La vie à la plantation (1)

- Par l'auteur HDS Coulybaca the big black cock 27cm -
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Récit libertin : La vie à la plantation (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La vie à la plantation (1)
Il est difficile de décrire à quel point notre maison de famille était magnifique. La maison de la plantation était vieille d'une centaine d'années et était immense. A ce jour, je ne connais toujours pas le nombre exact de pièces qu'elle comportait. Elle était toujours pleine de monde, de musique, de nourriture délicieuse et de tant de belles choses. Je me rappelle des arbres, du chèvrefeuille, et de la crique où j'allais me baigner quand il faisait trop chaud. C'était sincèrement une vie merveilleuse, si vous étiez blanc.

La Caroline du Sud était le cœur du Sud avant la guerre civile. Si vous étiez blanc et que vous aviez de l'argent, la vie dans une plantation était le paradis. J'avais de superbes chevaux à monter, l'océan à proximité, et des robes de tous les styles et de toutes les couleurs. La seule chose qui me manquait dans cette vie de rêve, était ma mère qui était morte en me mettant au monde.

Mon père était un homme fantastique. Il faisait tout ce qu'il pouvait pour que je ne manque de rien. Quand je n'étais qu'une enfant, je désirais rien d'autre que d'être aimée par mon papa. Il m'adorait et prenait grand soin de moi. En grandissant, mon opinion à son sujet évolua. Je compris ce qu'était un esclave et que nous en possédions beaucoup. Je fus troublée en me rendant compte que les gens qui s'occupaient si bien de moi n'étaient considérés que comme des meubles. Et pourtant, j'aimais sincèrement le personnel de la maison. Comme mon père voyageait beaucoup pour ses affaires, le personnel était responsable de mon éducation. J'eus des gouvernantes de temps en temps, mais papa, à un moment ou à un autre, essayait de coucher avec elles et provoquait ainsi leur départ.

La cuisinière était une vieille esclave noire, un peu forte qui me préparait des gâteaux quand papa était absent. Elle me traitait comme sa propre fille et je l'adorais pour ça.

Elle avait une fille de mon âge et nous passions tout notre temps ensemble, surtout quand papa était absent. Nous étions les meilleures amies du monde, et mon père détestait ça. Il voulait que je fasse la différence entre les esclaves noirs et nous. On m'enseignait que nous faisions partie de la race supérieure et que les noirs n'étaient bons qu'aux travaux des champs. J'étais autorisée à jouer avec Sarah uniquement quand nous n’accueillions aucun visiteur ou invité. En présence d'autres personnes blanches, j'étais censée traiter les noirs comme des bêtes. Je détestait faire ça, mais c'était la condition pour que papa me laisse m'amuser avec Sarah.

Les blancs étaient censés être supérieurs, il était interdit de fréquenter des noirs. Le fait d'avoir des relations amicales, ou des relations tout court, avec un noir était jugé comme un crime contre la RACE BLANCHE. Pour la personne qui était coupable d'un tel crime, la vie devenait un enfer. J'ai vu des amis intimes se fâcher, souvent se battre et parfois même se tuer pour de telles raisons. Et je ne parle pas de ce qui arrivait aux esclaves dans ces circonstances.

Ces règles tacites de comportement entre les deux communautés étaient suivies à la lettre. En public et pendant la journée seulement, car en privé et une fois la nuit tombée, les choses étaient bien différentes. La plupart des propriétaires se glissaient dans le lit de leurs esclaves femelles, y compris mon père. En l'absence de ma pauvre mère décédée, les seules relations qu'il avait étaient avec des esclaves qui travaillaient dans la plantation. Les femmes ne pouvaient ni se plaindre ni refuser quoi que ce soit. Les punitions appliquées aux esclaves étaient dissuasives. Je ne m'étais rendu compte de rien pendant mes années d'enfance insouciantes, mais je découvris plus tard cette situation. Plus d'une fois je surpris en entrant à l'improviste dans une pièce mon père se faisant pratiquer une fellation par une de nos esclaves. J'entendais également des gémissements provenir de sa chambre pendant la nuit.

Un homme blanc qui avait des relations sexuelles avec une noire n'était pas inquiété tant que cette relation restait privée. Après tout, Thomas Jefferson avait lui-même eu une maîtresse noire. En revanche, une femme blanche qui couchait avec un noir était traitée avec cruauté. Rien qu'à l'idée d'être trompé par un noir, les maris blancs devenaient fous. La punition était terrible. Je me souviens qu'une fois un mari avait découvert que sa femme le trompait avec plusieurs esclaves noirs. Il tenta de faire passer ça pour un viol, mais la vérité fuita. Pour la punir, son mari la fit parader dans toute la ville au bout de son fouet. Les autres femmes se chargèrent de lui raser la tête et elle dût quitter la ville sans rien d'autre que les vêtements qu'elle portait. Quant à ses amants noirs, ils furent émasculés avant d'être pendus au chêne centenaire de l'hôtel de ville.

Une autre règle tacite en vigueur dans le Sud voulait qu'un père trouve un mari à ses filles. La plupart du temps, les mariages étaient arrangés pour conclure des alliances commerciales. Dès que j'eus 17 ans, papa commença à me chercher des prétendants. Heureusement que j'avais Sarah à qui parler. Nous n'aurions pas pût être plus proches. Malgré les règles qui auraient dû nous séparer, nous adorions passer du temps ensemble. La vie au sein de la plantation était merveilleuse, mais je détestais ces règles raciales uniques.

Tout changea lors de mon 18ème anniversaire. Une grande fête fut organisée par mon père qui me réservait une surprise très spéciale. J'étais impatiente que la fête commence. Sarah m'avait également promis une surprise. Je n'ignorais pas qu'elle ne pourrait pas participer à la fête, et c'est pourquoi je me mis à sa recherche avant que les invités arrivent. Mais malgré mes efforts, ma recherche restait infructueuse.

Je m'arrêtai chez mon père dans l'intention de lui demander s'il avait vu Sarah. J'ouvris doucement la porte en entendant les échos qui résonnaient habituellement quand mon père se faisait faire une fellation. J'avais découvert ça quelques mois plus tôt. J'avais raison, ses mains tenaient la tête d'une noire qui serrait son sexe entre ses lèvres.

Je ne parvins d'abord pas à distinguer de qui il s'agissait, puis avec horreur je compris qu'il s'agissait de Sarah. Mon père lui enfonçait son sexe dans la gorge. Apparemment, ce n'était pas la première fois car elle semblait ne pas avoir de problème à faire glisser la totalité de son pénis dans sa gorge. Je le haï de faire ça à ma meilleure amie, mais je ne pus m'empêcher de continuer à regarder.

Il lui commanda de tout avaler, sous peine d'être punie. Elle obéit et avala tout.

Je compris qu'il était sur le point de jouir aux grognements qu'il poussa.

La fête d'anniversaire démarra tout de suite après. Il y avait un tas d'invités et de cadeaux. La nourriture était plus succulente que jamais et de l'avis général, la fête fût un grand succès. La nuit fut merveilleuse, mais je ne parvenais pas à chasser la vision de Sarah, les lèvres collées au pubis de mon père. Je continuais à voir les spasmes de son sexe à travers la gorge de Sarah alors qu'il éjaculait.

Vers la fin de la soirée, mon père demanda aux invités de se rassembler. Il voulait me faire SA surprise, et il voulait le faire au vu et au sus de tout le monde. Il me demanda de fermer les yeux et je sentis quelqu'un me prendre délicatement la main. En ouvrant les yeux, je découvris devant moi le visage d'un jeune homme à peine plus âgé que moi. Nous fûmes officiellement présentés l'un à l'autre et je compris que Josh allait devenir mon mari et qu'il s'agissait de la surprise de mon père, très fier de lui.

J'étais en état de choc. Je savais bien que ça arriverait un jour ou l'autre, mais je n'y étais pas préparée. Je restai sans voix et découvris que la date du mariage avait déjà été fixée. La famille de Josh possédait une flotte de navires et l'union de nos familles allait consolider la fortune de l'une et de l'autre. C'était un mariage d'affaires, ni plus ni moins.

Une semaine plus tard, j'étais mariée et j'allai vivre dans la maison de famille de Josh à Charleston. L'endroit était somptueux et j'eus droit à tous les égards. De plus Josh était bel homme et semblait très heureux de la transaction. Il me trouvait magnifique, mais malgré tout, ma maison me manquait.

J'étais arrivée vierge au mariage, et Josh me déflora dès la nuit de noces. J'avais déjà vu mon père se faire pratiquer des fellations et les étalons saillir des juments, aussi j'avais une bonne idée de ce qui m'attendait. J'aurais aimé écrire que ce fut merveilleux, magique et qu'une pluie d'étoiles avait remplit mes yeux, mais la réalité fut moins glorieuse. Ce fut un peu douloureux, Josh s'agita en grimaçant pendant quelques secondes et gicla quelques gouttes de sperme avant de s'endormir.

Josh me fit comprendre qu'il souhaitait une grande famille et qu'il voulait un premier enfant au plus vite. Ça se traduisit par des multiples saillies rapides le matin, l'après-midi et la nuit. La fréquence de nos rapports aurait dû me rendre heureuse, mais ils étaient si brefs que je ne parvenais pas à prendre le moindre plaisir. Josh était concentré sur son seul plaisir. Je ne pensais même pas à me plaindre car j'ignorais qu'il pouvait en être autrement. Je me contentais de faire ce qu'il attendait de moi.

Cela dura à peu près six mois. Josh commença à s'irriter en constatant que je ne tombais toujours pas enceinte. Cela semblait primordial à ses yeux et de ne pas réussir à m'engrosser le minait. Il décida de demander l'avis du corps médical, mais les connaissances de la médecine en ce domaine étaient très limitées.

A l'issue de l'examen, le docteur mit mon absence de fertilité sur le compte d'un accident de cheval quand j'avais dix ans. Il affirma que je ne serais jamais capable d'avoir d'enfants. Je pensai que ce docteur était un incapable et un charlatan, mais Josh ne fut pas de mon avis.

Le mariage fut annulé et je revins à la maison paternelle. Je pensai que mon père serait fâché de ce contrat de mariage cassé et de ses affaires qui risquaient d'en pâtir. Mais le partenariat entre les deux familles avaient déjà rapporté un tas d'argent, et malgré l'annulation du mariage, aucune des deux parties ne songea à rompre le contrat qui les liaient. De mon côté, j'étais ravie de rentrer à la maison.

J'étais partie depuis seulement six mois, mais beaucoup de choses avaient changé. Moi aussi j'avais changé. J'étais une femme désormais. Sarah avait changé aussi. Elle fut heureuse de me retrouver et nous reprîmes nos longues discussions. Mais je sentais qu'il y avait quelque chose dont elle ne voulait pas me parler. Je laissai dans un premier temps la confiance entre nous revenir. J'avais un tas de choses à lui dire, et il était évident qu'elle aussi. Au bout d'un certain temps, je la brusquai et lui intimai l'ordre de m'avouer ce qui la tracassait.

Dans la plupart des plantations, les esclaves étaient obligés de se mettre en couple et d'avoir des enfants pour former des familles. Les propriétaires profitaient de ce lien familial pour contrôler plus facilement la population esclave sans devoir recourir à la force.

Mon père avait pensé à un autre stratagème pour garantir la docilité des esclaves. Il estimait que le lien maternel retenait les femmes, mais pas les hommes. Il avait donc imaginé utiliser sexuellement les femelles pour retenir plus facilement les mâles et leur éviter de penser à l'évasion.

Mon père avait donc organisé un élevage de nègres. Chaque esclave femelle était visitée par plusieurs mâles chaque nuit. Dans l'obscurité, aucune des esclaves ne pouvait savoir avec qui elle couchait. Ce n'était ni plus ni moins qu'une ferme de reproduction comme s'il s'était agi de porcs. Certains mâles avaient été sélectionnés pour leurs qualités de reproducteurs afin de féconder les femmes. Sarah, comme la plupart des autres femmes noires de la plantation, était l'objet de ces visites nocturnes.

J'avais enfin réussi à la faire parler. Mais je savais que je ne pouvais rien faire. Alors que j'imaginais que c'était pour ces vols nocturnes que Sarah était restée sur la réserve depuis mon retour, elle m'expliqua qu'elle était soucieuse parce qu'elle ne voulait pas tomber enceinte. Elle me dit que sexuellement c'était génial et qu'elle attendait chaque nuit avec impatience. Elle recevait la visite de plusieurs étalons qui couchaient avec elle l'un après l'autre et qui lui procuraient un tas d'orgasmes. Le plaisir qu'elle en tirait était encore plus fort que ce qu'on lui avait dit. Je ne savais pas ce qu'était un orgasme. Personne ne m'en avait jamais parlé avant. D'ailleurs je n'avais jamais parlé des plaisirs sexuels avec personne.

J'avouai alors mon ignorance à Sarah. Elle voulut savoir si j'avais pris du plaisir dans mes rapports avec Josh, et je finis par lui dire que je n'en savais rien. Elle fut surprise d'apprendre que je n'avais jamais eu d'orgasme malgré des rapports conjugaux si fréquents. Désormais la glace était rompue et nous nous racontâmes nos vies. Je fus étonnée de sentir un peu de jalousie naître en moi en l'entendant raconter ses exploits sexuels. Je savais qu'il serait difficile de me trouver un mari maintenant qu'il était de notoriété publique que je ne pouvais pas avoir d'enfant. Et à moins de me comporter comme une putain, trouver quelqu'un capable de me procurer un orgasme n'allait pas être facile.

Sarah était peut être une esclave, ça ne l'empêchait pas d'être très intelligente. Plus jeune, je lui avais appris à lire et à écrire malgré l'interdiction de mon père, et elle avait très facilement acquis les rudiments de la lecture et de l'écriture. Elle comprit parfaitement ma situation et à son sourire je compris rapidement qu'elle avait une idée en tête. Je n'eus pas à la pousser beaucoup pour qu'elle m'avoue ce à quoi elle pensait. Sarah pouvait être très futée quand elle le voulait.

« Viens dans ma case ce soir avant la nuit. Elle est située derrière la grange. J'ai une idée pour que tu saches ce que c'est un orgasme. »
Et avant que je réponde...

« Tu pourrais prendre ma place si tu veux. La nuit il fait noir comme dans un four. Personne ne verra la différence. »
Je savais ce qui m'attendait si jamais j'étais découverte sous un esclave noir.

« T'as pas grand chose à craindre, et puis je serai là. Je resterai dans un coin sombre de la case. »
« Oh ! Je ne sais pas si j'oserais faire ça. »
« Écoute, viens quand même. T'auras qu'à te mettre dans un coin pour regarder et écouter. Et si ça te chante, on pourra échanger nos places plus tard. »
J'étais curieuse et un peu excitée, aussi lui dis-je.

« Je viendrai après le souper. »
Ensuite, puis Sarah me laissa et retourna à son labeur.

Je trouvai des choses à faire pendant le reste de la journée, mais je n'arrêtai pas de penser à la nuit à venir. Ma chatte était trempée et je regrettai de ne plus avoir de mari.

Je commençai à m'imaginer dans les bras d'un esclave, et d'avoir des rapports avec un noir. De toutes les blanches que je connaissais, j'étais sans aucun doute la plus ouverte.

Je n'avais jamais eu de problème avec les esclaves, et je haïssais la façon avec laquelle ils étaient traités. Mais je ne savais pas si j'étais capable d'aller jusqu'à coucher avec un noir.

Tout ce que je pouvais faire, c'était d'y aller pas à pas et je commençai à me caresser en les regardant.

J'arrivai dans la case de Sarah juste avant la nuit. Elle me fit entrer et me dis de me cacher dans le coin le plus sombre de la pièce. Elle dit que la seule lumière venait de la lune par la fenêtre et que dans le coin j'étais invisible.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Sarah éteignit la lanterne et s'allongea sur le lit. Sans pudeur, elle s'était mise nue car connaissant ce qui allait lui arriver, elle ne voulait pas risquer d'abîmer sa chemise de nuit. Je dois avouer que j'étais terriblement excitée.

Nous attendîmes seulement quelques minutes avant d'entendre quelqu'un frapper à la porte. Sarah ne répondit pas. Le visiteur nocturne ouvrit la porte et entra dans la case avant de s'approcher du lit. Il se débarrassa rapidement de ses frusques et s'approcha lentement du lit où se trouvait Sarah.

Pendant une seconde, un rayon de lune me dévoila le corps nu de l'homme, et principalement son sexe. Je n'aurais jamais imaginé que ça pouvait être si gros. Je compris pourquoi Sarah appelait ça une queue. Ça n'avait rien à voir avec le pénis des blancs, comme celui de mon mari par exemple.

J'ignore quelle taille faisait ce pénis, mais il était au moins trois fois plus long que celui de mon ancien mari et aussi épais que mon avant-bras. En montant sur le lit, l'inconnu se positionna immédiatement entre les cuisses de Sarah. Je l'entendis gémir quand il trouva l'entrée de sa chatte et la pénétra.

Ça n'était certainement pas la première fois qu'elle subissait ce type d'assaut car l'homme s'enfonça dans le ventre de Sarah d'un seul coup de rein. Il se mit à aller et venir brutalement dans le vagin sans manifester la moindre tendresse, de passion ou d'amour. Ça n'était que du sexe brut, animal, bestial, mais la puissance de cette scène resta gravée dans ma tête.

Pendant un moment je n'entendis que le claquement des chairs qui se rencontraient. Sarah se mit à gémir comme une folle sous les coups de boutoirs de l'homme. Cette copulation bestiale, il n'y avait pas d'autre mot pour ça, la mettait dans tous ses états. Elle adorait chaque minute, chaque seconde de ce coït. Elle commença à hurler de plaisir encore et encore. C'est ce qu'elle devait appeler un orgasme.

Le coït s'acheva aussi brutalement qu'il avait commencé. Le noir se mit à grogner, se tendit comme un arc et resta planté dans Sarah, secoué de soubresauts. Et puis ce fut terminé.

Je pensais que c'était fini, mais j'avais tort. La porte s'ouvrit à nouveau et un autre homme entra dans la case. Il était déjà nu, monta sur le lit et se positionna entre les jambes de Sarah.

Lui aussi s'enfonça dans Sarah sans coup férir. Il fit plus de bruit que le premier homme. Mais sinon, tout se déroula de la même manière. Il pilonna sans relâche Sarah pendant plusieurs minutes en la faisant gueuler de plaisir. Au bout de ce qui me sembla une éternité, il éjacula sa semence dans le ventre de Sarah, et ce fut finit.

J'aurais voulu me lever et m'enfuir, mais un troisième homme entra dans la pièce avant que je me décide. Je fus obligée de rester dans mon coin et d'assister à cette nouvelle copulation sauvage. L'homme baisa Sarah avec une telle force que je crois n'avoir jamais entendu quelqu'un crier aussi fort de plaisir. Dès qu'il eut éjaculé, il sortit et fut remplacé par un autre noir qui fit jouir Sarah deux fois. Le premier homme revint et baisa une nouvelle fois Sarah.

C'était enfin fini, et en partant, je dis à Sarah qu'il faudrait que nous parlions de ça le lendemain.

Je ne parvins pas à trouver le sommeil. Les images se bousculaient.

Je ne m'étais jamais caressée avant, mais cette nuit-là, ma main trouva le chemin de mon sexe.

Et je pense bien que ce fut ainsi que je connus le premier orgasme de ma vie.

Ensuite je m'endormis profondément.

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