chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1215)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1215) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1215)
chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1215) -
Quand Il eut fini Sa phrase, Il prit de Sa bouche possession de la mienne m’embrassant, me mordant mes lèvres comme Il savait si bien le faire ce qui me fit instantanément couler de plaisir... J’étais aux anges. Je me mis face au mur, debout mais avec mon fessier cambré en arrière, les jambes le plus écartées possible et les mains posées sur le mur, dos à Lui. J’avais peur. Ses mains prenant possession de mon corps par de douces caresses me permis de moins appréhender cette épreuve mais j’avais une absolu confiance en Lui. Je voulais Le servir plus que la peur de la douleur à venir. Il commença doucement par le fouet qui me caressait en promenant les lanières de cuir, de mes reins aux épaules et vice-versa puis par des petits coups qui au fil de l’échauffement de ma peau s’intensifiaient. Je commençais à serrer mes dents plus les impactes étaient forts plus je gémissais, pour finir par crier mais sans jamais quitter ma position. Par moment Maitre arrêtait pour passer Ses mains sur les traces rouges laissés par le fouet et recommençait de plus belle. A un moment, je ne sais pas comment l’expliquer, j’avais l’impression de danser sous Son fouet, je criais, hurlais de douleur mais j’étais comme en transe car je sentais monter en moi une excitation fulgurante en mon bas-ventre qui me faisait couler ma cyprine le long de mes cuisses de chienne. Je me branlais mentalement et physiquement, j’en coulais, j’haletais, criais et poussais des cris d’un extrême mélange de la douleur et de l’excitation. Je m’offrais totalement à Monsieur le Marquis d’Evans. Je levais ma main droite pour signaler mon désir intense de jouir, sans savoir si j’en serai autorisée, mais l’envie était bien présente, c’est clair !

- Ma belle chienne, oui je sais le plaisir que tu prends à chaque coup, je vois à ton attitude excitée, tu y exprimes tout ton masochisme qui est magnifique à voir ! Ton excitation dans la douleur est sublime mais retiens-toi encore un peu ! Car, Je Le veux, tu auras autorisation de jouir après avoir reçu mes cinq derniers coups. Cinq coups d’une force extrême et je sais que c’est ce que tu veux, car encore une fois, je connais ton coté maso et l’envie de Me faire plaisir alors j’ai décidé de te l’accorder...

Sur ces mots, il se remit en position et le premier des cinq coups frappa ma fesse droite et une brûlure d’une extrême violence me parcourut. Je retenais mes larmes tout en coulant littéralement ma cyprine sur mes cuisses. Et mon long cri de souffrance était pour Lui car ce cri exprimait la douleur, l’excitation mais aussi une reconnaissance infinie. Les deux suivants s’abatis sur mon dos et j’eus du mal à tenir car je sentais mon plaisir au maximum mais je me retenais à ne pas lâcher un puissant orgasme, je retenais aussi mes larmes. Le quatrième frappa l’autre fesse, la gauche, ce qui me fit hurler aussi de douleur mais démultipliait en même temps et encore plus intensément, mon excitation si difficile à contenir sans jouissance autorisée. Pour le dernier et cinquième coup, Il me retourna pour que je sois face à Lui. Il frappa alors mon sexe de la pointe du cracker d’une telle puissance que je tombais et lâchant complètement prise m’emportant dans une jouissance extrême, voire atomique, explosif. Orgasme entre douleurs violentes et d’incroyables décharges électriques qui remontaient sur toute mon échine et me procuraient des spasmes orgasmiques si puissants que je ne pouvais pas contrôler. Je me retrouvais, au sol, à Ses pieds en larmes tout en jouissant sans pouvoir m’arrêter et tremblante, comme une feuille, de mille plaisirs. Je ne pouvais pas contrôler aussi cet afflux de larmes et d’extrêmes sensations jouissives. Il se mit accroupi, en attendant que mon corps que je ne contrôlais plus, se calme tout seul, alors il posa sa main sur mon sexe coulant encore et encore d’un mélange de cyprine et d’urine me souillant telle la femme fontaine que j’étais devenue… Puis doucement, dans une tendresse infinie, Il me prit dans Ses bras, me soulevant et m’amenant dans une nouvelle pièce blanche après avoir traversé un long couloir, pièce je ne la connaissais pas...

- esclave Phryné MDE, occupes-toi de ta sœur de soumission, elle le mérite bien après la séance que je viens de Lui donner. Une fois finie, je veux que tu la conduises dans une des chambres pour qu’elle se repose... Quant à toi Ma belle petite chienne Vénus, je suis fier de toi Ma belle, je veux qu’après que ta sœur t’ait soigné tes quelques belles marques de Mon fouet, tu ailles te reposer car demain tu seras à Mes pieds pour ta première soirée comme chienne dans Mon Château, alors tâche de dormir, de bien manger à volonté et de bien te reposer ...

Le Maitre partit et l’esclave Phryné MDE se mit à me faire couler un bain chaud avec des plantes qui me fit le plus grand bien. Une fois finie, elle passa une crème sur mes marques et instantanément ça allait mieux. Puis elle me conduisit jusqu'à une chambre et me laissa quittant la pièce avec un large sourire. Je me mis au lit et m’endormis en quelques minutes après d’une traite jusqu’au lendemain matin. Ce fut un des soumis du Maitre qui me réveilla et me conduisit dans la salle de bain des chiennes et chiens du Maitre pour notre douche à l’eau froide et pour notre lavement anal. Puis on se dirigea dans les cuisines où Marie La cuisinière nous donna nos gamelles avec notre ration calorifique quotidienne que je m’empressai de manger car après ces quelques mois passés au Château j’avais appris sous les coups de la large cuillère en bois de Marie sur mon fessier à me dépêcher de manger. Une fois finie, elle m’exigea de la faire jouir de ma langue sur son sexe et de tout boire sa jouissance, ce que je fis par de savants coups de langue bien placés sur son clito et lèvres intimes. Je réussis à la faire jouir et elle lâcha dans ma bouche, un flot de cyprine que je bus sans en perdre une goutte. Une fois terminée, je fus conduit dans la grande Salle de Réception du Château avec quelque soumis et soumises pour la nettoyer. Walter nous avait mis pour nous les soumises un long gode de gros diamètre dans notre chatte et notre cul et aux soumis une cage de chasteté électrifiée et un gode également dans leur fondement. Pour cette tâche, nous pouvions nous déplacer sur nos deux jambes pour nettoyer toute la salle et nous y avons passé toute la journée… En début de soirée, on nous donna de quoi manger et on nous installa pour la soirée. Chaque chien et chienne était prosterné à côté d’une chaise. Moi à genoux contre la chaise de Monsieur le Marquis d’Evans. Tous les invités firent leur apparition et furent surpris de me voir comme chienne. Le Noble prit Sa place et me caressa le visage et m’invita à coller ma tête contre Sa cuisse. J’étais si bien et si heureuse, positionnée ainsi. Le Châtelain prit la parole :
- Mes chers amis, je vois dans vos yeux la surprise de la place de Mademoiselle de Bourdon à Mes pieds. Il y a quelque mois, elle est venue ici même et devant vous pour son intronisation de Domina, forcée par ses parents à devenir ce qu’ils voulaient qu’elle soit et pas du tout à ce que souhaitait Cristal. Mais depuis qu’elle a annoncé à ses parents ce qu’elle voulait vraiment devenir, être, c’est-à-dire une chienne soumise, ils l’ont reniés tels des parents indignes ne voulant absolument rien entendre. Donc depuis, je l’ai recueilli comme on recueille une petite abandonnée au bord de la route. Et ainsi elle vit dans Mon Château comme une bonne petite chienne à sa place. Va donc Ma belle petite chienne au milieu de cette pièce et montre à Mes invités où est ta véritable place...

J’obéis immédiatement aux ordres de Maitre et m’installa au milieu de la pièce à genoux et fière de ma condition de chienne.

- Maintenant, Ma chienne, branle-toi comme la grosse salope en chaleurs que tu es et quand tu te sentiras prête à jouir, lâche-toi et montre la belle fontaine que J’ai trouvée en toi...

Je me mis en position couchée au sol, mes mains trouvèrent de suite le chemin de mon clitoris et entamèrent un ballet de caresses et de stimulations sous les yeux des amis de Monsieur le Marquis. Je faisais monter et descendre mon plaisir comme Maitre me l’avait appris. Je commençais à gémir et à mouiller de plus en plus et au moment où le Noble me fit un signe de tête, je me mis à me branler vigoureusement, frénétiquement et ma jouissance explosa en un flot continu de cyprine. Je continuais sous le regard du Châtelain à me faire jouir encore et encore déversant des flots et des flots de cyprine. Mes mains ne s’arrêteraient pas de me branler, je ne contrôlais plus mon corps car sous les ordres de Maitre et d’un claquement de Ses doigts je m’arrêtais de suite sous les yeux ébahis des invités et je retournais aux pieds de Monsieur le Marquis. La soirée commença, moi sous la chaise de Maitre en train de Le sucer comme je savais si bien le faire alternant les gorges profondes plus au moins rapides, je Le léchais, je Le savourais comme une gourmandise avec ordre de Le faire jouir mais que cela dure un bon moment. Au bout d’un certain temps, Il se vida en moi en de longs jets saccadés de Sa délicieuse semence que j’adorais avaler...

Une fois le repas fini, la soirée vira en une véritable orgie. Mes sœurs et frères de soumission et moi-même, étions à la disposition des invités. Nous fûmes doigtés vaginalement ou analement, fistés, baisés par tous nos trous de chiens et chiennes. Une vraie débauche, luxure animale comme je l’avais toujours rêvé dans ma condition. Je fus prise dans mes trois orifices par presque tous les Dominants présents qui usaient et abusaient de mon corps, baisée de partout, en double pénétration pendant qu’un autre me baisait la bouche. Je dégoulinais de sperme. Parfois mes frères venaient me lécher le corps pour me l’enlever. Mais aussi on m’ordonnait parfois de lécher le sperme au sol ou même de lécher un cul d’un soumis qui venait de se faire sodomiser et dont le foutre du dominant sortait de son anus. Et tout cela sans jamais pouvoir jouir... On me banda les yeux et on m’installa sur une table et de nouveau je fus saillie et prise sans ménagement par des hommes en rut, doigtée par des femmes domina. A un moment, on me retourna, mise à quatre pattes, je sentis une grosse verge me prendre, j’avais l’impression d’être déchirée de l’intérieur et je ne pus retenir un hurlement de douleur mais j’entendis, au même moment, la voix de Maitre dans mon oreille me disant qu’Il était en face de moi et Il me donna l’ordre de Le sucer, ce que je fis. D’un côté, je me faisais défoncer par cette grosse bite qui me labourait littéralement le cul profondément et de l’autre le Noble qui me baisait la bouche bestialement comme s’il était dans ma chatte ou dans mon cul. Et je sentis l’autre homme accélérer ses mouvements et enfin se vider dans mon cul jusqu’au fond de mes entrailles, je sentais sa chaude semence s’écouler. Et j’entendis cet homme dire au Châtelain que j’étais une bonne salope en chaleurs, bonne à baiser et recevoir du foutre, que je n’étais qu’un vide-couilles, et qu’il aimerait continuer toute la nuit... Monsieur le Marquis finit par se vider de nouveau en moi …
(A suivre …)

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