TABLE DE SAPIN 7

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TABLE DE SAPIN 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TABLE DE SAPIN 7
J’ai ce un midi, l’agréable surprise de voir Jennifer apparaître par l’entrée de mon bureau. Elle s’est avancée jusqu’à moi alors que j’étais assis, avec un balancement d’une rare sensualité. Elle était vêtue d’une Longue jupe fendue. Chemisier blanc, sous une petite veste en jean.
- Alors tu en as parlé à ta vieille, de notre relation.
- Non…
- Et alors ? S’impatienta-t-elle.
- Je doute un peu de ton expérience à faire ça à plusieurs si tu veux le savoir.
- Mais je suis super au lit. Non, tu ne crois pas toi.
Je me mis à rire.
- Faire cela avec une femme cela ne me fait pas peur. Ajouta-t-elle.
- Tu as déjà eu une relation avec… avec une fille ?
- Oui, avec des copines, oui… bien sûr.
- Et alors ?
- Et alors, j’ai trouvé ça enrichissante. Il faut tout goûter dans la vie ! Tu n’es pas d’accord avec moi ?
- Oui, bien sûr. Je suis de ton avis. Mais ce n’était que des filles de ton âge.
- Une chatte reste une chatte, non ? Répliqua-t-elle.
- Si tu le dis. Mais sache que certaines matures comme l’est ma belle-mère, aiment la soumission.
- Mais tu sais. Je peux me faire autoritaire quand je le désire. J’ai du caractère, tu sais ?
- Je n’en doute pas un seul instant.
- Alors pour qu’en ?
- Je ne sais pas jeune fille. Je vais y réfléchir.
- Je t’en prie. Fit-elle. J’en es une énorme envie.
- Ah oui !
Elle n’a pas protesté quand j’ai faufilé ma main droite sous sa jupe. Elle a même écarté ses cuisses pour me permettre de mieux la fouiller. J’ai cru que mon cœur allait exploser d’une overdose de désir, quand mes doigts ont effleuré le tissu soyeux de sa culotte.
- Slip en soie ! Bravo ! Tu me combles.
- Je l’ai emprunté à ma maman.
- Tu lui as aussi emprunté le soutien-gorge qui va avec ?
- Tu veux le savoir ?
- Oui j’aimerai.
Elle a déboutonné, bouton après bouton son chemiser, avant d‘en écarter les deux pans. Exposant à mes yeux une poitrine libre de tout soutien-gorge.
- J’ai oublié d’en mettre ce matin. Fit-elle en m’exposant ses seins avec ses deux mains. Ils étaient bien gonflés.
- Alors ? Me fit-elle.
- Et alors quoi ? Répliquais-je en l’attirant vers moi. J’ai déboutonné sa jupe, qui a glissé le long de ses jambes. J’avais devant mes yeux, une culotte bien aréolée sur le devant. Ses poils collèrent à la soie devenue transparente. Je distinguais nettement sa fente qui bâillée. Je n’ai pas résisté de faire glisser sa petite lingerie le long des ses jambes. Je me suis empressé de la porter à mon visage pour en humer avec ivresse, les odeurs épicées qui s’en dégageaient.
- Elle s’en bon ? Me fit-elle.
- A ton avis ?
Elle fit descendre sa main droite le long de son ventre jusqu’à arrivé à la hauteur de son buisson. De son index, elle a effleuré sa corolle. Ne pouvant pas résister à la tentation, j’ai délaissé la petite lingerie pour me laisser tomber à ses pieds. J’ai agrippé ses hanches et avec un soupir d’aise j’ai plongé mon visage au centre de ses poils. L’odeur qui s’en dégagé était délicieusement entêtante. Un fumet âpre et poivré qui me donna immédiatement envie de me gaver de ce sexe comme un malade. J’ai plongé ma langue dans son antre dégoulinant de mouille et je me suis mis à boire tout son jus avant d’aller titiller son gros clito dur et vibrant. L’emprisonnant même entre mes lèvres pour mieux le suçoter. Elle a poussé un cri, alors que son corps s’est arqué sous le coup de fouet de l’orgasme, m’agrippant la tête de ses deux mains pour la plaquer contre son ventre en fusion. Presque qu’à m’étouffer.
J’avais malgré cela des démangeaisons un peu partout. Un vertige d'euphorie. Une décharge d'adrénaline. Mon membre me faisait mal dans mon jeans serré. Mes couilles aussi. J’avais un grand besoin de jouir. J’ai entrainé Jennifer jusqu’au divan. Elle m’a aidé de me délester de tout ce que je portais. Puis elle s’est saisie de ma verge raide, pour m’attirer sur elle. Je me suis enfoncé d’un coup dans son vagin bouillonnant. Tout en allant et venant, je l’embrassais à pleine bouche. La coquine a joui tout de suite. Bruyamment, ce qui m’a déclenché mon éjaculation.
Après quelques minutes de silence, je lui ai suggéré de remettre de l‘ordre dans sa tenue.
- Mes collègues ne vont pas tarder à poindre leur nez. Lui avais-je dit.
Le hasard a fait que j’ai rencontré ma belle-mère dans la rue. Je l’ai salué de deux bises sur les joues.
- Ma fille t’a rendu une visite pendant le déjeuner ?
- Non… pourquoi, elle devait ?
- A bon !
- Je peux savoir pourquoi tu me dis cela.
- Tout simplement par ce que tu sens la chatte.
- Oui, j’ai eu ce midi la visite d’une copine… et…
- Tu n’as pas à te justifier mon cher gendre. Tu ne me dois rien. Seulement à ma fille;
- Oui… mais…
- Nous allons en rester là si tu veux bien.
Après avoir jetée un coup d’œil circulaire autour de nous, et s’être assuré qu‘aucunes oreilles indiscrètes ne pouvaient entendre, elle me murmura :
- Aurais-je droit à ta visite ce soir.
- Et ton mari ?
- Il m’a apprit pendant le déjeuner, qu’après sa partie de pétanque il filera directement à son boulot.
- Que lui arrive-t-il ?
- Je ne sais pas, et pour dire vrai, je m’en fou. Alors ? Ce soir je t’attends, oui ou non ? Sache pour ta gouverne, que j’ai une énorme envie d’avoir ta queue dans ma chatte.
- Je viendrai.
- Chouette ! Alors à ce soir.
- A ce soir.
Au courant de l’après-midi je n’ai pas cessé de penser à notre rencontre. Impatient de la culbuter sur la table de sapin. Après le boulot je me mis en route pour aller rejoindre le domicile de belle-maman. Tranquilliser de ne pas attendre sagement dans ma voiture que mon beau-père veuille bien déserter les lieux pour que j’aille retrouver sa femme. Une personne que je ne portais pas sur mon cœur. C’est peut-être pour cela que je me tapais la belle-mère. Une vengeance comme une autre.
J’ai trouvé que le trajet me menant jusqu’à elle me paraissait plus long qu’à l’accoutumé. Cela était dû à mon désir de la baiser. Il me semblait même que les rues s’agrandissaient pour m’empêcher d’arrivé au plus vite jusqu’à elle.
Jamais je n’avais été aussi réjoui de m’arrêter devant la grille. À mon arrivé, elle se tenait dans sa cuisine. Sourire aux lèvres. J’y lisais de la jubilation. Incapable de résister à mes sens bouleversés, je la fis se coucher sur la table de sapin.
- Oh ! Alain ! Gémit-elle doucement, alors que je retroussais sa jupe jusqu’à la taille. Dessous elle portait son éternel collant couleur chair. Les mailles de son entrejambe étaient obstruées par l’abondance des sécrétions vaginales. Elle a soulevé ses fesses, afin de me permettre de le lui soutirer. J’ai laissé tomber pantalon et slip à mes chevilles. Puis je me suis enfoncé en elle. Son con était comme toujours onctueux. Comme souvent chez elle, sa respiration s’est accélérée. Malgré son calibre, elle fit roulée ses hanches comme pour précipiter le plaisir. Brusquement elle s’est cabrée laissant échapper des :
- Oui !… Oui !…
J’ai alors besogné, tant que je le pouvais.
- Oui, c’est bon ! Vide-toi, mon bébé ! C’est que du bonheur ! Allez, viens, je veux te sentir juter ! Tout ton jus !
Avec de tels encouragements je ne pouvais que me répandre en elle. De trois à quatre puissantes giclées de sperme. Elle me reçu en hurlant.
- Tu m’as fait vibrer tu sais. Fit Colette. Alors que je m’écartais d’elle. J’en suis toute retournée. Quel plaisir…
J’étais en train de boutonner mon pantalon, quand le carillon s’est fait entendre du côté de l’entrée.
- Qui donc pourrait venir à cette heure ? Fit ma belle-mère en descendant de la table. Elle remit de l’ordre dans sa tenue avant de disparaître de ma vue.
Quand elle réapparut, Jennifer se tenait à son côté.
- Elle est rentrée sans que je l’invite. Quel culot ! Petite dévergondé. - Vous la veille, la ferme. C’est Alain qui m’a dit de venir. Répliqua Jennifer.
- C’est vrai ça ? C’est toi qui l’as invité à venir chez moi ? M’a questionné Colette.
- Peut-être…
Jennifer avait changé de tenue. Elle a noué ses cheveux bruns en deux couettes. Elle portait une jupe plus courte que celle qu’elle avait à midi. Qui lui arrivait au-dessus des bottes. Sur son buste un corsage brodé. Une lueur d’intérêt brilla dans ses yeux. Le silence s’est installé dans la cuisine, alors que la jeune fille, d’un regard brûlant, parcourait les formes de Colette. Dévorant de ses yeux sa lourde poitrine. Colette demeurait immobile. Incapable d’entreprendre quoi que ce soit. Elle avait l’air d’une gamine prit en faute. Puis Jennifer a délaissé sa place pour se coller au dos de Colette toujours immobile. Cette dernière s’est laissé empaumer les seins par-derrière. Sa respiration se fit plus rapide. Puis la jeunette a plongé ses mains sous le chandail de son aînée, qui transie, les bras le long du corps s’est abandonné à ses caresses. Offrant sa poitrine aux mains fureteuses. J’ai bien sûr profité du spectacle, sans bouger de ma place. Plein d’aplomb, l’effrontée a plongé sa main sous la jupe, prenant possession du bas-ventre.
- Tu ne porte pas de soutien-gorge, pas de culotte. Tu es une vraie vicieuse-toi ! Montre tes nichons ! Ordonna-t-elle.
Soumise elle a passé son chandail par-dessus sa tête. Mettant en lumière sa généreuse poitrine. Jennifer n’a pas pu résistée à la tentation de la lui pétrir vigoureusement l’un après l’autre. A écrasé les tétons entre ses doigts, faisant haleter la belle-mère. J’étais aux anges.
- Maintenant belle maman, trousses-toi. Montre ta chatte à la demoiselle. Lui lançais-je.
Je pense qu’elle attendait que ça. Puisqu’elle s’est empressée de faire tomber sa jupe sur le sol. Exposant son ventre arrondi. Tout de suite la jeune fille s’est jetée dessus. Abandonnant la poitrine. Prenant l’initiative d’y enfoncer des doigts dans la faille.
- Grosse cochonne, cela te plaît de t’exhiber.
Comme la réponse ne venait pas, elle a ajouté :
- Oui… non, allo !
- Oui, lâcha ma belle-mère. Tu ne peux pas savoir comme j’aime cela, merdeuse…
- Moi aussi j’aime ça, fit-elle en s’allégeant de son haut.
Ses seins apparurent.
- Comment les trouves tu, mes nichons ? Fit-elle. Ils te plaisent ?
- Ils sont fermes…
- Comment tu peux dire cela. Tu ne les as même pas touchés.
- Pas besoin de les toucher pour savoir qu’ils sont fermes. Répliqua-t-elle en posant sa main sur la chair gonflée. Après quelques effleurements, elle s’est mise à malaxer fermement la poitrine de la jeune effrontée, qui poussa des gémissements.
Je me suis avancé jusqu’à elles. J’ai pris Jennifer par le bras et l’ai attiré jusqu’à la table où je lui ai demandé de prendre appui.
- Viens lui lécher la chatte, fis-je à belle maman, alors que je retroussais le bas.
Elle s’est mise en position derrière la raie ouverte de la jeune fille. Puis a poussé sa langue contre la rosace brune. Sous la caresse buccale elle a soupiré de plaisir, tout en remuant le cul. Elle s’est faite léché avec application, tout en virevoltant sous les coups de langue.
- Assez pour celui là, lui fis-je. Passe à l’autre maintenant.
Obéissante, Colette s’est contorsionnée pour pouvoir coller sa bouche à la fente. Jennifer, s’est extasiée sous la caresse buccale de Colette. Au point d’être rattrapée par la jouissance.
Après m’être libéré, j’ai écarté Colette, la bouche toujours collé au sexe de la fille. Elle m’a regardé prendre les fesses de la jeunette à pleines mains. Alors qu’elle m’a caressé amoureusement ma queue, avant de la guider à l'entrée du sexe qu’elle venait de quitter. Sous mes coups de piston, elle devint vite hystérique. Vrillant ma queue avec une brutale contraction de son vagin.
- Je joui… je joui. Oh Ouiiiii, je joui !
Je l’ai pistonné à en perdre le souffle. Y jetant toutes mes dernières forces dans le coït. Je me suis entendu hurler quand j’ai envoyé ma sauce.
Les couilles vides je me suis retiré de la chatte, pour prendre place sur une chaise, reprendre mon souffle.
Mes deux partenaires ont murmuré entre elles, avant de s’avancer jusqu’à la chaise où je me tenais. Elles se sont agenouillées de chaque côté de ma personne. Elles s’incinèrent ensemble sur mon sexe souillé de mouille. La belle-mère m’a serré dans sa main. Imprimant sur lui, un léger mouvement de va-et-vient. Lui donnant de temps à autre de petits coups de langue. Jennifer fascinée, la regarda me prendre à pleine bouche. Après seulement quelque aller et retour, elle abandonna ma verge à la jeune fille. Qui prit sans tarder le relais. Me pompant en cadence alors que la belle mère s’occupait à lécher mes couilles. À ma grande surprise, il n’a pas fallu longtemps pour que j’éjacule.

A SUIVRE…

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