COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Lui ou Elle, Elle ou Lui (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Lui ou Elle, Elle ou Lui (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2018 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Lui ou Elle, Elle ou Lui (1/3)
C’est le plus beau jour de ma vie, ce matin, j’ai épousé Viviane jolie rousse aux yeux verts de 24 ans, qui ait Directrice de société avec 200 personnes à diriger.
Je suis chômeur et je suis considéré comme un glandeur professionnel à 28 ans, j’aime traîner au lit surtout depuis que je l’ai rencontré et séduit par mes muscles d’athlète.
La première fois que je l’ai baisée ma haute technicité l’a subjugué, elle me dit toujours régulièrement.

• Gratien, tu baises comme un dieu.

Alors que tous lui conseillent de me quitter en lui disant que je suis un loser, c’est moi qui ai gagné, car ce matin, j’ai réussi à ce qu’elle me dise « oui ».
Vers une heure du matin, nous quittons la noce pour rejoindre la maison de ses parents ou la chambre d’amis a été aménagée pour nous recevoir.
Nous venons de monter la côte de Champigny venant des bords de marnes ou nous avons fait le repas.
Nous nous dirigeons vers Pontault-Combault lorsque l’orage qui menaçait éclate, nous passons sous la tour relais de communication quand une éclaire vient la frapper nous plaçant dans un grand halo vert.
Un moment aveuglé, je reprends ma conduite sans avoir la moindre sensation nouvelle.
Arrivés chez mes beaux-parents, nous prenons une douche dans la baignoire ensemble et vite fait bien fait, je donne le petit coup spécifique jour de mariage à Viviane pour qu’elle puisse dire que sa nuit de noces a été parfaite en tout point.

Bien fatigués, nous nous écroulons comme une masse, nos corps bien imbriqués.
Lorsque je me réveille, mes seins sont compressés par la poitrine musculeuse de ma femme.
Qu’est que je dis, « mes seins sont compressés par la poitrine musculeuse… »Réveille-toi Gratien, c’est, l’inverse, quoique, lorsque je passe ma main dessus leur pointe en forme de poire identique à celle de Viviane, elles ont une grande sensibilité lorsque je les pince.
Il faut que je me réveille, mais le mouvement du corps de ma femme se réveillant me confirme qu’elle est moi et que je suis elle lorsque je sens sa bite sur ma jambe.
Qui n’a pas rêvé étant homme de devenir femme et inversement ?

• Chéri, qu’est-ce qui m’arrive et à toi aussi, arrête de me faire peur.
• Je n’y suis pour rien, mon cœur, je ne sais pas ce qui arrive, mais, j’aime la belle bite que tu me présentes, ne perdons pas de temps met moi là.
• Comment parles-tu, on dirait une charretière ?
• Tu dois dire « charretier, » alors plante-moi vite.

Je me renverse, j’écarte mes cuisses pour la première fois, pressées de sentir ce mandrin me défoncent la chatte.

• Je ne sais pas ce qui nous arrive, mais dépêche-toi si ce miracle s’interrompt, je n’aurais pas senti ce que tu ressens quand je te mets une bite bien profonde.
• Tiens, je te prends, c’est vrai que c’est bizarre d’habitude, je sens mes chaires s’ouvrir et là, je sens que c’est moi qui ouvre tes lèvres vaginales.
Quel drôle de sensation, tu vas voir ce que je vais te mettre, je vais te bourrer comme une chienne que tu aies.
• Chérie, c’est à cela que tu penses lorsque je te mets mon sexe, tu penses que je devrais te prendre comme une chienne.
• C’est drôle, tu as raison, nos corps se sont inversés et nos cerveaux semblent être restés homme pour toi et femme pour toi.
Je ne sais pas pendant combien de temps cela va durer et il est sûr que tu risques où je risque de découvrir des travers que nous avons tous dans notre vie.
Il faut que nous restions soudés, car je ne sais pas ce que ce phénomène va nous apporter.
• Tu causes et tu m’as mise à fond, je te sens bien, qu’est-ce que tu es gros, j’aime quand tu me défonces, je suis contente d’avoir ressenti cela, continue, je vais avoir mon premier orgasme.
Putain que c’est bon, vous avez de la chance vous les filles, cela dure plus longtemps que nous, la vache, qu’est-ce que tu me fais jouir et toi préviens moi quand tu pars.
• Cela vient, je bande comme un taureau, je ne pensais pas que tu pouvais atteindre un tel diamètre, tu as raison, je sens que cela va être plus court, mais plus intense, j’ai un frisson qui monte dans ma colonne vertébrale, non de Dieu, je décharge, tient, prend mes jets au fond de ta vulve.
• Je les sens, qu’ait ce que tu m’as mis ma chatte débordes.

Nous en étions là de nos découvertes lorsque la porte de la chambre s’ouvre, que tous nos amis sont venus nous porter le pot de chambre traditionnel des jeunes mariés.
Il nous fallait faire attention pour que nos amis ne voient pas notre transformation.
Si nos cerveaux avaient été échangés, nous n’aurions pas de problème.
L’erreur a failli être commise lorsque Léa a proposé à Viviane de venir lui faire voir où étaient les ustensiles pour préparer la soupe à l’oignon traditionnelle.

• J’arrive le temps de passer mon string.

Elle se lève faisant voir sa magnifique bite à l’assemblée.

• Gratien, c’est toi qui réponds et te lèves lorsque je demande à Viviane de venir, tu n’es pas bien réveillé, reste couché et met, ton boxer, j’ai assez vu d’horreur pendant mon mariage.

Et moi qui ai le malheur de vouloir être malin et qui me plante magistralement.

• Ma bite, je suis prêt à te la mettre quand tu veux, ou tu veux.
• Viviane, toi aussi, tu as perdu le sens de la réalité, à part un gode qu’est-ce que tu penses pouvoir me mettre.

Il vaut mieux ne pas continuer la conversation sur cette pente glissante.
Je me lève et je prends le couloir pour chercher la porte de la cuisine suivie de Léa.
Il est bizarre pour moi de marcher avec le string que portait ma femme lorsque nous sommes arrivés hier au soir, j’ai une sensation drôle lorsque je me rends compte que je roule mes hanches comme la gonzesse que je suis devenue.
Je ne suis jamais venue chez mes beaux-parents qui viennent de déménager, dans ce couloir toutes les portes sont fermées et se ressemblent.
Bien sûr, j’ouvre un placard que je referme dignement, la suivante est la bonne et je suis aussi ennuyée, j’ignore où les ustensiles sont rangés.

• Léa, débrouille-toi, mes parents viennent d’emménager !

Je prétexte un besoin naturel pour quitter la pièce.
Jusqu’à leur départ plus aucun imper, nous commençons à savoir penser à l’envers.

Les deux jours qui suivent, nos corps restent comme cela, une scène étrange, c’est produit, elle m’a fait mettre en levrette et a pointé son gland sur ma rosette.

• J’ai envie de t’enculer.
• Salop, tu m’as toujours refusé que je te la mette dans le petit et là, je dois te dire oui.
• Ta rosette me fait de l’œil, allé laisse-toi faire.
• Et comment tu vas le faire, contrairement à toi, je veux tout te donner, si rien ne change, je vais te faire décharger des heures entières et te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte ?
• Et dans la bouche, tu es prêt à me sucer.
• Je viens te dire que je vais te vider les couilles, ma chatte, ma rosette, mes mains, ma bouche vont te massacrer, je suis une grande salope.
• Arrête de parler, ma colonne va te pourfendre comme jamais tu me l’as fait.
• Gratien, réfléchi, nous sommes deux grandes putes et nous sommes de grands baiseurs à chaque moment de notre vie.

Le troisième matin, au réveil, mes seins ne me pèsent plus, je regarde Viviane, elle les a récupérés, tout est entré en ordre, je suis moi, elle est elle.
Cela me fait plaisir de récupérer mon sexe, quoique je n’aie pas tenté la fellation.

Nous passons nos deux derniers jours de congé de noce à retrouver nos habitudes et surtout notre appartement parisien, l’air impur et le bruit des voitures commençaient à me manquer.
En ce qui concerne le sexe notre aventure m’a permis de pouvoir la sodomiser dès que nous avons passé la porte alors que je l’avais prise dans mes bras comme les choses se font par tradition.

• Gratien, quelle conne, j’ai été de te refuser ce plaisir, cela me fait mal, mais cela me fait du bien.
Caresse-moi le clito en même temps, je vais jouir dès la première fois, tu es vraiment un baiseur génial.

À part ce bon moment, le lundi matin ce putain de réveil sonne pour que Léa parte à son travail.

• Léa, réveille-toi, cela recommence.

Elle ouvre les yeux et voit sa bite bander dans sa main comme il m’arrive tous les matins avant d’aller aux toilettes.

• Comment, va-t-on faire, j’ai conseil d’administration ce matin et il y aura des décisions importantes à prendre ?
• Tu y vas.
• J’y vais en costume avec cravate et je leur dis que pendant ma semaine de noce, j’ai coupé mes magnifiques cheveux roux et j’ai appris à mettre un costard simplement par jeux entre nous.
• Pourquoi pas ?
• Et si demain ou après-demain le phénomène s’inverse de nouveau, je leur dirais que mes cheveux sont de nouveau roux mais coupés en brosse.
Non, il faut savoir prendre des décisions, tu mets mon tailleur et tu y vas, lors de la réunion, tu laisses parler Christian, mon adjoint en disant que tu as pris froid et que tu as du mal à parler.
Si l’un d’eux insiste, tu réponds par oui ou par non, sans t’étendre, si tu te trompes, il te reprendra et tu t’excuseras et changera ta réponse.

Pendant les jours où j’ai été elle, le peu de foi où nous sommes sorties, j’étais en jean et basket.
En mettant son tailleur, j’ai l’impression d’être un travelo de chez Michou qui sort de sa nuit de labeur.
Elle me maquille, car mon cerveau commande mal à ma main au début.
La panique, c’est lorsque je mets les hauts talons, je n’arrive pas à mettre un pied devant l’autre.
Les talons hauts, très hauts n’ayant aucune chaussure plate qui pourrait aller avec l’ensemble.
Pendant une demi-heure, je vais, je viens et à la fin, j’arrive à avoir une démarche potable.
Elle me roule une pelle comme j’aime lui faire lorsque c’est elle qui part et je reçois la magnifique main aux fesses que je n’oublie pas de lui appliquer chaque fois qu’elle me quitte.

• Allée ma pute, va gagner la pitance de ton maquereau de mari.

Il est vrai que presque chaque jour, je lui dis cela, ce doit être ses lèvres qui ont lâché cette phrase depuis que je suis au chômage, ou son cerveau commence à penser comme moi de temps en temps.
Pas simple a décortiqué tout cela.
Je trouve très étrange la sensation que me procure le vent présent ce jour passant sous ma jupe et atteignant ma chatte, mine de rien, elles ont de la chance les gonzesses, nous nos couilles sont toujours serrées dans nos caleçons.
J’arrive au métro gare de Lyon, le regard des hommes a tendance à me faire mouiller, en est-il de même pour Viviane tous les matins…

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