MA VOISINE ÉMILIE

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 220 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tamalou ont reçu un total de 2 518 497 visites.
Récit libertin : MA VOISINE ÉMILIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 18 913 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
MA VOISINE ÉMILIE
"Allez Madeleine, c'est l'heure d'aller au lit!" Je l'appelle depuis la cuisine.
Ce soir, je garde les enfants de la voisine. C'est la meilleure amie de ma mère. Elle est mariée avec un homme qui passe ses semaines en déplacement pour son travail. Donc, ce n'est pas rare que je vienne tondre la pelouse ou aider les enfants à faire leurs devoirs. Étant fils unique et l'ayant toujours déploré, je suis toujours d'accord pour leur consacrer un peu de temps.
Madeleine est un petit éclair d'espièglerie, très amusante avec son humour innocent. Pourtant, elle a une maturité bien supérieure à ses 10 ans. Son frère Arnaud est un petit démon de 4 ans. Qui me considère comme son grand frère, courant toujours vers la porte en criant pour me faire un câlin quand je passe.
Madeleine descendit les escaliers par bonds successifs. "James, me liras-tu une histoire pour que m'endorme?""As-tu éteint la lumière en haut?" Répondis-je.
Roulant des yeux, elle remonta rapidement l'escalier et revint au bout de quelques secondes.
"Maintenant peux-tu me lire une histoire?""Oh, je n'en connais pas, Madeleine," dis-je en regardant ma montre. "C'est déjà assez tard.""S'il te plaît?""Bien, bien." Dis-je en riant. "Mais elle sera courte.""OK, je vais choisir un livre" dit-elle en s'enfuyant.
Son regard est presque identique à celui de sa mère. Doux et attentionné, mais avec une lueur d'intelligence qui la fait paraître si belle. Chassant mes pensées, je vais la rejoindre dans sa chambre où elle m'attend avec impatience sur son lit, un livre à la main.
Après avoir fini de lui lire, je la glisse dans les draps et l'embrasse sur le front.
"Fais de beaux rêves, trésor"Je murmure en sortant, faisant attention à ne pas réveiller son frère qui dort profondément dans son lit, dans la même chambre.
Je redescends à la cuisine, où je finis de rincer la vaisselle et d'essuyer l'évier. Au moment où je termine, la voiture d’Émilie s'arrête dans l'allée. En sortant de la voiture, elle ouvre le coffre, et le voyant plein de sacs, je sors l'aider.
Se retournant au son de mes pas, elle sourit et me tend deux sacs.
"Alors, comment étaient mes monstres ce soir?""Comme des petits anges" je réponds en souriant pendant que je monte les escaliers pour lui ouvrir la porte.
En riant, elle entre devant moi dans la maison. Je ne peux pas m'empêcher de regarder les courbes moelleuses de ses hanches sous son leggins de yoga.
"Je ne comprend pas pourquoi ils sont si sages avec toi", soupire-t-elle, me regardant par-dessus son épaule.
Absorbé dans ma contemplation, je fais un effort pour lever mes yeux et regarder les siens: "Heu, désolé, t'as dit quoi?"Elle me toise en souriant et pose ses mains sur ses hanches.
"J'ai dit que je ne savais pas pourquoi ils sont si sages avec toi, alors qu'avec moi...""Eh bien… euh…" je commence. "Le secret c'est de leur donner beaucoup de récompenses et de te laisser les punitions!""Hum!" S'exclame-t-elle en haussant les sourcils. "Ouais, je suppose qu'il se trame de drôles de choses derrière mon dos!""Et comment était le yoga?" Je demande, refermant la porte d'entrée pour la suivre à l'intérieur.
"Ooh! c'était fantastique!" répond-elle.
Posant ses courses sur le comptoir, elle se retourne et étire ses bras au-dessus sa tête. Comme elle se penche en arrière avec les yeux fermés, elle fait saillir légèrement sa poitrine, provoquant une tension de ma bite dans mon short. Baissant les bras, elle me sourit en s'approchant et m'enlace fort.
"Merci beaucoup de t'occuper de mes monstres. Je ne peux jamais sortir quand Pierre est absent. Je ne pourrais pas faire grand-chose sans toi, tu es un amour!"La sensation de sa poitrine volumineuse en sueur, pressée contre mon thorax, ainsi que les parfums musqués que son corps désirable exhale, provoquent un afflux de sang dans mon sexe.
"Hum, quand tu voudras, Émilie!" dis-je, satisfait de ma réponse à double sens. "J'aime tes câlins, Émilie, mais là tu pues la sueur! Alors, va prendre ta douche pendant que je range tes courses.""Charmant!" s'exclame-t-elle en riant et en me boxant l'épaule. "D'accord, je vais prendre ma douche, merci pour tout!""Tu sais que j'aime te rendre service, et s'occuper de tes enfants me fais plaisir, ils sont tellement adorables. Je range et je pars, OK?""OK! Bonne nuit!" Elle m'enlace et m'embrasse longuement sur la joue. Cette fois, ma queue est raide!
"Bonne nuit!" Je réponds en commençant à déballer les sacs pour ranger ses achats.
Quelques minutes plus tard, j'entends couler la douche et je ne peux pas m'empêcher de l'imaginer nue sous le jet d'eau chaude. J'essaie de me concentrer sur le rangement et j'ai presque fini, mais l'image me hante. J'imagine la vapeur qui serpente autour de ses jambes et l'eau qui ruisselle sur son corps. J'imagine que je suis avec elle. Debout à côté d'elle, tout contre elle, derrière elle, mes bras l'enlace et mes mains commencent à masser ses magnifiques seins. Je l'imagine gémissante de désir sous ma caresse tandis qu'elle presse son merveilleux fessier contre moi.
"Ooh! James! .. James?" Sa voix m'appelle de la salle de bain"Hum, oui?" Je réponds, sortant de ma rêverie en me raclant la gorge.
"Désolée, peux-tu me passer le rasoir que j'ai oublié dans l'un des sacs à provisions?""Euh ... bien sûr" je fouille dans le sac de courses jusqu'à ce que je trouve un rasoir rose enveloppé de plastique.
"Veux-tu que je le déballe pour toi?"“Oui, merci!”J'attrape une paire de ciseaux, déballe l'objet et me dirige vers la salle de bain, puis je frappe à la porte.
"Émilie, est-ce que je peux entrer?"En réponse, un "oui oui" m'est parvenu de l’autre côté de la porte.
J'ouvre la porte, je me retourne, les yeux au sol et je marche à reculons en lui tendant le rasoir.
En ouvrant la porte vitrée de la douche, elle me prend le rasoir des mains:"N'essaye pas de regarder! Vilain garçon!“ Elle me taquine, la voix dégoulinante de séduction.
En riant, je repart en tirant la porte derrière moi.
"OK, j'y vais maintenant, à plus tard""Au revoir“ crie-t-elle.
Je repasse par la cuisine, je prends mon téléphone sur la table et j'éteins la lumière en sortant. C'est lorsque je m'approche de la porte d'entrée que je remarque la lumière de la salle de bain. Elle éclaire le couloir. Je me rends compte que j'ai laissé la porte de la salle de bain entrebâillée en sortant. Curieux, je m'approche. Les semelles de mes chaussures de sport ne font aucun bruit sur le carrelage, et le bruit de la douche couvre tous les autres bruits.
Quand je glisse un œil dans l'ouverture de la porte, je retiens mon souffle. Émilie est penchée de trois quart face à moi, et enduit ses mollets de crème à raser. Même si la paroi vitrée de la douche est embuée, j'ai une vision assez claire de ses formes voluptueuses.
Cette vue a provoqué une secousse dans mon sexe qui se tend de manière douloureuse, mon érection étant entravée par mes vêtements. Elle se saisit du rasoir sur l'étagère avant de le faire glisser lentement sur sa peau.
Dans cette position, penchée en avant, ses seins semblent encore plus gonflés que lorsqu'ils sont comprimés dans son soutien-gorge. Ils se balancent gentiment au gré de ses mouvements, et forment une vision idyllique au-dessus de ses magnifiques hanches galbées.
Après avoir rasé ses jambes, elle se cambre face à moi, ventre en avant, cuisses écartées, pour se raser le pubis. J'ai failli m'évanouir de désir quand je l'ai vu masser de crème à raser les alentours de sa chatte. Elle a de nouveau utilisé son rasoir pour ôter les poils disgracieux tout autour, ne laissant qu'une petite zone de poils brun clair au-dessus de sa chatte.
J'ai saisi dans ma poche mon téléphone pour prendre une photo de cette vision exceptionnelle. Ma main tremble d'émotion alors que je l'actionne. Soudain, le téléphone me glisse entre mes doigts.
BANG!
Le téléphone est tombé à plat sur le sol avec un bruit parfaitement audible.
Inquiète, elle ouvre la porte de la douche et passe la tête dans l'ouverture.
"James? … James ? … Es-tu toujours là?"Elle attend quelques secondes puis sors de la douche et marche vers moi.
Mon cerveau me crie de bouger, de me lever, de m'enfuir. Mais entre la vue maintenant parfaitement claire de son corps mouillé et l’idée de me faire attraper, je reste figé sur place, tétanisé. Elle s'approche de la porte et j'essaie désespérément de trouver une excuse valable. Juste quand je crois être découvert, elle s'arrête devant l'armoire de salle de bain et se saisit de sa trousse de toilette.
Je voudrais soupirer de soulagement mais je n'ose pas faire de bruit en la voyant farfouiller là dedans. Ses pas se rapprochent encore, je me tasse un peu plus contre le mur. Elle jette son linge contre la porte, qui s'ouvre un peu plus. Je sursaute de peur et n'ose plus jeter un coup d’œil avant d’entendre à nouveau la douche couler.
La porte est maintenant à demi ouverte, et j'ai une vision parfaitement claire de cette splendide femelle.
Par contre, je n'arrive pas à identifier l'objet qu'elle tiens dans sa main et qu'elle fait coulisser contre sa chatte.
C'est un objet clair, transparent, allongé semble-t-il, avec lequel elle caresse sa chatte. Soudain, elle se cabre en gémissant.
"Hum! Nancy, c'est le meilleur cadeau que tu m’aies jamais fait"Mon esprit se fige pendant une seconde. Nancy? Comme ma mère? Nancy? De quoi parle-t-elle?
C'est quand elle lève l'objet dans la lumière en ouvrant la bouche que je réalise.
Elle tient un gode en verre! Celui-ci est de forme légèrement incurvée et il est constitué d'une succession de petites boules de plus en plus grosses. Je le vois briller un instant dans la lumière avant qu'elle ne le plonge profondément dans sa bouche!
Mon érection redevient douloureuse en la voyant engloutir 2, 3, puis 4 bulbes dans sa bouche gourmande!
Ressortant le gode de sa bouche, elle se caresse en gémissant, la gorge, ses seins puis son ventre. Jusqu'à glisser l'engin entre les lèvres de sa chatte.
D'une main, elle frotte le gode contre sa chatte, et de l'autre elle joue avec ses tétons, avant d'insérer la première boule dans son vagin. Je la regarde incrédule tandis qu'elle le plonge dans sa chatte en gémissant.
À ce moment, ma bite est tellement dure et douloureuse que je dois me libérer de mon short trop étroit. Je défais ma braguette et baisse mon short pour me libérer.
Alors que je me masse la verge pour me soulager, elle glisse une seconde boule, puis une troisième et, gémissante et geignante, commence à se masturber à un rythme de plus en plus élevé. La tête penchée en arrière, bouche ouverte, cuisses écartées, elle martyrise sa chatte à grands coups de godemiché tout en maltraitant ses seins de sa main libre.
En me caressant, je remarque son leggins de yoga dans l'embrasure de la porte. Une idée s'épanouit dans mon esprit pervers.
En regardant Émilie, je vois qu'elle est toujours en transe, les yeux fermés. Lentement, je me penche et fouille dans son leggins pour dégager soigneusement sa petite culotte. Je jette un coup d’œil vers Émilie, redoutant de me faire prendre.
Heureusement, elle a les yeux toujours fermés et je passe inaperçu. Ce n'est que lorsque je me redresse à l'abri de la cloison que je regarde mon magot. C'est une petite culotte en dentelle noire presque transparente. Un beau motif floral orne le devant, un minuscule nœud papillon à la ceinture, et l'entrejambe légèrement plus épais est humide. Émilie a maintenant atteint son rythme de croisière, et ses gémissements se font plus sonores. J'approche la petite culotte de mon nez pour humer le doux fumet qui s'en dégage en la regardant se masturber énergiquement dans la douche.
Je presse la douce matière contre mon nez, respirant l'arôme musqué de sa féminité se mêlant à l'odeur de sa sueur. Je continue de me branler lentement, dégageant le prépuce pendant que je respire profondément son odeur. Et je la contemple glisser le gode dans et hors d'elle, gémissante et geignante, en extase. Je retire la culotte de mon nez, pour l'utiliser sur mon chibre, frottant mon gland avec le doux matériau.
Émilie a baissé la tête pour regarder attentivement l'objet qui la pénètre. "Ooh, putain!" Elle gémit en se mordant les lèvres. Je l'observe malmener son téton, ce qui provoque chez elle une plainte plus aiguë.
J'enroule la culotte d'Émilie autour de ma bite, savourant la sensation de la dentelle humide qui glisse autour de moi. Je peux sentir la pression augmenter dans mes bourses pendant que mon excitation augmente. Je la regarde se masturber frénétiquement avec son gode dans sa belle chatte et je tente d'ajuster mon rythme au sien.
Un cri s'échappe de ses lèvres et elle lâche son sein pour se bâillonner. Émilie ondule lascivement des hanches et tremble de tout son corps pendant qu'un puissant orgasme la submerge.
Son orgasme déclenche le mien avec quelques secondes de retard, et mon sperme inonde la fine culotte si douce. La dentelle n'est pas assez absorbante et mon sperme commence à couler sur ma main et forme une petite flaque au sol. Craignant d'être surpris, je glisse la culotte souillée dans ma poche, et me saisit de mon mouchoir pour effacer les traces de mon forfait.
Émilie s'agenouille dans la douche, l'air complètement vidée. Elle frissonne en retirant le gode de sa chatte et se relève en soupirant.
Je m'éclipse sans bruit. Je sors dans l'air froid de la nuit. Sur la courte distance pour rentrer à la maison, je pense aux événements de la soirée. Ce qui me choque c'est ce qu'Émilie a dit à propos de ma mère et de son "cadeau".
J'entre et je vais dans le salon. Je trouve ma mère assise sur le canapé.
"Tu rentres bien tard", remarque-t-elle en levant les yeux de son ordinateur portable.
"Ouais, Émilie a pris son temps", répondis-je, prenant un air calme et décontracté.
"Alors, elle a apprécié le yoga?""Ouais, ça lui a plu, elle ..."Pris d'une inspiration subite, je m'interrompt une seconde.
"Elle m'a dit que ça lui faisait vraiment du bien de se prendre en main"Fermant le couvercle de son ordinateur portable, ma mère gloussa: "Je suis sûre qu'elle l'a fait."Puis elle se leva et grimpa les escaliers en riant.
*****En bâillant, je tourne la page suivante de mon manuel scolaire. Je jette un coup d’œil sur la page remplie de texte brut.
"Le calcul nous permet de prendre cette limite et n'utilise que cette limite pour définir le dérivé. Nous définissons ainsi le vecteur vitesse instantané comme la dérivée temporelle du vecteur position"Un rapide coup d'œil à ma montre me fait prendre conscience qu'il est déjà minuit passé. En bâillant, je referme le manuel. L’examen est dans moins d’un mois et j’ai encore des semaines de retard sur mes études.
Je me lève en m'étirant et je regarde par la fenêtre le ruissellement de la pluie qui martèle les toits des maisons. Je quitte ma chambre pour aller dans la cuisine. J'ouvre le frigo pour prendre la bouteille de lait que j'ouvre pour boire une gorgée à même le goulot. Je pense à ma mère qui me crie dessus quand je fais ça devant elle. Mais ce soir, elle est à une conférence pour son travail.
Assis sur une chaise, j'ouvre mon téléphone et commence à consulter Facebook. Beaucoup de messages de mes copains les montrant en train de boire et de faire la fête. Je vois des photos de filles en maillot de bain essayant de paraître sexy pour la caméra.
Mais la seule chose qui occupe mon esprit, c'est le corps d'Émilie.
Je repense à la semaine dernière. Son corps voluptueux dégoulinant de pluie se tordant de plaisir dans la douche. Ses gémissements. Le parfum musqué de sa culotte. Depuis une semaine, cette pensée m’obsède.
Une autre gorgée de lait au goulot de la bouteille, et je vais pour la ranger dans le frigo quand j'entends le carillon de la porte d'entrée.
Méfiant quant à savoir qui vient sonner à ma porte au milieu de la nuit, je jette un coup d'œil par la fenêtre avant d'aller ouvrir.
À ma grande surprise, je vois Émilie debout sous la pluie battante, vêtue d'une robe de cocktail rouge vif. Elle est trempée de la tête aux pieds et ses cheveux mouillés dégoulinent sur son visage. Je cours lui ouvrir la porte.
"Émilie, est-ce que tout va bien?" Je demande. "Que fais-tu dehors par un temps pareil?"Elle pénètre dans la maison et je réalise qu'elle pleure.
"Émilie, qu'est-ce qui t'arrive?" Dis-je doucement.
Elle se retourne et me fait face.
"Je… M-mon… Nancy n'est pas ici?""Non" je réponds en fermant la porte. "Elle participe à une conférence et ne reviendra pas avant quelques jours""Oh" dit-elle en regardant ses pieds. "J'avais vraiment besoin de lui parler.""Eh bien, si je te prépare une boisson chaude, nous pourrions peut-être parler ensemble" je réponds.
"Oh, je ne sais pas. Tu en es sûr?" Demande-t-elle, l'air méfiante.
"Bien sûr, ne sois pas godiche!"Souriant, je l'enlace par les épaules pour la réconforter.
"Quoi que ce soit, tu peux m'en parler!"Elle lève les yeux du sol pour me dévisager, puis me fait un léger sourire.
"Tu es gentil, je te remercie"En entrant dans la cuisine, je saisis la bouilloire et commence à la remplir.
"Tu veux du thé?" Je demande en replaçant la bouilloire sur le support.
“Oui merci, j'aimerais un thé noir avec…”"... Un nuage de lait, une pointe de cannelle, et une cuillère de miel!"Elle sourit: "Tu me connais trop bien. Peut-être aussi une goutte de Bourbon?"Je hoche la tête en signe d'approbation et ouvre le placard des spiritueux de ma mère.
"Nous avons du whisky" dis-je en fouillant.
"Très bien pour le whisky, merci" dit-elle en reniflant.
Je sors la bouteille du placard, je la pose sur la table avant de me diriger vers le garde-manger pour de prendre le sachet de thé, la cannelle et le miel. J'ouvre le frigo et commence à chercher le lait.
"Je pourrais jurer que nous avions du lait." Je murmure.
Émilie grogne derrière moi. “Sur la table, nigaud”"Ah, c'est vrai" je ris en passant devant elle.
Je reviens une minute plus tard avec une couverture et une serviette. Je pose la serviette sur la table devant elle et enroule la serviette autour de ses épaules. Elle frissonne tandis que je m'assieds face à elle, de l'autre côté de la table pour lui préparer son thé.
D'abord le sachet de thé et l'eau, puis la cannelle et le miel. J'ajoute une petite goutte de whisky et je lui tends sa boisson.
"Peut-être… peut-être juste un peu plus de whisky?" Demande-t-elle timidement.
Je lève un sourcil en dévissant le capuchon et en lui versant une goutte supplémentaire.
"Merci" murmure-t-elle en me caressant la main.
Elle enroule ses mains autour de la tasse fumante pendant quelques secondes avant de prendre la serviette et de commencer à sécher ses cheveux. Alors qu'elle lève les bras au-dessus de sa tête, la serviette couvre ses yeux et me donne une vue imprenable sur ses seins qui dansent la gigue. Je n'aperçois aucune trace de soutien-gorge sous le tissu trempé de sa robe. Je peux très légèrement apercevoir le contour de ses mamelons à travers le tissu humide.
Elle retire la serviette de sa tête, faisant revenir mes yeux dans les siens.
"Je suis vraiment désolée de te déranger à cette heure de la nuit." Dit tristement Émilie en fixant sa tasse. "Je ne sais pas, je ne savais pas où…" Elle fond en larmes et ses épaules commencent à trembler.
"Hé" dis-je d'une voix ferme. "Tu sais que tu es toujours la bienvenue ici, tu peux compter sur moi si tu as besoin d'aide, mais que t'arrive-t-il?"Essuyant son nez, elle hoche la tête et prend une gorgée de sa boisson. "C'est Pierre, on était censé sortir ce soir, c'est notre 15° anniversaire de mariage. J'avais tout prévu, j'ai confié les enfants à ma cousine, j'ai soigné ma toilette, et lui...""Il n’a quand même pas oublié?" Je demande.
"Oh, s'il avait seulement oublié..." répond-elle avec un soupçon de rage dans la voix.
"Il a une liaison avec l'une de ses collègues de travail et je l'ai découvert ce soir!""Il a avoué t'avoir trompé pour ton anniversaire?" Je demande, incrédule.
"Oh non, ce salaud n’a pas avoué. Je l'ai découvert en montant dans sa voiture. Sa poule a oublié sa petite culotte sur la banquette arrière de sa PUTAIN DE BAGNOLE!"Son éclat soudain se transforme en sanglot quand elle se couvre le visage de ses mains. Sa poitrine se soulève de rage et de sanglots.
"C’est affreux ce qui arrive, Émilie. Je suis tellement désolé."Elle relève la tête, un peu calmée, et elle prend une autre gorgée. Elle repousse ses cheveux en arrière. Je remarque une ecchymose violacée qui se forme sur sa tempe gauche.
"Émilie, il t'a frappé?"Elle détourne les yeux pour éviter mon regard. "Oui, mais c’est ma faute, je l’ai poussé à bout en l'insultant!"La colère monte en moi mais je me retiens pour la consoler.
"Émilie, écoute-moi. Tu n'as rien fait pour être traitée ainsi. Tu mérites un homme bon et fidèle et qui te respecte.""Non, c’est ma faute, je ne tiens pas assez bien la maison, je ne lui consacre pas assez de temps en me faisant belle pour lui, en lui cuisinant de bons petits plats et…""Émilie!" je lui coupe la parole. "Ce n'est pas une excuse pour te traiter comme il le fait. Il a tellement de chance de t'avoir rencontré et il gâche tout en se comportant comme un minable. Eh bien, tu es cent fois mieux sans lui! … Oh! et prend ça pour ce que ça vaut, mais je pense que tu es une belle personne, une femme magnifique, la plus belle femme du monde!""Ah! Rien de moins que ça, bien sûr!" se moque-t-elle en agitant la main et en rougissant légèrement.
J'attends qu'elle finisse sa tasse. Une fois qu'elle est calmée, je me lève et m'étire.
"Veux-tu dormir ici cette nuit?" Je demande"Ça ne te gêne pas?" Répondit-elle, hésitante.
"Pas du tout, tu peux dormir dans la chambre d'amis, le lit est fait. Veux-tu prendre une douche?""Non, je veux juste dormir si c'est possible»Je la suis dans les escaliers, incapable de regarder autre chose que son incroyable fessier, mis en valeur par le tissu humide de sa robe qui lui colle à la peau.
Je la conduis dans la chambre à coucher, j'ouvre le lit et attend qu'elle se couche.
"Si tu as besoin de quelque chose, appelle-moi" dis-je en la couvrant et je m'éloigne.
"Non, attends!" Dit-elle en attrapant ma main. Son regard inquiet me supplie.
"S'il te plaît, peux-tu rester un moment, pour que je m'endorme. Je ne veux pas rester seule!"Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée mais je n'ose pas la contrarier, et je m'assieds au bord du lit.
"Merci" murmure-t-elle. "Tu es tellement gentil avec..." Elle éclate en sanglots au milieu de sa phrase.
Je m'allonge sur le lit à son côté, par-dessus la couverture, pour la prendre dans mes bras et la câliner.
"Là, là, ça va aller" dis-je d'une voix apaisante.
Après quelques instants, elle se calme et sa respiration redevient régulière.
Elle reste songeuse un moment avant de se racler la gorge.
"James, tu voulais vraiment dire cela, tout à l'heure? Que je suis une belle femme, et tout, et tout...""Bien sûr" je réponds. "Je pense que tu es la femme la plus incroyablement attirante et sexy que je connaisse, et une très belle personne. Pierre est un crétin s’il ne comprend pas la chance qu'il a!""Oh, tu es trop chou!" dit-elle. Elle prend ma tête entre ses mains et dépose un chaste baiser sur ma joue, mais quand même pas très loin de ma bouche. Dans cette position, nos deux corps sont pressés l'un contre et j'ai contre mon ventre le galbe de sa hanche.
Sensation délicieuse mais qui jette une émotion dans mon pantalon.
"Merci de prendre si bien soin de moi, tu es trop mignon, je t'adore!""À ton service, Émilie”Repoussant la couverture, elle effectue un quart de tour, ce qui place mon ventre contre ses fesses. Mon bras se retrouve coincé sous sa tête, et en plus elle me tient la main. Utilisant ma main libre, je la glisse sur sa hanche et pose le plat de ma paume contre son ventre. Je sens son corps se crisper, puis elle se détend progressivement et se laisse aller, semblant apprécier ma caresse. Du plat de la main, je lui caresse doucement le ventre, puis le long de sa hanche, je remonte jusqu'à la naissance de sa poitrine, ensuite je redescends le long de sa hanche jusqu'au galbe de ses fesses. Elle respire profondément mais calmement. Elle ne proteste pas, je crois percevoir un léger soupir, et lentement, imperceptiblement, elle recule son bassin et presse son cul contre mon ventre. Ma bite raidie se blottit dans la raie de son cul.
"Hum, mon mari ne me câline plus comme ça" chuchote-elle doucement en inclinant la tête en arrière pour que nos joues se touchent.
Je trace avec ma main des cercles sur son ventre, contournant son nombril, suivant les lignes de ses côtes. Sa respiration semble s'approfondir légèrement tandis que la pression de ses fesses contre mon sexe augmente encore. Maintenant, mon sexe s'encastre fermement dans la vallée qui sépare ses deux globes fessiers. Lentement, j'agrandis les cercles que décrit ma main baladeuse, en haut jusqu'à ce que mes doigts touchent légèrement la partie inférieure de ses seins, en bas mes doigts effleurent délicatement son mont de vénus.
"Là, là, il faut dormir maintenant” Émilie a un petit rire de gorge, un rire énervé quand elle me réponds: "Je ne crois pas que je vais pouvoir dormir avec ce que tu me fais!"Sa respiration gémissante devient presque inaudible lorsque mes doigts frôlent ses seins, la taquinant sans jamais faire tout à fait contact. Plus personne ne parle, mais le doux mouvement de son bassin traduit son émoi.
Après quelques taquineries, je me saisis finalement de son mamelon, malaxant le globe de chair et pinçant le téton dardé. En même temps, mon bassin commence à se frotter contre son cul et mon sexe, coincé dans les plis de sa jupe, cherche son chemin.
"Ooh" elle gémit, se cambre et s'offre à mes caresses. Glisser une main sous elle. Elle écarte les cuisses. Son souffle se fait court, rauque, elle gémit en se serrant contre moi. Remonter ma main sous sa robe. J'écarte fermement la culotte et passe mes doigts sur sa fente humide, pour sentir sa chatte s'ouvrir sous mon pétrissage.
"Je ne peux pas croire ce que tu me fais», murmure-t-elle.
"Chut" je réponds “Je te montre comment une princesse comme toi mérite d'être traitée”Je retire ma main de sa culotte pour masser sa jambe, l'intérieur de sa cuisse, le creux du genou, le galbe du mollet. Puis je remonte lentement par le même chemin, contournant son pubis de très près, massant son ventre, attrapant fermement sa hanche, remontant sa robe jusque sous ses magnifiques globes laiteux.
Je la taquine un peu, laissant traîner mes doigts légèrement sur tout son corps en contournant les zones érogènes trop précises.
Se tordant sous mes caresses, elle essaie vainement d'offrir sa chatte et ses seins à ma main évasive.
"Ooh… s'il te plait!" Gémit-elle.
"S'il te plaît quoi?" Je réponds malicieusement.
Se retournant, elle presse sa poitrine contre mon torse et me murmure à l'oreille.
"Vas-y, touche-moi, prends-moi, ne me fais plus attendre, je suis prête!"Obéissant à cette ordre, je la saisis par la chevelure pour lui maintenir la tête en arrière, je presse fortement mes lèvres sur les siennes.
Elle cède à mon désir et ouvre ses lèvres pulpeuses. Ma langue prends possession de sa bouche et elle suce ma langue comme si c'était un sucre d'orge. Je plonge ma main libre dans l'ouverture de ses cuisses, écarte sans délicatesse la fragile barrière de nylon, et je plante deux doigts dans sa chatte en fusion. Massant de ma paume son pubis qui s'offre à ma caresse, je fais coulisser mes deux doigts dans sa grotte humide, provoquant un gémissement sourd dans la gorge de ma conquête.
Ses bras m'enserrent, ses mains me palpent, puis elle glisse ses mains entre nous pour ouvrir la braguette de mon pantalon. Je me soulève pour lui faciliter la tâche, et je me retrouve avec le pantalon à mi-cuisse. Elle se libère en me repoussant sur le côté et se penche sur l'objet de sa convoitise.
"Ooh." Elle gémit en me saisissant la bite. "Que c'est beau! Comme tu es dur!"Elle écarte ma chemise et pose ses lèvres contre mon ventre. Ses baisers deviennent plus passionnés alors qu'elle se rapproche de mon sexe, puis elle pose ses lèvres contre mon gland. Elle se caresse avec ma bite, la bouche, les joues, le cou, avant d'ouvrir ses lèvres purpurines pour engloutir mon gland.
Elle lèche mon arbre sur toute sa longueur, et joue avec mes bourses. Pendant ce temps, je n'ai pas lâché sa chatte et je continue de faire coulisser deux doigts en elle, tout en massant son clito avec la paume de ma main.
Mais le contact avec sa robe mouillée est désagréable, et je rompt la délicieuse étreinte pour lui retirer ses habits et ôter les miens.
Elle m'attend sur le lit, allongée sur le dos, bras et jambes écartés, souriante et offerte: "Viens, mon chéri!"Je ne me le fais pas répéter deux fois, je me précipite sur elle pour couvrir son corps de baisers et de caresses.
J'embrasse, je lèche et je suçote ses seins et ses tétons, puis je les mordille doucement.
En même temps, ma main a repris possession de sa chatte, je titille entre le pouce et l'index son clitoris érectile, puis je fais glisser mes doigts dans les plis de sa chatte.
Je sens sa chatte s'ouvrir sous ma caresse, sa respiration s'accélère, et elle me murmure: "Viens! Maintenant!"Alors, je m'allonge sur elle, elle soulève légèrement son bassin à ma rencontre et je trouve le chemin tout de suite. Je m'enfonce sans effort dans un délice chaud et humide qui me saisit, m'enserre et me caresse divinement.
Mes mains s'emparent de ses seins, pétrissent ses hanches, et ma bouche cherche la sienne pour capturer son souffle. Ses doux gémissements affirment son plaisir tandis qu'elle soulève son bassin contre moi, enserrant ma taille avec ses jambes qu'elles nouent derrière moi, m'obligeant ainsi à m'adapter à son rythme.
Elle gémit de bonheur et j'ai de plus en plus de mal à réfréner mon désir, à l'attendre, afin que l'on puisse exulter ensemble.
Enfin, je sens son corps trembler sous moi, elle écarte les cuisses comme pour me dire "Vas-y, maintenant!"Je ne peux plus résister à l'envie de la bourrer comme un sauvage, je la nique comme une pouffe, et je me libère en grognant:"Ah, putain, c'est bon!" Le jet de sperme dans sa chatte déclenche son orgasme, et elle gémit en tremblant: "Ooh! je jouis..."Elle m'enlace à nouveau, me retiens contre elle, me couvre de baiser: "Mon chéri, tu es merveilleux, je t'aime!"On se dorlote, on s'embrasse, on se câline un moment en se disant des mots d'amour. Puis, sa douce étreinte produit son effet. Lentement je reprends des forces et mon arbre redevient rigide. C'est elle qui le ressent la première. Elle replie ses jambes, me caresse le dos des cuisses et les fesses avec ses pieds, tout en ondulant du bassin.
Je l'embrasse passionnément, nos langues se battent pour la domination dans un affrontement sans merci.
Plongeant ma verge dans sa chatte, j'essaye d'allonger et de freiner mes coups pour durer au maximum. Ses bras enserrent mes épaules, ses mains me maintiennent la tête, sa bouche dévore la mienne. Éperdue de passion, elle s'offre, conquise et soumise, au mâle qui la chevauche et qui la fait défaillir. Je sens la chaleur de ce corps sous moi. Je sens son cœur battre dans sa poitrine. Je sens son souffle dans ma bouche. J'entends les cris et les gémissements qui s'échappent de sa gorge. Et puis je perds le contrôle, c'est trop doux, c'est trop fort, trop bon! À nouveau, je martyrise le corps offert sous moi, à nouveau ce sont de grands coups de verge que je plante au fond de sa chatte, comme si je voulais la faire souffrir. J'explose en elle, j'inonde son vagin de foutre, puis je m'effondre sur elle, l'écrasant de tout mon poids.
Je reprends lentement mes esprits et je l'embrasse longuement dans le cou. Elle me serre contre elle en me roucoulant de doux mots d'amour. Elle ne m'en veut pas de m'être comporté comme un goujat. Elle est habituée aux exigences et à l'indifférence du mâle dominant.
Finalement, je lui présente mes excuses pour mon comportement indélicat.
Elle me sourit, magnanime: "Ce n'en sera que meilleur la prochaine fois…"Seigneur! La prochaine fois... ça veut dire qu'elle ne m'en tiens pas rigueur, et qu'elle accepte de recommencer! Je suis son amant!
Je m'allonge contre elle, son corps nu pressé contre le mien. Ne pas penser à ce qui vient de se passer. Je me sens un peu mal à cause de son mariage. Bien que son mari soit un salaud et un tricheur, mais quand même. Je me demande comment elle se sentira demain matin. Réalisant qu’il est inutile de penser à tout cela, je pose ma tête contre la sienne sur l'oreiller et me laisse tomber dans les bras de Morphée.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : MA VOISINE ÉMILIE
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tamalou

Un message trop tardif - Récit érotique publié le 14-07-2022
Insémination Naturelle - Récit érotique publié le 07-06-2022
Vendre sa virginité - Récit érotique publié le 05-06-2022
L’auberge dans la montagne - Récit érotique publié le 15-05-2022
Le premier soir - Récit érotique publié le 12-05-2022
Malice et Perfidie - Récit érotique publié le 10-05-2022
Mon viol - Récit érotique publié le 18-04-2022
Entretien d’embauche - Récit érotique publié le 16-04-2022
La dune était déserte - Récit érotique publié le 09-04-2022
Embauche - Récit érotique publié le 03-04-2022