COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (2/3)
Je m’appelle Agathe, j’ai 32 ans, je suis mariée avec Louis qui en a 34, j’étais en train de baiser avec un SDF préalablement passé dans ma salle de bains quand mon mari est arrivé encadré par deux gorilles et une jeune femme toute de cuir vêtue.
Elle a demandé 100 000 € à mon mari pour m’emmener perdre cette habitude de me faire baiser par le premier venu et aussi perdre 30 kilos en suivant un régime dont elle avait le secret.
C’est dans une cage chargée par une grue m’apportant la peur de ma vie quand nous avons été soulevées et déposées sur un camion, une Anglaise assez jeune tout comme le garçon.
La jeune femme était là envoyée par son fiancé qui souhaitait avoir une salope comme épouse et le jeune homme qui semblait avoir des penchants homosexuels à qui sa famille voulait qu’il apprenne ce que les femmes pouvaient lui apporter.

Arrivée sur l’île de maîtresse Océane, j’étais assez bonne pour brouter des chattes, ce que depuis ma puberté, j’avais évité de faire.
En route vers le centre opérationnel de notre maîtresse, je vois une femme ayant été aussi ronde que moi se faire prendre par un noir autochtone en pleine rue, comme peuvent le faire deux chiens entre eux.
Son ventre et ses seins pendent comme cela se fera pour moi si j’en croix ma maîtresse après le traitement qu’elle prétend m’appliquer.
Sur le bateau, j’ai été livré au jeune garçon que je pense être slave, il m’a pris comme un chien prend une chienne en lui montant sur le dos.
Nous entrons dans une pièce borgne où la maîtresse trône.

• Vous avez les colliers, je vais vous lâcher dans ma ville, impossible pour vous de vous échapper, la ville est sous caméras vidéo et derrière cette porte à droite, j’ai mon centre opérationnel qui surveille 24 heures sur 24.
Si vous enfreignez mes lois, une fois, vous serez emmenés derrière cette deuxième porte où vous serez remis dans le droit chemin, j’ai tous les instruments de torture qu’il faut pour vous éviter l’envie de revenir.
Si vous recommencez, j’ai à ma disposition l’engin suprême, un broyeur qui vous transformera en chair à pâté que mon personnel retrouvera dans le self-service où ils vont déjeuner une fois par jour.
Sur les portes de certaines salles dans ma ville, vous verrez qu’elles sont interdites aux chiens, les chiens et chiennes, c’est vous, interdiction d’y entrer.
Au-dehors de ma ville, des champs de cannes à sucre et ma distillerie qui fabrique mon rhum, tout mon personnel peut se servir de vous comme bon lui semble ou bon leur semble sauf dans les cases où ils habitent.
Des femmes vous demanderont de baisers suivant leurs envies, chaque fois en bon toutou vous les satisferez, un refus et c’est la deuxième salle, une autre erreur et c’est le broyeur.
Rassurez-vous, il est tout neuf, j’ai rarement des divergences avec mes toutous, ils comprennent très vite qu’ici, ils sont des trous à bites pour mes ouvriers des champs de canne à sucre et de ma distillerie.
Une autre chose, surtout toi Dolly, pour manger, vous vous contenterez de ce que vous trouverez et de la gamelle journalière qui vous sera servie près de la fontaine au centre de la ville à 18 heures.
La fontaine vous servira de point d’eau pour votre toilette et votre boisson, si vous entendez la cloche, vous rappliquez ici, tout retard dans le quart d’heure qui suit et c’est la salle de torture.
Ce temps très court est suffisant pour être ici à chaque appel et évitera de trop vous éloigner de votre travail, comme je vous l’ai dit satisfaire les habitants de ma ville est votre rôle.
Dolly, tu voulais de la bite grosse et longue avec tes SDF, tu vas être servi, jusqu’au dégoût, quand tu auras repris ton poids de jeune fille, tu auras tellement eu faim que tu ferras attention à ta ligne en mangeant sainement.

Elle reprend ces propos en anglais et pour Dido, avant de nous mettre dehors.

• Daisy, suis-moi, on va faire un tour pour sentir l’atmosphère, je crois que nous sommes bien coincés et pour moi pour un bon moment avant que j’aie retrouvé mon poids de forme.

Je remonte une avenue, par chance, le sol est sablonneux empêchant que nos genoux soient entamés, nous arrivons près de la fontaine, je continue à lui parler en anglais, Dido nous suit, impossible de lui parler, nous verrons plus tard comment faire.

• Prends de l’eau, ici la chaleur va être forte d’ici quelques heures, souvient toi, nous sommes observées, nous sommes des toutous à sa mémère, mets ta tête comme dans le bassin et aspire l’eau.

Nous buvons, tous les trois, un homme corpulent s’avance vers nous, il sort sa verge et s’approche de Daisy, il s’avance vers sa bouche.

• Suce Daisy, souvient toi de ce qu’a dit maîtresse Océane, nous sommes des vides couilles bonnes à baiser.

Un autre homme avance vers moi, Dido prend peur de ce qui se passe, il part le plus vite qu’il le peut, pour moi, ma chatte est remplie, pour la première fois depuis mon arrivée.
Combien maîtresse Océane a-t-elle d’ouvriers et d’ouvrières avant dix-huit heures, je suis baisé 18 fois par des hommes et j’ai dû sucer la chatte de trois femmes dont une mémé d’au moins quatre-vingts ans.
Je suis près d’un self interdit au chien, le panneau est explicite, une femme a quatre pattes, barré de rouge, à la terrasse, un homme mange, il prend deux morceaux et nous les jetons.
Daisy toujours avec moi en attrape un dans le sable et le mange, je résiste, je veux quitter cette île le plus vite possible, l’homme se lève, la contourne et pour la énième fois de cette première journée, elle se fait prendre comme la petite chienne qu’elle est devenue.

Dix-huit heures, nous sommes trempées, un déluge s'est abattu sur nous, j’en profite pour me nettoyer la chatte et le trou du cul, combien maîtresse Océane a d’ouvrier et d’ouvrière, c’est vrai que ces noirs se ressemblent tous.
Nous prenons le chemin de la fontaine, un serviteur de maîtresse dispose des gamelles en rond, une trentaine d'assiettes, la femme au ventre pendant est déjà là, la tête dans une gamelle.
Elle sait manger comme pourrait le faire un chien et en quelques secondes l’espèce de pâté qui nous est servie est ingurgitée, Daisy s’est placée à son côté, la femme la bouscule et cherche à manger la part de la petite Anglaise.
Je laisse ma gamelle et je saute sur le dos de celle qui se croit toute permise, car elle est là depuis plus longtemps que nous, j’ignorais que j’étais une tigresse, la poignée de cheveux qui me reste dans la main me le prouve, la femelle tourne les talons et quitte la place.
Je me suis fait un ennemi, le pâté est tout juste mangeable, avec un tel traitement, il me faudra peu de temps pour quitter cette île où la maîtresse a mis un système de soumissions comme nulle part ailleurs.

• Bois un coup Daisy, il nous faut un abri pour la nuit, le ciel est noir, il va encore tomber des cordes.

Je cherche un coin où dormir comme le ferait un chien placé dans notre situation, je repère un trou sous un des selfs, je vais pour y entrer, je recule, la femme à qui je viens d’arracher les cheveux est là.
Cela semble être son point personnel pour dormir, je sais que j’ai de fortes chances de la faire déguerpir pour prendre sa place, je veux éviter un autre conflit, je rebrousse chemin, une carcasse de voiture abandonnée sera notre refuge, il va falloir apprendre à dormir à la dure.
Je prends Daisy dans mes pattes, pardon mes bras, je suis déjà conditionné en grosse chienne en seulement une soirée.
Heureusement que j’ai trouvé cette carcasse, dans la nuit tropicale deux averses plus fortes que celle qui nous a lavé cette après-midi tombe sur le village.
Au matin, je sors.

• Daisy, suis-moi, allons à la fontaine nous laver, il nous faut garder notre dignité, être propre sera source de résistance à tout ce que nous allons subir.

Je rappelle que je lui parle en anglais, elle me répond.

• Dolly, laisse-moi dormir, je sais que si je sors, un ouvrier va me sauter avant d’aller à son travail, j’en ai mare de leur vider les couilles.
• Debout, je veux bien t’aider et te protéger contre les autres femelles ayant une expérience plus grande que là notre, mais reste femme, même si nous sommes des femmes chienne.

Elle sort, nous avançons quand un grand black arrive devant elle une bite aussi grande que mon SDF, ce sera sa première fellation de la journée.
Entre les chiennes ou chien, la poignée de cheveux arrachés doit avoir fait le tour de la ville, je sens un respect des autres personnes se déplaçant à quatre pattes, nous croisons la vieille peau trois fois dans nos déplacements, elle change de route.

À part la pluie très fréquente, mais très chaude cette journée se déroule sans incident majeur, le soir après nos ablutions dans la fontaine, nous retrouvons notre carcasse de voiture, j’ai envie de la chatte de Daisy, nous nous lovons tête-bêche, je plonge ma tête en elle.
Elle est ultra sensible, la jeune fille timide devient une lionne comme moi, je la fais jouir, elle me fait jouir.
Il fait nuit noire quand je décide de quitter la protection de la carcasse, pour la première fois, je ressens la faim, mon estomac habitué à manger mes tablettes de chocolat est en double manque, de manger et de sucre.
J’ai envie de me mettre debout, une caméra non loin de notre campement semble scruter le coin, elle doit être à infrarouge, je vais vers la cafétéria, je dois trouver des poubelles, je récupérerais peut-être quelques restes.
J’arrive à quelques mètres, un mouvement et surtout des gémissements de plaisir arrivent à mes oreilles, j’approche, grâce à la lune, je vois assez bien, Dido est là, un habitant l’encule, il est fou, juste sous une caméra.
Impossible pour la sécurité d’éviter de voir que ses penchants homosexuels sont toujours là, pourtant, il a à sa disposition nos chattes que nous saurions lui refuser, l’homme éjacule, les cris de plaisir de notre copain redoublent.
C’est à ce moment qu’une voiture du même genre que celle où nous avons trouvé refuge arrive à grande vitesse, les freins crissent, la portière coulissante s’ouvre, deux gorilles du genre de ceux qui nous ont amenés en descendent.
Ils empoignent Dido, porte refermée, partent vers la demeure de maîtresse Océane, nul doute qu’il va goûter à la salle des tortures, si elle veut être payée, il lui faudra arriver à faire de ce garçon un hétéro, ils semblent refuser qu’il soit bisexuel.

J’arrive devant la cafétéria, j’ai repéré les poubelles dans la journée, quand j’approche, une forte odeur d’acétone me parvient, la salope, notre maîtresse a pensé à tous pour que je suive mon régime.
C’est à quelques mètres de moi qu’une porte s’ouvre, un homme bien bâti en descend, un noir dans le semi-noir, comprend pourquoi je suis là, il retourne dans sa cuisine me tendant un quignon de pain.
Je suis assise sur mes fesses, je le prends et je le dévore, il passe derrière moi, me relève l’arrière-train et me met sa verge dans la chatte, entre deux bouchées, je crie de plaisir, il est monté comme un âne…

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