VISITE DE CHANTIER

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : VISITE DE CHANTIER Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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VISITE DE CHANTIER
Grace à un de nos amis proches, Richard avait signé un contrat majeur avec une chaine d'hôtel à l'échelle nationale afin de s'occuper de la mise en place du multimédia dans les chambres. Je devais superviser cette mise en place mettant engagée personnellement auprès de notre ami. A ce titre je me déplaçais régulièrement sur les chantiers partout en France, et j'avais donc visité plusieurs semaines auparavant celui du sud ouest, ou 3 hôtels étaient en rénovation. J'avais fais appel à des spécialistes de la région et notamment Alain, jeune retraité qui s'était reconverti en chef de chantier en freelance pour occuper ses journées. Nous nous étions rencontrés une première fois à Toulouse, ou le courant entre nous était plutôt bien passé. De 13 ans mon ainé, il inspirait une certaine forme de force virile, avec un mélange de tendresse qui était tout à fait charmant. Quelques mois avaient passés depuis notre première rencontre, je retournais donc sur les lieux d'un des chantiers afin de passer quelques jours, afin de voir les progrès et faire le point avec Alain. a mon arrivée sur Toulouse, je déposais mes affaires à l'hôtel, et me rendait de suite sur le chantier ou Alain m'attendait. Il était souriant, et me fit rapidement visiter le site, ou un certain nombre d'intérimaires spécialistes du bâtiment travaillaient. Le travail ne manquait pas, mais grâce à l'expérience d'Alain et de sa maitrise tout était entièrement sous contrôle. A l'heure du déjeuner, il me proposa d'aller déjeuner dans une auberge à quelques kilomètres du chantier, à l'extérieur de la ville. L'auberge, était très typique de ces restaurants du Sud Ouest, et le patron nous installa à une table un peu à l'écart. le déjeuner était très sympa, chacun se dévoilant un peu plus, sa vie ses passions, son expérience. Alain malgré ses 62 ans et ses cheveux gris, était plutôt bel homme et au delà de son expérience dans les travaux publics me semblait très épicuriens, et savait apprécier les bonnes choses de la vie. Il me complimentait de manière élégante et charmante, sur mon âge et mon physique qui n'avait rien a envier à des jeunettes de 30 ans. Je pense que le vin aidant il me draguait un peu aussi. La discussion dérapa rapidement sur nos attirances et nos préférences et fantasmes, c'était comme un jeu auquel deux vieux amis d'adonnent sans arrière pensée. je lui livrais mes fantasmes, le fait que j'écrivais des histoires "érotiques", et lui faisait pareil. j'appris donc ses préférences pour les mini jupes, pendant qu'il me demandait de lui faire lire une histoire. Je choisis une histoire plutôt soft afin de ne pas le choquer. Il l'a lu son mon téléphone, pendant que je sirotais un dernier verre d'Armagnac. Je crois que j'étais un peu pompette. Nous sortîmes enfin du restaurant, et Alain me proposa une promenade digestive dans le bois derrière l'auberge afin de prendre l'air et d'évacuer le trop plein d'alcool. Il ne faisait pas trop froid, pour ce mois de mars, j'était habillée d'un pantalon en cuir noir moulant avec des bottes à talon ainsi que d'un pull chaussette noir col roulé également moulant qui me descendait jusqu'en dessous de la taille et faisait ressortir mon abondante poitrine, le tout avec une ceinture assez large au dessus de la taille.
Nous marchions sur le chemin, et Alain me posait plein de question sur mon histoire essayant de comprendre la frontière entre réalité, fantasme et fiction...
- Ton histoire est superbement érotique et je dois avouer que cela m'a même excité, c'est une histoire vrai?
- Il y a un peu de réalité dans l'histoire, je me suis vraiment fait opérer après mes accouchements, et le médecin était un bon ami à Richard. Je pense aussi qu'il en pinçait pour moi. Donc un soir il est venu manger à la maison, et à son départ nous avons fait l'amour avec mon mari, dans les mêmes circonstances. Voila tu sais tout...

- Et tu en as écrit beaucoup?
- Ohh un petite trentaine, certaine son même un peu chaude...

Nous étions, seul dans son bois, et Alain m'avait prit par la main, m'entrainant dans le bois...

- Viens je vais te montrer une ruine de la seconde guerre.

Arrivée prés le bâtisse, Alain se retourna vers moi et m'attira vers lui.

- Tu m'as excité grave, Patricia, j'ai follement envie de toi.

Surprise et un peu éméchée par le vin et notre discussion je me laissais faire, me retrouvant dans ses bras. Il m'embrassa fougueusement, sa langue plongea en moi cherchant ma langue, m'envahissant la bouche. Il m'embrassait avec tellement de passion, que je ne savais comment le repousser. Ses mains étaient descendus sur mes fesses remontant mon pull chaussette et me caressant le cul à travers le cuir. Il me pelota les fesses pendant de longs instants pendant que sa bouche continuait de violer la mienne. J'essayais de le repousser, mais il me prit les bras derrière mon dos, maintenant avec une de ses mains pendant que l'autre s'occupait de mes fesses, et que sa langue jouait avec la mienne. il me poussa alors contre un arbre et de sa main droite me caressa l'entre jambe, toujours en me maintenant les mains derrière le dos. Il me regardait droit dans les yeux, me demandant de me laisser faire, et qu'il allait bien s'occuper de moi. Sa main était entre mes cuisses me caressant avec autorité ma chatte. Il descendit le zip de mon pantalon plongeant en dessous de mon string pour s'emparer de ma chatte à pleine main. Il me plongea un doigt entre les cuisses, générant automatiquement un début de gémissement, de ma part. Un second doigt me pénétra rendant mes gémissements encore plus forts. Il replongea sa langue dans ma bouche afin de me bâillonner, tout en continuant à me branler la chante de ses doigts puissants et rugueux.

- ohhhhh, Alain arrête, tu es fou, on peut nous voir ou nous observer, arrête vite je t'en prie- non ma belle, tu m'as trop excité avec tes histoires je vais te baiser ici, vite et fort, je vais te faire jouir comme jamais...

Il m'ouvrit le pantalon, et me le baissa d'autorité jusqu'a mis cuisse coincé au dessus de mes bottes, me laissant juste en string. Il me retourna, et me cambra vers l'arbre afin de lui offrir mes fesses, juste protégées par la lanière de mon string noir. Il écarta la ficelle, et je sentis son gland à l'entrée de mon sexe. Il me pénétra de toutes ses forces, en me planquant la main sur la bouche afin que je ne puisse être entendue. Ca y est il était en moi, il me baisait avec force et vigueur, d'une main me bâillonnant la bouche ou me maintenant par les cheveux, de l'autre s'accrochant à mon string. Sa main me claqua enfin les fesses avec force, plusieurs fois jusqu'a me faire rougir le cul.

je ne savais plus quoi faire, il me possédait, comme une bête, sans ménagement, me faisait jouir comme je n'avais pas joui depuis si longtemps. Me susurrait des mots atroces et cochons...

- J'ai bien vu dans ton histoire, que c'est comme ca que tu aimes te faire prendre. Tu aimes être dominée et prise comme une salope, une cochonne, tu vas être ma jument maintenant, pendant ton séjour, tu devras obéir à tous mes fantasmes, compris ma salope, je veux t'entendre sinon je te claque le cul encore plus fort "clac clac"....
- oui, continue, je suis à toi, prends moi comme une chienne, joui moi dessus je suis ta grosse pute, ta cochonne...

Il me baisa avec encore plus de force, me pelotant mes gros seins au travers mon pull chaussette. Il était tellement virulent, tellement fort, son sexe m'envahissait, je n'en pouvais plus.....Il allait me jouir dessus, sur mes vêtements noir, son sperme allait me dégouliner dessus.

Je m'accroupit devant lui, enfin, me présentant son membre tendu droit devant moi.... Il me demanda de le branler jusqu'a ce qu'il me jute dessus. J'obéis, la bouche ouverte devant son sexe, je le branlais attendant qu'il se déverse enfin sur moi. De longs jets sortirent me recouvrant le visage, et sur les cheveux. Je le nettoyais en le prenant en bouche, le léchant et le suçant, afin qu'il n'en reste aucune goutte. . Il me releva enfin...

- avale tout je ne veux plus voir une goutte. Demain midi, tu m'attendras dans ta chambre d'hôtel, je te veux en mini jupe écossaise et chemisier blanc pigeonnant, bien serré qu'il fasse ressortir tes grosses miches. On sautera le déjeuner...

Il me raccompagna aux chantiers, il était 16H, nous avions passé presque toute l'après midi dans ce bois. En arrivant, il m'embrassa tendrement, en me susurrant à l'oreille "n'oublie pas, je passe à ton hôtel demain 12H, sois prête et offerte".

Je reparti à mon hôtel, et passais la soirée à me balader dans Toulouse, à la recherche d'un magasin qui puisse me proposer quelques tenus tel que l'avait demandé Alain. Le soir je diner seul rapidement et rentrais à l'hôtel. Le lendemain, je me rendais vers 11H vers un magasin repéré la veille, et je trouvais les accessoires recherchés. Un costume sexy d'écolière avec jupe plissée, des bas, et un chemisier blanc cintré, la taille en dessous de la mienne afin de faire déborder ma poitrine abondante. Une demi heure après, je reçu un SMS d'Alain 'dépose la clé à la réception, à mon attention, et attends moi prête sur le lit avec ton costume, je te veux à 4 pattes les fesses en l'air, et les yeux bandés'.

J'obéis et me préparais. Je mis la jupe les bas, un SG blanc et le chemisier trop court. J'ajoutais une paire d'escarpins noirs que j'avais prévu pour le cas d'une soirée un peu chic. Je m'installais vers 11h55 sur le lit en me bandant les yeux avec un bas, et j'attendais qu'Alain arrive. J'étais complètement folle de faire cela, après tout je ne le connaissais pas bien, mais il m'avait procuré tellement de jouissance la vielle que je voulais revivre cette expérience encore et encore. Je me livrais donc à mon amant entièrement et à tous ses désirs.

Quelques minutes plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir, et quelqu'un entrer, sans un mot. Il s'approchait du lit, et s'assit à mes cotés, je me retournais pour le regarder.

- Ne bouge pas me dit Alain, j'avais dis les fesses en l'air, et les yeux bandés, et toi tu désobéis, tu es une vilaine fille, je vais être obligé de te punir. Reste comme ça, baisse la tête sur le lit, je vois voir ton cul bien haut... hummmmm, tu as un cul splendide et bien blanc, mais je vais te le rougir un peu pour te passer l'envie de me désobéir...

Une grande claque s'abattit sur ma fesse droite... je sursautais... il m'attrapa les cheveux et me plaqua le visage sur le lit. Une autre claque s'abattit à nouveau sur mon cul... et encore une autre, et encore et encore. Il me fessa pendant plusieurs minutes, jusqu'a ce que mes fesses soient toute rouge, la droite, la gauche, et encore la droite et il recommençait... Je gémissais, mais mon visage et ma bouche plaqués sur l'oreiller m'empêchait de faire le moindre bruit.

- Voila, ca y est, tu es prête maintenant, tu vas maintenant bien m'écarter tes fesses de tes 2 mains que je puisse bien profiter de ce si beau cul. Hummmmm, tu as un beau gros cul, comme je les aime. Pas comme c'est petites jeunes toutes maigrichonnes. Le tien il est bien dodu, pour être pris à pleine main, j'adore ca les bourgeoises au gros cul, qui aime venir s'encanailler, en s'habillant comme des putes... Je vais te doigter ma pute, et quand tu auras bien joui avec mes doigts, je te mettrai mon gros bâton dans ta chatte toute humide, et à la fin si tu es bien sage je t'enculerai par ton petit trou, qui m'a l'air bien appétissant.

J'écartais mon cul de mes deux main, sa langue plongea entre mes deux globes, me fouillant l'entre jambe, me mordant les fesses. Il me dévorait mon fessier, comme un animal affamé entrain de s'acharner sur un morceau de viande, de temps en temps il alterner avec des claques sur mes fesses, afin de me rappeler qu'il était le maître et que j'étais son jouet, son esclave sexuel... Ses doigts prirent enfin, le relais. Il me maintenant toujours dans cette position de soumise, à 4 pattes fesses en l'air, quand un de ses doigts entra en moi, tournicotant, afin de se frayer un passage jusqu'au plus profond de moi. Il s'enfonça complètement et commença des mouvements de va et vient, entrant et sortant en moi avec une vitesse de plus en plus rapide et avec de plus en plus de force. Il était comme un piston mécanique sans âme, m'utilisant à sa volonté, et générant des gémissements de plus en plus fort. Il essaya d'atténuer mes gémissements en maintenant mon visage sur l'oreiller presque à m'étouffer, mais sa main était trop habile pour que je ne réagisse pas si fort. Une grande claque s'abattit alors sur mon cul en feu, puis une autre, afin de me faire comprendre que je devais être plus discrète. Il me caressa ensuite le cul avec douceur avant de me réintroduire de deux doigts, m'appliquant le même supplice qu'auparavant. Je le sentis dans le même temps s'attaquer à mon anus, essayant d'enfoncer le bout de sa langue dans mon cul. Il joua de moi pendant plusieurs minutes, et entre ses doigts et sa langue je devenais folle, je me sentais partir, m'évanouir, je n'espérais qu'une chose qu'il me pénètre de son membre puissant et qui devait être bien dressé et bien dur. Il se positionna enfin derrière moi, pour me pénétrer. je sentis son sexe rentrer en moi doucement, sans précipitation. Il prenait son temps, j'étais totalement offerte et ouverte, béante, attendant enfin ma récompense.

- écarte moi ton cul avec tes mains cochonne, j'aime de voir t'offrir comme une grosse vache. Ouvre moi tes fesses.

J'obéis, écartant mes fesses afin de faciliter ma pénétration. Son sexe s'empalant en moi, pendant que ses mains me maintenant par ma jupe d'écolière. Il me baisa comme il m'avait préparé, avec force, me claquant parfois le cul, afin que je bouge et active plus mon gros cul, devant lui. Ses mains s'agrippaient parfois à mes bas, jusqu'à déchirer la soie. Il changea enfin de position afin de ma placer au dessus de lui. J'avais toujours mon bandeau sous les yeux, mais maintenant je dominer la situation, mais pas pour longtemps... Il me pénétra tout en me tenant les fesses de ses mains. Il m'avait arraché le devant de mon chemisier, afin de libérer mes gros seins, qui pendaient en se balançant devant lui.

- mets moi tes grosses miches de laitières dans la bouche, je veux te téter, les seins, poufiasse.

Il me dévorer les seins l'un après l'autre, tandis que ses mains étaient toujours sur mes fesses. Je sentis alors un doigts à l'orifice de mon anus. Il me l'enfonça rapidement, ne me laissant pas le temps de protester, tout en continuant à me limer, comme un étalon saillie une jument surexcitée. J'étais devenue qu'une poupée de chair, dont on joue, ne réagissant plus à rien, perdant toute notion de pudeur, et de réalité. Je ne sais combien de temps il continua à jouer avec mon corps de cette façon, mais je repris mes esprits que quand son jet puissant éclata sur mes gros seins... Son liquide sortait comme un geyser, j'avais l'impression que cela ne s'arrêtait pas... j'étais enfin couverte de sperme...Je m'écroulais...

Quand je repris mes esprits, Alain était à la salle de bain, je regardais l'heure, il était 13h30, tout cela avait duré 1h et demi. Alain, s'allongea à coté de moi, et avec une tendresse infini, m'embrassa tendrement. Il avait été un amant tellement extraordinaire, que ce paradoxe de tendresse me déstabilisa.

Nous retrouvâmes l'après midi sur le chantier, afin de continuer de vérifier notamment les comptes. Tout devait être bouclé pour le lendemain, car je devais rentrer le surlendemain.

Pour notre dernière journée de travail, j'avais remis mes vêtements du premier jour, Alain m'ayant promis un merveilleux diner le soir, je conservais ma jupe boss pour le soir. C'est donc en pantalon et pull chaussette que j'affrontais cette dernière ligne droite, me demandant quelle surprise allait me réserver Alain. En fin de matinée, nous butions sur un élément d'équipements, qui n'était pas prévu, et que Alain avait commandé afin de continuer l'installation de téléviseurs. Ne comprenant pas, il m'emmena dans le stock afin de montrer de quoi il s'agissait. Le stock se trouvait dans le parking de l'hôtel un peu à l'écart , endroit mis à disposition par le propriétaire afin de ne pas se mélanger avec les autres corps de métiers.

- Tu vois, il s'agit de ce petit équipement convertisseur vidéo, qu'il va falloir installer dans toutes les chambres. J'en ai pris quelqu'un en plus au cas.
- D'accord, et je suppose que si l'hôtelier avait accepté de changer les téléviseurs, on n'aurait pas eu ces frais en plus, donc je vais pouvoir lui facturer en plus?
- exactement, je vois que madame est une vraie femme d'affaire, et qu'il n'y a pas de petit profit. A ce titre, je pense que tout travail mérite salaire, et que tu devrais me payer maintenant mes heures supplémentaires...
- non, Alain pas ici, tout le monde peut nous surprendre, on n'est masqué de nulle part.
- T'inquiète, je vais surveiller pendant que tu t'occupes de moi. Ce matin tu prends soin de moi, et ce soir se sera à mon tour...

Il me prit par les cheveux et me força à m'agenouiller devant lui, me demandant de lui sortir son sexe... J'obéis et me trouver accroupis son sexe en main fièrement dressé devant mon visage.

- Prends le dans ta bouche, ma belle, suce moi, tu m'as encore jamais sucé, et je suis sur que tu es une vrai championne...

J'engouffrais son sexe dans mon bouche, et m'appliqué à lui faire une fellation que j'espère il n'oublierai jamais..Ma langue s'enroulait autour de son sexe, allant de temps en temps mordiller son gland pour ensuite le lécher avec ma langue de haut en bas, comme on lèche une glace... Il me laissa faire, tout en me maintenant par les cheveux, afin de me garder bien sous son contrôle. Au bout de quelques minutes il plaça une de ses mains sous mon menton et une sur ma tête en exerçant une pression afin de garder ma bouche ouverte, et commença des va et viens dans ma bouche avec son sexe, que je sentais gonfler à bloc. Il m'étouffais, en me baisant la bouche. Il allait vite, le sortait de temps pour me tapoter son sexe bien dur sur mon visage.

- Prends le entre tes seins ma bourgeoise et fais moi une belle cravate de notaire, je veux voir mon sexe se branler entre tes grosses miches
Je relevais mon pull, il plaça son sexe en dessous de mon SG, et tout en serrant mes seins il se branla sur moi. Il coulissait vite, et j'essayais de le lécher à chaque mouvement avec ma langue. Il replaça son sexe dans ma bouche afin de m'infliger le même traitement et de s'enfoncer au plus profond de ma gorge. J'étouffais la bave ruisselait de ma bouche, je continuais à le sucer, et je sentais qu'il allait venir. Cela ne tarda pas, une fois de plus in gicla sur mon visage et sur mes seins, et finis par s'essuyait sur mes cheveux.

- Je veux que tu gardes les traces de spermes pour ce soir, je veux les voir, si tu te laves je te donnerai une plus grosses fessée encore, tu as compris...

Je le regardais recouverte de sperme, amoureuse, et acquiesçais, quoique une bonne grosse fessée, n'était pas pour me déplaire.

Un bruit dans le parking d'un objet tombant à terre, nous fit sursauter, on se réajusta, et remontait au bureau...Je décidais de rentrer en milieu d'après midi afin de me reposer et de me préparer pour notre dernière soirée.

Alain m'avait promis un super restaurant et je lui avait promis en échange de me mettre sur mon 31. Une élégante jupe Hugo Boss en laine bleu turquoise se portant légèrement en dessous de la taille et me créant ainsi une silhouette féminine irrésistible, en mettant en valeur mes formes postérieures. Des portes jarretelles noir Lise-Charmel "magie veda" avec des bas noirs avec coutures afin de surligner le galbe de mes jambes sur des escarpins noirs de 10 cm. Et enfin pour mettre en valeur ma poitrine un top en laine et soie, ajusté comme une seconde peau avec un décolleté carré profond, laissant entrevoir mes charmes voluptueux. J'étais fin prête, quand Alain passa me prendre à mon hôtel, pour nous rendre au restaurant dans sa voiture.

Le diner fut magique, le chef était remarquable, et le champagne, plus le vin me rendait d'humeur coquine. Nous étions entrain de finir notre dessert, quand le téléphone d'Alain vibra. Il ouvrit son message, me regarda en changeant de couleur.

- Patricia, je crois que nous avons un problème, regarde ce que je viens de recevoir.

Il me tendit son téléphone, sur lequel s'affichait une photo très distincte de moi dans le parking ce matin agenouillait devant Alain, entrain de lui pratiquer une fellation. Je vacillais et changeait de couleur, tout en balbutiant des mots inaudibles, je ne comprenais pas la situation...

- Mais qu'est ce que ca veut dire, je ne comprends pas... Alain explique moi ????
- Je pense qu'on s'est fait surprendre ce matin, le message dit qu'on doit se rendre au Campanile de Purpan, chambre 32, et alors on pourra récupérer la vidéo.
- Parce que en plus il y a une vidéo????, Tu sais qui c'est ? Qu'est ce qu'on fait??? Si cette vidéo sort je suis foutue, mon mari ne me le pardonnera jamais!!!!
- Je crois que ca doit être Rachid, c'est le seul assez culotté pour faire un truc comme ça, écoute on va y aller, on va lui donner un peu de fric, on récupère ensuite la vidéo, et tout rentrera dans l'ordre, fais moi confiance ma chérie....
- J'ai pas trop le choix de toute façon, tu m'as mis dans une belle merde en tout cas, tu dois m'aider à en sortir... Tu penses que combien d'argent vont suffire ???
- Allons lui demander, et si il est trop gourmand, je lui casse la gueule !!!!

Nous quittons le restaurant, pour se rendre à l'hôtel, une fois sur place, nous trouvons la chambre, et toquons à la porte, puis entrons dans la chambre... La pièce est sombre et petite, une chaise sur le coté un homme au fond dont on distingue la silhouette..."Entrez et fermez la porte....". Nous nous exécutons, Alain devant et moi derrière. La télé se met en marche, et nous découvrons la vidéo qui tourne en boucle. Moi à genoux entrain de sucer Alain, pendant qu'il me tient par les cheveux...

- J'ai tout filmé,, jusqu'au bouquet final... T'a vérifié si elle a bien encore le sperme dans les cheveux ??? En tout cas, Mme Patricia, tu devrais faire du cinéma... Tu es très douée...
- Rachid c'est toi ? dis Alain- Oui c'est moi chef...Je vois que tu t'es bien amusé avec ta bourgeoise depuis 3 jours, je suppose que la pipe de ce matin c'était pas la première??? Tu l'as baisé combien de fois, et ce soir je suppose que vous aviez prévu votre petite soirée d'adieu??
- Que veux tu Rachid? on te file un peu de fric tu nous rends la vidéo, et on se barre, sinon on va tout dire au flic...
- Haaaa je crois que on n'est pas sur la même longueur d'onde, tout d'abord la vidéo est dans un mail prête à l'envoi, sur l'adresse ou on envoi les factures à la boite de ta bourgeoise, donc qui dit flic dit envoi de la vidéo... Secundo je veux pas d'argent, mais juste participer à votre petite soirée d'adieu, Apres tout y a pas de raison que je goute pas à ta bourgeoise, et apparemment elle a l'a pas l'air très farouche, donc ca devrait pas te déplaire ma belle Patricia, je peux t'appeler Patricia ca te dérange pas maintenant que j'en connais un peu plus sur ton tempérament...
- Non mais Alain, c'est hors de question, que ce pervers me touche, ca va pas je suis pas une pute non plus !!!!!
- Calme toi, ma chérie, je crois qu'il faut qu'on en parle tous les deux, Rachid on sort 5 mins et on revient OK, en attendant tu ne fais rien s'il te plait...

Une fois dehors je reprenais mon souffle, j'étais mortifiée, honteuse, désespérée, ne sachant plus quoi faire. Alain fut très tendre, m'expliquant, que nous n'avions pas trop le choix, et qu'il connaissait bien Rachid, qu'il tiendrait parole. On fond de moi je savais qu'il avait raison... Et puis ce n'était pas la première fois qu'on me forçait la main, mon neveu Sébastien, était plutôt accoutumé du fait... J'acceptais donc.

De retour dans la chambre, Ils se mirent d'accord pour savoir comment récupérer la vidéo après. Nous devions juste nous conformer aux ordres de Rachid, c'est lui qui allait dicter les règles. Pendant ce temps la télé continuait de fonctionner...

- Mets toi derrière elle, et caresse la debout, partout, je vous regarde....

Alain me plaça au milieu de la pièce, et se plaqua dans mon dos, m'agrippant les seins, les malaxant d'une main, pendant que l'autre main se dirigait vers mon entre jambe, afin de me caresser la chatte. Je me laissais faire, sentant au passage la verge d'Alain se gonfler contre mes fesses au travers de ma jupe. Il m'embrassait dans le coup, en même temps. Rachid se rapprochait et était tout contre moi, il empoigna une mèche de cheveux collée par le sperme d'Alain, que je n'avais pas nettoyé... Il sentit, le sperme d'Alain "Je vois que tu as respecté les consignes d'Alain, tu es une sacré salope pour être honnête avec toi...Venir au restaurant habillée comme une bourgeoise avec du foutre dans les cheveux, t'es quand même une sacré cochonne, mais t'inquiète on va bien s'occuper de toi maintenant". De son autre main Rachid me pelota mes seins en même temps qu'Alain, chacun le sien. Il baissa mon top afin de dégager ma poitrine de mon carcan de laine, les libérant de mon SG. Mes seins pendaient libres à l'air, empoignées par les mains calleuses de Rachid et d'Alain, pendant que Alain me caressait la chatte, et de son autre main Rachid m'avait saisi les fesses... Ils me pelotaient comme des animaux avec bestialité. Rachid se saisit de mes seins avec sa bouche, afin de me sucer les tétons, ce qui commençait à me faire de l'effet. Je réagissais enfin à leurs caresses ce qui n'échappa pas à Rachid et à Alain. "Assieds toi sur la chaise, tu vas me sucer... Toi Alain ouvre lui sa grande bouche pendant que je lui colle ma bitte dans la bouche".

J'étais donc maintenant assise, seins à l'air, pendant qu'Alain à mes cotés me tenait le visage avec une main sur le menton et l'autre sur la tête afin de me maintenir la bouche grande ouverte. Rachid sortit son sexe qui était immense et me le colla dans la bouche. Il sentait l'urine, c'était dégoutant, de savoir que ce rustre violait ma bouche de bourgeoise protégée uniquement par mon rouge à lèvre Dior qui m'avait couté une petite fortune. Je le suçais, avec application, pour ne pas déplaire à mon maitre chanteur, lui appliquant le même traitement que j'avais donné à Alain le matin. Alain ne tarda pas à me tendre son sexe également, surexcité de me regarder entrain de sucer un autre homme. J'alternais entre les deux queues de mes violeurs, qui commentaient ma performance pendant que je m'appliquais à les avoir en bouche. La vidéo continuait de tourner en boucle, je suçais deux hommes dans cette chambre minable, pendant qu'ils me regardaient à la télévision sucer Alain.... Comble de l'humiliation, ils décidèrent de me forcer la bouche de leur 2 sexes en même temps tout en me pinçant le nez. Alain avait complètement basculé et participait à mon viol, et je commençais à me demander si tout cela n'était pas qu'une mise en scène de sa part, pour me partager à 2. Après tout je lui avait avoué ce fantasme le premier jour de me faire prendre par 2 hommes....

La soirée fut très longue, ils me prirent ensuite sur le lit, relavant ma jupe, Rachid se maintenant derrière moi en, me prenant en levrette, pendant que Alain était devant moi me plaçant sa bite à nouveau dans la bouche. mes seins pendaient, alors que je subissais les assauts de Rachid qui me fessait le cul, à chaque mouvements de son bassin...

- Putain qu'elle salope, t'avait raison Alain, elle adore la bitte, elle me bouffe la queue avec ses fesses, c'est un vrai garage à bitte...
- Ouiiiiii, je savais qu'elle aimerait ça ma pute.... ce faire prendre par 2 males bien bâtis avec des grosses queues,, heinnn t'aime ça cochonne ???
- Alaaaaaaninnnnn, hummmmm hummmmm t'eeesss un salopppp.....tu abuuuuuuses hummmmmmm de moiaaaa...;
Je n'arrivais pas à parler avec son sexe dans ma bouche et le traitement que m'infligeait Rachid. Ils alternèrent la position, je chevauchais Alain sur lequel j'étais assise, et Rachid à nouveau devant moi avec son sexe dans ma bouche, en me tirant les cheveux pour que je m'applique. Les mains d'Alain étaient sur mes fesses, quand il me plaça un doigt dans mon anus...

- T'as aimé quand je t'ai doigté le cul, hier hein salope avoue le .... On va te prendre en double et c'est moi qui vais m'occuper te ton gros cul de bourgeoise...

Ils s'exécutèrent, Rachid s'assis sur la chaise, et me pris par devant, alors que je sentais le sexe d'Alain, se présenter à l'entrée de mon anus. Afin d'étouffer mes cris, Rachid me roula une pelle m'envahissant la bouche de sa langue. je ne pouvais plus rien faire si ce n'est que de gémir, sous la pression du sexe d'Alain, qui entrait en moi... Il m'encula... fort et longtemps pendant que Rachid me baisait. On bascula sur le lit à nouveau, ou ils me prirent à nouveau en sandwich. j'étais leur vulgaire poupée de chair, poupée de sexe, mon corps leur appartenait.

Je fus prise comme cela, pendant plus de deux heures, quand l'un se sentait partir, il s'arrêtait laissant l'autre me baisait, afin de faire durer leur plaisir le plus longtemps possible. Je jouie, une, deux, trois, quatre fois, je ne sais plus combien, plusieurs fois. Je me sentais partir, proche de l'évanouissement, ils m'utilisaient par tous les cotés, de toutes les façons possibles, par tous les trous... Leurs foutres se répandirent enfin sur mon corps, sur mes vêtements, ma bouche, mes seins, ils avaient décidés de m'en mettre partout de me recouvrir... J'étais enfin recouverte de sperme, anéantie, épuisée, ils m'avaient fait jouir comme personne... Je m'endormis...

Au réveil, Rachid avait disparu, Alain allongé à mes cotés me contemplait...

- J'espère que tu as aimé ma petite mise en scène, bien évidement la vidéo est détruite...

Nous, nous embrassâmes tendrement, Je prenais mon avion le lendemain et savions l'un et l'autre qu'il n'y aurait jamais de suite à notre histoire...

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Texte coquin : VISITE DE CHANTIER
Histoire sexe : Une rose rouge
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