COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le journal (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le journal (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le journal (1/1)
• Qui est là à cette heure, si vous êtes un démarcheur, passez votre chemin, j’ai tout ce qu’il me faut.
• Madame Huguette, vous pouvez avoir confiance, c’est Luc, votre voisin, je vous apporte le journal.
• Luc, mais ta maman me l’a déjà donné hier en fin de matinée !
• C’est celui du jour, il arrive à 6 heures, papa va le chercher, prend un café et va le lire sur la terrasse, à 7 heures maman se lève, déjeune en le lisant, elle l’a terminé, je vous l’apporte.
• Merci Luc, mais moi aussi je me lève, je suis en peignoir et pas présentable.
• Je vois mes parents en peignoir tous les matins, j’ai l’habitude.
• Bon, je t’ouvre.

La porte s’ouvre, la clenche se commandant à distance, madame Huguette a toujours été pour moi notre voisine, son fils Adrien, un peu plus vieux que moi, a souhaité mettre cette sécurité avant de partir épouser Françoise sa fiancée.
J’étais invité à leur noce, elle était habillée tout en blanc, cela me faisait bander, j’ai dû me contenter d’une pignole dans mon lit le soir.

• Entre, Luc, aimes-tu le café, je viens de le faire passer !
• Oui, madame Huguette, j’en bois depuis peu et j’ai appris à aimer.
• Viens dans ma cuisine, regarde comme je suis attifée, j’aime être en tenue décontracté le matin, j’ai le temps, je commence mon travail à 14 heures au poste d’après-midi.
• Je le sais madame Huguette, vous êtes dans la même équipe que maman, papa voudrait qu’elle change d’horaire, mais l’argent supplémentaire que cela lui rapporte, est nécessaire surtout pour payer mes études.
• J’ai oublié de te féliciter, bravo pour ton bac.
• Avec mention « bien », j’ai loupé le « très bien » de deux points, mais aucun problème, je rentre en fac à Nice, je vais faire médecine.
• Mon fils aussi voulait faire médecine, il a fait sa première année, mais a dû reconnaître que c’était d’un niveau trop haut pour lui, il a fini par faire kiné, mais tu le sais, vous étiez copain.
Maintenant il est à Cannes avec Françoise sa femme, il travaille dans un cabinet, il pense devenir le patron dans quelques années, la femme qui l’a embauchée va prendre sa retraite, elle va lui vendre son affaire.
Quant à Françoise, elle reste à la maison, elle espère avoir son premier enfant le plus vite possible, elle veut pouponner jeune.

Françoise, rien que son nom me rende tout chose, c’était une copine d’enfance, elle aussi, elle a un an de plus que moi, je m’arrangeais pour aller chercher notre pain à la même heure qu’elle.
Quand j’ai appris qu’elle sortait avec Adrien et qu’ils allaient se marier, je suis devenu le plus malheureux des amoureux déçus.
Maintenant, depuis ce jour maléfique pour moi, c’est maman qui recommence à s’occuper du pain et je me pignole en pensant à elle.

• Tu as bien grandi Luc, beau comme tu es, tu dois faire des ravages !

Pauvre conne, je rêve de ta belle-fille, je suis toujours puceau, j’aurais pu lui dire ça, mais depuis quelques minutes, mon centre d’intérêt est ailleurs, son peignoir c’est un peu ouvert et sa poitrine m’apparaît jusqu’au début de sa vallée.
Je sens que cette vision me fait bander, je dois dire que si j’ai apporté le journal ce matin, c’est parce que je sais que Françoise vient l’aider certains jours et qu’il lui arrive de dormir chez sa belle-mère.
J’espérais qu’elle soit là, dommage, bien sûr, le journal, c’est un alibi, mais j’ai dit la vérité, maman venait de le finir quand je lui ai dit que je l’apportais à Huguette avant d’aller faire mon jogging.

• Madame Huguette, je peux vous demander un service !
• Quand tu étais petit, tu me disais Huguette, oublies madame.
• Huguette, j’ai un service à vous demander, votre vêtement, c’est ouvert et me montre le début de votre poitrine, j’aimerais la voir, vous seriez la première.
• Luc, mon petit, tu es puceau, dommage que je sois trop vieille pour toi !
• Non, Huguette, depuis que je suis en âge de bander, je pense à toi, ça doit être dur de vivre sans homme depuis le décès de ton mari.
• C’est loin d’être facile tous les jours, viens là contre ma poitrine, j’ignore si tu te masturbes, je le fais de temps en temps, quand mon intimité me travaille.
Je dois t’avouer qu’en ce moment, je suis un peu chamboulé, caresse-moi les seins.

J’ai suivi son conseil, elle est debout près de moi, je me précipite dans ses bras, baiser la voisine, copine de ma mère, c’est un bon plan pour se faire dépuceler, le journal, bien sûr, m’a servi de prétexte.
Faute de grive, on mange des merles, faute des seins de Françoise, je me rattrape sur ceux d’Huguette les prenant dans ma bouche.
Elle a tout ce qu’il faut de la femme mûre, qui est faite pour être cueillie, elle est encore bandante à presque 50 ans, sa poitrine commence un peu à se flétrir, c’est loin d’être disgracieux surtout qu’avant qu’elle ait le temps de réagir, je défais sa ceinture.
Mince, elle est pudique, se balader la chatte à l’air le matin, doit passer au-dessus d’elle, qu’importe, ma main se glisse entre tissus et chaires, sa toison est à moi, elle est du genre à la garder.
C’est le moment où elle cède, descendant lentement le long de mon corps, ses mains au passage descendent mon pantalon de survêtement faisant sortir ma queue, qui pour la première fois se retrouve dans sa bouche.
Ses mains l’ayant accompagnée vers le sol se retrouvent l’une sur ma hampe l’autre sur mes testicules.
Je dois faire un effort surhumain pour garder mon sperme en moi, j’y arrive, il me faut prendre une initiative, j’aurais le temps de me faire pomper dans les temps futurs.
Mon plan réussissant, je compte bien revenir tous les matins dans les jours prochains, même si cela m’oblige à me lever de bonne heure pendant mes vacances avant la fac.
Je veux garder mon avantage, je sais que sa chambre est à l’étage, si je l’entraîne, elle risque de reprendre pied, je descends sa culotte, je lui passe derrière elle, j’écarte ses jambes, elle s’appuie sur sa table.
C’est bon d’entrer dans une chatte bien baveuse, je glisse en elle d’une seule poussée, c’est fait, j’ai perdu mon pucelage, je suis un homme, je suis l’homme.
Quand j’entends sa gorge émettre des sons rauques, je sais que c’est dans la poche ; je peux prendre le risque.

• Viens à l’étage !

Je lui prends la main, elle ôte son pied de sa culotte qui traîne au sol et me suis, arrivé dans sa chambre, le lit est déjà fait, peu importe, je la renverse sans ménagement, ma bouche venant lui sucer le clitoris.

• Luc, c’est bon, tu es le premier à me sucer la chatte, mon mari me le refusait, oh ! tu es fou, nous sommes fous, je suis folle, mais continue.

Je baise Huguette tous les matins depuis 15 jours, je l’enculerais bien, beaucoup de copains en parlent, mais je suis respectueux de son âge et du cadeau qu’elle m’a fait, si ça doit se faire cela viendra naturellement.
Ce matin, mon journal en main, je sonne.

• Qui est là, que voulez-vous, si vous êtes un colporteur, passez votre chemin, j’ai tout ce qu’il me faut.

C’est la voix de Françoise qui me répond, elle est là, hélas, si Huguette est avec elle, impossible de baiser l’une devant l’autre, ce matin je vais faire un noeud à mon mouchoir, pardon à ma bite.

• C’est Luc, ton copain, je viens apporter le journal à ta belle-mère.
• Luc, je suis content de t’entendre, ma belle-mère est partie avec mon mari voire une amie à l’hôpital, je t’ouvre, je suis en peignoir, tu excuseras ma tenue négligée.

Qui peut dire que dans ma vie, je manque de chance, je pousse la porte, le loup entre dans la place, comme Huguette, met-elle une culotte sous son peignoir.

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