Confessions coquines des copines de Cathy (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Confessions coquines des copines de Cathy (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Confessions coquines des copines de Cathy (2)
Moi, Cathy, la cinquantaine dynamique et érotique, je poursuis le récit des confessions des copines de mon âge, ou à peu près. A la suite de Gaby, Corinne et Mylène, j'en arrive à un duo, Muriel et Viviane, puis Coralie et enfin Sigrid qui m'ont raconté une de leurs aventures. Commençons par Muriel et Viviane. Naturistes toutes les deux, elles bronzaient sur leur plage habituelle quand elles virent arriver un garçon d'une trentaine d'années. Ecoutons-les.

MURIEL ET VIVIANE
" Ce jour là, il y avait pas mal de monde sur notre bout de plage réservée, commence Muriel. On avait repéré un jeune mec pas très bronzé, preuve qu'il n'était pas habitué des lieux (contrairement à nous), qui s'arrêtait auprès des rares femmes seules. Il leur adressait la parole et s'en allait. C'est justement ce qu'il venait de faire auprès d'une de nos voisines de sable, une nana à casquette à la peau couleur chocolat de la tête aux pieds. On était trop loin pour entendre.

- La fille l'avait écouté et dit quelques mots, poursuit Viviane, mais visiblement, il ne l'avait pas intéressée. Alors, il est venu vers nous. Il nous a salué, bonjour mesdames, comment allez-vous, profitez-vous bien de cette journée splendide, bla bla bla et il en arrive au fait : l'une de vous serait-elle intéressée à aller avec moi là derrière, sous les arbres, pour faire l'amour ? Avec Mumu, on s'est regardées, complètement interloquées.

- Vous vous rendez compte de ce que vous dîtes, je lui ai dit à ce con, poursuit Muriel. Vous nous prenez pour qui ? On a deux fois votre âge ou pas loin. Et le gars, sans se démonter, riposte : justement, c'est ce qui m'intéresse, les vraies femmes, celles qui savent vraiment faire l'amour. Allez, soyez sympa, vous ne le regretterez pas. Vous madame, vous êtes magnifique avec vos cheveux blonds sur votre peau bien bronzée, regardez, je commence déjà à bander. Effectivement, sa queue, qu'il avait longue, commençait à se redresser.

- Alors, je lui ai dit de se casser, continue Viviane. Foutez le camp, espèce de pervers. Il nous a saluées et il est parti sans demander son reste. Tu en penses quoi, Cathy ?
- Que vous avez bien fait. J'aurais agi pareil à votre place.
- Oui, mais c'est là que les choses se compliquent, réagit Muriel. On a suivi le gars des yeux en grognant sur son culot monstre et on l'a vu aborder un peu plus loin une autre femme seule, franchement pas terrible tellement elle était maigre.
- Tu exagères, elle n'était pas si mal que ça mais c'est vrai qu'elle était plus mince que nous, ricane Viviane.
- Bon, si tu veux, concède Muriel. Bref, le mec la baratine et là, ô surprise, la fille se lève, prend sa serviette et suit le mec derrière la petite dune. Tous deux disparaissent derrière les arbres. Et je dis : mince, il a réussi son coup. Il y a vraiment des salopes sur cette plage. Le temps passe et alors je dis à Viv : la vache, ça dure dis donc. Finalement, ils réapparaissent une bonne demi-heure plus tard. La fille se dandine, visiblement satisfaite, et quitte le mec en lui roulant une pelle. Le gars revient sur ses pas et nous fait un grand salut en passant devant nous et fait de même avec la fille à casquette. Oh le con, il nous provoque, je dis à Viv.

- Il avait la queue toute pendante, comme essorée, poursuit celle-ci. On était sciées. On est allé se baigner pour se calmer. Puis on a discuté. J'ai dit à Mumu : au fond, ce mec, il n'était pas pervers, il a joué carte sur table et il n'a pas craint de prendre plein de râteaux. C'était gonflé mais la preuve en est qu'il avait raison. Il a réussi son coup et la fille n'a pas eu l'air de s'en plaindre.
- J'ai même ajouté, continue Muriel, qu'on avait été un peu connes de l'envoyer chier. Après tout, ce n'est pas tous les jours qu'on peut s'envoyer en l'air avec un jeune gars fringant qui d'ailleurs n'était pas mal de sa personne. Et il devait être un sacré bon baiseur vu l'attitude de la fille à son égard. Perso, j'aime bien les queues longues comme la sienne, elles vont loin quand elles sont raides. Bref, on s'est échauffées mutuellement en se promettant de lui faire un meilleur accueil le lendemain s'il revenait.

- Et il est revenu ? demandé-je aux deux copines.
- Oui, mais plusieurs jours plus tard, répond Viviane alors qu'on pensait ne plus le revoir. Il était devenu tout bronzé. Il était allongé sur une serviette à quelques dizaines de mètres de nous. On s'est interrogées avec Muriel pour savoir si on l'abordait et qui de nous deux s'y collerait car il n'avait pas l'air de vouloir bouger. Il semblait même indifférent à ce qui se passait autour de lui. J'ai pris mon courage à deux mains et je suis allée le trouver et j'ai un peu bafouillé quelque chose du genre : bonjour, ça vous dirait d'aller avec moi ou ma copine dans le petit bois derrière ? Et là, tu sais Cathy ce qu'il me répond ? Pourquoi voulez-vous que je paye une pute alors que plein de femmes sont prêtes à se faire sauter ici gratuitement ? Au-revoir. J'ai cru que je m'enfonçais dans le sable. Je n'ai même pas pensé à le gifler. Je suis revenue à moitié assommée vers Mumu qui, quand elle a entendu ça, a voulu aller le piétiner, mais je l'ai retenue. On n'était pas en position de force, faut dire. Du coup, on a pris nos serviettes et on est parties, complètement dégoûtées. Voilà l'histoire, Cathy.
- Eh ben, il vous a bien eues, le mec. Et vous l'avez revu ?
- Non jamais, heureusement, répond Muriel, mais dans cette affaire, le con, ce n'était pas lui. Les connes, c'étaient nous, à double titre. Non seulement on n'avait pas baisé mais en plus, on passait pour des putes.
- Au moins, vous n'aurez pas eu à vous disputer pour savoir laquelle des deux allait se faire sauter derrière la plage, conclus-je, déclenchant enfin un éclat de rire de mes deux copines.

CORALIE
Je vais maintenant vous parler de Coralie, une autre copine. C'est une fille de ma boite, elle est assistante de direction. C'est le genre fille carrée et organisée avec des lunettes rectangulaires, sportive et déterminée, célibataire, très investie dans son boulot. Physiquement, elle n'est pas mal, pas un canon non plus parce qu'assez forte côté hanches et fesses, bref pas le genre de fille qui incite les hommes à penser au sexe d'emblée. Un jour qu'on était allé fumer dehors entre deux réunions, elle m'a fait cette confidence alors que je l'interrogeais sur les rapports avec son patron.

"Je te dirais que notre relation est particulière depuis un certain voyage que nous avons fait en Afrique pour consolider un marché. Il ne m'emmène pas tout le temps dans ce genre de déplacement mais là, il a voulu m'avoir à ses côtés et je ne voyais pas trop pourquoi parce qu'il est capable de se débrouiller sans moi. Il est vrai qu'étant célibataire, je suis plus libre et disponible que les femmes mariées de l'entreprise. Dans l'avion, il m'a expliquée qu'il comptait sur mon charme pour atténuer ses propres propos plus "économiques" face à des interlocuteurs africains sensibles à la présence de femmes blanches. J'ai commencé à me poser quelques questions mais j'ai acquiescé.

Dès la première réunion, j'ai bien vu en effet que ma présence provoquait une espèce de détente parmi nos interlocuteurs. Le patron m'avait demandé de m'habiller un peu sexy. Je m'étais mis une petite robe à épaulettes assez courte mais le patron m'a demandé d'enlever mon soutif. J'avais donc les nénés qui pointaient sous le tissus et je te prie de croire qu'ils ne passaient pas inaperçus auprès de nos deux interlocuteurs, le patron à âgé d'une cinquantaine d'années et son adjoint, un jeune gars de la trentaine, grand, sec, bien découplé, incontestablement beau, genre Omar Sy si tu vois.
- Oui, je vois, et je vois aussi où tu veux en venir.
- Attends, c'est pire que tu le crois. La réunion se passe plutôt bien et la signature du contrat est en bonne voie, mais nos hôtes veulent d'abord nous inviter à une soirée. Le patron me glisse à l'oreille : c'est vous qui avez le sort de ce contrat entre les mains, il va falloir payer de votre personne. C'est à dire ? je lui demande. Accepter leur compagnie, me répond-il. Dois-je comprendre que je dois me transformer en escort girl ? je lui réponds. C'est vous qui le dîtes, pas moi, mais sachez bien que si ce contrat est signé grâce à vous, je ne serai pas ingrat. Bref, je devais faire la pute pour ce fichu contrat. Tu imagines mon état d'esprit car si je refusais, je ne donnais pas cher de mon avenir dans la boite car les patrons ou les actionnaires me l'auraient fait payer.
- C'est dégueulasse ce qu'on t'a demandé.

- Vrai mais les choses se sont révélées un peu plus complexes. On s'est donc pointé à la soirée et le patron m'avait donné une autre robe qu'il avait sortie de je ne sais où. Elle était décolletée dans le dos jusqu'aux fesses et en V profond devant, plus une fente sur le côté jusqu'aux hanches. Jamais je n'avais porté un truc pareil. Bien entendu, à peine arrivée, j'ai été entourée d'une nuée de types. Mais l'objectif, c'était le patron et son adjoint. J'ai un peu picolé pour me donner du courage. Au bout d'un moment, je n'ai plus vu mon patron. Pffuit, disparu. Le businessman africain m'a entrainée dans une pièce à part et m'a tenu un langage auquel je ne m'attendais pas. En gros, vous êtes une femme très charmante, très séduisante, bla bla bla, mais je suis trop vieux pour vous plaire (c'est à dire me sauter). Par contre, mon vice-président Léopold aimerait bien vous tenir compagnie, mais en ma présence. Qu'en pensez-vous ?
- Et tu as répondu quoi ?
- Que voulais-tu que je dise ? J'ai dit oui. Il faut que je t'avoue que durant la soirée, ledit Léopold m'avait fait une cour assidue à laquelle je n'avais pas été insensible, l'alcool aidant. Il avait vraiment beaucoup de charme et l'idée de coucher avec lui ne me paraissait plus incongrue. Je n'avais jamais baisé avec un Noir et quelque part, c'était une curiosité pour moi. Bon, il y avait le problème de faire la pute mais j'étais en service commandé avec à la clé un avantage salarial et je ne suis pas très bien payée.

L'embêtant, c'était la présence du vieux. Bref, j'y suis allée quand même et on est entré dans une vaste chambre avec un lit immense et des miroirs partout, un vrai lupanar. Le vieux s'est assis dans un coin. Léopold m'a enlacée par derrière, a glissé les mains dans mon décolleté dorsal, m'a caressé les seins qui étaient devenus tout durs et là, j'ai craqué. Il faut dire qu'il avait attrapé ma main pour la mettre sur le devant de son pantalon et quand j'ai senti le volume à l'intérieur, j'ai senti une petite inondation envahir ma culotte. Boudiou le paquet ! Je m'y suis tellement attardée qu'il a déboutonné son pantalon et fait surgir son dard, vraiment colossal. Impossible de résister. Je ne sais pas si je te l'ai dit mais la nature m'a dotée d'un vagin assez large, ce qui fait que souvent, je ne me sens qu'incomplètement remplie. En deux mots, j'aime les grosses bites, qui sont plus rares qu'on ne le croit. Je me suis accroupie et je l'ai sucé avec voracité. Je ne me reconnaissais plus mais que c'était bon. Cinq minutes plus tard, j'étais complètement à poil sur le lit, sa tête entre mes cuisses pour un cunni de rêve. Jamais été léchée comme ça. Faut croire que les Noirs sont doués pour ça. C'est alors que j'ai vu le vieux dans le reflet d'un miroir qui se paluchait en nous regardant baiser. Cela m'a fait drôle mais j'ai pensé à mon patron et à ma prime.

- Mais as-tu pris ton plaisir au moins ?
- Franchement, oui. Léopold était un baiseur exceptionnel. Dès qu'il m'a pénétrée, j'ai oublié que j'étais en service commandé. Même la présence du vieux m'excitait, j'ai toujours été un peu exhib. Léopold avait une manière de tourner les hanches qui me rendait folle. Je me suis enroulée autour de lui pour profiter un max de sa bite qui me fouillait jusqu'au plus profond de mon intimité. On a changé plusieurs fois de position, je l'ai chevauché comme une dingue. A un moment, je me suis retrouvée la tête face à un miroir et je l'ai vu derrière moi qui me limait et ça m'a mis en transes. J'ai littéralement explosé et il s'est mis à jouir. Le vieux lui aussi à éjaculé, il s'était rapproché et j'ai senti mon sperme sur ma joue. Plus tard, Leopold m'a dit que j'étais le plus bon coup de femme blanche qu'il ait jamais rencontré. Honnêtement, ça flatte.
- Et ton augmentation de salaire, tu l'as eue ?
- Oui, et ça a fait des jaloux, tu te doutes bien. Certains ou plutôt certaines ont cru que j'avais couché avec le patron. J'ai eu beau démentir farouchement, rien n'y a fait. D'accord, j'ai couché mais pas avec lui.
Je suis partie d'un éclat de rire que Coralie a fini par suivre. Après tout, un tel dévouement pour son entreprise méritait bien une récompense, non ?

SIGRID
Je vais maintenant vous parler d'une autre copine, Sigrid. Elle est plus jeune que moi puisqu'elle a 40 ans. En fait, c'est une copine de ma jeune soeur, elles ont fait leurs études ensemble, mais elle est devenue responsable d'agence d'un important cabinet immobilier. J'ai eu affaire à elle pour une affaire personnelle et on a renoué nos relations. De temps en temps, on va prendre un pot ensemble. Elle attire les regards parce qu'elle est très bien foutue et porte souvent des robes courtes pour mettre ses jambes en valeur. Elle porte des cheveux châtains mi-longs. Son visage est assez dur mais c'est trompeur sur son tempérament. Voici ce qu'elle m'a raconté :
"Je me trouvais un jour à l'agence quand on a eu la visite pour une location d'un garçon qui nous a tout de suite frappées, ma collègue Bénédicte et moi. Ce n'est pas tous les jours qu'on est sollicitées par une gravure de mode. Imagine un mec d'1,90m environ, des épaules larges comme ça, un casque de cheveux blonds et des yeux émeraude. Le genre de gars sur lequel toutes les femmes se retournent, enfin celles qui aiment les hommes. Béné, qui est divorcée, s'est tout de suite positionnée, des lumières plein les yeux mais j'ai dit halte là, la patronne c'est moi et ce n'est pas parce que je suis mère de famille que je ne dois pas m'occuper d'un beau mec. En tout bien tout honneur évidemment. Et puis, le gars, il devait être en main, du moins je le croyais.

Car il nous annonce qu'il débarque en provenance de l'étranger et qu'il ne connait personne. Bénédicte piaffe, elle veut lui servir de guide mais je lui propose tout de suite plusieurs apparts à visiter. On se donne rendez-vous pour l'après-midi. On en visite un, deux, trois, mais ça ne va pas, il y a toujours quelque chose qui cloche. Je lui offre un coup à boire et on fait connaissance. C'est un plongeur en eau profonde, il a des tas d'histoires à raconter et je suis sous le charme. J'en rêve la nuit, j'ai chaud au bas-ventre, baiser avec un type pareil à 40 balais, je n'y crois pas mais je me sens prête à tromper mon mari si l'occasion se présente. On ne vit qu'une fois, non ?
- Cherche pas d'excuse. Continue, dis-je.

Le lendemain, rebelote pour les visites. J'ai mis une robe qui dévoile mon dos nu et je ne porte pas de soutif, ça ferait vilain, ça jurerait. D'autant que mes seins se tiennent très bien. On se retrouve dans un appart avec une grande baie vitrée et je veux lui faire admirer la vue. Il est derrière moi, je sens son souffle sur ma nuque, il m'enlace, m'empaume les seins, colle sa bite dont je sens la dureté contre le bas de mon dos. Tu n'es pas là, je lui dis.
Il poursuit sa caresse de mes seins puis me relève la robe, fais glisser son slip, me caresse les fesses. Tu n'es toujours pas là, je répète.
Je suis toujours face à la baie vitrée et lui dans mon dos, tout contre moi. Je sens qu'il baisse son pantalon. La chaleur de son dard me touche la raie des fesses. Je me cambre, écarte les jambes en prenant appui sur la baie vitrée et enfin, il me pénètre. Oui, tu es là, dis-je dans un souffle. Et on baise. Sauvagement, ardemment. Pas une minute je ne pense à mon mari. Je ne pense qu'à sa queue qui me remplit magnifiquement. L'appart est vide mais on baise à même le sol. On est maintenant à poil et je me régale de son corps splendide pendant que je le chevauche. Il est dur, endurant, tout pour le satisfaire. C'est drôle mais on visite l'appart tout en baisant : le salon, la chambre, la cuisine et même la salle de bains. C'est là qu'il veut me sodomiser car mon cul l'inspire. Je prends appui sur le bord de la baignoire et me cambre. J'ai un peu mal au début car il est gros d'excitation mais ça finit par rentrer et nos peaux claquent. Je le sens de plus en plus pointu, il va jouir, je me cambre davantage et je sens son sperme gicler sur mes fesses. Je n'ai qu'un pas à faire pour aller sous la douche car l'eau n'est pas coupée. Il me rejoint, on s'embrasse, on se caresse et on se quitte un peu plus tard en se donnant rendez-vous à l'agence pour signer le contrat.
- Voilà une location qui partait sous de bons auspices...
- Eh ben non justement. Il n'a pas pris l'appart et pire, il a signé chez un concurrent, le salaud. Il m'a baisée pour que dalle. J'étais folle de rage.
- Mais c'était quand même un beau mec, ne te plains pas.
- Oui c'est vrai mais tu me connais, chez moi, les affaires sont les affaires. Bon, à toi maintenant, tu n'as rien à me raconter de croustillant ?
Je répondis par la négative, à cette question que toutes les autres copines m'avaient aussi posées après leurs confidences. Mais je reconnais que j'en prends à mon aise. Alors, peut-être qu'un de ces jours, moi aussi, je vais vous raconter des choses...

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