle au passé car j'ai rencontré Patrick qui su me mettre en confiance. Je lui parlais de mes kilogrammes superflus, il les trouvait agréablement répartis. Je me disais grosse, il me trouvait pulpeuse. Vous ne pouvez pas imaginer les trésors de patience qu'il a dû déployer pour m'amener là où il voulait et surtout là où je voulais aller sans l'avouer. Il a su au fil des dialogues me faire parler, de mes fantasmes, des envies enfouies au plus profond de moi. Rapidement, il m'a appelé sa petite salope, mot que je détestais et qu'il m'a appris à aimer. Je signais rapidement mes messages par Ta petite salope ou Ta salope. Son côté fonceur, conquérant m'a vite séduite. Il a su me révéler, il a su me faire avouer mon envie de docilité. Réticente à chaque nouvelle proposition, mes remparts tombaient un à un. J'ai cédé lorsqu'il m'a demandé de faire des photographies. Je me photographiais en petite tenue, je devais parfois faire mon ménage en dessous et tablier. J'étais étonnée par le nombre de photographies faites. Nous avons appris à nous connaître à travers nos messages, nos écrits, nos conversations téléphoniques. J'étais devenue sa petite chose, sa petite salope. Quand vint le jour de la rencontre, je craignais ne pas être à la hauteur de ses espérances. Il m'avait demandé de venir l'accueillir à une petite gare à côté de chez moi. Vu ses exigences et pour une question de discrétion, nous avions décidé d'un commun accord qu'il arriverait par le dernier train peu fréquenté. J'étais nerveuse en me préparant. Bottines et bas noirs, string et soutien gorge hyper pigeonnant rouge et noir, jupe rouge et dessus noir au décolleté carré, j'avais l'impression que mes nichons allaient s'échapper à chaque respiration. J'enfilais mon manteau de fourrure qui le faisait fantasmer. A la nuit tombée, j'ai laissé sortir l'unique voyageur de la gare avant de m'engouffrer dans le tunnel desservant les voies. Comme prévu dans notre scénario, il devait descendre le dernier du train et moi l'attendre dans ce fameux tunnel. A peine appuyée dos au mur, manteau ouvert, il est apparu au bas des escaliers. J'avais du mal à respirer, j'étais au bord de l'évanouissement. Il s'approcha souriant, s'arrêta devant moi complètement paralysée, posa une main sur le mur à côté de mon visage, se pencha vers moi et me complimenta sur mon audace et se dit très ravi de ma docilité et de l'accueil. De l'autre main, il effleura mes joues, mes lèvres. Sa main descendit le long de mon cou, sur mes seins, mes hanches et effleura ma chatte à travers le tissu de ma jupe. Il me donna l'ordre de rejoindre ma voiture. Décontenancée, je lui obéissais, moi qui m'attendais à ce qu'il se jette sur moi. Je conduisais, sa main s'était posée sur ma cuisse. Il m'ordonna de m'engager dès que possible sur un chemin forestier. La voiture à peine arrêtée, il me prît la main et la posa sur son sexe : "Suces moi salope!" La chaleur de sa voix réveilla en moi l'envie d'être sa salope. Je posai ma main sur sa bite et glissai la main sous ses couilles. Je me jetai dessus, n'en pouvant plus, la voulant dans la bouche. Je la suçais, l'aspirais de toutes mes forces, je passai ma langue le long de la hampe, sa queue durcissait et luisait de ma salive. Il me caressa le dos, il descendit la main jusqu'à mon cul qu'il caressa. J'en frémissais. Il me fessa sans un mot. J'en redemandai en agitant mon cul et le recollant à sa main. Il me releva, me fit mettre à genoux sur le siège, releva ma jupe, j'écartai les jambes. Je lui offrais avec beaucoup d'impudeur mon cul palpitant. Il me mit un doigt, rapidement suivi d'un deuxième, puis d'un troisième. Il me branlât le trou. J'adorai ça, j'en redemandai, me transformant en vraie chienne en chaleur. Je le suppliai de me baiser. Je me mis au dessus de lui, les jambes de part et d’autre, et je descendis sur son pieu. Je le sentais entrer, petit à petit, ma chatte se distendait pour accepter cette queue, ce pieu. Déchaînée, incapable de me contrôler, je montais et redescendais, je gémissais que je la voulais encore... encore...Il m'insultait, me traitait de pute, me demandait si j'aimais sa queue? Si j'aimais me faire baiser ? Petite salope!! Tiens tiens tiens et tiens!!!" Bien sûr que j'aimais, sa queue me remplissait, j'adorais être sa grosse pute. Il me défonçait, je me mis à jouir deux fois de suite, avant de sentir sa queue se durcir, et qu'il m'envoya un ultime coup de boutoir avant de se vider en moi. Il me remplissait, il y en eut tellement que ça débordait de ma chatte et coulait le long de mes jambes. Je n'ai pu me retenir de gémir : quelle bonne baise... De longues minutes passèrent, nous reprîmes lentement nos esprits. D'un ton moqueur, il me demanda si j'avais l'intention de dormir là, car pour lui il n'avait qu'une hâte, profiter de moi dans chaque pièce de la maison que je lui avais fait découvrir en me photographiant dans chacune d'elle…

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