COLLECTION COCU. Ma petite voisine (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Ma petite voisine (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Ma petite voisine (2/2)
Les grands coups qu’elle donne pour que je pénètre au plus profond d’elle me font sentir qu’elle ne m’en veut pas de l’avoir prise malgré sa demande de me sucer.
Je la retourne, plaçant ses seins sur la table, reprenant sa belle fente qui en demande et en redemande.
Ce que j’aime en plus de ses cris, c’est l’odeur qui émane de son corps qui me rappelle les bons moments passés en attendant son retour de vacances.
Sans que j’aie besoin de la besogner longtemps, je lui apporte son premier orgasme.
Ce que j’aime immédiatement en elle, ce sont les initiatives qu’elle prend.
Avec la main, elle m’extirpe de son vagin et me place sur sa rosette.
En même temps, elle me demande de la sodomiser, car elle en rêve depuis qu’elle a vu sa mère pendant les vacances se faire prendre par le petit par son amant du jour sans qu’elle ait vu que sa fille était là à la regarder.
Pourquoi ne pas lui donner satisfaction ?
Avec mon ex femme, sa petite rondelle m’a toujours été refusée quoique j’aie souvent essayé de lui prendre.
En quelles minutes, je viens de trouver la femme parfaite, mignonne, voire belle, disponible, pas bégueule et qui aime se servir de l’intégralité de nos corps.
Sa bouche par exemple, elle me fait la proposition de me sucer, je n’ai aucun doute que dans les heures prochaines sa bouche ne m’avale aussi goulûment qu’elle l’a fait lors de notre premier baiser.
En attendant, placée comme elle est, je détache son chignon, confirmant qu’ils font environ un mètre, je tire dessus comme je pourrais le faire des rennes d’un cheval.
Au moment où nous allons éclater dans une jouissance dévastant tout sur son passage, ma décision est définitive, elle ne repassera pas le grillage même si son mari n’est pas d’accord.
Je suis prêt à défendre ma femelle comme tout mâle dans la nature le ferait.

En lui donnant le coup de grâce, je lui pose la question et sa réponse est oui, oui, oui.
Satisfait de son engouement, pour la première fois de notre vie commune mon sperme entre en elle.
Je m’assieds et je la prends sur mes genoux tout en plaçant ma main sur sa jolie petite chatte blonde recouverte d’un petit duvet.
Je lui fais une proposition qu’elle accepte avec enthousiasme.
Le problème le plus ardu que je pense avoir, c’est le divorce, comme je l’ai dit, je viens de me séparer vil y ai quelques mois et quoique nous ayons fait cela à l’amiable, cela a été très compliqué.
Elle éclate de rire me laissant légèrement penaud, car ils ne sont pas mariés, n’ayant signé qu’un PACS, il était contre le mariage.
Je prends mon ordi sur lequel je travaillais lorsqu’elle m’a appelé et dans les cinq minutes, j’ai la réponse.
Nous nous rhabillons et je lui fais repasser le grillage avec autant de facilité qu’a l’allée, mais simplement pour qu’elle récupère toutes ses affaires.

J’entre dans ma maison et je charge ma valise avec tout le nécessaire.
Je téléphone à mon voisin et copain d’en face sur son portable, il est parti faire des courses, il me confirme qu’il a bien ma clef et qu’en plus du frigo qu’il va vider, il contrôlera le pavillon comme chaque fois que je pars en compétition.

Valise dans ma voiture, je n’hésite pas à la reculer jusque devant le portail de chez Fleur, excusez, devant l’ex-portail de Fleur.
Lorsque j’arrive, elle sort, habillée dans un ensemble bain de soleil, petit short, débardeur, espadrille, le tout dans des teintes saumon, elle se pend à mon cou et me donne un baiser me confirmant toute l’étendue de l’amour qui est né entre nous.
Elle ferme le portail en laissant le chien à l’intérieur.

Quoique les animaux ne soient pas mon fort, je lui propose de l’emmener.
L’éclat de rire qu’elle me renvoie et l’explication que ce gentil toutou est celui de son ex et qu’elle est contente de ne plus avoir à nettoyer les pièces chaque fois qu’il entre avec des pattes sales.
Pleine d’humour, elle me dit qu’elle préfère les beaux mecs aux chiens.
Les mecs, je suis jaloux, je le lui dis, tout de suite j’ai droit à un gros baisé et nous montons en voiture direction la mer Méditerranée au Cap-d’Agde où je possède un bungalow donnant directement sur la plage et où je m’apprêtais à aller à partir du week-end prochain jusqu’à fin septembre.

Je m’arrête à la mairie et main dans la main sans aucune retenue devant les personnes que nous croisons, dont certains savent que nous sommes des voisins, mais ignorant que depuis presque trois heures, nous sommes amants et qu’en ce moment, j’enlève mon petit cœur.
À la mairie, nous récupérons un formulaire permettant à Fleur de se libérer de son PACS.
Nul doute que parmi les secrétaires présentent, même si généralement elles sont très discrètes, l’une d’elles sur l’oreiller parlera à son compagnon, de ce qu’elle a vu et comme une traînée de poudre, le village apprendra que monsieur muscles, comme l’on m’appelle derrière mon dos, se saute sa voisine.

En sortant nous traversons la place et c’est sur la terrasse du café qu’elle remplit le papier, sans aucune pudeur et sans aucune gêne, nous nous embrassons fougueusement, je lis sans lire et j’apprends que Fleur est le nom que son gros con lui donnait alors que c’est le nom d’Anne que sa maman lui a donné à sa naissance.

Quand elle m’embrasse aux yeux de tous, je suppute ma petite d’accentuer le trait pour faire voir aux autres qu’elle s’est libérée du gros connard qui lui pourrissait la vie.
Il est vrai qu’à la boulangerie un jour, j’ai surpris une conversation entre deux très belles femmes du village qui parlaient d’elle et qu’elles ne comprenaient pas comment Fleur, pardon Anne avait pu s’amouracher d’un tel garçon.

Nous reprenons notre route et 20 kilomètres après, je m’arrête à l’étude d’un ami que j’ai rencontré dans la salle de sport de la ville où les patrons m’ont donné entrée libre, pour eux quand je montre mes muscles sur leurs appareils la clientèle augmente.
Avec mon copain bedonnant, nous avons sympathisé, son début d’embonpoint lui posant un problème, il souhaitait des conseils, le principal que je lui ai donné, c’était d’éviter les repas d’affaires source de prises de calories excessives, hélas son métier ne lui facilite pas la tâche.
Ce copain est huissier, il nous reçoit immédiatement, je lui présente Anne, ma future femme, je vais lui offrir une bague dès que je peux, je lui donne le papier pour faire casser son PACS comme il est prévu dans le texte Internet lorsque l’autre n’est pas informée de la séparation.
Il me confirme que, gracieusement, il se rendra chez mon voisin après 20 heures pour lui signifier sa séparation et par là même lui fera savoir que je l’ai fait cocu.
En sortant Anne me saute au cou et me dit « Oui ».
Voyant que je ne comprends pas, elle ajoute. « Pour le mariage que tu m’as proposé devant ton copain, c’est OUI ».

Je la prends dans mes bras, je la soulève comme une plume pour l’embrasser, je suis à deux doigts avant d’entamer quelques pas de danse sous les regards des passants étonnés que deux êtres puissent avoir des rapports si fusionnels.
Sans l’a lâché, j’ouvre sa portière, je l’assieds toujours en gobant sa bouche et avant que nous nous séparions, je glisse, ma main dans son petit short pour lui caresser la chatte qui dégouline de plaisir.

Trois kilomètres et nous prenons l’autoroute direction le Sud.
C’est à Montélimar que nous prenons une chambre près de l’autoroute pour passer notre première nuit de couple.
Le restaurant que nous trouvons, profitant de la tombée de la nuit sur la terrasse, main dans la main, en plus de notre bonheur, rassasie nos estomacs.
Au cours du repas, Anne, dommage, j’aimais bien Fleur, se met à rire, je comprends qu’elle a vu l’heure et que son ex a dû recevoir mon copain huissier qui a dû lui spécifier qu’elle avait cassé le lien avec lui.
Après avoir avalé mes vitamines nécessaires à mon équilibre en vue du championnat du monde du mois prochain, je l’entraîne vers ce lit où jamais nous ne nous sommes couchés ensemble.
Que puis-je dire que je n’ai déjà dit depuis ce matin, comment je lui fais l’amour pour la pénétrer, la prendre, la labourer, la sodomiser en un mot, comment je l’ai massacré de mon amour pour notre première nuit ?
Oui, je parle du moment où elle sort de la salle de bains magnifique dans sa nudité qui me subjugue, comment j’écarquille les yeux en me pinçant devant tant de beauté.
Comment pour la première fois, lorsque je l’embrasse du haut vers le bas en la tournant et la retournant, je découvre ce fripon grain de beauté qui adorablement casse la symétrie de ses deux globes, j’y porte la main me faisant regretter de ne pas avoir commencé par l’autre ?

Ne pas oublier cette petite tache de vin dans sa nuque si petite et si mignonne qu’un homme n’ayant pas ma prévenance aurait oublié de l’honorer en la caressant la léchant tendrement comme je le fais en ce moment.
Sans compter ce que je découvre lorsque ma bouche absorbe l’une après l’autre ses grandes lèvres intimes et où un soudard pressé de la pénétrer n’aurait pas remarqué comme je viens de le faire que ce corps que l’on peut croire parfaitement symétrique ne l’est pas, car à bien y regarder une de ses lèvres vaginales est légèrement plus développé que l’autre.

L’avantage de cette décimétrie, c’est qu’une femme parfaite doit être un peu chiante alors que toutes ces petites imperfections font d’elle la femme que je découvre et dont je suis dans l’obligation de reconnaître que l’amour vient de taper à notre porte.
Je sens qu’il en est de même pour elle, lorsque ses doigts glissent sur ma peau qui dans quelques jours lors de ma compétition brillera de l’huile qu’elle aura étalée amoureusement.
Cette huile qui soulignera la perfection de mes biceps développés par les heures d’entraînement à lever de la fonte pour qu’ils atteignent la masse exacte entre le muscle beau à voir à l’œil et un simple haltérophile qui a pour but de soulever des charges toujours plus énormes.

Elle aussi, sa bouche viendra pour la première fois absorber jusqu’aux couilles cette tige qui est toujours droite chaque fois que je la regarde.
À la pendule de la chambre, il est l’heure habituelle de mon entraînement, je ne tiens pas à déroger à la règle aussi, je me relève et je me sers de son corps pour faire travailler mes muscles.
La première position que je lui fais prendre travaillant par là même mes muscles jambiers et pectoraux, je la soulève par le dessous de ses cuisses et alors qu’elle m’enserre le cou, je la laisse retomber sur ma flèche, le cri de plaisir qu’elle émet me fait penser que j’ai atteint la cible de son corps.
La faisant monter ou descendre par séries de cent, elle n’atteint pas les trois cents tractions pour atteindre un orgasme que je suis le seul à pouvoir lui assurer, je suis certain qu’elle ressentira la même chose chaque fois que mon pieu trouvera son fourreau.

Au matin, après un dernier moment de tendresse, nous reprenons la route en direction du camping naturiste du Cap-d’Agde où je viens passer les meilleurs mois de l’année.
Fleur, malgré son gros con, je préfère ce nom, est enchanté du cadre où elle va vivre quelques mois et je n’ai pas le temps de rentrer les valises qu’elle part en courant aussi nue qu’un ver, j’adore la voir jouer dans l’eau.

Les valises placées dans la chambre de nos futurs ébats, je la rejoins et la façon dont elle me saute au cou m’oblige à la lâcher et à plonger dans l’eau très agréable pour éviter de scandaliser les familles avec enfants ma verge souhaitant la prendre sans attendre notre retour à l’abri de leurs regards.

Pendant deux jours, nous passons plus de temps au lit, ou sur la table de la salle de séjour à faire l’amour au lieu de penser à travailler ou à mes entraînements.
Le troisième jour, je prends conscience que je risque de perdre des mois de travail, aussi, nous partons tous les deux en ville à la salle que je connais bien et où tous les ans, je peaufine les derniers réglages sur mes muscles.
Contrairement à mon ex-femme, ma future femme, car nul doute que je ne vais pas tarder à m’agenouiller dans la plus pure tradition et lui offrir la bague de fiançailles que je vois déjà en fermant mes yeux.
La passion que je viens de lui faire découvrir fait son effet dès le premier mois où ses muscles commencent à se détacher lui permettant d’envisager de concourir pour le championnat de France.
Il est certain, que cette année, elle sera fidèle, à moi bien sûr, mais aussi au baron qui dit que le principal est de participer.

J’ai tellement porté de fonte et fais l’amour avec elle que lorsque nous nous apprêtons à prendre le chemin du retour ivre de soleil que nous avons pris nu sur la plage ou sur nos chaises longues, je suis à la porte du titre mondial.

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