TROIS GRANDS MÉCHANTS LOUPS

- Par l'auteur HDS Remi garcette -
Auteur homme.
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Récit libertin : TROIS GRANDS MÉCHANTS LOUPS Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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TROIS GRANDS MÉCHANTS LOUPS
Voilà l’été, mon homme nous a réservé un petit séjour dans un pays chaud et humide. Je me réjouis de cette petite escapade en amoureux dans un bungalow chic et confortable où je ne doute pas, en tenant compte de la cuisine épicée locale, qu’il me couvrira jours et nuits.
Dans cette ambiance estivale un souvenir précieux me revient en force et diffuse dans tous mes sens un sentiment chaleureux.
J’étais alors un jeune étudiant à l’air timide, un peu naïf et, pour remonter mes finances, j’avais trouvé un job d’été dans un cabinet d’avocats.
L’association s’appelait 3GML, elle était dirigée par trois hommes qui s’occupaient d’affaires dans le milieu médical.
C’est Paul qui m’a engagé suite à un rapide entretien. C’était le genre d’homme qui me donnait de furieuses envies d’abandonner toute pudeur, mais je restais calme et prudent car j’étais là pour travailler.
Mon travail d’assistant n’était pas très contraignant en ce mois de juillet. J’avais le temps le matin d’apporter à chacun un café dans leur bureau respectif. Je commençais invariablement par Paul, puis allais servir Joël et terminais chez Tony qui était toujours au téléphone et m’indiquait d’un geste négligent de poser le café sur la table.
Les semaines s’écoulant sagement je rentrais chez moi le soir pour étudier, tout en nouant cependant certains contacts intéressants avec des jeunes travailleurs du foyer en face…
J’ai été surpris quand Paul m’a proposé de partir en vacances avec lui et ses deux associés. Ils avaient l’habitude de louer un gîte ensemble dans le sud de la France pour s’adonner à la pêche dans les eaux de la région. J’ai accepté l’invitation sans hésitation et nous sommes partis tous les quatre la semaine suivante. A l’arrivé nous avons fait les courses dans un supermarché, mais, les voyant remplir le caddie de surgelés et diverses conserves, j’ai décidé de prendre les choses en main pour acheter des produits frais et me proposais de faire la cuisine. Nous avons ensuite pris la route pour rejoindre le gîte et, sur place, je n’ai rien dis, un peu troublé, mais j’ai remarqué qu’il n’y avait que trois chambres.

C’est Paul, voyant mon air embarrassé, qui a tranché, en me proposant de partager la sienne, prétextant qu’elle était assez grande pour deux. Une petite montée de fièvre passée, j’acceptais en le remerciant. Nous avons ensuite diné tous les quatre, en se régalant des produits locaux. Puis j’ai fait la vaisselle pendant qu’ils jouaient aux cartes en leur servant des bières lorsqu’ils me le commandaient. Un peu saoulé par le grand air pur et le petit rosé frais, je leur ai dit que j’allais me coucher, ce à quoi Paul a répondu vigoureusement : j’arrive bientôt ! J’ai pris une agréable douche fraiche en observant dans le miroir le reflet de mon corps entièrement lisse car je m’étais payé le luxe d’une épilation totale en rêvant de… au cas où… Les draps sentaient bon le propre mais je remarquais que c’était un vieux lit un peu étroit pour deux, comme l’on faisait avant et, malgré la chaleur, je me suis pudiquement recouvert jusqu’au cou, attendant mon hôte pendant que, dehors, les insectes psalmodiaient sans fin leur désir souverain dans la nuit.
Des pas décidés ont fait craqués le bois du vieil escalier, j’ai reconnu ceux de Paul qui se dirigeait vers la salle de bain pour, d’abord, pisser hardiment et ensuite se laver les dents en fredonnant une mélodie toute gaie. Puis Il est entré nu dans la chambre, s’avançant dans la lumière de la lune. Je n’arrive toujours pas à m’expliquer comment je ne suis pas mort à ce moment-là, tellement mon cœur a bondit à la vue de ce corps robuste et désirable. La légère pilosité qui ornait tous ces membres était plus épaisse sur les pectoraux et le pubis, sous lequel je pouvais admirer avec émoi un sexe généreux et des couilles bien charnues. Et plus haut ce sourire affriolant qui me disait : Hou la la ! Qu’est-ce qu’il fait chaud !
Il s’est allongé près de moi en faisant grincer le sommier, les bras derrière la tête, tout à son aise, je pouvais sentir la chaleur de son corps et voir les petites perles de sueur sur sa pilosité. Un vrai supplice de tantale. En murmurant d’une voix grave il m’a demandé si j’aimais cet endroit, je lui ai répondu, enthousiaste, un peu fort : oh oui beaucoup ! Captivé par son membre que je ne pouvais quitter des yeux jusqu’à ce moment, tout confus, où je m’aperçus qu’il s’en rendait bien compte.
Il me dit ensuite que je dois avoir trop chaud sous ce drap et me l’enlève doucement en précisant : Allons ! On est entre nous ! Il a poussé un petit oh ! L’air satisfait en lorgnant mon corps nu et épilé. Je me sentais à la merci de ce grand mec, excité, haletant et décidé à satisfaire tous ses désirs. Il a commencé à me caresser les hanches en disant que j’avais la peau douce, puis m’a embrassé en me serrant dans ses bras tout en frottant langoureusement son sexe sur moi. Nous nous sommes caressés un instant l’un contre l’autre, ma main est descendue pour envelopper son bel engin et le branler gentiment, puis il s’est remis sur le dos, me faisant bien comprendre ce qu’il attendait de moi maintenant. Je ne me suis pas fait prier et je suis descendu plus bas pour gober son membre puissant et gonflé de promesses. Je l’ai sucé amoureusement, longuement, en caressant ses couilles chaudes et pleines, jubilant intérieurement de voir sa colonne prendre une telle ampleur. Paul me caressait de sa grande main, jusqu’à atteindre mes fesses et introduire un doigt profond. Comme je gémissais la bouche pleine en me déhanchant, il a conclu qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et m’a retourné pour prendre son dû. Je me plaçais dans la meilleure position pour m’offrir à lui et, m’empoignant résolument, il s’est introduit avec un soupir de satisfaction faisant écho à mon petit cri de surprise. Persévérant il réussit à m’habiter de toute sa longueur, élargissant au passage mon cœur soumis. Autant l’un que l’autre nous essayions de retenir nos approbations pour ne pas déranger les voisins car les chambres étaient mitoyennes. Mais le lit grinçait violemment, dans ce rythme si reconnaissable, que nul dans la maison ne pouvait ignorer que Paul était en train de me labourer avec entrain. Sentant son plaisir au paroxysme il a couvert ma bouche de sa main pour éviter avec raison que je ne hurle ma joie tandis qu’il me fécondait convulsivement d’interminables giclées de son foutre.
Son affaire finie, il reprenait son souffle, et je ne savais plus ou étaient le haut et le bas. Ayant repris quelque peu mes esprits je suis allé dans la salle de bain, les jambes flageolantes et le pas mal assuré, pour rincer mon cul bien englué, puis j’ai mouillé une serviette avec un peu d’eau tiède pour nettoyer le sexe de Paul pendant qu’il me souriait, ravi et l’œil brillant. Nous nous sommes rapidement endormis, tout serrés l’un contre l’autre.
Au petit matin nous avons ouvert les yeux ensembles pour se dire bonjour. Après quelques caresses et baisers j’ai bien remarqué son enthousiasme qui se dressait fièrement dès l’aube. Dévoué à son plaisir je lui ai fait une longue pipe appliquée à laquelle il a répondu par une éjaculation massive et nourrissante. J’ai eu un petit rire étouffé quand j’ai vu que, malgré mon estomac rassasié, il y en avait encore partout, sur mon visage, son ventre et mes doigts. J’ai lapé de mon mieux cet excèdent mais les draps était bien maculés et la chambre entière exhalait sa semence.
Nous sommes descendus rejoindre les deux autres vacanciers qui prenaient leur petit déjeuner. Joël me regardait avec un petit sourire entendu mais Tony était au téléphone et semblait indifférent. Je baissais le regard, embarrassé et rougissant, en buvant mon jus de fruit. Paul, lui, finissait de dévorer un petit déjeuner complet, sous le regard un peu narquois de Joël.
Je leur ai préparé des sandwichs pour leur journée de pêche et en partant Joël m’a mis une franche main au cul. Après leur départ j’ai rangé la table, mis un peu d’ordre dans la maison et fais les lits. J’ai ensuite bien profité du soleil dans le jardin en rêvant de choses très polissonnes. En fin d’après-midi j’ai commencé à préparer un bon repas pour les trois gaillards. Ils sont arrivés bredouilles mais heureux de leur journée et en pleine forme. Après le diner Paul a déclaré qu’ils avaient des choses à me dire. Ils se sont assis sur le canapé, en shorts et torses nus, tandis que je me demandais un peu inquiet de quoi il pouvait bien s’agir.
- Tu te rends bien compte, a commencé Paul, que tout le monde t’a entendu hier soir, du coup j’ai raconté notre nuit en détail à Joël et Tony. Ils ont trouvés que ce n’était pas juste que j’en profite tout seul, et ils ont raison tu trouves pas ?
- Oui, mais je..!
- Ils ont raison on est bien d’accord… Aussi nous avons décidé que dès ce soir tu seras pour la nuit à celui qui gagnera notre partie de carte..!
- Ah mais..?
- On est bien d’accord ?
- Oui d’accord !
- Très bien ! Ah j’oubliais ! On a aussi décidé que tous les matins, parce que c’est agréable, tu viendras nous faire à chacun une gentille gâterie buccale comme tu sais si bien le faire, tu comprends c’est important pour bien commencer la journée !
- Mais… je..!
- On est bien d’accord ?
- ben d’accord… mais..!
- Allez ! On commence la partie et emmène-nous trois bières !
Joël a gagné la première partie. Avec lui c’était un peu brutal, direct et sans fioritures et à chaque fois que c’était son tour il m’a toujours réveillé une seconde fois dans la nuit pour tirer son coup.
Le lendemain j’ai eu droit à Tony. Étrangement il était très tendre, caressant, l’air intimidé. Si bien que le premier soir j’ai dû le chevaucher pour le guider et qu’enfin il m’emplisse.
Paul était bon joueur. J’ai bien compris, qu’équitablement, il faisait parfois gagner un de ses amis. Mais c’est tout de même lui qui remportait le plus souvent la mise.
Tous les matins je m’acquittais de ma tâche en allant satisfaire chacun dans leur chambre respective. Je commençais invariablement par Paul, puis allais assouvir Joël et terminais chez Tony qui était toujours au téléphone et m’indiquait d’un geste négligent la direction de son membre impatient.
Et n’en déplaise à certains blêmes moralistes se furent pour moi de merveilleuses vacances.
Aujourd’hui dans cet avion je serre avec amour la main d’Antoine et m’endors doucement sur son épaule… comme un gentil garçon.

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