LA DANSEUSE

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA DANSEUSE Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA DANSEUSE
C’était un samedi soir comme bien d’autres. J’étais allé en boite de nuit, avec quelques amis. Une discothèque de campagne dans cette région du nord. L’endroit était bourré de mondeJe buvais mon verre accoudé au comptoir quand mon regard fut attiré par une des danseuses qui s’agitaient sur la piste. Elle était assez grande, et portait une mini-jupe en cuir qui mettait en valeur ses longues jambes, terminées par des botte, façon cowboy.
En haut, une chemise noire nouée sur son nombril , se tendait sur sa poitrine, dégageant un décolleté profond, ou les gouttes de sueur perlaient sur sa peau. Son visage ovale posé sur un cou gracile, était harmonieux, bien que ce ne fut pas un canon de beauté. Son petit nez et ses pommettes hautes lui donnaient un regard énigmatique, et le bleu de ses yeux se posait régulièrement sur moi, sans marquer d’expression . Ses cheveux noirs étaient mi-longs et ondulaient au rythme de sa danse. Elle dansait, à petits pas, tournoyant de temps en temps sur elle même, ses jambes et semblaient suivre des hanches qui devaient être autonomes, en des poses suggestives, sans jamais perdre le sens du tempo.
Elle était captivante, du moins pour moi, et je me lançais rapidement sur la piste de danse, essayant, de me rapprocher de cette beauté. Les titres s’enchainent, toujours les mêmes d’une semaine sur l’autre, les derniers hits. La piste de danse est remplie et chacun s’évertue à trouver, le pas, la gestuelle qui étonnera ou fera rire les autres. Face à moi , maintenant, ma danseuse, ondule sensuellement, sans me lacher des yeux. De mon côté, je suis imperméable à tout ce qui n’est pas elle. Sous les lumières stroboscopiques, je la détaille, je l’apprends, sans vergogne, et ça n’a pas l’air de la géner. On passe à un rock,.
Je lui tends la main. Elle la prend, et, nous dansons ensemble. Je la fais tournoyer, la reçoit dans le creux de mes bras, la relance, en posant ma main sur sa hanche. Elle s’enroule dans mon bras et vient appuyer son corps contre le mien. Il est chaud et souple, contre moi, et j’en profite pour poser ma main, à plat sur son ventre, et la serrer un instant. Je sens ses fesses qui se frottent sur moi. Mais aussitôt, le tempo cruel, la relance et déjà, elle m’échappe. Je la rattrape du bout des doigts et la ramène vers moi. Elle passe sous mon bras, et m’oblige à une volte rapide pour retrouver sa main. Elle vient de nouveau dos, à moi, et lance son bras, entre nous. Je connais la passe, et saisis sa main, au niveau de mon pubis, pour la renvoyer, tel un derviche, faire deux tours. D’une passe à l’autre, nous nous trouvons sans avoir à nous chercher. Chaque contact éphémère est une décharge électrique, et nous tournons l’un avec l’autre, pour multiplier ces contacts. Personne ne peut voir le côté sensuel de ces attouchements furtifs. De l’extérieur, nous sommes juste un couple qui se remue sur un rock endiablé.
Tout à coup, la lumière s’éteind, le tempo s’arrête, la mélodie se fait sirop. Dans la pénombre nos corps se rejoignent instinctivement pour la série de slows. Là encore, pas question d’approche circonspecte, de distance à respecter. Son corps souple et chaud vient se lover contre le mien, ses mains viennent se nouer autour de mon cou, ses seins orgueilleux défient mon torse au travers du fin tissu du chemisier, ma jambe s’avance entre les siennes légèrement écartées et fait pression sur son entrejambe, mes mains voyagent de sa nuque à ses fesses et évaluent les contours de cette terre promise, sa tête s’enfouit au creux de mon épaule, et elle vient murmurer à mon oreille. C’est l’instant des premiers mots échangés. La musique est forte, et nous n’avons pas à chuchoter. Son timbre est chaud, un peu rauque, mais très féminin. J’apprends son prénom Inès. Je trouve qu’il lui va bien. Je lui dis le mien Fabien, en souhaitant que ma voix lui plaise. La voix c’est essentiel. Combien de fois ai-je fantasmé sur une fille, qui avait détruit mes rêves sans s’en douter, dès qu’elle avait ouvert la bouche. Je suis sensible aux sons, mais surtout à l’accord entre les sons et ce que je vois. Il doit y avoir une harmonie, entre le physique, le timbre de voix, l’accent parfois, ou encore le vocabulaire. Pour éviter toute dissonance, j’en dis toujours le moins possible, au début.
Nous tournons ensemble, seuls dans l’obscurité, au milieu des couples qui s’embrassent, et se caressent. Petit à petit, et sans mot dire, je découvre la courbe de ses hanches, la chaleur de son dos, la finesse de ses attaches, la sensualité de sa nuque, le soyeux de sa chevelure.
Elle n’est pas en reste, et ses longs bras nus m’enserrent. Elle a palpé la dureté de mon dos, mes épaules musclées, senti sous sa joue mes pectoraux, effleuré ma barbe naissante, empoigné mes poignées d’amour au dessous de mon tee-shirt. Il n’y a pas de jeu de séduction, juste une évidence. Nos visages se rapprochent et nos lèvres se trouvent pour un premier baiser. J’aime le goût de ses lèvree, Elles sont pleines, et fruitées. Ma langue vient à la rencontre de la sienne. Elle est pointue, et darde dans ma bouche. Je touche ses dents, j’enfonce ma langue au plus profond de sa bouche. Nos souffles et nos salives communient dans un élan irrépressible. Nous mettons fin à ce premier baiser et nous nous regardons, satisfait de cet examen buccal incontournable. Elle revient contre moi, et me couvre le cou de baisers légers. J’embrasse son front, et descend pour prendre à nouveau sa bouche. Elle pince ma lèvre inférieure entre les siennes et tire, avant de me relacher, et de se jeter contre ma bouche avec violence, nos dents s’entrechoquant presque. La musique nous porte et nous jouons de longues minutes, nos bouches seulement reliées parfois par nos langues qui s’agacent avant de s’attirer, nos mains qui se cherchent, qui s’enlacent et se délacent, pour mieux partir à la découverte de l’autre, nos corps qui se frottent mutuellement, captivés par une charge sexuelle presque palpable.
La série de slows se termine. Nous restons enlacès de longues minutes au milieu des danseurs qui s’agitent, avant de nous séparer, à regret. Je prends Ines par la main et l’entraine vers le bar Aucun tabouret n’est libre. Je prends donc nos boissons et nous trouve un coin pour nous installer. Nous nous asseyons côte à côte, sur un fauteuil,et dégustons nos rafraichissements, tout doucement ,nous dévisageant entre chaque gorgée avec des yeux brûlants. Régulièrement nous posons nos verres, pour nous etreindre, et échanger des baisers passionnées. Mes mains sont maintenant parties à l’assaut de ses jambes interminables, qui se passent de collants en ce chaud début d’été. Je découvre la cahir tendre, à l’intérieur de ses cuisses, et sa jupe étant très courte, mes doigts butent bientôt sur le tissu de sa culotte. Elle a toujours une main autour de mon cou, mais son autre main, après avoir couru sur mes cuisses, est maintenant sur la proéminence qui déforme mon jean. Ma main quitte ses jambes et vient se poser entre ses seins, sur la chair tendre couverte d’une rosée de chaleur. Elle s’égare sous le chemisier et empaume un sein au téton fortement dressé. Iln’est, manifestement, pas possible d’aller plus loin sans faire un scandale. Je le sais. Inès aussi.
Nous finissons nos verres et sortons. Dehors la nuit est douce, et le village est animé. Il y a fête. Sans hésiter, Inès me prend par la main.
« Vienss » me dit elle.
Je la suis, et dans une ruelle proche, nous arrivons à sa voiture. Rapidement, elle m’ouvre la porte passager, et va se mettre au volant. Je l’attire à moi et l’embrasse de nouveau. Je défais le nœud de sa chemise et libère sa poitrine qui palpite sous mes mains. Elle gémit sous l’assaut, mais maintient mes mains pour que je ne les enlève pas. D’une main elle actionne le mécanisme de mon siège qui se retrouve en position « couchette, et fait de même avec le sien. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt, et me caresse. Je déserte sa bouche pour poser mes baisers sur son cou, sa gorge, et sur ses deux seins, pleins et ronds, que je lèche allègrement. Inès se tend sous mes baisers. Pendant quelques instants, les deux mains fourrageant dans mes cheveux, elle profite de ma bouche sur ses mamelons en gémissant de plaisir. Puis elle me repousse, et vient déboucler mon ceinturon. Après quoi, elle ouvre un à un les boutons de mon jean, en l’écartant. Le dernier bouton défait, elle tire le jean et mon slip vers le bas dégageant mon sexe tendu. Elle l’empoigne et vient s’allonger sur mon côté, en faisant coulisser sa main sur mon chibre. Tout en embrassant ma poitrine.
Après quelques minutes de ce traitement, je fias glisser Ines sur le dos. Je passe mes mains sous ses cuisses, je remonte en retroussant la jupe au passage. Je passe mes mains sous ses fesses et saisis la culotte que je tire vers le bas. Ines se soulève pour m’aider, mais la jupe n’aide pas. Je tire plus fort et le tissu cède. Je finis d’enlever le dessous déchiré et revient planter mes doigts dans sa cavité qui dégouline sur mes doigts. Je me positionne au dessus d’Ines, et mon gland vient écarter ses grandes lèvres.
« Non, pas maintenant »trop tard, Mon sexe entier est englouti par sa matrice. Je sens son vagin se serrer convulsivement autour de mon membre, et j’entame pénétration ponctuée par les gémissements et les cris d’Ines« Ouiii ! Comme ça !, encore ! plus fort ! là, bien au fond !
Ses jambes sont maintenant nouées sur mes reins, et je la besogne avec ferveur. En peu de temps, elle crie sans retenue son plaisir, qui me procure le mien. Nous atteignons rapidement l’orgasme, ensemble.. Les sens apaisés, nous restons l’un contre l’autre, à nous embrasser. C’est Ines qui, la première, refait surface. Elle renoue son chemisier sur son ventre, et sort de la voiture, en tirant un peu sur sa jupe.
« On va faire un tour ? » demande t’elle.
Je me rajuste et nous voilà partis dans le village. Nous nous dirigeaon, à l’oreille vers les flons-flons de la fête. Au centre du pays, autour d’une place, les manèges se sont installés, ainsi que plusieurs attractions : un stand de tir, une loterie, un marchand de barbe à papa et de sucreries. Nous allons faire un tour sur les auto-tamponeuses, mais la tenue d’Ines n’est pas adaptée. Ses longues jambes sont pliées et ses genoux dépassent de l’auto. Chaque choc avant fait remonter sa jupe déjà courte, et nous sommes très vite harcelés par une horde de conducteurs du dimanche qui cherchent à provoquer des collisions frontales, pour avoir la chance de découvrir son minou épilé avec juste une toison en forme de cœur, au dessus de la fente.
Nous désertons l’attraction en riant, et flânons le long des stands, parmi la foule clairsemée, car il est déjà 1h du matin. Nous nous tenons par la main et échangeons fréquemment des baisers. Nos mains frôlent nos corps. Nous repartons vers sa voiture. J’ai passé mon bras autour de sa taille. Profitant de la quiétude des ruelles de ce village, je passe ma main sous sa jupe et caresse ses fesses rebondies et fermes. Elle m’attire dans un coin d’ombre et s’adosse à un arbre. Mes doigts trouvent sans peine sa chatte nue sous la jupe et s’y enfoncent avec délices. Elle soupire et dégrafe mon pantalon, avant d’envoyer ses mains impatientes, saisir mon sexe déjà bandé. De ma main libre, j’arrive à dénouer sa chemise, et à m’emparer d’un sein que je presse et malaxe . Sans un mot elle se retourne et s’appuie contre l’écorce , cambre les reins, et écarte les jambes. Une telle invitation ne peut se refuser. Je trousse la micro jupe sur ses reins, dégageant son cul, et vient remplir sa cavité avec mon mandrin impétueux. Je balance mon bassin contre son fessier dur et souple à la fois, dans un pistonnage, rapide et fort, mes mains cramponnées à ses seins . Elle est tendue vers son plaisir, et soupire, tout en me malaxant les couilles, ou en stimulant son clito d’une main, habilement insinuée entre ses jambes. Un nouvel orgasme nous cueille et nous laisse pantelants, contre l’arbre.
Ines rajuste sa jupe et nous repartons. Cette fois, elle prend le volant et nous quittons le village. Elle doit me raccompagner, car je suis venu avec des amis et n’ai donc pas de véhicule. Assis à ses côtés, j’observe son visage, le port de tête altier, la courbe de ses seins (elle n’a pas refermé son chemisier) faiblement éclairés par la lueur du tableau de bord. Je ne peux résister à l’envie de toucher sa poitrine, à faire dresser ses seins. Elle soupire d’aise mais ne perd pas la route des yeux. Je descends sur son ventre, et contourne du doigt ses abdos bien dessinés. La ceinture de la jupe fait barrage. Qu’à cela ne tienne, je passe la main dans son dos et ouvre la fermeture éclair qui le retient. Je tire la jupe vers le bas. Inutile de parler. La belle Ines a compris et accède à mon souhait. Elle soulève son bassin, puis ses cuisses. Le vêtement est maintenant à ses genoux. Je le descends vers les chevilles. Elle dégage la jambe gauche, puis soulève son pied droit quelques secondes, qui me suffisent à extraire le morceau de cuir. Elle continue de conduire, nue sur son siège, comme si rien n’était plus normal. Je dégage le chemisier qui ne la couvre plus du tout. Sur qu’il ne faut pas se faire arrêter !
Heureusement, la région est assez plane, et les longues lignes droites rendent ces opérations un peu moins dangereuses. Mes doigts s’insinuent entre ses cuisses, et vont se perdre dans sa chatte détrempée. Elle avance son bassin sur le bord du siège pour mieux profiter de mes caresses. Nous approchons de notre destination. Elle met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre qui jouxte un bois. Elle cale le moteur, au bout de quelques dizaines de mêtres, et après avoir coupé le contact, se jette sur moi. Mes vêtements s’envolent comme par magie, pour s’éparpiller dans l’habitacle. Ines m’enjambe et à cheval sur moi, elle saisit mon manche qu’elle dirige vers son puits d’amour, avant de se laisser retomber. Mon membre aide se fraie un chemin dans cette housse brûlante, jusqu’au pubis.
« Je veux te garder en moi toute la nuit. » annonce t’elle.
« Chez moi, j’ai un colocataire « « Restons ici » propose t’elle « Aime moi toute la nuit. »J’accélère mon mouvement de piston. Je la prends aux hanches et la fait monter et descendre sur moi avec des mouvements amples. Son souffle s’accélère. Elle a saisi le bout de ses seins qu’elle fait rouler sous ses doigts.. Mon membre est chaud, et je sens monter en moi une vague de désir. Elle râle de plus en plus fort. Je titille son clito et déclenche un nouvel orgasme.
La passion apaisée, elle se dégage, et vient s’allonger contre moi. Elle se rend compte que je n’ai pas encore joui, et caresse mon sceptre. Je la relève et la fais mettre à quatre pattes. Elle prend la pose et tend son postérieur vers moi. Je m’agenouille entre ses jambes, et viens me plaquer à elle. Je n’ai pas à chercher longtemps pour trouver le chemin de sa vulve encore ouverte. Aussitôt je balance les hanches et inscris un mouvement lent mais ample dans sa chatte bien ouverte.
De temps en temps, je ressors de son fourreau pour pointer mon dard un peu plus haut, à l’entrée étoilées de son cul, que je lubrifie avec sa mouille. Pendant que je ramone sa cavité, je viens forcer l’orifice avec mon doigt humecté. Il s’enfonce sans problème, et je le fais tourner, pour élargir l’entrée. La belle ne proteste pas, concentrée sur son plaisir, et se contente de soupirs approbateurs. Peu a peu , ses gémissements augmentent , et ses hanches viennent à ma rencontre, m’incitant à augmenter la cadence. Je sens qu’elle aime bien me sentir sortir d’elle et entre à nouveau dans ce gouffre humide prêt à engloutir ma queue, et à en redemander. Les coups de reins se saccadent de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle se fige alors que je suis abuté en elle, et pousse un râle, en agitant le bassin plusieurs fois autour de mon mandrin.
Je m’extrais doucement et , enlevant mon doigt vient présenter mon sexe à la porte de service. J’appuie doucement et, Ines, pousse son cul vers moi. Mon gland distend l’anneau rectal, et franchit la porte, lui provoquant quelques cris de douleur. Je propose d’arrêter, mais elle me dit :« Continue, c’est bon aussi, par là , même si ça fait un peu mal »Centimètre par centimètre, j’avance dans son étui étroit, qui semble se distendre autour de mon pieu. Une fois bien planté dans son cul, je commence à limer doucement, ralentissant quand les gémissements deviennent trop forts. La gaine se détend et m’accepte de mieux en mieux. Les plaintes se font râles de plaisir. Ines a repris ses mouvements de hanches, et , la suivant, je viens cogner de plus en plus fort contre son fessier, ma queue cherchant, comme mue par une vie propre, à s’enfoncer de plus en plus profondément. Nos corps sont pris d’une danse frénétique, s’entrechoquant à toute vitesse, sans retenue. Je sens le plaisir monter en moi et je le dis a Ines, qui, pour réponse, glisse son bras entre nous pour empoigner mes bourses, et les gratter légèrement. Je sens la lave monter en moi irrépressiblement. Elle se met à crier, ou plutôt à hulluler un long son modulé et ininterrompu. Je rejoins son chant sauvage en feulant quand je sens plusieurs décharges me secouer, et mon sperme tapisser ses intestins.
Quelques instants plus tard, je redescends un peu et sors de son cul qui me lâche avec un « plop ». Je veux lui parler, mais me rends compte qu’elle s’est endormie. Je m’allonge sur le siège conducteur, et nous recouvre d’un plaid, trouvé sur la banquette arrière, après quoi, je ferme les yeux.
Le problème, avec les voitures, c’est que pour la plupart, elles n’ont, ni volets, ni rideaux. Le jour naissant a tôt fait de me réveiller. Ma compagne d’un soir, git toujours, endormie, la tête sur ses bras croisés, le visage tourné vers moi avec un sourire mutin, le dos cambré jusqu’à son postérieur, relevé, les jambes repliées sous elle, en une pose très érotique. Les nuits sont chaudes heureusement, car le plaid a glissé, découvrant cette statue de chair, hommage à l’amour que le soleil caresse de ses premiers rayons. Trouvant que le soleil n’a pas a avoir de privilèges, j’effleure doucement les formes qui se dévoilent en plein jour pour la première fois. Rien n’a changé. La lumière n’affecte pas sa beauté, mais elle le trascende. Sa peau, légèrement dorée, à un grain parfait. Mes doigts suivent ses courbes, sans trouver de défauts. Ses seins pointent légèrement. Le chemin, le long de son dos m’entraine vers ses fesses larges, fermes, musclées. J’insinue ma main entre ses cuisses, et remonte vers son sexe que je trouve humide. Il engloutis deux de mes doigts sans hésiter.
Je les agite en elle avant de les ressortir et de faire émerger son clito. Dans son sommeil, elle soupire. Je réitère l’opération et cette fois, la pistonne un peu de mes doigts. Les cuisses s’écartent un peu. Mes doigts ressortent trempés et vont naturellement se ficher dans son anus. Un, puis deux sont accueillis avec des soupirs d’aise. Je commence à alterner les pénétrations digitales dans son cul et sa chatte, et elle gémit de plaisir.
Tout à coup, un mouvement extérieur attire mon œil. Je tourne la tête vers l’arrière de la voiture, et vois, au travers de la vitre, s’avancer vers moi, une colonne de militaires en treillis, qui tiennent chacun un chien en laisse. Je réalise alors que nous sommes à proximité du regiment cynégétique, et que les chiens doivent être promenés chaque matin.
Trop tard pour s’en aller, je me recouche et fais semblant de dormir, pendant que les bidasses longent la carosserie.
Evidemment, ils ne peuvent manquer le spectacle d’Ines, totalement nue, à genoux, la chatte et le cul ouverts. L’un après l’autre, ils ralentissent le long de l’auto, et profitent du spectacle. Leur gradé, qi passe en dernier, visualise la situation, et une voix de stentor leur intime :« On regarde devant, et on reste concentrés »La troupe s’éloigne mais le conseil a reveillé Ines, qui tourne vers moi un regard encore ensommeillé.
« Qu’est-ce qui se passe ? »« Rien, mais, tu pourras te vanter d’avoir fait bander un régiment »« je ne vois pas de quoi tu parles. »« Ce n’est rien , d’autant que c’est moi qui vais en profiter » lui dis-je, en exhibant une erection matinale prometteuse.
« A moins que ce ne soit moi qui en profites ! » dit elle espiègle en m’attirant sur elle.

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