Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1225)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1225) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1225)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1225) -
- Non, n’arrêter pas... je vous en prie continuer..., l'ai-je de nouveau imploré…
J'ai alors à nouveau senti Sa main froide, voire glaciale causée par son état spectral, me caresser les fesses, puis remonter dans mon dos, effleurer mes flancs pour revenir s'amuser avec ma poitrine, y accrochant des pinces, venues elles aussi d’où je ne sais où. Pinces dont les mâchoires se refermant sur mes tétons qui m’arrachèrent de petits cris et gémissements. Des poids venant de l’obscurité du fond de la pièce se déplaçaient dans le vide, s’approchant de moi et vinrent s'y ajouter, étirant délicieusement mes seins vers le bas. Après un court instant, les coups reprirent, mais à ma surprise, ils furent plus... cuisants. La température de ma croupe s'éleva rapidement de plusieurs degrés... Cette fois, je fis plus que grimacer. Je me tordis de douleur et poussais des cris en sentant mes fesses prendre littéralement feu. Cela n'avait plus rien avoir avec une flagellation douce et envoûtante. Je me mis bientôt à danser sous les cuisantes volées des lanières qui s’accentuaient et plus longues, m'enveloppant la croupe sans discontinue, évasant mes fesses, les contractant, me déhanchant de droite à gauche, exhibant mon fessier arrondi et de plus en plus rougi et meurtri, levant parfois en arrière une jambe ou l'autre, battant des pieds et faisant s'agiter du même coup mes seins et les poids qui y étaient accroché au bout des pinces. Je criais, pleurais, me débattais, implorant en proie à la souffrance, mais aussi au plaisir excitant procuré, complètement affolée, excitée, désirant tour à tour que cela cesse et que cela continue. Ma cyprine me remit à couler sur mes cuisses, j’avais une envie folle à ce moment d’être prise, possédée, baisée, besognée, comme une chienne en chaleurs, par le spectre du Marquis que les slaves de Ses fouets étaient réveillaient en moi, des pulsions animales et primitives de copulations torrides…
La musique de mes plaintes et gémissements accompagnée des claquements des gerbes de cuir sur ma peau, ainsi que la façon dont je remuais, devait être particulièrement suggestive et excitante pour le Maître impérial en manque qu'il devait être, à Dominer, car il s’acharna à transformer ma croupe en véritable soleil rouge brûlant. Je tremblais sur mes jambes servant d’amortisseurs à mon corps sursautant, me tordant d'un côté et de l'autre au grès des cinglées. Exaltant des gémissements sourds, entrecoupés de cris rauques ou aigus, éprouvant des ondes voluptueuses ou douloureuses se rependant dans tout mon être, provenant de mon sexe, de mes seins, ou de mes fesses et remontant sur toute mon échine, à me procurer des spasmes d’excitation. Plus il frappait et plus je ne surpris de sentir mon sexe trempé et lâcher un flot de cyprine que je n’arrivais pas à contrôler son flux abondant….

Et brusquement, comme si cette forte excitation de mon bas-ventre ne pouvait l’éviter, une salve de feu d'artifice éclata en moi, emplissant la pièce d'un hurlement, qui couva même le bruit de l'éclatement des lanières sur mes fesses. En transe totale, tremblante, je sombrais dans l'extase, tête renversée, yeux révulsés, bouche grande ouverte sur mes plaintes mourantes. Je n'en revenais pas moi-même ... Je jouissais littéralement de douleurs... Mes cris de jouissance se mélangeaient, se confondaient avec ceux de douleurs … Mon esprit ne captait plus que les orgasmiques décharges électriques provoquées par chaque nouveau coup de fouet. Ces décharges irradiaient tout mon corps, j'étais haletante, toute tremblante et transpirante, les cuisses maculées de cyprine… La sueur me dégoulinait entre les seins, le long de la colonne vertébrale et entre les fesses, pour venir se mêler à cette autre sudation, tout aussi abondante et coulante de mon vagin et me trempait une fois encore l'intérieur des cuisses. Il m'accorda un petit moment de pause, afin de me laisser reprendre ma respiration, mon souffle qui s’était affolé à ce fulgurant orgasme que je qualifierai d’explosif et inédit pour moi. Le temps pour lui d'encercler mes chevilles avec de nouveaux bracelets, y glissant entre-elles, pour bien les séparer, une solide barre au métal ciselé, comme jadis on en fabriquait, et ainsi me contraignant de sorte à garder les jambes largement écartées. Hissant le palan, m'obligeant, pour ne pas accroître la tension de mes bras à me tenir sur la pointe des pieds.

Dans cette posture de crucifixion, pénible, qui m'ouvrait et me livrait, m’exhibait plus encore aux yeux du Marquis, qui s’en délectait, je fus bientôt dans l'impossibilité de retenir de nouvelles plaintes et gémissements quand il m'offrit de redécouvrir les caresses et les effets claquants et secs du petite bout de la languette de cuir d'une de ses cravaches, qui vint cette fois me frapper les fesses, mais également le dessus, le dessous et les cotées de mes seins, mes aisselles, mon ventre, mes hanches, mes cuisses, mon sexe... marquant à chaque fois d'une sensation brûlante ma peau blanche de rectangles rose-rouge. Une tapette double remplaça aussitôt la cravache, m'échauffant et colorant ma peau plus intensément, suivis en retour d'un de ses martinets dont les lanières se relancèrent douloureusement sur ma croupe déjà tant meurtrie, mais également mon dos, mes seins, mon ventre et encore mon sexe, me faisant crier et hurler, en me tordant dans tous les sens, en proie à une souffrance atroce mélangée d’une extase surprenante d’excitations. Je ne me savais absolument pas du tout masochiste, avant ce jour, je me découvris ainsi et vivais donc pleinement les plaisirs incroyables que la douleur et l’excitation engendrée par celle-ci, procure. Je n’en reviens toujours pas d’être cette maso insoupçonnée que je suis devenue ou que j’étais depuis si longtemps sans le savoir …
Et oui, c'est peut-être dur à croire ! Mais malgré les heurts, malgré la douleur couvrant sur ma peau, je me sentais bien. Je me répète, mais jamais je n'aurais pu imaginer qu'être cravachée et fouettée de la sorte pouvaient m'offrir et me donner autant de plaisirs jouissifs... J'étais à ce moment-là sur le point de jouir une deuxième fois, quand il s’arrêta brusquement, me laissant haletante et gémissante, toute tremblante en pleurs. IL attendit que je me fusse calmée, pour abaisser quelque peu le palan et soulager la tension de mes bras. En proie à un désir brutal et bestial qui pulsa dans mes veines, attisée par le flot d'adrénaline qu'avait généré cette flagellation vive et sans même en avoir conscience, je me cambrais pour m'offrir à lui. Je présentais mon cul afin qu’Il me prenne. J’étais devenue chienne prête à être saillie, baisée, possédée … C'est alors que je sentis de nouveau ses mains froides se poser sur mes hanches, m'obligeant à me pencher légèrement en avant, me tenant en équilibre sur la pointe des pieds. Je fermais les yeux tandis que je sentis Son sexe dur et brûlant pointer entre mes fesses. Aussi étonnant que cela puisse paraître et je ne sais pas par quelle magie paranormale, mais autant tout Son corps telles ses mains, devait être glacial par son état de spectre, de fantôme, que Sa verge était incroyablement chaude, voire brûlante … comme si elle était animée de vie, de chair et de sang, animée par cette envie naturelle des mâles vivants face à la perspective de l’accouplement…
Je supposais qu’il allait me prendre facilement mon pucelage anal de Son sexe inexplicablement chaud et me défoncer la porte de ce bastion jusque-là interdit pour en prendre possession. Toutefois à mon grand étonnement, il glissa d’abord Sa verge plus bas, pénétrant mon vagin trempé avec une telle envie que j'en criais déjà de plaisir, m'offrant là une nouvelle jouissance pratiquement sans tarder, juste après quelques allers et venues par Ses coups de reins vifs et profonds. Il me laissa guère le temps de m'en remettre allant et venant encore en moi sans s’arrêter, accentuant même les mouvements, virilement, profondément. Cette saillie vaginale réveillait en moi de nouveau mes instincts les plus primitifs. Écartelée, possédée, bien remplie, bien baisée, je jouissais fortement à crier de sorte que on m’aurait entendu dans toutes les pièces du Château. A la peur et à la douleur du départ se mêlaient à présent le désir et le plaisir. Je n'étais plus qu'un corps comblé de soumission et de jouissances qui ne s’interrompaient pas car mes orgasmes s’enchainaient à n’en plus finir, au fil de sa prise de possession de ma chatte qui lui était pleinement acquise …
Au bout d’un long, très long moment de cette torride copulation bestiale, il se retira tout en me fessant sans ménagement décuplant encore mon plaisir. Je n’eus pas le temps de reprendre ma respiration due aux orgasmes qui se succédaient quand je fermais de nouveau les yeux tandis que je sentis son sexe dur et brûlant pointer cette fois à l’orée de mon anus. Il frottait longuement son gland contre ma rosette et enfin je fus, pour la première fois de ma vie, dépucelée par le cul. Car il ne tarda pas me pénétrer, d’un coup sec et profond. Et sans aucune préparation de dilatation de mes parois anales, il entra avec une telle force que j'en criais de douleurs. Mais encore une fois, je ne sais pas quelle magie, je sentais sa Verge fort lubrifiée. Etait-ce mes sécrétions vaginales, ma mouille abondante qui avait permis à Sa Verge d’être aussi ‘huilée’. En tout état de cause quand elle entra en mon fondement, Sa verge glissa profondément et d’une seule poussée. Une fois bien au fond, il s'arrêtait un instant, puis se mit à aller et venir en moi, profondément. Ma position inconfortable déséquilibrante me propulsait en avant à chacun de ses coups de reins, m'obligeant à ramener mes fesses vers l'arrière, pour éviter de tomber, ce qui lui offrait le plaisir à pouvoir me pénétrer encore plus profondément... le sexe toujours dur du Marquis me pilonnait les entrailles tel un piston... une vague de sensation indescriptible prit naissance quelque part entre mes fesses, irradiante chaleur et frissons d'extase, le long de mon dos et dans mon bas ventre... c'était fort, extraordinaire, des explosions de jouissances me laminaient délicieusement...

(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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