COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (4/4)
Alors que je rêvais de baiser Laure ma petite voisine de 20 ans, malgré nos 16 ans d’écart, c’est avec Suzette veuve d’un gars de chez nous, mort d’un accident du travail que j’amène dans mon lit.
J’aime les femmes ayant de la volonté, mais avec elle, des moments me paraissent incohérents, tels qu'une envie de divorce pour action violente envers elle et une propension au masochisme quand je la prends en levrette.

Comme je ne suis pas sadique, au matin, nous nous préparons, je remplis ma glacière surtout d’eau fraîche, la pluie a cessé et le soleil semble là pour la journée.
Avant de retrouver le domaine d’Olivier, je vais chercher du pain pour notre repas du midi, quand nous arrivons, Laure s’approche de moi, Romain semble avoir peur, il reste en retrait.

• Josselin, merci pour le bain, tu laisseras ton portillon ouvert ce soir, regarde, je suis en pleine forme, ce n’est pas le tout, la camionnette est là, tient, on va travailler dans le même coin.

Pendant le reste des vendanges, le rituelle installé se poursuit, sauf pendant cinq jours à deux jours de la paulée ou Suzette à ses règles, on m’a dit que les femmes et la lune doivent avoir de l’importance, Laure délaisse aussi son amant, je le vois la raccompagner et venir le matin la rechercher.

Les vendanges sont terminées, c’est enfin le soir de la fête de fin de vendanges, Olivier est content, c’est à lui et a son équipe de prendre le relais, le jus sorti de l’égrappeuse pour les rouges, va attendre quelques jours avant d’avoir les propriétés nécessaires pour être mis en tonneaux de chêne où il vieillira jusqu’en juillet prochain et ou il sera mis en bouteilles.
Quant au blanc, il est pressé dans des cuves en Inox avant d’être élevé et mis en bouteilles lui aussi.
J’aurais pu me lancer dans la viticulture, à un moment du temps où nous femmes étaient copines, Olivier a voulu agrandir son domaine et que nous nous associons.
Si les vendanges par beau temps, ce qui a été le cas cette année à part l’orage, c’est sympa.
Dès que le froid est là, il faut tailler les branches de l’année, enlever les sarments morts, les tirant fortement vers le bas pour les sortir des fils qu’il a fallu resserrer au printemps, afin de les brûler dans des vieux tonneaux sur un cadre avec une roue de vélo à l’avant.
La braise tombe, brûlant les semelles des chaussures, le tout avec la fumée qui vous vient dans la figure.
Je préfère ma course à de nouveaux clients pour mon entreprise, je sens mon eau de toilettes alors que lui sent les sarments cramés.

• Suzette as-tu déjà visité la cave où Olivier range ses tonneaux ?
• Non !

Quand je la prends assise sur un tonneau, je perpétue ma tradition inaugurée avec Lucette devenue femme d’Olivier depuis.
Comme dans ma chambre d’amis, elle se place en levrette, les seins et ses bras enserrant, ce fût de chêne, je viens par-derrière, je lui introduis mon sexe, et elle veut encore que j’emploie la méthode forte.
Je décharge, ne sachant plus comment faire, je sens en moi que je suis arrivé au bout de notre processus sexuel, je préfère la douceur.

• Chéri, quand me fais-tu visiter ton entreprise.

Voilà la phrase que je redoutais, est-ce pour ça que je repoussais le temps de retrouver une maîtresse, en vue de retrouver une nouvelle femme dans ma vie.

• Que t’apporterait la visite de ma société !
• J’apprendrais à connaître ton personnel, je tiens à m’investir auprès de toi, je suis sûr que je te serais utile.

J’hésite une seconde.

• Suzette, ces jours de vendange et ces soirées ont nous sommes retrouvés ensemble ont été fort sympathique, mais je vais reprendre mon job, j’ai très peu de temps pour batifoler, nos rencontres ont été sympa, mais je ne souhaite pas en faire une liaison durable.

Remette son pantalon en signifiant à sa maîtresse qu'on la largue est un exercice difficile, quand elle remet petite culotte et robe et qu’elle tourne les talons, je sens que je viens d’échapper à un problème à long terme.

Pendant les mois qui ont suivi, j’ai vécu caché, ni Suzette, ni Laure visible à l’horizon, je me suis concentré sur mon travail, j’ai fait un voyage en Allemagne fructueux pour la boîte, deux ans de travail assurés.
Mes seules distractions ont été d’aller dîner chez Lucette et Olivier, Aurélien et sa femme Jacqueline était là.
Les femmes ont été prendre le café dans le salon pendant qu’Olivier ouvrait de veilles bouteilles, je ne suis pas fan de vin de plus de 40 ans, mais je dois reconnaître qu’avec un bon cigare, c’est assez sympa.
J’ai beaucoup aimé la bouteille 1986, année de ma naissance, sa robe était parfaite, les odeurs de fruits encore bien présents, bref sentant que j’avais du vague à l’âme, mes amis se sont évertués à me donner le moral.
Inévitablement, le match de qualification pour la coupe de monde à Moscou est venu sur la table, Griezmann, joueur ayant débuté sa carrière à Mâcon contre laquelle l’équipe de Mercurey a eu la chance de jouer en coupe de France prenant un 12 à 0 avait leur faveur.
Quant à moi, en bon supporter du Paris Saint-Germain, c’est le jeune Mbappé que je porte au pinacle, la soirée, s'est fini avec une petite poire qu’Aurélien avait ramenée de Normandie.
De la poire de Normandie, il faut bien s’appeler Aurélien au lieu de rapporter du calva, la bouteille presque terminée, nous étions sur Internet pour voir combien le voyage nous coûterais pour faire la quinzaine en Russie.
Nous voulions concurrencer le père d’Olivier qui avait été à la coupe du monde au Mexique, quatre ans avant ma naissance.

• Merde les gars, la coupe ça dure un mois, on va se ruiner.
• Il faut revoir notre plan à la baisse.
• Tu as raison, on ira aux demi-finales et à la finale si la France se qualifie.
• Bon les gars, assez déliré, comme d’habitude tous les quatre ans, vous verrez les matchs à la télé, finissez vos verres et dodos, on en a ras la casquette avec Jacqueline, chaque fois que nous sommes ensemble et que nous faisons une soirée, on est obligé de nettoyer.
Josselin, tu n’as plus de femme, c’est chez toi qu’ils vont venir voir les matchs.
• J’ai une idée Lucette, on ouvre notre portefeuille et nous offrons un grand écran à Josselin, il verra ce que sait que de nettoyer le trop-plein de ces messieurs.
• En voiture, je te ramène chez toi Josselin, Aurélien et toi, vous n’êtes pas en état de conduire, on va te déposer et j’irai coucher mon ivrogne de mari, Lucette merci pour la soirée.
• Regarde, le mien, il dort sur la table, s’est parfait, j’adore avoir le lit pour moi toute seule, je vais lui mettre un verre d’eau avec du paracétamol à côté, demain il aura mal partout et surtout à la tête.

C’est comme ça que j’ai été ramené, le lendemain comme à chaque fois, je suis parti en jogging par des petits chemins dans les vignes, faire les huit kilomètres qui me séparent du chai d’Olivier, récupérer ma voiture.

• Je n’ouvre pas une bouteille, tu vas conduire.

Quelques jours plus tard, ma secrétaire vient dans mon bureau.

• Patron, comme vous me l’avez demandé, j’ai étudié les CV des postulantes et du postulant pour donner suite à notre annonce, pour mon remplacement pour ma retraite.
• Il y en a eu beaucoup !
• Quarante-deux, j’en ai choisi deux, je les ai convoqués, elles attendent à l’extérieur.
• Vous répondrez aux quarante autres que nous les remercions de leur candidature, que nous gardons leurs CV en cas de besoin et la suite bien sûr, faite entrer la première choisie.

Je passe sur la première, de toute façon, je ne donnerais pas ma réponse avant quelques heures.

• Merci, fait entrer la deuxième personne qui est devant ma porte.
• Bien monsieur, j’espère que vous me choisirez, je suis au chômage depuis presque deux ans et j’ai trois enfants que j’élève seule.

Elle sort et la jeune fille qui la remplace entre, c’est fou.

• Laure, que fais-tu là, ne me dit pas que tu es la deuxième postulante !
• Si monsieur Josselin, j’ai vu votre annonce en cherchant du travail, j’ai beaucoup hésité, mais comme les références demandées correspondent à mes bagages, je me suis dit, pourquoi pas moi.
• Tu te fiches de moi, tu m’as laissé tomber comme une vieille chaussette lors des vendanges pour aller compter fleurette à ce salopard de Romain et tu voudrais que maintenant, je t’embauche.
Tu t’es même permis de me prendre pour un con en venant te faire sauter dans ma piscine.
• Je vais tout t’expliquer, il y a eu plusieurs raisons à cela.
• Elles ont intérêt à être crédibles.
• Le premier soir où nous sommes rentrés, j’ai failli te céder sur les marches de ta piscine, tu m’as obligé à aller me coucher seule chez mes parents, j’étais à peine rentré que j’ai reçu un simple SMS de Romain d’Espagne.
Il me disait qu’il avait rencontré la fille du patron de la boîte qui sous-traitait leur chantier et que l’avenir pour lui était avec elle.
• Il t’a largué par un simple SMS.
• Oui, j’étais donc libre, tu as souvent parlé de mon fiancé comme si des scrupules t’assaillaient, c’est moi qui en ai eu, si je me mettais avec toi, j’ai eu peur que dans le village, il ne soit dit que je t’avais séduite à cause de ta situation.
J’ai appelé Roselyne ma copine, elle avait le numéro de Romain, je l’ai appelée, j’ai vu que rapidement, tu te consolais avec Suzette, la veuve, j’ai été heureux pour toi.
Pour le soir dans ta piscine, Romain m’a forcé à venir nous baigner, il voulait te faire voir qu’il avait été le plus fort, il n’avait pas aimé que tu l’évinces dans la camionnette.
Soit rassurés, je suis retourné chez mes parents, il buvait et tous les soirs, il était saoul, je pourrais te faire voir quelques marques, j’ai besoin de travailler, accorde-moi le poste, je serais une secrétaire dévouée.
• Viens là, tu as fait une grosse bêtise, j’ai toujours beaucoup de sentiment pour toi, malgré notre différence d’âge.

Elle s’approche, je l’assois sur mes genoux et je goûtais sa bouche pour la première fois avec délice, j’ai poussé mon avantage sans trouver la moindre résistance sous sa jupe de petite fille sage.
Il faut dire que c’est elle qui m’a pris la main pour qu’elle rejoigne sa petite culotte, elle n’était pas encore ma secrétaire, mais c’est sur mon bureau que je l’ai prise, la faisant jouir du premier coup.

Le soir, à partir de ce jour, je n’ai plus jamais dormi seul, je l’ai épousé quelques semaines plus tard Benoît, son père parisien d’origine, venu de la capitale avec Alice sa femme à la fermeture de sa boîte, l’a conduit jusqu’à moi devant l’hôtel, dans sa belle robe blanche.

Moi qui n’ai pas eu d’enfant avec Maryse, elle porte notre fils, je suis le plus heureux des hommes, ce soir nous sommes dans la piscine et nous faisons l’amour, malgré bébé, dans l’eau il n’y a pas de problème.
Laure est mon bras droit, la jeune femme, maman de trois enfants a été embauchée comme secrétaire, me donnant entière satisfaction.
J’ai tout calculé, un seul problème, la date des vendanges, la naissance est prévue fin août, j’espère qu’elles auront lieu début septembre, sinon, j’aurais un dilemme entre couper le cordon ou couper le raisin, je plaisante bien sûr, le raisin passe avant, je plaisante encore, ce sera mon fils, la merveille de mes yeux.
Cette vendange, Olivier en a déjà vendu 12 cartons de 12 bouteilles de blanc et surtout de rouge Mercurey des Hautes pour les 20 ans de bébé, j’inviterais tous nos amis.
Vingt ans pour mon fils, quarante pour sa jolie maman et cinquante-deux ans pour moi, le début de la vie.

Un dernier point avant de retourner gagner de l’argent pour trois, la coupe du monde de foot, les copains m’ont bien acheté le plus grand écran sur le marché, ils vont bien dégueuler ainsi que moi-même, je dois le dire.
Seulement, c’est moi qui passerais la serpillière le matin après deux fois 1 000 en paracétamol, heureusement, la salle est en pierre de la région facile à entretenir.
La coupe commence jeudi à 17 heures pour les Russes et samedi midi pour la France contre l’Australie, alors Griezmann ou Mbappé ?

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