Le salon de coiffure

- Par l'auteur HDS Steefler -
Récit érotique écrit par Steefler [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le salon de coiffure Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le salon de coiffure
Je m’appel Alex, j’ai 25ans et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée à la toussaint.
Je suis jeune commercial et étant de retour chez moi pour le week end de la toussaint, je décidais d’aller chez le coiffeur.
Je connais très bien ce coiffeur car j’y vais depuis une dizaine d’années, la directrice du salon et même une amie de ma mère. Il n’y a pas d’homme qui travaille dans ce salon.
J’arrive donc ce vendredi vers 16h30, je suis le seul client, les gens faisant le pont de trois jours pour la plupart ont déserté la campagne pour partir à la mer ce week end.
Je suis accueilli par une charmante demoiselle qui me dirige vers un canapé pour attendre que ma coiffeuse arrive. Cette fille semble être stagiaire en école de coiffure, car sa façon de parler est très stigmatisée et je ne la sent pas très à l’aise, elle doit avoir 18 ans je pense. C’est assez rigolo de voir ces jeunes apprendre le métier.
Alors après quelques minutes d’attentes, je lisais un magazine et devinais que la jeune fille me dévorait du regard. Cela m’excitait un peu de voir cette jeune fille en émoi sexuel. Je décidais de me mettre aussi à la mater, pour la gêner un peu. Elle avait les cheveux châtains, attachés en arrière. Son corps était un peu rondouillet mais très attirant par le charme qu’il dégageait. Ses regards m’avaient lancé des invitations sexuelles qui m’obligeaient à répondre.
Elle portait un petit pull en laine rose, d’où dépassait deux belles ogives, ainsi qu’un jean. Ses fesses imposantes étaient dissimulées sous un petit ruban de soie rose noué autour de la taille. Autant d’habitude je ne suis pas trop femme enveloppées, mais là, cette jeune fille est vraiment sexy avec son regard de braise.
Lorsque ma coiffeuse arriva, je fus surpris car ce n’était pas ma coiffeuse habituelle. Je lui demandais pourquoi ? Elle me répondit que les autres employées faisaient le pont, y compris la patronne et qu’aujourd’hui c’est elle qui gérait le salon avec l’autre fille.
Je connaissais néanmoins cette coiffeuse pour l’avoir vu pendant longtemps dans ce salon mais je n’avais jamais eu droit à ses services. Elle doit avoir 25 ans, son corps est harmonieux, 1,65m, un beau visage blanc avec des cheveux blond très soyeux, une poitrine bien rebondie, je dirai à première vue du 90C, ses fesses sont elles aussi magnifiquement rebondies, on voudrait les croquer !
Elle me fit me lever et dit à la jeune stagiaire de me faire mon shampoing avant la coupe, et qu’en cas de problème ne pas hésiter à l’appeler car elle allait en arrière boutique faire un inventaire des produits.
Je me retrouvais seul avec cette jeune fille. Alors qu’elle débutait son shampoing, je lançais la conversation.
Comment tu t’appelles ?
-Marion
Tu es nouvelle ici, je ne t’ai jamais vu avant ?
-Oui je suis stagiaire pendant trois semaines.
Ah d’accords, et ton stage se passe bien ?
-Très bien, les clients son gentils, patients, c’est vraiment le métier que je veux faire.
Sur ces paroles, elle s’était détendue et me massait les cheveux avec une telle sensualité que cela me faisait monter une petite érection.
-Voila, c’est fini, je vais vous sécher les cheveux et vous pourrait passer à la coupe.
Bien, merci.

Elle me sécha les cheveux et passa devant moi pour m’indiquer le siège ou j’allais m’asseoir. Je me levai et la suivi, au lieu de me diriger vers mon siège, je m’avança vers elle et enlaça ses hanches entre mes mains et lui dit :
Tu ne crois pas que la coupe peut attendre ? Tu m’excites vraiment tu sais !
Je lui pétrissais les fesses avec mes mains et elle lâchait quelques petits gémissements.

- La coupe attendra, moi aussi j’ai envie de toi beau mec.

A ces mots, je passe une de mes mains sous son pull pour découvrir la naissance de ces deux gros seins. Elle n’est pas si grosse que cela en fait sous son pull.
Je lui enlève son pull pour la laisser en soutien gorge rose bonbon face à moi. Puis nous allâmes nous installer sur le canapé.
Je déboutonne son jean et le fais lentement glisser le long de ses jambes.
La voila allongée face à moi, avec son string lui aussi rose bonbon qui m’appel ! Je vois sa fente moulée dans les coutures, superbe !
Je m’allonge sur elle et lui embrasse les seins, dégrafe son soutien gorge, ses tétons sont gros, j’adore ça !
Sous mes baisers, ma jeune compagne craque et gémi à chacune de mes initiatives. Je descend sur son ventre, embrasse son nombril, son corps se tend, elle frissonne, ses tétons pointent à leur maximum.
Je lui pose une main sur la chatte et commence à lui caresser à travers le string, elle est très excitée. Ses lèvres sont épaisses, elle a vraiment un gros minou.
Moi aussi du reste, je bande comme un fou, ma queue attend que je la libère.
Je lui écarte le string et ma main entre enfin en contact avec ce sexe féminin qui demande mes caresses. Sa chatte est parfaitement épilée, elle est vraiment belle, sa fente est vraiment longue et ses lèvres sont grosses. Ce sexe est tout simplement superbe, je suis fan des grosses chattes.
Je lui embrasse le clito en écartant ses superbes lèvres. Ma langue va et vient le long de sa fente, Marion gémie, elle ne tient plus, je m’aperçois que sa chatte mouille et attend mon pieu.


Je me redresse et enlève mon pantalon, je lui dis :
Tu as déjà fait l’amour ?

- Tu vas voir idiot, donnes moi ta queue !

Je tend mon ventre vers elle, impatient de voir cette petite minette me soulager le gland. Elle retire mon boxer et gobe ma queue d’un seul coup. Je suis effarer de la voir faire, elle me fait grogner de plaisir tellement sa bouche me pipe bien !
Elle va et viens très vite, ma queue est inondée de salive chaude.
Lorsqu’elle lâche ma queue, elle me dit qu’elle n’en était pas à sa première bite, je lui réponds que j’avais remarqué. A peine ai-je le temps de finir ma phrase qu’elle bouffe une de mes couille, puis l’autre, c’est une sacrée salope.
Le plus excitant est que le salon est ouvert et qu’un client ou une cliente pourrait entrer et nous surprendre en pleine action. Cela n’a pas l’air de choquer ma partenaire qui s’applique à me lustrer le gland.
Lorsque je senti que j’allais venir, je lui ai retenu la tête, elle me regarda et compris…elle garda ma bite dans sa main, la posa entre se seins et la serra avec ses ogives.
Je commençais alors un petit va et viens sympa, excitant, qui me faisait redescendre un peu l’adrénaline.
Cette fille sait vraiment faire avec les hommes, j’ai envie de la limer.
Je lui fais lâcher ma queue, l’installa à quatre pattes sur le canapé pour lui enfoncer mon pieu en levrette.
Après avoir enfilé une capote (j’en ai toujours une sur moi), je présentais ma verge devant sa chatte, je la posais sur ses lèvres et commençais à la frotter le long de sa fente. Cela a considérablement excité Marion qui ondulait du bassin pour accélérer les frottements sur ma queue.
Sans prévenir je poussais d’un coup et entra en elle, mon gland lui fouillait le vagin. J’allais de plus en plus loin dans sa chatte en lui mettant des petits coups de reins. Sa chatte était brûlante, si je ne baisais pas régulièrement, je crois que j’aurai immédiatement lâché mon jus. C’était divin, sa chatte moulait ma bite avec une telle force, je posais alors mes mains sur ses hanches et commençais à la pilonner plus fort.
Elle gémissait mais la musique du salon couvrait ses cris, j’avais quand même peur de voir l’autre employée revenir, ou pire, un client entrer.
J’avais envie de l’embrasser, je me retirais, la fit se retourner pour la prendre en missionnaire.
Je me remis à la fourrer avec vivacité, et comme une bête je l’embrassais la bouche, les seins…
Soudain je la sentis se tendre de tout son corps, elle avait atteint l’orgasme. Son vagin m’a alors compressé ma verge avec une telle force que lorsqu’elle se relâcha, je lâchais tout mon sperme après seulement deux coup de boutoir.
Nous sommes restés enlacé l’un dans l’autre pendant deux ou trois minutes, je sentais mon érection diminuer dans sa chatte.
Je me suis retiré, nous nous sommes rhabillés, et elle a entamé ma coupe de cheveux. Elle s’était néanmoins assise sur un tabouret car elle avait du mal à tenir sur ses jambes tant l’orgasme avait été fort.

Au moment de payer, je lui donnais ma carte pour qu’elle me rappelle lorsqu’elle le souhaitait, elle la prise, et la jeta dans la poubelle en me disant qu’elle avait un petit copain et qu’elle ne referait pas cela.
J’étais un peu estomaqué.
Elle appela sa chef pour encaisser, en arrivant, sa chef me fit un grand sourire, sa poitrine pointait…étrange.
Je pris mon manteau et leur dis au revoir, et au moment de me retourner vers la porte, la chef me fit un clin d’œil avec ma carte de visite dans sa main.
Je parti complètement troublé, avait-elle tout vu ? Comptait-elle m’appeler ?
Je suis rentré dans ma voiture avec toutes ses questions non résolues.

Voila c’était ma première histoire, j’espère qu’elle vous a bien excité tous et toutes, je serais très heureux d’avoir vos commentaires sur mon mail.

A bientôt sur ce super site.

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Texte coquin : Le salon de coiffure
Histoire sexe : Une rose rouge
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