les routiers (1er partie.)

- Par l'auteur HDS Bernard399 -
Récit érotique écrit par Bernard399 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : les routiers (1er partie.) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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les routiers (1er partie.)
Je revenais d’une soirée chez des amis, il faisait chaud, nous étions en plein mois d’août, j’étais très content de cette soirée, ambiance super, beau samedi soir.
Je me sentais détendu et le cœur léger.
Je roulais sur l’autoroute, j’avais pas mal de kilomètres à avaler avant de retrouver mon lit.
Je commençais, un peu à somnoler, j’ai décidé de faire un arrêt sur un parking, je croise un panneau qui indique une sortie parking dans 5 km. Prendre l’air me fera du bien.
Arrivé sur le parking, je me suis garé sur une place, non loin des emplacements camions, je suis allé prendre l’air quelques minutes, me détendre les jambes et vider ma vessie, je me suis dirigé en direction d’un petit bois pour me soulager, juste avant de finir d’uriner, j’ai été surpris par deux éclairs, étonné, je me suis retourné et j’ai constaté que c’était des appels de phares, j’étais proche d’un camion, j’ai vite terminé et me suis dirigé vers ma voiture, mais, pour cela je devais passer près du camion « lumineux ».
Honnêtement, je n’étais pas trop à mon aise, en passant devant la cabine, j’ai jeté un regard rapide vers la vitre, là, j’ai vu le chauffeur qui me matait, il avait la bouche ouverte et il effectuait un titillement rapide avec sa langue, en voyant cela, j’ai senti mon cœur s’accélérer et une excitation monter dans le bas ventre, il ouvrit la vitre et me dit « tu as un beau cul, mec » avec un sourire légèrement vicieux, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui réponds « merci chéri ».
C’est vrai dans mon jeans serrant, j'avais le cul bien dessiné.
Il a ouvert sa portière et est descendu du camion, il était assez gros et environ 50ans, et il me dit « je suis sur que tu es une salope » j’avoue que j’ai aimé ce mot sorti de la bouche de cet inconnu, il s’est approché de moi, il a mis une main derrière ma tête pour me tirer à lui, il m’a directement embrassé à plein bouche, l’autre main palpait déjà mon entrecuisses, tout en gardant fermement ma tête de sa main épaisse, il me dit « à genoux et pompe moi »
J’ai obéis, j’ai dégrafé sa braguette, j’ai remarqué de suite l’énorme bosse qui déformait son froc, son pantalon a glissé, il a dis « vas-y ».
J’ai pris des deux mains au niveau de ses hanches son slip tendu, j’ai descendu le tissu pour libérer la « bête », j’ai directement senti son odeur de mâle, malgré ma peur, mon envie grandissait, devant moi une bite de gros calibre se dresse, je passe directement un coup de langue dessus, un « oui » sors de sa bouche, sa main a maintenant attrapé mes cheveux, je sens qu’il pousse ma tête vers son membre dressé, je prends d’une main la bite humide, je commence à le branler, après quelques mouvements de va et vient, j’approche ma bouche et je gobe son gland à pleine bouche, un gémissement de plaisir sors de la bouche du mâle en rut, de mon autre main, je malaxe ses couilles, je dois dire qu’il a une belle paire, elles sont bien lourdes, je me dis « il est bien monté ».
Il commence des mouvements de hanches, sa queue s’enfonce plus loin dans ma bouche, j’apprécie énormément, il me dit dans un râle « tu suces bien, tu as l’air d’aimer ? » j’arrête un instant et lui réponds « oui, j’aime les mecs à poil » je sens que ma réponse la chauffé encore plus, son rythme de hanche devient plus fort, il dit « attends-tu vas être servi ».
Il me dit, en retirant son pieu de ma bouche « monte dans la cabine » surpris par sa réaction, mais de plus en plus chaud je m’exécute, je passe devant lui, il me pelote le cul pendant que je grimpe dans la cabine, je prends place sur le siège passager, lui derrière le volant, il me demande directement de continuer à le sucé, il à l’air d’apprécier ma pipe gourmande le coquin.
Je m’exécute avec plaisir, une si belle bite, je me penche entre ses cuisses et retrouve son gland violacé.
Pendant que je suce, J’entends qu’il prend sa radio et dis « les gars j’ai trouvé une bonne salope qui aime la bite ». Là, j’ai compris que cela allais être ma fête, je nageais en plein bonheur, je m’activais encore plus goulûment sur le membre, je pense qu’il a compris que j’allais aimer ce qu’il avait en tête car il a de nouveau émis un gémissement de satisfaction, les réactions de l’annonce ne se sont pas fait attendre, plusieurs appels sont arrivés sur les ondes. Il a parlé à plusieurs routiers, il semblait les connaître, il a expliqué le lieu ou nous étions, il me dit « tu va te régaler ». il a enlevé son t-shirt et virer son froc, il faisait de plus en plus chaud dans la cabine, un routier a poil dans son camion, mon rêve. Il était bien poilu, il ne faisait rien, juste apprécier ma pipe et il caressait ma tête, j’étais toujours habillé. Pourtant j’avais terriblement envie d’être, moi aussi, a poil.
Quelque temps plus tard, j’ai entendu des camions qui arrivaient, des portières claquèrent dans la nuit et j’ai entendu des pas se diriger vers nous, la portière du chauffeur s‘est ouverte, des hommes étaient arrivés, j’avais toujours la tête entre les cuisses du chauffeur.
Les arrivants ont dit « alors, Émile, elle est où cette pétasse » j’ai devinez qu’ils parlaient de moi, là, j’ai commencé a débandé, la peur sans doute, mais je sentais au fond de moi, naître une énorme envie.
Emile a répondu aux arrivants « cette salope me pompe, allons-y les gars, faisons-lui sa fête »


Ils ont ouvert la portière côté passager, j’ai senti des mains ferme m’empoigner par les jambes et me tirer vers l’extérieur j’ai entendu une voix qui a dit « viens par ici toi, il y a de la bite pour toi » une autre voix a dit « tu vas déguster salope » J’ai de nouveau apprécié au plus profond de moi les paroles crues de ces étrangers.
Dans la pénombre, j’ai vu qu’il y avait 4 nouveaux arrivant, oui, ils étaient 4 mâles en plus, ils me tenaient dans leurs bras, j’étais à l’horizontal à 1,50m du sol, j’étais à leur merci, je mouillais un maximum, Émile toujours nu les a rapidement rejoint et il dit « foutez-la à poil ».
Dans la même position, ils m’ont désapé rapidement, quand ils ont viré mon pantalon et mon slip, j’ai senti que ma bite a de nouveau commencé à gonfler.
Enfin, je me suis dis « je suis nu » j’aime être maté.
Emile a dit en regardant mon entrejambes « vous voyez les mecs, elle aime ça ! » il avait raison, le salaud, mentalement, je visualisais la scène, moi nu tenu par 5 mâles excités, quel bonheur !
Emile m’a demandé de me mettre en position que j’adore « à genoux », je n’ai pas hésité, un des mecs avait apporté une couverture qu’il avait étendue sur le sol entre les camions et comme Émile a dit « ma fête a commencé »…………….


Si vous avez aimé, je posterai la fin de l’histoire.

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