COLLECTION JEUNES – VIEUX. Les Ados (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNES – VIEUX. Les Ados (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. Les Ados (1/1)
Tout a commencé le jour où mes quatre filles m’ont demandé d’organiser une surprise-partie.
Mon mari est grand reporter à travers le monde sur les lieux de guerre.
Les événements qui se multiplient m’obligent à être seule les trois-quarts de l’année.
Ajoutée à cela, l’approche de ma quarantaine m’apporte des moments où mon corps demande à avoir une nouvelle vie.
Vingt ans de mariage que j’ai fêté seule, il était en Libye, ce qui n’a pas arrangé les choses.
Il m’avait promis d’être là et deux jours avant à la demande de son chef de rédaction, il a accepté de remplacer un collège supposé malade.
Supposé, car nous sommes voisins de quelques maisons et le jour de l’anniversaire, il est passé sous mes fenêtres cherchant ostensiblement à me faire voir que si j’étais seule s’est de sa simple volonté.
J’ai failli sortir lui arracher les yeux, mais la demande de mes filles me posait soucis et j’ai préféré l’ignorer, car pour la demande de mes filles, j’ai accepté à la seule condition que je reste à la maison.
Elle n’était pas d’accord pensant que j’irai passer la nuit chez ma sœur à l’autre bout de notre ville, je pensais m'en être sortie en demandant qu'elles aient l’accord de leur père pour que je quitte le domicile.
Elles ont bien essayé de l’appeler, mais coup de chance pour moi, elles n’ont jamais eu le réseau.
Seize et dix-sept ans, les gérer, cela devient de plus en plus difficile, quatre filles de seize et dix-sept ans, deux fois nous avons eu des jumelles.
Ce que j’ai imposé, c’est d’être présente au moment de l’apéritif que j’avais préparé et acceptant de me retirer dans les combles dans la chambre d’amis, j’ai accepté aussi à la seule condition qu’à tout moment, je puisse descendre dans la salle de jeu du pavillon voir si tout allait bien.

Achat préparation de la salle avec les quatre filles tout s’est fait sans trop de difficulté, le grand soir est arrivé, ce qui m’a coûté le plus cher, ce sont les tenues de ces demoiselles, je m’en suis sorti en leur donnant une somme à chacune en liquide.
Libre à elles de casser leurs tirelires, si elles voulaient des effets plus tendances.
Les deux aînés Aline et Alice se sont habillés en femmes fatales, j’ai aimé modérément les robes ultra courtes qui montraient à ceux qui étaient bien placés leur matérielle lorsqu’elles allaient s’asseoir.
Le maquillage était tout autant outrancier et lorsqu’elles sont descendues de leur chambre, j’ai eu l’impression d’avoir invité deux prostitués chez moi.
J’ai failli leur demander d’aller enlever tout cela, mais voulant éviter les conflits dans leur soirée, je n’ai rien dit.
Je me suis fait piéger sur ce coup, n’ayant mis aucune barrière.
Les deux jeunes, si l’on peut dire, car elles ont un peu plus de dix mois d’écart avec leurs aînés, Alain mon mari ayant voulu les appeler Marion et Manon ce qui ne facilite pas les rapports lorsque j’en appelle une et que c’est l’autre qui répond, elles se sont habillées gothiques.

Pour ma part, j’avais passé une de mes tenues mettant en valeur ma poitrine aux formes avantageuses après mes deux grossesses et à l’appétit que peuvent avoir une paire de bouches toujours ouvertes.
Pendant l’apéritif, je suis chargé de servir le cocktail que j’aie préparé.
Ma place n’était pas anodine, la boisson étant le point noir pour les jeunes filles dans ces soirées, il y a toujours un petit malin qui a planqué une bouteille d’alcool qu’il vient verser dans le saladier afin de prendre le pouvoir sur les filles.

Servir du Punch sans alcool peut paraître anodin, mais c’est là que ma vie va basculer, garçons et filles sont tous arrivés, certains discute par grappes où d’autres dansent les premiers slows.
Les slows, encore une erreur, les danses modernes sont moins risquées que les slows ou souvent lorsque j’étais jeune, ma chatte s’échauffait rapidement.
Dans les années de libération de la femme, mon mari n’a pas pu se targuer d’avoir épousé une vierge.
Je parle beaucoup avec mes filles de contraception, protection le jour où elles voudront franchir le pas.
Les quatre sont déjà allés chez des gynécologues, car pour moi, cette profession très spécifique pour nous les femmes ne doivent souffrir d’aucun malentendu.
J’en ai deux unes grandes et une petite que j’amène à la ville voisine et les deux autres, je fais les kilomètres pour les conduire chacune chez le médecin qu’elles ont choisi.
Dans cette grande ville, j’ai eu une histoire qui s’est bien finie, mais qui aurait pu être catastrophique, le médecin a son cabinet dans la partie louche de la ville situé près des quais côté Saône.
Je suis venu deux jours de suite, car Aline devait subir un contrôle supplémentaire qui devait prendre beaucoup de temps.
Le premier jour, j’ai bien vu une voiture de police passée alors que j’avais le portable à l’oreille, car comme je m’ennuyais, j’avais appelé ma sœur.
Le deuxième jour, j’étais au même endroit avec le même ennui, mais ma sœur n’étant pas disponible, je ne pouvais pas l’appelé.
Elle ne sait pas que je le sais, mais elle a un amant qui est professeur de math dans le collège où elle est professeur d’anglais.
Ils se retrouvent les mercredis après-midi au moment ou leurs heures concordent.
Ils se retrouvent chez une collègue, vieille fille, amoureuse de ma sœur et qui espère que si son amant la quitte elle pourra la récupérer dans son lit.
Je l’ai su en la voyant entrer chez elle, un jour, quand je lui ai posé la question, elle m’a dit qu’elle allait préparer des cours communs qu’elles assuraient ensemble.
Ce que je ne lui ai pas dit, c’est que le prof de math est arrivé dans la foulée, bref ce sont leurs affaires.
Pour ma part, j’attendais dans ma voiture lorsqu’un monsieur est venu à hauteur de ma fenêtre.
J’ai ouvert et ce qu’il m’a demandé m’a fait prendre conscience que de nombreuses girelles tournaient dans le quartier.

• La pipe, c’est combien ?

J’allais refermer quand je me suis retrouvée avec une voiture de police à ma hauteur, l’homme s’est éclipsé, mais les agents sont restés.

• Madame, descendez, on va vous accompagner au poste pour racolage.

En descendant, j’ai aggravé mon cas, j’avais mis une de mes minis mettant en valeur mes longues jambes, le gilet qui allait avec m’était mes seins en valeur, si j’avais été un homme, je crois bien que je me serais draguée.
Je descends montrant par là même ma chatte nue, en venant, je me suis arrêté sur l’autoroute en urgence et ayant légèrement humidifié ma petite culotte, je l’ai mise dans mon sac.

• Montrez-moi vos papiers.

J’ouvre mon sac et je sors ma petite culotte en cherchant ma carte.

• Vous m’aguichez, Madame, vous aggravez votre cas.
• Je ne vous aguiche pas, j’attends une de mes filles qui est chez le gynécologue.
• À parce que vous êtes deux, le gynéco est le médecin de toutes les putes du quartier.
• Mais non, elle a dix-sept ans, elle est mineure.
• Maquerelle en plus, taisez-vous, vous allez en prendre pour au moins six mois.

C’est à ce moment qu’Aline me rejoint.

• Mademoiselle vos papiers.
• Pourquoi ?
• Ne discutez pas, donnez-moi vos papiers.

Elle sort sa carte et la donne à l’obtus que j’ai devant moi.

• J’aurai tout vu, elle prostitue même sa fille.

J’allais m’offusquer quand la jeune femme policière qui était avec son collègue, qui téléphone s’approche de lui et lui signale qu’il est à la limite de la bavure.
Elle a appelé le gynéco qui s’avère être le sien qui lui a confirmé que nous n’étions pas des gageuses, mais des femmes très respectables.
À quatre pattes, il est le monsieur.

• Tu sais ce qui va t’arriver si la dame va voir nos chefs, surtout après la bavure que tu as déjà faite l’autre jour.

Elle prend ma carte des mains de son collègue et note mes coordonnées.

• Si tu ne réponds pas immédiatement lorsque je t’appellerais, je serai où la joindre.

Je n’ai pas compris sa phrase, mais je suis remontée en voiture, démarrant le plus vite possible.
J’ai eu du mal à expliquer à Aline, ce qui s'était passé, mais surtout, je lui ai demandé de changer de gynéco.

Ma vie a basculé, car j’ai la louche à la main du cocktail que je sers lorsqu’un jeune homme vient se faire servir.

• Qui a-t-il dans cette boisson ?
• Limonade, grenadine et vieille pèche.
• J’adore tout ce qui est ancien.

Le tout avec un regard appuyé sur ma poitrine, son regard a été si marqué que je suis sûr que si je me touche cette provocation m’ait fait mouiller.

Le punch terminé, j’allais monter me coucher quand le jeune homme au regard de braise vient m’inviter à danser.

• Je ne suis pas présenté tout à l’heure Aldebert votre chevalier servant.

Qui a notre époque peut affubler un enfant d’un tel prénom. Je manque d’éclater de rire, mais je ne veux pas le vexer.

• Je crois que vous vous appelez Véronique et vos soutiens-gorge sont du 95 D.
• Qui vous a dit cela, vous êtes bien renseigné.
• Le prénom, il y a bien longtemps que je le sais depuis que je vous ai remarqué au bahut lorsque vous conduisiez vos filles, d’ailleurs, je suis frustré, vous ne venez plus.

Au lieu de m’offusquer, je me justifie, mes filles m’ont fait clairement comprendre qu’elles avaient passé l’âge d’être conduites.
Sans plus de fioritures, il me prend dans ses bras et se colle à moi, il bande le salaud, il bande et il est content de me le faire sentir.

• Tu sens comme je bande pour toi, je me suis juré que je te ferais l’amour avant mes dix-huit ans et je les ai demain, tu sens mes trente-cinq centimètres.

Le tutoiement, sa verge que je ne peux pas ignorer, jamais je n’ai été si prête à lui prendre la bouche devant mes filles et de lui faire voir que je lui appartiens.
Mes filles, elles vont me sauver lorsque Marion passe vers moi et qu’elle me rappelle que j’ai promis de monter et les laisser seules.

Le slow terminé, je prends congé et je monte me coucher.
C’est sous une douche froide que j’arrive à calmer mes bas instincts, la nuisette que je mets toujours jusqu’à mon lit me quitte comme tous les soirs au moment de me glisser nue dans mes draps.
Rapidement, je rêve de bite géante, j’en ai connu de vingt voire vingt-cinq centimètres, maximum, ayant pénétré mon corps, je rappelle que mon mari ne m'a pas eu vierge.

Dans mon rêve, j’entends la musique qui monte du bas de la maison, je suis folle, il est temps que je me réveille Alain a dû rentrer et me broute la chatte, il s’en prend à mon clito qui me donne rapidement ma première jouissance.
D’un coup, mon cerveau reconnecte et mon mari ne doit pas rentrer avant un mois, j’allume ce qui va être le déclencheur final à ce qui va m’arriver.
Il y a bien quelqu’un sous mes draps, je le repousse et la tête d’Aldebert me suçant le clito m’apparaît, il est nu et ne semble pas décider à me lâcher.
Au contraire, pour son âge, il sait déjà y faire.
Comment résister à deux voire trois orgasmes qu’il déclenche en moi ?
Mes seins lui sont déjà tous acquis, ma chatte aussi, que me reste-t-il pour résister, ma bouche même pas, il quitte mon clito pour me donner un baiser qui me transperce jusque dans mon intimité.
Même mon cul est à lui lorsque deux de ses doigts viennent se ficher en son centre.
Je vois bien que je me rends lorsque j’empoigne sa verge, ma main n’arrive pas à en faire le tour, je peux dire que même un concombre ne ferait pas le poids à côté.
Il n’y a pas d’erreur, je l’attends en moi ce qu’il fait dans la seconde suivante, j’ai l’impression qu’il me pénètre l’utérus.
Jouissance sur jouissance, orgasme sur orgasme m’amène dans un monde que je ne connais pas.
La soumission.
Aldebert à partir de maintenant, je suis ta petite chienne et tous les jours, je te veux en moi matin midi et soir.
Mon mari, je m’en fiche, il aurait dû être là, mes filles, dans les jours qui suivent mes aînés me montrent qu’elles sont comme moi à leur âge, à la limite d’être folle du cul.

Quant aux plus jeunes, c’est vers les filles qu’elles semblent orienter leur sexualité.
Je pensais que leur tenue gothique n’était qu'un jeu, mais quand je vois les quatre filles qui viennent de venir les chercher, les piercings partout sur les parties visibles de leur corps me montrent que j’ai de grandes heures de soucis à me faire.

Alors Aldebert, remettons le couvert.
Mon portable sonne.

• Véronique, c’est la jeune policière, je peux passer te voir !

Le ton énigmatique et le tutoiement, ma vie va encore s’accélérer.

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