COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4)
• Julien, tu es prêt à emmener les enfants à la plage, je te dépose avant d’aller à Royan chercher Arlette à son train.
• Mais oui Minouche, tu es gentille d’aller la chercher pendant que je vais pouvoir faire des châteaux de sable avec Adrien et Adrienne, je suis avec vous une semaine, avant de retourner aux taffes.

Minouche, 28 ans des jumeaux de 2 ans avec le choix du roi, moi qui ne voulais pas de grossesse, j’ai eu un pot terrible, Julien est content, il a ses deux gosses et je n’ai pas besoin de remettre le couvert.

• Non, laisse-moi, je vais être en retard pour aller chercher ta mère, tu la connais, l’heure c’est l’heure, avant l’heure, ce n’est pas l’heure, après l’heure, ce n’est plus l’heure.
• Elle n’était pas femme de gendarme pour rien.

C’est tout guilleret que je fais la route jusqu’à la gare, je suis à la limite d’un excès de vitesse, depuis Noël où elle est venue chez nous près de Paris où nous avons notre maison et l’entreprise de Julien.

• Arlette enfin, depuis Noël, tu m’as manqué.
• Toi aussi Minouche, si je m’écoutais, mais il y a trop de monde.
Aide-moi à porter mes valises, avec ce que j’ai déjà dans ma maison de vacances, j’en prends toujours trop.


Arlette était propriétaire de cette maison au-dessus du marché de Saint-Palais sur mer, l’ayant hérité des parents de Serge le gendarme, mais comme elle n’avait pas les moyens de l’entretenir avec son appartement de Bordeaux, nous avons racheté 50 % de notre lieu de vacances à tous.

• Alors voilà la nouvelle merveille du monde, mon fils n’arrête pas de me parler de sa C4 Picasso quand je l’ai au téléphone.
• Arlette, grand Picasso, 7 places alors qu’une 5 aurait suffi, tu le connais, il veut toujours voire plus grand.
• Oui, c’est le plus grand défaut de mon fils, mais c’est pratique, comment bascule-t-on les sièges, au secours, je m’effondre, attend je reviens vers toi.
• Arrête de t’amuser, si tu la casses, ce sera un drame jusqu’à son départ dans 7 jours.
• Où vas-tu, la mer, c’est à gauche et après tout droit.
• J’aime passer par l’intérieur des terres, il est à la plage avec ses mômes, on a le temps, on lui dira que le train avait du retard.
• Je vois que j’ai bien fait de mettre ma mini, je sais qu’elle fait ressortir mon cul, mais je sais aussi que tu aimes.

J’arrive dans une pinède et je prends un chemin où jamais personne ne passe avant d’arrêter la voiture.

• Enfin, dans mes bras, ma chérie, si tu savais comme tu m’as manqué.
• Je le sais, le temps me paraît interminable entre deux moments où nous nous retrouvons, nos coups de fil enflammés chaque fois qu’il est parti au travail ne me suffisant pas.
• Moi aussi, mais tu sais que nous prendrions trop de risques à ce que tu vendes Bordeaux pour venir acheter près de chez nous.
• Oui, embrasse-moi, regarde, j’ai oublié ma culotte.

Nous éclatons de rire.

• Moi aussi, nous sommes deux belles cochonnes, promet moi, cette année quand Julien sera retourné à Paris pas le train où nous le conduirons, pas de mec à la maison qui le ferait cocu.
• Jurée, crachée, il a de la chance que sa voiture est neuve.

Je suis comment dire, oui, il faut lâcher le mot, je suis la maîtresse de ma belle-mère depuis quatre ans, c’est arrivé le 14 juillet, nous n’avions pas encore d’enfants et nous avons dansé un slow au bal où nous avions été.
J’ai senti qu’elle se frottait sur moi et tout naturellement quand nous l’avons pu, elle est venue me rejoindre dans notre chambre délaissée par son fils.
Je n’ai rien fait à ce moment pour respecter le lit conjugal, je l’ai emmené dans sa chambre ou notre baiser a été fusionnelle, depuis nous sommes amantes, dans la chambre ou dans la voiture quand nous rentrons de nos orgies.

• Ne dis pas que tu n’aimes pas quand nous ramenons deux beaux mâles à la maison et qu’ils nous défoncent pendant des heures.
• Mais maintenant, il y a les jumeaux, se sera plus difficile, Adrien n’est pas loin de parler, je me vois mal dire à ton fils, pourquoi il montre du doigt un monsieur sur la plage en l’appelant papa.
• Nous n’en sommes pas encore là, mais du moment que je suis dans tes bras dans cette voiture, nos trois mois de vacances seront magnifiques, embrasse-moi.
J’ai bien fait de trouver la poignée qui couche le siège, ce sera plus pratique.

Arlette bascule son siège et remonte sa jupe, me montrant notre lieu de plaisir, depuis ce Noël où j’attends pour lui sucer la chatte.

• Passe-moi ma veste, je l’ai mise sur le siège derrière, il ne manquerait plus que je lui salisse ses sièges, je lui emprunte déjà sa femme, ce serait un crime à l'accro à sa voiture.
• Sans compter les questions qu’il pourrait se poser, pourquoi, j’ai mouillé le temps du parcours, descendons, le sable dans ces pinèdes est doux même si nous nous en mettons partout.
• Hors de question, tient met ta veste sous tes fesses, quand nous le rejoindrons à la plage, il pourrait trouver bizarre qu’il y ait déjà du sable à l’intérieur, si tu savais, il la nettoie tous les jours, tu verras demain matin.

Je me penche et après qu’elle est placée sa veste, je commence à la sucer, c’est divin, le monde est mal fait, malgré la différence d’âge, je suis sexuellement accro à ma belle-mère.
Je savais que j’aimais les femmes, j’ai toujours voulu refouler cet instinct malsain, mais quand j’ai été dans ses bras, j’ai fondu.
Belle-maman dès nos premiers rapports a voulu me dire qu’elle a été sa vie, mon beau-père était motard dans la gendarmerie et était plus amoureux de sa moto que de sa femme.
Tiens, bizarre, ça doit être de famille, lui sa moto, Julien sa C4 Picasso grand modèle.
Rapidement, elle a été la salope de la gendarmerie où ils étaient logés, femmes et hommes n’avaient plus de secrets pour elle, jusqu’au jour où l’on est venu lui annoncer qu’il était mort dans une poursuite avec des braqueurs.
Le co-pilote était sorti par sa fenêtre avec une grosse mitraillette et l’avait arrosé, il avait reçu pas moins de dix balles, elle avait été indemnisée, il avait eu une médaille et elle avait quitté la caserne pour son appartement de Bordeaux.
Nous ne nous connaissions pas encore avec Julien, il venait juste de finir ses études d’ingénieur et de monter sa boîte de mécanique de précision.

• Tu suces toujours aussi bien, à mon tour, mais avec le volant, je vais me contenter de te caresser, quand il sera revenu à Paris, tu vas voir comment je vais te défoncer avec ma langue.
• Passe-moi ta veste, tu sais que le simple contact de tes doigts fait sortir des petits jets de cyprine.
• Tu te souviens la première fois où je t’ai fait découvrir que tu étais une femme fontaine, tu t’es mise à pleurer, tu croyais que tu étais malade.
• J’en suis encore morte de honte, mais il vaut mieux prévoir, même si ce n’est qu’avec toi que je coule comme ça.
• C’est une preuve de notre amour, mais tu as raison, il vaut mieux prévoir.

Nous nous caressons, nous nous embrassons, j’expulse ma cyprine sous ses doigts tachant sa veste.

• Petite salope, rentrons, il va falloir que je la donne au pressing.
• Tu te rends compte, si la jeune fille du pressing est lesbienne, elle va sentir mon odeur !

Nous quittons la forêt et nous retrouvons mes enfants et mon mari, pendant les jours où il est là, nous sommes irréprochables, juste une petite main caressant un cul dans la cuisine quand l’une passe derrière l’autre.

• Soyer sage pendant le reste de vos vacances, merci du bon moment que j’ai passé avec vous, une telle harmonie entre sa mère et sa femme, c’est rare, Paul mon bras droit est obligé de séparer les siennes dès qu’elles sont deux minutes ensemble.
Minouche fait attention à ma voiture.

Arlette avant que nous conduisions Julien à la gare fait jouer les enfants pendant que je faisais une nouvelle fois mon devoir conjugal, quand le train, part, s’il pouvait nous voir, c’est la main dans sa main, qu’avec les deux mains libres, nous poussons la poussette des jumeaux.

• Tu vois Arlette, qu’est-ce que je t’avais dit pour sa voiture, j’avais aussi raison pour les lavages du matin.
• Tu me rappelles une chose que j’avais oubliée de te dire, le lendemain de notre arrêt en forêt le jour de mon arrivée, je suis venue vers lui quand il la nettoyait.
Il pestait en frottant son tapis de sol, il c’est plein que tu es fait tomber du liquide dans sa voiture, ça ne partait pas, il a passé ses doigts dessus et les a portés à sa bouche, s’il te broutait la chatte au lieu de simplement te baiser, il aurait reconnu le goût.

Le soir, quand les enfants sont couchés, elle me déshabille, je la déshabille et je retrouve le goût de sa chatte comme elle retrouve le goût de la mienne.

• Viens dans la chambre, j’ai mis une alèse en plastique sous mes draps, sur ce canapé, il faudrait que je trouve le détachant dont il se sert dans la voiture.

C’est presque en courant que nous entrons dans sa chambre, demain, il va falloir que je lave les draps comme tous les matins sauf quand j’aurais mes règles et que je garderais ma culotte.
Nos vacances commencent bien, je suis contente d’avoir dit à Arlette que je ne voulais plus d’homme chez moi, même si chaque fois que nous allions chez eux avant la naissance de mes enfants, nous nous éclations.
Grâce à eux, je redeviens une femme vertueuse, même si je couche avec Arlette ma belle-maman…

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