LA SAINT VALENTIN

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA SAINT VALENTIN Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA SAINT VALENTIN
Je m'appelle Thomas. J'ai la quarantaine mélancolique et je suis divorcé depuis un plus d'un an. Depuis, ma partenaire sexuelle, c'est ma main droite. Pour un homme de mon âge, complexé et timoré avec les femmes, c'est difficile de trouver une nana sans payer pour baiser. Du coup, mon ordinateur est devenu mon meilleur pote, avec ses histoires érotiques et ses vidéos pornos.
Aujourd'hui c'est la Saint Valentin. J'ai vu ça en lisant mon journal ce matin. Super, j'ai pensé, c'était exactement ce qu'il me faut. Je suis seul, sans gonzesse, sans perspective de baise, pendant que le monde entier s'échange des mots d'amour en offrant des fleurs ou des chocolats. Et ensuite, ils échangent leurs salives et leurs liquides génitaux en faisant un peu de d'exercice.
Moi, ce que je peux espérer de mieux, c'est une bonne branlette.
C'est samedi, il fait bon, je prends mon café en terrasse, tranquille, dans le petit bar où j'ai mes habitudes. Je me suis installé à une table dans un coin ensoleillé et abrité du vent, dos au mur, d'où je peux mater le cul des gonzesses qui vont au marché, quand une grande brune très attrayante est entrée dans mon champ de vision.
La robe courte et les talons mettent en valeur des jambes interminables. Mon regard émerveillé remonte un peu pour admirer le galbe de ses hanches, puis une poitrine arrogante et gonflée du désir de vivre. Pour couronner le tout, le visage angélique d'une tentatrice, des yeux bleus magnifiques et de longs cheveux bruns descendant en cascade sur ses épaules. Franchement, il n'y a rien à jeter!
Je suis là, les yeux écarquillés, bavant d'admiration, lorsque nos regards se croisent. Elle a un drôle de petit sourire fugace, comme pour dire: "il prend son pied à mater, le vilain cochon."J'ai pensé: "Merde, j'aurais dû être plus discret, je vais la faire fuir, la minette!" Je détourne mon regard avec culpabilité mais, à ma grande surprise, elle s'assoit à une table proche de la mienne, alors qu'il y en a d'autres disponibles.
J'aurais dû le sentir qu'il y a un truc qui cloche. Normalement, les jeunes femmes attirantes ne me prêtent aucune d'attention. Quand elle s'assoit, au lieu de glisser ses jambes sous la table, elle fait pivoter sa chaise sur le côté, face à moi, en croisant haut ses jambes de déesse. Elle s'absorbe dans la lecture de son magazine, ce qui me permet d'admirer ouvertement le paysage. Elle semble avoir du mal à trouver une position confortable et, à plusieurs reprises, elle croise et décroise lentement ses jambes, me permettant d'admirer le plus charmant panorama qui soit, une merveilleuse vue de ses cuisses bronzées et juste un instant, comme un éclair, le fond de sa petite culotte blanche. Cela peut-il être accidentel, ou est-elle en train de m'allumer?
Dans les minutes qui suivent, tandis que je bave en faisant durer mon café, les yeux écarquillés, détaillant la vision idyllique qui s'offre à moi, elle lève de temps en temps les yeux de son magazine pour me jeter un coup d'œil sans montrer aucune émotion. Mon cerveau carbure pour trouver une approche plausible mais je ne peux articuler la moindre parole de peur de l’effrayer.
Parfois, elle humecte délicatement son index en sortant un petit bout de langue rose entre ses lèvres pulpeuses pour tourner les pages. Et moi, j'imagine ce que cette bouche peut faire avec ma bite et mon érection commence à devenir gênante.
De temps en temps, elle laisse traîner distraitement ses ongles vernis de corail le long de sa cuisse, remontant un petit peu plus haut sa robe déjà courte. C'est dans ces moments-là que ma queue se raidis douloureusement tandis qu'elle jette sur moi un regard énigmatique par-dessus son magazine. Je pense à la flûte que les charmeurs de serpent utilisent pour faire dresser les cobras. Eh bien, cette fille n'a pas besoin de flûte pour contrôler mon érection.
Finalement, elle termine sa boisson et se lève. Mais au lieu de s'éloigner, elle s'approche de moi, me fixant de son regard bleu azur. Pendant une fraction de seconde, j'ai cru qu'elle allait me balancer une claque, ou un truc de ce genre, mais à mon immense surprise, elle se glisse sur la chaise à côté de moi.
Devant mon air hébété, elle a un sourire charmeur: "Salut, je m'appelle Julia, puis-je me joindre à vous?"Éberlué, le cœur battant la chamade, je reçois l'éclair de son regard pétillant de malice en pleine face. Est-ce une poule de luxe qui va me demander une fortune ou cela peut-il réellement se produire? Avec effort, je retrouve un peu de sang-froid pour me présenter et commander des boissons.
"Je me sens un peu seule, et vous semblez pouvoir me tenir compagnie" explique-t-elle avec un petit rire sexy.
Je me détends, elle parle beaucoup, de tout et de rien. Je rêvasse en imaginant ce que nous pourrions faire ensemble, dans un grand lit. De temps en temps, j’aperçois, par l'échancrure de sa robe, la rondeur d'un sein. Cela fait un moment que je ne me suis pas tenu aussi près d'une femme aussi désirable. Je hume son parfum en examinant le pourpre de ses lèvres, le contour soyeux de ses joues, la finesse de son cou. Ses yeux clairs, pétillants de malice, m'hypnotisent. Tout son être dégagea un charme fou et je suis tombé sous son emprise. Dans mes rêves, j'imagine deux corps chauds couverts de sueur et gémissants de bonheur; gifle de peau contre peau, langues enlacées. J'imagine le léchage des seins et la succion des tétons. Mon imagination se déchaîne et je me vois pénétrer sa chatte baveuse avec ma bite.

Julia: Ce matin, en ouvrant les yeux, j'ai ressenti un désir sexuel très fort. J'avais envie de quelque chose de sauvage et d'érotique. Peut-être parce que c'est la Saint-Valentin et que je n'ai pas de petit ami actuellement. Quoi qu'il en soit, le bruissement familier d'un vol de papillons dans mon ventre éveillait la source au fond de ma chatte.
À peine levée, j'ai ouvert les rideaux, laissant la chaleur du soleil caresser mon corps nu. Les terminaisons nerveuses de ma peau me picotent, et je me sens vivante. C'est samedi, jour de congé, et je veux profiter de cette journée pour m'éclater. Quand je suis sous l'emprise d'une excitation sexuelle très forte, cela me transcende comme la prise d'alcool ou de drogue, et m'amène à me comporter de manière irrationnelle.
Sous la douche, j'insiste en savonnant mes seins et ma chatte. Travailler mon excitation. Petit à petit. Être à l'affût, même à cette heure de la journée, prête à bondir sur une proie convenable, comme une chatte en chaleur. Bien que je doive probablement attendre la soirée pour me faire un mec au club.
En attendant, je peux toujours aller faire une balade pour voir si un mec comestible traîne dans le quartier.
Une robe mini, une petite culotte blanche, des escarpins; pas de soutien-gorge ou de collants. Mes jambes, c'est mon atout numéro un. Un maquillage léger, et je suis prête pour la pêche au gros poisson.
Cela m'excite d'allumer les hommes. Sachant que leurs queues durcissent quand ils essayent de regarder sous ma robe, ma chatte s'humidifie. Quelquefois, si l'alchimie opère, je deviens sauvage, et j'accepte une baise rapide dans un endroit insolite, une entrée d'immeuble ou une porte cochère. La possibilité d'être découverte en train de me faire baiser comme une chienne me chauffe le sang et décuple mon plaisir.
Sans prendre le temps de déjeuner, je descends l'avenue d'un pas rapide avec un magazine sous le bras. A côté du parc, il y a un petit café, où j'entre pour commencer ma chasse à l'homme.
Peu de gibier intéressant, sauf un type entre deux âges, assis dans un coin, qui manifeste un intérêt immédiat pour moi. Eh bien, j'ai pensé, commençons par celui-là. Je m'assois près de lui, dans une position où je peux le laisser mater sous ma robe. Il a l'air gentil et triste d'un bon chien, mais le spectacle que je lui montre réveille son œil.
En laissant ma robe remonter de plus en plus haut, je croise son regard fasciné. Je comprends que je l'ai bien accroché en le voyant se tortiller sur son siège, gêné par son érection. Je continue mon manège en lui en montrant de plus en plus, et en le voyant au bord de l'apoplexie, je sens ma chatte réclamer sa pitance. Quand mes jus commencent à couler dans ma culotte, je prends une décision impétueuse, et je me dirige vers sa table.
Je me présente avec audace en m'asseyant à ses côtés, et j'ai du mal à garder mon sérieux en voyant la panique et la surprise envahir son regard hébété. Il s'appelle Tom et je le chauffe en lui racontant des bêtises. Je me penche un peu pour faire bailler mon décolleté, puis je me redresse pour faire saillir ma poitrine et je vois ses yeux suivre chacun des mouvements de ma poitrine. De temps en temps, j'humecte un peu mes lèvres avec le bout de ma langue, et je vois sa bouche s'entrouvrir comme pour m'embrasser. Chaque fois que son regard rencontre le mien, j'utilise mes paupières pour papillonner et mon marivaudage produit son effet. Je peux très bien lire les hommes et je peux sentir que celui-là n'a pas touché une femme depuis un moment. Il semble subjugué par mon charme et désireux de s'ouvrir à moi. J'ai pensé que mon pronostic était correct et que j'allais m'amuser un peu avec ce monsieur.
Il me parle de son divorce et de sa misère sexuelle à mots couverts. Je suis désolée pour lui mais il représente pour moi le gibier idéal, prêt à consommer de suite. Il a l'air gentil et doux d'un bon chien. Je sais qu'on peut avoir une aventure sans lendemain, et en même temps sa privation sexuelle peut en faire un partenaire satisfaisant. Je décide de ne pas lui dire que je suis un mannequin photo pour un magazine coquin et je prétends travailler dans un bureau.
Après avoir jeté un coup d'œil circulaire pour vérifier que nous ne sommes pas observés, je prends sa main pour la poser sur ma cuisse nue, sous la table. Le contact de sa paume chaude sur ma peau me provoque un léger frisson, et ma source intime augmente son débit lorsque je dois maintenir sa main qu'il cherche à retirer. Sous le choc, il me regarde avec les yeux exorbités. Quand je le sens se détendre, je lui souris et je me penche pour poser ma main sur sa bite.
En apnée, Tom a ouvert sa bouche, mais avant qu'il ne puisse parler, je lui murmure: "Chut, bébé!"Sans lâcher sa main, j'écarte un peu les cuisses et je le guide plus haut sous ma robe jusqu'à ce que ses doigts effleurent ma culotte.
Tétanisé, il reste là, sans réaction, alors je lui donne un peu d'encouragement en massant doucement sa verge par-dessus son pantalon. Immédiatement, ses doigts ont commencé à bouger doucement sur ma culotte humide, massant ma chatte gonflée de désir.
Pour tout observateur, il semble que nous nous tenons juste la main sous la table. Le frisson d'être vicieuse en public revient pour moi comme une drogue, une chaleur envahi mon ventre et mes reins, je sens sa queue durcir encore, l'envie de baiser devient impérieuse.

Tom: Je ne peux pas croire ce qui m'arrive. J'ai caressé de mes doigts tremblants sa petite culotte, j'ai senti l'humidité de sa chatte pulpeuse et ma bite m'a étonné en durcissant encore plus sous sa caresse. Avoir ma bite caressée par une belle jeune femme, en public, dans un café, au milieu des clients, l'instant est incroyablement érotique et je perds pied.
Il doit y avoir un piège quelque part,"Vous n'êtes pas ... vous ne vous moquez pas de moi, n'est-ce pas?" J'ai marmonné.
Je me suis immédiatement senti stupide quand elle a souri et chuchoté: "Bien sûr que non.""Alors je suis en plein rêve""Eh bien, profite" dit-elle en souriant d'un air espiègle.
Sans lâcher mon poignet, elle écarte un peu plus les cuisses en projetant son bassin vers l'avant, réclamant ainsi la pénétration de mes doigts dans sa chatte. Délicatement, j'écarte le fragile tissu, pour constater que son berlingot est lisse et rasé. Je n'ai jamais baisé avec une femme qui se rase la chatte. Mes doigts glissent dans la fente chaude et humide que je sonde légèrement, cherchant l'entrée du calice.
Mon niveau d'excitation grimpe encore d'un cran. Je suis totalement subjugué. Je ne peux pas me souvenir d'avoir connu un tel bonheur. Cette fille est un rayon de soleil dans ma vie de merde. Elle me procure des sensations inconnues ou qui proviennent de lointains souvenirs presque oubliés, de mes premiers émois d'adolescent boutonneux.
Ensuite, Julia retire mes doigts de sa chatte pour les porter à ses lèvres. Suçotant le bout mouillé de mes doigts, ses yeux scrutant les miens, sans sourire, elle me demande: "C'est une si belle journée, voulez-vous aller vous promener dans le parc avec moi?" Je suis resté assis, silencieux comme un imbécile, essayant d'évaluer son invitation. Ses yeux brillent d'excitation. Mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi elle ressent du désir pour moi. En même temps, je sens mon espoir augmenter. Cette jeune femme aurait-elle vraiment envie de baiser avec moi?
Julia a pressé mon sexe de manière impérieuse et mes doutes ont disparu.
"Bien sûr, ça a l'air génial," murmurai-je. "Mais pourquoi moi? Sûrement je suis trop vieux pour toi."Se levant de sa chaise, Julia lisse sa robe, se penche et m'embrasse. Ses lèvres humides s'entrouvrent pour laisser passer une langue agile. Sa bouche a un goût sucré et j'inspire avec avidité son frais parfum.
Elle déplace ses lèvres contre mon oreille: "Parce que j'en ai envie, Tom."Comme une mécanique, incapable d'une pensée cohérente, je me lève, elle attrape mon bras et m'entraîne derrière elle. Pendant que nous marchons, Julia bavarde de toutes sortes de choses mais je n'écoute qu'à moitié, lorgnant du coin de l'œil le rebond de ses seins pointus. Elle semble bien connaître le parc et elle me conduit d'un pas décidé dans un endroit isolé, au creux d'un bouquet d’arbustes.
À peine assis sur l'herbe, ses lèvres sont sur les miennes. Sa bouche est si chaude et la caresse de ses lèvres pulpeuses tellement douce que je suis subjugué.
Avec mon ex-femme, lors de relations sexuelles épisodiques et pas très excitantes, je n'ai jamais connu une telle ivresse. Donc, je manque de pratique et je me sens intimidé lorsque nous commençons à nous embrasser. Mais j'avais tort de m'inquiéter car Julia semble ravie d'avoir l'initiative. Je dois admettre que cette jeune femme est une experte. D'abord, sa bouche est plus grande que la mienne et sa langue est extrêmement mobile. Elle lèche mes lèvres, mordillant et suçant, ses lèvres humides et pulpeuses glissent sur les miennes. Avidement, elle mange ma bouche pendant que sa langue joue avec la mienne. Elle a pris ma tête entre ses mains, glissé ses doigts dans mes cheveux et elle joue avec moi en me soumettant à ses caprices. Ma bite n'a jamais été aussi dure.
Instinctivement, j'ai enlacé sa taille pendant que nous nous embrassons. Son corps souple et flexible me transmet sa chaleur à travers sa robe mais je n'ose pas l'explorer, j'ai trop peur d'interrompre ce rêve.
Sa main quitte ma joue et descend lentement, détachant un à un les boutons de ma chemise. Ensuite, elle s'attaque à ma ceinture puis aux boutons de ma braguette. Je la laisse faire, ravi de la tournure des évènements. Quand sa douce main se glisse dans mon boxer pour attraper ma bite, je commence à paniquer de peur de ne pas pouvoir la satisfaire, et je me mets à trembler d'émotion. Mais Julia a compris mon inquiétude. Elle interrompt son baiser, me regarde avec ces beaux yeux bleus, et me sourit de manière rassurante.
"T'inquiète pas, Tom, ça va aller."Elle me repousse doucement pour me coucher sur le dos et baisser mon pantalon. Je suis mal à l'aise de ne pas être celui qui domine sa partenaire en prenant l'initiative mais j’essaye de me détendre tandis qu'elle glisse mon pantalon et mon boxer vers mes chevilles. Puis elle se penche sur moi et je sens son souffle sur ma bite.
Cette fille que je ne connaissais pas une heure avant voudrait-elle me donner une fellation? Mon cœur bat la chamade en entrevoyant cette perspective. Le sexe n'avait pas été génial avec mon ex-femme et sucer ma bite était pour elle une corvée qu'elle avait abandonné très tôt dans notre union. De toute façon, je n'avais jamais réussi à en jouir.

Julia: J'ai compris que j'ai fait le bon choix avec ce type quand je l'ai dénudé sur l'herbe. Son envie désespérée de baiser due à son abstinence, sa folle excitation à chacune de mes initiatives, en fait la proie parfaite pour assouvir mon fantasme. Tandis qu'il se tord sous mes caresses, je prends sa bite dans ma main pour dégager le prépuce. Elle est raide et gonflée, mais elle m'attendrit parce qu'elle s'agite dans ma main comme un petit oiseau prit au piège. J'humidifie mes lèvres avec le bout de ma langue en faisant monter ma salive. Avec sa bite à quelques centimètres de mon visage, j'augmente mon trouble en humant le parfum de mâle en rut qui émane de son sexe.
Alors que je serre ma prise autour de son membre, je donne un premier coup de langue sur le gland violacé. Tom tressaille comme victime d'un choc électrique et marmonne: "Oui ... oh oui … s'il te plait ... oh oui!"Je suis submergée par l'émotion en entendant la voix de ce gars gentil et du besoin de jouir qu'il dégage. Cela fait longtemps que je ne suis pas allé avec un type comme lui et, oubliant mon propre fantasme pour le moment, je décide de lui donner une pipe mémorable.
J'examine son gland turgescent. Quelques gouttes nacrées s'en échappent. Quelle merveille ! Je n'y résiste pas. Je goûte par petites touches de ma langue gourmande la crête du gland tendu tandis qu'il me la pousse avec impatience. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! Ma langue trotte lentement autour du gland. Sa queue m'excite à outrance tandis qu'il aspire à baiser ma bouche. Je sens mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation.
Passons aux choses sérieuses. En massant doucement ses couilles, j'ai encerclé la base de sa queue avec deux doigts et d'un coup, j'engouffre sa queue en m'écartelant la bouche. Je n'en avale que la moitié. Avec mes lèvres serrées, je le laisse profiter de l'humidité et de la chaleur de ma bouche serrée autour de sa queue. Puis je commence à le sucer correctement. Ma bouche plonge et remonte, tandis que ma main tire sur ses boules pour empêcher la montée du sperme.
Tom marmonne dans sa barbe, ses mains agrippées dans mes cheveux. Puis, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. J'ai envie de me toucher la chatte, mais je suis entièrement absorbée par sa queue.
J'ai envie qu'il me gicle dans la bouche. Cette idée me submerge et enflamme ma libido. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave. Agrippant fermement sa queue à la base pour le contrôler, retenant mon souffle, je me cambre pour aligner ma gorge avec son érection et soulager ma bouche, résistant au besoin instinctif de bâillonner.
Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle m'excite; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Le gland glisse dans ma gorge et mes lèvres touchent son pubis humide. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application.
Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas. Il lâche un long râle, ses mains se serrent dans mes cheveux, et il décharge de long jets de sperme au fond de ma bouche. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il faut que j'avale tout de lui. Tom me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche.
En me léchant les lèvres, je lève les yeux et lui souris: "Est-ce que ça va?"
Tom: Julia m'a administré la plus merveilleuse fellation de toute mon existence. Jamais je n'aurais pu imaginer une telle extase si je ne l'avais vécu. J'ai souvent regardé des vidéos pornographiques en imaginant être à la place de l'homme qui reçoit ce magnifique cadeau d'une femme amoureuse. Mais recevoir une telle offrande d'une parfaite inconnue, superbement belle, avec une telle maîtrise technique, la tête me tourne, un vertige amoureux me saisit, et je n'ai qu'une envie, lui rendre ce qu'elle m'a offert.
Mais je ressens une vague d'incertitude. Suis-je capable de satisfaire cette femme incroyablement sexy? Comme pour m'encourager, Julia s'allonge sur le dos à côté de moi, relève ses genoux et ôte sa petite culotte. Après l'avoir fourrée dans son sac à main, elle écarte ses cuisses musclées et me sourit d'un air d'invitation.
Je me faufile anxieusement entre ses jambes et découvre la première chatte rasée qu'il m'est donné d'admirer dans la vraie vie. Un pubis bombé, lisse comme le creux de la main, mais bronzé, la fente de la chatte avec ses grandes lèvres gorgées de sang clairement visible. Brillante d'humidité, le capot de son clitoris saillant. C'est plus grand que je n'ai jamais vu, encore que je n'en ai pas vu beaucoup.
Voulant être sûr de réussir les préliminaires, je caresse de l'index tout le long de son ouverture pour recueillir quelques-uns de ses sucs et masser doucement le pourtour de son clitoris. Elle gémit de plaisir. Au moins, c'est quelque chose pour lequel je suis bon. J'arrivai facilement à faire jouir mon ex-femme en la doigtant. Mais impossible de lui lécher la minette, elle trouvait cela obscène.
Je glisse deux doigts crochus en elle en commençant à la baiser doucement. Les jambes pliées, les talons presque collés aux fesses, les cuisses largement ouvertes, Julia soulève ses hanches, avide de caresses.
Mais après s'être tortillée impatiemment pendant un moment, elle s'est assise et m'a repoussé, m'allongeant sur le dos. À mon grand étonnement, elle s'agenouille pour chevaucher ma tête. Elle emprisonne ma tête entre ses mollets et pose sa chatte sur ma bouche.
"Tu vas me lécher ... tu sais ce que je veux … et n'utilise que ta bouche ... pas les doigts … laisse mon clito tranquille, pour le moment, je te dirai … bouffe-moi la chatte!" murmure-t-elle d'une voix rauque.
Je ne suis pas sûr de savoir, mais en inhalant son odeur musquée, ma tête m'ordonne de tout faire pour la contenter. Il semble que cette femme sensuelle me sert de moi comme d'un jouet sexuel, mais je n'ai aucune objection. C'est bien la première fois qu'une aussi magnifique jeune femme s'intéresse à moi, et je dois tout faire pour la contenter. Mais suis-je capable d'assouvir son fantasme?
Tandis que Julia se positionne, ses cuisses étreignent mon visage. Quand sa chatte se presse sur moi, j'étends ma langue et commence à lécher. Ma bouche en cul de poule, mes lèvres contre les siennes gorgées de désir, la langue sortie au maximum pour lécher la fente et pénétrer l'orifice, je fait tout mon possible pour rouler un patin à sa chatte, sans pouvoir utiliser mes mains, la tête bloquée entre ses cuisses. Ses sucs chauds commencent à couler dans ma bouche, ils sont merveilleusement doux et salé. Le parfum délicat de cette jeune chatte m'enivre et je suis au paradis.
C'est difficile sans l'usage des mains. Comme elle balance sans cesse son bassin d'avant en arrière, je me contente de sortir ma langue au maximum et de lécher ce qui passe à sa portée. À Julia de décider ce qu'elle souhaite se faire lécher. Encore une fois, c'est elle qui a la main, moi je ne suis qu'un jouet entre ses mains. J'essaye quand même d'attraper son clitoris quand je le peux, car je sais qu'un clitoris éveillé peut être sensible et conduire sa propriétaire à une extase assez douce.
Soudain, ses hanches ont sursauté: "Oui ... Ooh, oui ... là!" marmonna-t-elle.
J'ai craint de lui avoir fait mal. Je concentrais mon attention à stimuler son clitoris, mais c'est l'entrée de sa chatte qu'elle me désigne. Elle était plus humide là et je commence à sonder avec ma langue.
"Ooh, oui ... c'est ça … juste là!"Elle plaque sa chatte sur ma bouche, m'invitant à aller plus profond encore et a commence à geindre et à gémir. Le son est étouffé par ses jambes sur mes oreilles mais il y a quelque chose d'animal dans sa plainte. Encouragé, je presse plus fermement ma langue qui glisse dans sa chatte.
"Ooh putain! … C'est bon! … Putain!"Ses cris m'excitent. Je sais maintenant que mes efforts n'ont pas été vains. Ma langue est enfoncée dans une prise chaude et ma bouche inondée de ses jus divins. Sa chatte me plaît tellement que je suis saisi par un besoin désespéré d'avoir ma bite dedans.
Puis elle s'effondre sur le côté et roule sur le dos: "Lèche-moi, Tom … Bouffe-moi le clito! … Avec tes doigts dans ma chatte, baise-moi!"Obéissant à ses injonctions, je glisse deux doigts dans sa chatte trempée tandis que je promène ma langue entre ses lèvres jusqu'à son clito. Je le lèche, le cajole, le tapote du bout de langue sans jamais mordre ou aspirer, juste suçoter un tout petit peu. Mes doigts crochus pompent dans son vagin comme le ferait un petit sexe.
Elle m'encourage: "C'est ça ... plus dur ... plus vite!"Son bassin ondule sous mes caresses et dissipe mes dernières inquiétudes. Ses halètements, ses gémissements, ses cris m'encouragent à persévérer. Ses deux mains en appui sur ma nuque qui plaquent mon visage contre elle m'annoncent l'arrivée prochaine de sa jouissance. Dans mon enthousiasme, je redouble d'efforts et accélère mes mouvements. Elle augmente la pression de ses mains et de ses cuisses contre mon visage et je ne peux plus bouger. Un instant de panique, puis elle bloque sa respiration, se met à vibrer, à trembler et lâche un grand cri en même temps que sa source intime inonde ma bouche d'un suc odorant.
"Oh, mon dieu, ça fait tellement de bien … Tu es un amant merveilleux , Tom!"Même après cette annonce, je suis surtout surpris par son cri perçant et le jet de liquide que sa chatte a pulsé dans ma bouche.
J'espère seulement que personne ne l'a entendue. Puis Julia s'est blottie contre moi en ronronnant.
Je me sens merveilleusement bien. Pour moi, rendre ma partenaire heureuse est l'une des meilleures sensations que je puisse ressentir.

Julia: Je redescend agréablement de l'orgasme que ce mec m'a procuré. Je suis contente de lui avoir prouvé sa valeur. J'espère que maintenant que je l'ai déniaisé, il saura monter à ses futures partenaires l'étendue de ses qualités.
Mais il est encore dur et je réalise qu'il attends une bonne baise.
J'ai mal au dos après nos exercices sur l'herbe rugueuse, alors je me met en position de levrette, à quatre pattes, comme une gentille petite chienne. Je me mets en position, sur les mains et sur les genoux, les fesses tournées vers Tom, et je lui demande:"Aimes-tu cette position?" Je ronronne, balançant mes hanches de façon provocante, en le regardant par-dessus mon épaule.
"Mais, je n'ai pas de préservatif ..." marmonne Tom, penaud et dépité.
"Ne t'inquiète pas pour ça, je suis protégée."Il vient se positionner derrière moi et remonte ma robe sur mes hanches. Je me suis mise en appui sur mes avant-bras, relevant mon cul en l'air. Je sens le contact de son gland fouillant entre mes lèvres trempées, et lorsqu'il trouve l'ouverture, je me cambre pour l'aider. Tom m'a pénétrée entièrement d'une seule poussée, sans efforts, sans à-coups, tellement j'étais lubrifiée par nos précédents exercices. Il est venu se positionner au fond de ma vulve, son pubis contre ma chatte, et il est resté là, sans bouger, un instant, pour que je m'habitue. Les petites attentions de cet homme me font fondre. Il est tellement chou. S'il savait les coups de bite de machos body-buildés que j'encaisse parfois!
Puis il saisi mes hanches et me pistonne en cadence, profitant de sa position dominante. Je lui laisse prendre le contrôle un moment puis, alors qu'il se fait haletant, et qu'il fait de son mieux pour me baiser comme une femelle soumise, je glisse ma main entre mes cuisses, saisi à pleine main ses couilles ballantes, et lui imprime la cadence à suivre en secouant d'avant en arrière ses bijoux de famille.
Je sais qu'il ne peut pas durer longtemps à ce rythme, même après son orgasme récent qui lui a vidé les couilles. Mais je ne suis pas contre une bonne baise rapide. Ça dépend de lui, à lui de résister s'il veut que ça dure. Moi, je me contente de me balancer sous son martèlement, même si je sais que je n'aurai pas le temps de jouir, je remettrai ça à plus tard.
Ses gémissements, ses grognements et ses halètements ont atteint un paroxysme. Il croche ses doigts dans la chair tendre de mes hanches. Il se raidi, se fige, son sexe paraît grossir encore, puis il se contracte et projette un jet de sperme au fond de ma chatte. Bientôt suivi d'autres, du sperme chaud, gluant et collant, qui me remplit et m'inonde. Il s'effondre sur mon dos, je tourne la tête vers lui, il prend ma bouche, me souffle dedans: "Putain, t'es géniale ... merci, Julia."Tandis que j'enfonce un mouchoir en papier dans ma chatte et que j'arrange ma tenue, je sais que la prochaine étape va être difficile.
Dire adieu.
Je ne veux pas blesser Tom, mais je sais qu'une rupture nette est la meilleure formule, avant qu'il ne s'attache. J'ai aimé faire l'amour avec lui, mais il n'est pas mon type de gars.
Tom a ce regard que j'ai vu tant de fois dans les yeux des hommes. Oui, j'ai l'habitude. Durcissant mon cœur, je pose un baiser sur ses lèvres et prenant un air détaché: "Merci Tom, t'es un mec génial mais je suis attendue ... Peut-être à un de ces jours."Je m’enfuie le plus rapidement possible. Au moins, j'ai calmé mon appétit sexuel pour le moment. Ce soir, j'irai dans un club pour célibataires.

Tom: Je suis resté là, abasourdi, regardant Julia s'éloigner, sans pouvoir m'empêcher d'admirer le balancement de ses hanches.
Je suis pris entre savourer le plaisir de la meilleure baise de ma vie, et la déception de la voir partir. Mon cœur se brise en réalisant que je ne la reverrai probablement jamais.
Puis je réalise que cette femme merveilleusement sexy a transformé mon existence. Ma virilité retrouvée, ma confiance en moi renforcée, j'ai compris que je faisais fausse route en me repliant sur moi-même depuis mon divorce.
Je suis bien décidé à faire de nouvelles rencontres, peut-être pour rencontrer l'âme sœur, plus sûrement pour baiser avec un maximum de femmes.
Désormais, je fêterai la Saint-Valentin comme mon propre anniversaire.

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Texte coquin : LA SAINT VALENTIN
Histoire sexe : Une rose rouge
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