À la merci de Lionel pour un soir.

- Par l'auteur HDS Quintessence2017 -
Auteur homme.
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Récit libertin : À la merci de Lionel pour un soir. Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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À la merci de Lionel pour un soir.
Tout a été très vite. J'étais de passage à Nice, j'ai mis une annonce sur Internet en expliquant que je cherchais un mec bien membré pour me remettre à ma place.
J'ai eu pas mal de réponse, mais celle qui m'a scotché, c'est celle de Lionel.
Les photos parlent d'elles même : un grand black d'un mètre quatre-vingt, tranquillement étendu au soleil. Sa musculature  à faire pâlir de jalousie n'importe quel athlète m'a fait trépigner devant mon écran. Dans sa gigantesque paluche, un sexe bandé d'au moins vingt-cinq centimètres, facile. L'une des photos dévoile le bas de son visage, ses lèvres pulpeuse, son menton carré, un vrai mâle.

Il m'explique qu'il ne cherche qu'une histoire d'un soir, que mon annonce et mes photos lui ont bien plu, et que si je suis prêt à me plier à ses conditions, il est d'accord pour me donner la correction que je mérite.
Je le chauffe à fond. Je lui dis que je ferai tout ce qu'il voudra, que je serai docile, que j'obéirai au doigt et à l’œil.
Il me répond que ça lui convient. Qu'il a quelques accessoires et qu'il a l'intention de s'en servir sur moi, donc si ça me dérange il faut que je lui dise tout de suite.
Ça ne me dérange absolument pas, je suis bien trop chauffé.
Pendant toute la semaine on se chauffe par message. Je fais la pute.

Le jour venu, je me pointe à son appart. Il m'ouvre torse nu, seulement vêtu d'un caleçon.
Je le mate de haut en bas, et me jette à son cou. Pas de temps à perdre, je lui roule une grosse pelle. Ses lèvres sont sucrées, un vrai régal.
Aussitôt, il m'attrape par la nuque et me détache de son corps.

- T'as pas bien compris ce que je t'ai dit par texto ? Ici c'est moi qui décide. Toi tu es juste ma petite pute, pigé ?

Je le regarde une seconde, interloqué.

- Euh oui, pardon.

Il m'envoie une grande gifle.

- Pardon qui ?

Je réfléchis une seconde. Il ne rigolait vraiment pas en me chauffant.

- Pardon Maître.

- Bien. Fous-toi à poil et enfile ce collier. Il te rappellera que t'es ma petite pute.

Je m'exécute et passe le collier de cuir orné d'un anneau de fer qu'il me tend.
Ça y est, c'est fait : je suis sa "petite pute."
Lorsque j'ai fini, il me lance sèchement :
- Montre-moi ton petit trou, je vais préparer le terrain.

Trop content d’obéir à cet apollon à la peau de jais, plaque mon visage au sol et lève le cul pour lui dévoiler mon anus.
Il écarte mes fesses et me crache sur le trou, puis enfonce un plug qu'il fait jouer un peu en moi.

Je gémis de plaisir.

- Ben alors ? Tu commences déjà à couiner ? Il va falloir t’y faire sinon tu risques de passer un sale quart d’heure.

- Je suis désolé, Maître.

Il m’empoigne par le collier et me redresse, tout en m’enjoignant de laisser les genoux à terre, puis m’ouvre la bouche et crache dedans.

- N’avale surtout pas, pigé ?

Je marmonne comme je peux avec sa salive dans la bouche :
- Oui, Maître.

Il rit, prend une paire de pinces à seins reliées par une chaînette et me les colle sur les tétons.

- Tu vas me sucer, et t’as intérêt à bien le faire. Mets tes mains dans ton dos.

À peine t-il fini sa phrase qu’il retire son caleçon et me fourre sa bite dans la bouche, en faisant bien attention à faire passer la chaînette des pinces par dessus pour la tendre.
Même à demi-molle, elle ne rentre qu’à peine.

Il me baise la bouche comme ça pendant un bon quart d’heure. J’essaye d’activer ma langue sur sa queue pour la stimuler et renforcer son excitation, et tente tant bien que mal de ne pas m’étouffer sur ce copieux repas.
Chaque coup de bassin de sa part tire brutalement sur la chaînette dont dépendent mes seins, et m’arrache un petit couinement de douleur.

Je sens son sexe durcir en moi. Et plus il durcit, plus il tape au fond de ma gorge.

Et puis, une fois bien dur, sans crier gare, il m’attrape par le collier, me lève, me plaque le torse au mur et remplace le plug dans mon anus par son énorme sexe.

La pénétration se fait laborieuse au début. Lionel m’arrache quelques gémissements qu’il fait immédiatement taire en fourrant son énorme main dans ma bouche. De l’autre, il me maintient les bras dans le dos.
Il s’enfonce en moi lentement, mais vigoureusement, sans jamais marquer de pause.
Lorsqu’il est entièrement entré, il amorce la sortie. Là encore, il procède très lentement.
Il ressort complètement, et caresse mon trou avec son gland. J’en frissonne.
Il continue à me titiller, comme pour exciter mon désir.

Puis il revient à l’assaut. Plus vite cette fois. Il entre, se retire, mais ne sort pas complètement cette fois.
Et une troisième fois, plus vite encore.

Et en un claquement de doigt, il se retrouve à me pilonner en me bombardant les fesses de claques.
Il semble ne jamais devoir s’arrêter. Pourtant je sens que son corps comme le mien deviennent moites sous l’effort.

Ses coups de butoir vont crescendo, et à chacun de ses assauts, mon corps cogne contre le mur, et la chaînette des pinces sur mes seins ballotte, ne rendant la torture que plus délicieuse.

Il me fait descendre le long du mur et me plaque torse contre sol, le cul tendu en l’air. J’ai toujours les mains dans le dos mais il ne les maintient plus. Ses mains sont posées sur mes fesses. Non. Pas posées. Agrippées. Ses énormes paluches couvrent toute l’envergure de fesses. Une main par fesse. Et ses doigts s’enfoncent dans ma chair.

Il ne ralentit toujours pas. C’est même le contraire. Il est violent, primitif.

Soudain, il s’arrête net et pousse un puissant râle tout droit sorti de son puissant torse.

Un battement.

Puis je sens le geyser sortir de son sexe pour me remplir complètement.

Je hurle de plaisir. Lionel m’envoie une gigantesque claque sur la fesse droite :
- Ta gueule ! Laisse-moi jouir en paix !

Cela dure plusieurs dizaines de seconde. Et à chaque fois que je pense que c’est terminé, il en remet une couche. Impossible de comprendre où il trouve la place de stocker tout ça.

Lorsque je suis entièrement rempli de son sperme chaud, Lionel se retire, me crache sur les fesses et se lève.
Même après avoir déversé autant de jus, sa queue encore à demi gonflée reste énorme.

Il s’éloigne, je souffle un peu, pourtant je reste cambré, le cul tendu en l’air.

Lionel fait volte-face, il a le regard dur. Il se précipite vers moi, attrape mon collier au niveau de la nuque pour le lever, et se lance dans une fessée endiablée. Les claques pleuvent, une, deux, trois… sept… dix… quinze.

Il n’y va pas de main morte, je crie, je le supplie.
Lorsqu’enfin il s’arrête, j’ai finalement le droit à une explication :
- Ça dégouline de ton cul. Je ne t’avais pas autorisé à recracher mon sperme à ce que je sache, petit salope.

Je me confonds en excuses :
- Je suis vraiment désolé, Maître. Pitié, pardonnez-moi. Je suis désolé.

Il me redresse en tirant sur le collier et m’ordonne d’ouvrir la bouche, puis crache dedans.

- Tu vas me nettoyer ça. Et ensuite tu iras faire les vitres.

Ni une, ni deux, je me mets à quatre pattes et nettoie à la langue le sperme qui a coulé.

Lorsqu’il estime que c’est propre, il me tend le produit à vitres et un chiffon.

Je m’attelle à la tâche pendant qu’il s’installe tranquillement dans son fauteuil pour mater.

En espérant que personne ne me voit de l’autre côté de la fenêtre, je nettoie en cambrant bien mon cul pour lui offrir un agréable spectacle.

- T’es une bonne petite salope. Je suis fier de toi. Je vais te garder pour la nuit.

Ravi, je réponds :
- Merci beaucoup, Maître.

Puis il se lève, vient vers moi, et m’envoie une claque sur les fesses avant de les agripper. Je comprends alors qu’il est déjà prêt à remettre le couvert, et que la nuit va être longue.

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