Muriel m’emmène dans un club libertin

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Muriel m’emmène dans un club libertin Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Muriel m’emmène dans un club libertin
Je crois que maintenant je n’ai plus besoin de vous présentez ma copine Muriel la bruxelloise. A chaque fois que nous nous voyons je me demande quelle surprise elle peut me réserver, mais jusqu’à présent je n’ai jamais été déçu.

Cette fois je n’ai que 2 jours de travail à Bruxelles mais je les ai placé jeudi et vendredi afin de profiter avec elle du week end. Comme d’habitude le soir où j’arrive nous baisons comme des bêtes et ce soir là on l’a fait deux fois, ce qui n’est pas si rare. En fait le seul ciment de notre « couple » c’est le sexe.

Une fois au lit, elle me demande vers quelle heure je finis le lendemain. Franchement je sais rarement combien de temps peuvent durer mes rendez vous mais vu que je commence le dernier à 14h, je ne vais pas rentrer très tard. Même si je sais qu’il y a très peu de chance qu’elle me réponde je lui demande ce qu’elle nous réserve et là je suis sur le cul quand elle me dit:« Un club libertin! »
Ca s’appelle le « Val d’amour », elle a déjà été plusieurs fois. Elle m’explique qu’il y’a que deux règles:1- On y va pour s’amuser2- Avant de faire quoi que ce soit avec qui que ce soit il faut que l’autre soit d’accord.
J’accepte avec plaisir et rien que d’y penser ça m’excite tellement que je la fait grimper sur moi pour qu’elle me chauffe comme elle sait si bien le faire.

Le vendredi, je ne finis qu’à 19H30 mais ce n’est pas un souci puisque le club n’ouvre pas avant 22h alors on a le temps de diner tranquillement et de nous préparer avant de rejoindre la boite qui est en plein coeur de la ville.

Je suis pas mal excité à l’idée de la soirée, je n’arrête d’embrasser et de caresser Muriel mais à chaque fois elle me rejette car elle préfère se réserver pour ce soir, en plus au réveil on a déjà fait l’amour… Je suis un peu déçu mais je sais que je vais me rattraper…
C’est marrant mais quand je pense à la soirée je ne fantasme pas de me taper plein de petites nanas mais j’ai surtout envie de voir Muriel se faire baiser par d’autres mais bien sur moi aussi. J’ai bien aussi le côté exhibe. Je verrai bien comment la soirée va tourner.

Nous arrivons devant le club à 22H40, je paye l’entrée couple et nous passons le rideau rouge opaque. Nous déboulons sur un bar entouré par plusieurs table et de l’autre côté une piste de danse, ornée de plusieurs miroirs, qui doit faire plus de la moitié de la pièce. Le club est loin d’être bonder, dommage!

Elle continue de me faire visiter et nous passons par un vestiaire, ce soir la partie balnéo est ouverte alors nous nous déshabillons entièrement, je remarque que sa chatte est rasée de près ce qui n’était pas le cas ce matin et chacun de nous enfile un peignoir. Nous déboulons dans un long et large couloir avec des méridiennes un peu partout. Sur une d’entre elle une femme est allongée, elle suce une queue plutôt large mais assez courte pendant qu’un autre lui bouffe la chatte.

Muriel m’attrape par la main et me fait traverser le couloir. Je remarque que sur le côté gauche il y a pas mal de fenêtres à barreaux mais surtout de portes. Certaines sont fermées mais d’autres ouvertes, se sont de grandes pièces avec des lits ou des tables et une fenêtre qui donne sur la piste de danse (ca doit être l’autre côté des miroirs que j’avais vu).

Nous descendons quelques marches et on arrive dans une grande pièces avec beaucoup de grands canapés, certains sont même collés. Dans un coin de cette pièces il y a une femme qui est en train de se faire baiser en levrette (la chatte apparement) alors qu’elle suce une autre queue pendant qu’un homme assis en face d’eux se branle.

Dans un autre coin deux femmes, en 69, se bouffent la moule pendant que 2 hommes (peut être leurs partenaires), assis en face, se masturbent chacun de son côté en les regardant. Devant tout ces beaux spectacles je n’ai pas d’autres choix que de bander comme un fou. Ensuite nous nous dirigeons vers des portes battantes comme celles à l’entrée des saloons.

Nous arrivons dans une pièce avec des transats (là aussi certains sont collés), au milieu trône un jacuzzi surélevés et en me montrant une porte Muriel me dit que c’est un hammam. Il n’y a qu’un couple et un homme seul qui sont allongés sur les transats. Muriel retire son peignoir est rentre dans le jacuzzi, je la suis. Une fois à l’intérieur je me colle à un elle et nous commençons à nous tripoter, rapidement la femme se lève et vient nous rejoindre dans l’eau elle se colle à ma copine de l’autre côté.

Muriel se retourne vers l’inconnue et lui caresse les seins qui semblent lourds, la femme se penche et embrasse à pleine bouche ma copine que je ne savais pas bisexuelle. Les deux femmes font comme si je n’étais pas là, mis à part la main de Muriel qui continue de me branler. Quand elle aussi m’abandonne je vais de l’autre côté du jacuzzi pour les observer et me caresser sous l'eau. La main de la femme plonge entre les cuisses de Muriel qui du coup en fait autant.

Au bout de quelques minutes, le compagnon de madame vient s’assoir à côte de sa femme et lui caresse le dos et la nuque. Quelques instants après c’est au tour de l’homme seul de venir s’installer à côté de ma copine. Les bouches des deux femmes se dessoudent, je m’attends à ce que Muriel se tourne vers moi pour avoir mon aval mais en fait elle se lève et quitte l’eau.

La femme se tourne vers son mari et l’embrasse à pleine bouche alors que l’homme seul se colle à elle. Je me lève pour suivre ma nana, nous quittons la pièce et elle nous fait remonter jusqu’au bar ou elle nous commande 2 verres.

Je la laisse boire une première gorgée et je lui demande pourquoi elle est partie comme ça. Elle m’explique qu’elle connait le couple du bas et qu’elle a toujours trouvé le mari bizarre. Elle a souvent échanger des caresser avec la femme qu’elle trouve très douce et délicate mais elle ne supporte pas son mari, donc c’est bien comme ça que j’apprends qu’elle a aussi des relations avec les hommes alors que je ne lui ai jamais caché ma bisexualité. Quelques jours plus tard j’ai appris qu’une fois le mari a essayer de la sodomiser alors qu’elle lui avait dit non!

Une fois nos verres vidés Muriel m’entraine dans le grand couloir à la recherche d’une pièce de libre et qui nous donne envie. Nous avançons doucement et je nous arrête derrière une fenêtre à barreau dont la porte est fermée. A l’intérieur il y a une femme et 3 hommes, la femme se fait prendre en double alors que le troisième mec est assis entièrement habillé avec un verre de whisky à la main, il se caresse à travers le pantalon.

Nous les admirons un moment et nous passons notre chemin. Dans la salle suivante il y a 2 femmes et 3 hommes. Les dames sont allongées sur la table en 69 alors qu’un homme sodomise celle du dessus. Les deux autres hommes sont vers le canapé entièrement nus, un des deux est à 4 pattes et se fait sodomiser par l’autre.

Le caractère hors norme de cette semaine nous fait rester un peu plus longtemps à les regarder. Muriel à glisser sa main sous mon peignoir et me branle alors que je lui tripote les fesses. Un homme passe derrière nous et pose chacune de ses mains sur nos fesses. Au début je sursaute un peu mais je me laisse faire un moment avant de me retourner pour découvrir que c’est le mec que n’aime pas Muriel. Je lui demande de nous laisser tranquille alors il se dirige vers le bar et nous nous enfonçons encore plus loin dans le couloir.

Nous passons devant une pièce vide, dès qu’on a fini la visite approfondie j’amène Muriel dans cette salle. Il y a une croix de saint André, un sling et une table avec aux quatre coins une lanière en cuir.

Un peu plus loin il y a une autre salle d’occupée, un couple est déjà en train de mater par la fenêtre. Madame caresse les fesses de monsieur et vu le mouvement de la main sous le peignoir je pense même qu’elle le doigte. Nous nous plaçons à côté d’eux et reprenons nos caresses en voyant 2 femmes et un homme à l’intérieur.

Dans cette pièce il y a des chaines qui tombent du plafond, en dessous de la fenêtre qui donne sur la piste de danse il y a la même table que celle dans la salle que je nous convoite et une table gynécologique. Le trio est autour de cette table mais c’est monsieur qui est allongé dessus, il a les pieds et les mains attachés. Une des deux femmes et assise sur son visage et se fait déguster la chatte et le petit trou, elle a l’air de prendre beaucoup de plaisir.

L’homme a les jambes dans les étriers ses cuisses sont grandes ouvertes. L’autre femme est harnachée d’un gode ceinture et se défoule dans les entrailles de l’homme. C’est marrant que nous assistions ensemble à cette semaine vu que Muriel est la première femme à m’avoir sodomisé (voir « La première fois que je me suis fait prendre par une femme »). Maintenant je suis sur que la femme à ma droite doigte son mari parce qu’elle vient de poser son autre main sur mes fesses et s’approche de mon petit trou.

Je préviens discrètement Muriel de ce qu’il se passe, elle se penche un peu pour regarder et me branle plus énergiquement. J’ai pas envie de jouir de cette façon alors je dégage les deux mains qui sont sur mon corps et j’entraine ma copine dans la salle que j’avais vu juste avant. C’est dommage parce que la seconde femme, celle qui se faisait manger les trous, vient de s’empaler sur la bite raide de l’homme.

Je verrouille la porte et pousse Muriel vers la croix de saint André. Je lui retire son peignoir, je lui écarte les jambes avec mon pied et d’elle même elle lève les bras vers les attaches du haut. Pendant que j’enferme ses poignet je soulève mon genou droit pour caresser son entrejambe que je sens déjà trempé. Quand je me baisse pour attacher ses pieds je la caresse avec mon épaule, Muriel gémit de plus en plus.

Une fois qu’elle ne peut plus bouger, j’enlève aussi mon peignoir et je frotte mon corps contre le mien. Je descends ma main vers sa grotte et je passe d’abord mon doigts sur ses grandes lèvres qui dégoulinent déjà. Puis je remonte sur son clito qui est bien gonflé et je le pince entre 2 doigts. Une fois que je la sens bien chaude, vu que je suis tendu au maximum, je caresse maintenant ma bite contre son sexe.

Je jette un coup d’oeil dans la pièce pour voir s’il y a du matériel mais rien, en scrutant la pièce je remarque qu’il y a au moins 3 personnes derrière les barreaux qui nous matte, j’ai l’impression de reconnaitre le couple avec qui nous étions en train de mater plus tôt. L’idée de s’exhiber et en plus de donner du plaisir à nos voyeurs m’excite encore plus.

Je m’agenouille devant Muriel et je passe ma langue sur ses grandes lèvres à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’elle s’ouvre. Ensuite je titille ses petits lèvres, son corps s’agite mais elle est réfrénée par les liens qui la maintienne contre la croix.

J’ai envie d’encore plus l’approcher de l’orgasme alors je remonte ma langue vers son clito que je lèche d’abord comme une glace. J’introduis 2 doigts dans sa grotte inondée et j’aspire son petit bouton entre mes lèvres ce qui l’a fait immédiatement décoller alors je calme l’ardeur de ma bouche et je redescend vers ses lèvres intimes.

Je laisse mon index et mon majeur en elle et je vais mordiller son clito, à peine 2 minutes après je sens son sexe se contracter autour de mes doigts. Même si je ne voulais pas qu’elle jouisse maintenant, je dévergonde encore plus ma bouche et ma main du coup je sens sa cyprine couler jusqu’à mon coude. Je suis le seule à constater son plaisir par sa moiteur mais nos voyeurs profitent de ses cris de jouissance.

Je retire mes doigts doucement mais je continue à la lécher encore un peu. Quand je me relève et je mets mes doigts dans sa bouche pour qu’elle profite aussi de sa liqueur. Ensuite je la détache pour continuer nos ébats mais dans une position qui sera plus agréable pour nous deux.

Je la dirige vers la table, qui elle aussi est sous la fenêtre/miroir et donne sur la piste de danse. Même s’il n’y a pas beaucoup de monde à côté c’est étrange de baiser juste à côté de tout ce monde habillé qui ne se doute de rien. Muriel monte sur la table et s’allonge sur le ventre, j’attache ses pieds avec les lanières de cuir mais je lui laisse les mains libres.

Je lui présente ma queue à sucer et elle saute dessus pour la gober immédiatement. Il y a un peu plus de monde derrière les barreaux et ça m’excite encore plus. Avec ses mains libres ma nana me caresse les couilles mais aussi les fesses, quand sa main s’approche de mon petit trou je la retire, je n’ai pas envie de ça ce soir. J’attrape son visage entre mes mains et je lui baise la bouche pendant plusieurs minutes.

Quand je me retire de sa bouche, ma bite est recouverte de sa salive, je vais de l’autre côté de la table et sans que je n’ai rien à lui demander Muriel se met à 4 pattes avec toujours les chevilles attachées. Je passe mon index entre ses lèvres intimes et je lui titille la rondelle avec le pousse.

Même si je sens que son vagin est déjà bien ouvert, je continue à jouer avec mes doigts sur elle, je remonte même mon index jusqu’à son clito. Son corps se met à onduler et elle gémit de plus en plus. Je la laisse encore en profiter quelques minutes avant de l’attraper par la taille et je la fais se cambrer plus et reculer un peu.

Une fois qu’elle est en bonne position, je grimpe sur la table, je mets mes pieds au bord et je m’agenouille légèrement pour être à la même hauteur qu’elle. J’empoigne ma queue raide avec ma main gauche et je reprends mes caresses précédentes mais cette fois du bout du gland. Comme ma bite ne peut pas satisfaire ses deux trous en même temps je remets mon pouce sur sa rondelle et je reprends mes massages.

J’adore ce que je lui fais mais j’ai envie d’être en elle alors je m’enfonce d’un coup sec au plus profond de sa grotte, une fois que je suis bien calé j’enfonce tout doucement mon pouce dans ses entrailles qui rentre sans aucune difficulté. Quand mon doigt est entièrement rentré je le fais tourner dans ses entrailles tout en le laissant bien planté.

Je commence des vas et viens plutôt lents dans sa moule que je cale à la vitesse de mon doigt. J’accélère progressivement le rythme dans ses deux trous que j’essaye de synchroniser même si les mouvements ne sont pas les mêmes.

Je sens que son cul est ouvert et totalement détendu maintenant du coup je retire mon pouce que je remplace par mon majeur et mon index. Je décale les pénétrations, donc quand j’enfonce ma queue, gonflée de sang, dans sa grotte trempée je ressors mes doigts, sans totalement les retirer, d’entres ses belles fesses.

J’entends, derrière la fenêtre, un homme gémir de plus en plus fort. Je ne sais pas si c’est sa propre main qui lui donne du plaisir ou celle de quelqu’un d’autre mais vu ses cris il apprécie vraiment ça! Un autre bruit intervient mais lui est moins agréable parce que quelqu’un essaye d’ouvrir la porte mais je veux ce moment que pour nous deux alors je continue de baiser ma belle sans m’en préoccuper.

Je sens de plus en plus le plaisir monter en nous, je retire tout doucement mes doigts de son cul par contre je sors de son sexe beaucoup plus brutalement. J’empoigne de nouveau ma queue mais cette fois je pose mon gland sur sa petite rondelle. Je sens que Muriel pousse avec ses sphincters alors je fais rentrer tout doucement ma bite en elle.

Une fois que mon gland est passé, je m’immobilise pour la laisser s’habituer à ma présence bien que je visite régulièrement son cul, mais Muriel en veut toujours plus. Malgré les liens qui la retiennent à la table elle s’empale sur moi et pas si doucement.

Je n’ai plus besoin de faire quoi que ce soit puisque Muriel s’agite dans tous les sens et fait le boulot toute seule. Au bout de plusieurs allers retours, j’immobilise ma bruxelloise par la taille, je sors doucement de ses entrailles et je retourne me planter directement dans sa grotte d’un coup sec.

Après une quinzaine de vas et viens en elle, je sors de son sexe aussi franchement que j’en suis rentré. Avec mes mains j’écarte ses fesses, je pose mon gland entre elles et je lui donne une tape sur le derrière. Elle comprend mon message et se sodomise toute seule et brutalement.

Maintenant quand elle sent que je me retire c’est elle qui me présente son autre trou, je place mon gland comme il le faut et elle s’empale sur moi. Je suis de plus en plus proche de l’orgasme et j’ai l’impression qu’elle aussi. Je me plante dans son cul, je fais des petits mouvements secs en elle et je passe mes bras devant pour m’occuper de son clito en même temps.

Quand je sens qu’elle est au point de non retour je lui demande de remplacer ma main par la sienne. Elle se penche un peu plus pour être à l’aise et je lui démonte totalement le cul. Nos gémissements sont de plus en plus sonore, on peut même dire que Muriel crie.

Je sens ses sphincters se contracter autour de ma tige, je lui assène quelques fessées pour encore plus augmenter son plaisir. Derrière la fenêtre j’entends que d’autres personnes s’éclatent autant que nous. Je sens la main de Muriel arrêter ses mouvements.

Je n’arrive plus non plus à me retenir alors je décule et je glisse ma queue entre ses deux globes que je compresse entre mes mains et je me masturbe. Muriel continue d’onduler et de gémir, ma queue se contracter et se gonfle et je finis par lui arroser tout le dos. Au même moment j’entends quelqu’un d’autre jouir.

Une fois que nous reprenons nos esprits, je vais fermer le rideau de la fenêtre. Nous nous essuyons avec des serviettes en papier mis à disposition et nous enfilons nos peignoirs.

Muriel souhaite prendre un dernier verre avant de rentrer. Au bar, quelques personnes viennent nous voir pour nous remercier du spectacle ou même nous proposer un moment intime mais nous déclinons toutes les propositions et préférons rentrer.

Sur le chemin du retour elle me demande comment j’ai apprécié ce moment, je lui dit que j’ai adoré mais que j’aurai aimé la voir se faire prendre par d’autres hommes que moi. Nous convenons d’y retourner mais dans un autre club pour ne pas retomber sur des personnes qu’elle ne souhaite pas voir.

De retour à la maison elle s’écroule à moitié habillée, je finis de la mettre à poil, je l’installe comme il faut dans le lit et sur mon téléphone je cherche un autre club libertin car j’ai envie de continuer ce week end dans le même esprit.

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